Fan-Fic : Reconversion

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  • Avatar bantha

    bantha

    1942 Crédits

    Bonjour bonjour ! Je vous soumets le prologue d'une fan-fic pour avoir un avis, savoir si je continue ou pas.





    Prologue


    Hier soir, j'ai fêté mon anniversaire. Je suis maintenant âgé de 23 ans. La journée était plutôt belle, ensoleillée en surface. Je me suis levé tard et je suis parti travailler dans un petit bar du quartier où j'habite pour le moment. Étonnant comme ce genre d'endroit est toujours à moitié plein, quelque soit l'heure de la journée. Des clients habitués pour la plupart, les piliers de la maison : quelques repris de justice tout juste sortis de cabane, des petits délinquants spécialistes du vol à l'arraché, une bonne tripotées de chômeurs ou d'intérimaires jouant aux cartes et quelques vieillards paumés à la retraite, déprimés et à moitié aveugles. Bref, le genre de bouge un peu miteux, même selon les critères locaux, où il ne se passe jamais rien de bien intéressant. Je suis serveur dans ce tripot, le « Cafard Bleu ». Un boulot pas très bien payé, mais suffisant pour survivre. Je ne compte pas m'éterniser dans le coin ceci dit, je vais bientôt changer de crèmerie. Je suis trop haut, trop visible. Les niveaux inférieurs sont plus sûrs pour quelqu'un comme moi, et quand je regarde en bas, je ressens une sensation étrange. Quelque chose m'attire dans les bas-fonds, quelque chose que je n'arrive pas à identifier avec précision. J'y suis déjà allé, bien sûr, mais jamais seul, jamais plus de quelques heures et toujours dans des endroits plutôt civilisés, si tant est que la civilisation ait jamais existé dans les niveaux inférieurs. De toute façon, aujourd'hui, tout fout le camp, y compris en haut. Difficile d'éviter les problèmes, quelque soit le bled où l'on vit. C'est une des raisons qui me conduit à changer de lieu sans cesse, à ne pas rester plus de quelques semaines au même endroit.

    Une journée d'anniversaire comme les autres, en fait. De toute façon, je ne connais pas grand monde, la plupart de mes amis ou simples connaissances ont disparu. Certains sont morts, la plupart peut-être. D'autres sont partis sans laisser de traces, quelques-uns ont fait comme moi et travaillent sans doute dans un fast-food ou un night-club des niveaux moyens ou inférieurs et essaient de survivre. Ils ont changé de nom, de couleur de cheveux et d'yeux, peut-être de visage. Ils évitent les patrouilles et serrent les dents, s'interdisent de répondre aux provocations incessantes des partisans du nouveau pouvoir – parfois des agents pas très subtils qui servent d'appât pour révéler les éventuels opposants politiques venus boire un verre le soir pour noyer leur désespoir. De toute façon les opposants en question ne doivent pas être très nombreux. La plupart des gens, surtout dans les bas-fonds, ne s'inquiètent pas outre-mesure des évènements récents. Rien n'a changé pour eux : un peu plus de contrôles, un peu plus de violence, rien de bien traumatisant pour les types qui évoluent dans un milieu pareil au quotidien depuis leur plus tendre enfance. Chaque matin quelques cadavres sont signalés dans mon quartier. Ils sont beaucoup plus nombreux un peu plus bas, et on ne les compte plus une fois vraiment dans les bas-fonds.

    Quand je pense à ces dernières années... Nous n'avons rien vu venir. Rien du tout. Aucun d'entre nous n'a pensé que la menace était si proche. Nous n'étions pas préparé à ça, au contraire. Nous étions épuisé après ces années de guerre, tous ces morts... Personnellement je ne me suis que peu battu. J'étais trop jeune et pas assez doué au combat, encore en formation et plus à l'aise avec la théorie qu'avec la pratique. Les quelques batailles auxquelles j'ai participé m'ont marqué, bien sûr : j'y ai vu des milliers de soldats mourir, certains de mes amis donner leur vie pour protéger les populations civiles. Nous n'avions pas les compétences pour mener une guerre. Mais personne n'a rien osé dire au commandement : plus sages, plus puissances, plus expérimentés... Ils n'auraient jamais du pouvoir se tromper à ce point.

    Mon mentor... C'était comme un père pour moi. Quand nous avons été accusé de trahison, que la rumeur a couru que nous avions tenté un coup d'état, les soldats avec lesquels nous avions combattu n'ont pas été nos seuls ennemis. La populace, partout, nous a rejeté. Mon maître, mon professeur, celui-là même qui m'avait détecté lorsque j'étais un très jeune enfant... Il a été massacré, lynché par des centaines de badauds surexcités. Il n'ont pas pris la peine de le tuer rapidement. Il est mort lentement piétiné. Oh, bien sûr, il s'est défendu, mais la foule a eu raison de son endurance. Et puis, il a été victime de sa formation : il ne voulait pas tuer des « innocents », « dupés par le pouvoir », de « pauvres gens sans éducation suivant leur instinct sans réfléchir »... Aucun d'entre eux n'était ce genre de chose. C'était des tueurs, tous autant qu'ils étaient, des assassins déterminés à faire du mal à des gens qui avaient donné leurs vies pour les protéger. Mon maître m'a dit de m'enfuir. C'est ce que j'ai fait, et depuis je vis dans l'ombre. J'hésite sur la marche à suivre. Certains, je le sais, ont déjà commencé à lutter. Les premiers morts au sein de cette résistance naissante font régulièrement la une des écrans géants qui diffusent les informations officielles. Ils sont qualifiés de « terroristes », de « fous ». Tel est l'univers dans lequel je vis aujourd'hui.

    Il s'est passé sept mois depuis la proclamation de l'Empire. Aujourd'hui, je pars pour les bas-fonds de la capitale du nouvel Empire Galactique. Je laisse derrière moi ma formation, mon sabre, ma bure et tout ce qui a fait un jour de moi un gardien de la République.

    Je m'appelle Idriss Bulbo. J'ai été chevalier Jedi. Mais le tempe de la Purge est venu.
    -------------------------------------
    Size Matters Not...
    And may the Force be with you !

    mercredi 10 juillet 2013 - 15:22 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar hypertonyk

    hypertonyk

    23756 Crédits

    C'est... vachement bon !
    J'ai eu un peu peur à la lecture des 2 premières phrases, parce qu'en général j'aime pas les récits écrits au présent, mais dès la 2ème ligne, j'ai oublié tellement c'est bien écrit.
    Le récit, outre le style impeccable, est en plus vraiment alléchant, on s'identifie très facilement au personnage, très humain, meurtri, avec une part d'ombre latente...
    J'ai hâte de lire la suite.

    mercredi 10 juillet 2013 - 15:58 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar bantha

    bantha

    1942 Crédits

    Merci beaucoup pour ton commentaire encourageant hyper ! Je mets la suite, un premier chapitre assez court et introductif lui aussi, pour voi si ça intéresse quelqu'un.

    Chapitre 1

    Dexy courrait depuis près d'une heure. Elle voyait défiler autour d'elle la végétation luxuriante et exotique de la planète Qebaon. La flore exubérante et pleine de couleurs vives faisait la fierté des rares habitants qui avaient réussi à bâtir une civilisation rudimentaire sur ce monde hostile : ils en tiraient des épices coûteuses et chatoyantes, des essences de luxe aux textures uniques et certains éléments très particuliers rentrant dans la composition chimique de médicaments indispensables utilisés dans toute la galaxie. Peu industrialisé et vivant essentiellement grâce à la cueillette, les Qebaonites vivaient loin de Coruscant et de ses intrigues, ne se préoccupant que de commercer avec les envoyés officiels de la République et quelques contrebandiers de passage. N'ayant pas de gouvernement central, la planète Qebaon avait rejoint la République des siècles auparavant sans même s'en rendre compte, certaines cités commerçantes ayant accepté de signer un accord de libre-échange qui comprenait une mention en très petits caractères que personne n'eut le courage de lire : « traité amené à évoluer sur demande du Sénat ». Elle n'avait eu que des échos lointains de la Guerre des Clones et de ses ravages. La Confédération des Systèmes Indépendants avait tenu pour négligeable le ralliement de cette petit planète sous-peuplée et difficile d'accès. Le jour où l'Empire avait été proclamé, Qebaon n'avait rien su du changement de régime, et des mois plus tard certaines cités ignoraient encore qu'un empereur les gouvernait tous du haut de son trône sur Coruscant.

    La twi'lek trébucha contre une souche et tomba dans une flaque de boue. Reprenant ses esprits et s'efforçant de retrouver une respiration régulière, la jeune femme s'épongea le front. Elle était trempée des pieds à la tête bien avant la flaque : larmes, sueur et sang souillaient ses vêtements déchirés depuis plusieurs jours, alors un peu de boue de plus ou de moins... Elle prit tout de même le temps de se dégager le reste du visage et repris sa course. Elle ne savait pas exactement par qui ou par quoi elle était poursuivie depuis le matin. En fait, elle ne savait pas si elle était encore poursuivie, mais elle entendait – ou croyait entendre – le bruit lointain de motojets. Elle avait aussi l'impression d'être épiée constamment, qu'on la regardait à travers les immenses fougères. Les autochtones n'étaient pas spécialement connus pour être très hospitaliers, et d'ailleurs peu de gens dans la galaxie auraient pu se vanter d'être accueillant avec une twi'lek à moitié nue, sale, exténuée et aux mains menottées. Il y avait aussi le problème de la faune locale : les tigres-taupes de Qebaon, des animaux plutôt petits et quasiment aveugle, avaient la réputation d'être de très bon chasseurs et on dénombrait chaque années quelques centaines d'attaques dont la plupart se soldait par la mort de la victime. Autant dire qu'il valait d'ailleurs mieux mourir que de survivre à ses blessures. Les soins sur Qebaon étaient dispensés n'importe comment et si les habitants de la planète se plaisaient à exporter massivement la matière première nécessaire aux médicaments, leur société conservatrice privilégiaient l'usage de plantes dont on ne savait souvent pas s'il fallait les considérer comme des poisons ou des produits miracles. Les types qui avaient survécu à un tigre-taupe, le plus souvent de jeunes cueilleurs robustes qui s'en étaient tirés en étranglant l'animal, avaient un bon paquet de cicatrices. Les griffes du cette bête contiennent des doses d'un venin acide qui présente la particularité de s'incruster dans les blessures et de se libérer périodiquement pour faire souffrir la proie et l'affaiblir sur le long terme, au cas où notamment elle aurait momentanément échappé à l'animal aveugle. Bref, à moins d'avoir un bon dealer à proximité pour pouvoir voir des tigres-taupes danser en jouant au Dejarik et ne plus penser à la douleur, il valait mieux succomber à ses blessures ou sauter d'une falaise.

    Dexy ne savait rien de tout ça et ne redoutait pas particulièrement les tigres-taupes de Qebaon. Elle ignorait sur quelle planète elle se trouvait et la jungle ne lui inspirait simplement pas confiance, d'autant plus que si elle ne connaissait pas encore bien la faune locale, n'ayant croisé que quelques étranges insectes géants, elle savait par contre que dans un périmètre assez limité autour d'elle, une demi-douzaine de psychopathes montés sur motojets et armés jusqu'aux dents essayaient de la tuer. On l'avait lâché tôt le matin dans la jungle, sans armes, pieds et mains liées. Manifestement on voulait qu'elle arrive au moins à courir, puisque ses chevilles n'étaient attachées qu'avec une corde de basse qualité qu'elle avait réussi à couper en la frottant sur une mauvaise herbe apparemment un peu particulière dont les feuilles se transformaient occasionnellement en lames très fines et très aiguisées. Evidemment, elle en avait profité pour se faire quelques entailles profondes et perdre un peu de sang. Depuis des jours, elle était enfermé dans la soute d'un vaisseau dont elle ne connaissait que trois mètres carrés et on ne venait la voir que pour lui faire des injections de drogues diverses, lui donner de l'eau et la torturer avec précautions. Il fallait la garder en vie pour la chasse. C'est ce que disaient ses tortionnaires, dont elle ne connaissait que les voix : on avait enlevé le bandage sur ses yeux qu'en la laissant tomber à la surface de Qebaon. Avant ça, on lui avait expliqué les règles du jeu : « Si tu survis au bout de huit heures de chasse, tu gagnes. Ton prix, c'est ta vie : on te tue pas, on te ramène à Camp Gremine et on te vends à Caluine Perks. À prendre ou à laisser ! ». Dexy se rappelerait toujours le rire gras qui avait suivi la dernière phrase.

    La twi'lek avait commencé par se cacher parmi les plantes, débarrassée de son bandeau et les pieds libres. Elle avait vu descendre les chasseurs. Ils étaient visiblement groupées par paires, deux par motojets, avec des blasters et des vibrolames richement décorées. Certains semblaient arborer des symboles, peut-être les emblèmes de leurs familles ou de leurs planètes d'origine. Dexy passa quelques temps à les observer, puis commença à marcher lentement et à s'enfoncer dans la jungle. Elle avança ainsi pendant près de cinq heures, puis croisa son premier groupe de chasseur. Des chasseurs pas très impliqués, apparemment : étendus sur une petite plage de sable qui bordait un cours d'eau, ils avaient visiblement pique-niqué récemment et étaient faisaient une sieste bien méritée après leur aventure du matin. Dexy aurait pu essayer de les abattre tous les deux et de se tirer en vitesse avec la motojet, mais après une petite hésitation elle préféra contourner le duo. Et évidemment, les deux compères avaient émergés quelques minutes seulement après, les traces de la twi'lek encore fraîches autour de leur campement improvisé.
    Preuve de leur manque total de subtilité, le premier réflexe de la paire de chasseur fut de tirer dans le tas au blaster. A part allumer quelques incendies épars sur des troncs d'arbres un peu plus inflammables que les autres, ils ne tuèrent que quelques petits animaux malchanceux et sans intérêt. Dexy ne fut pas touchée mais passa un mauvais moment à se demander si le prochain éclair rouge n'était pas pour elle. La fusillade terminée, elle se leva juste à temps pour voir passer la motojet à quelques mètres d'elle. Coup de chance, la vitesse du véhicule était bien trop élevée pour que les gars aient le temps de l'ajuster au passage, et le temps qu'ils se rendent compte de sa présence et qu'il fassent demi-tour, elle avait déjà commencé à courir comme une folle dans la direction opposée. Elle réussit à leur échapper de justesse, mais elle savait que les chasseurs avaient prévenu les autres groupes et allaient tenter de quadriller la zone pour la trouver.

    Depuis une heure donc, elle courrait sans savoir vraiment où elle allait et en se demandant si on la chassait toujours, si on s'amusait simplement avec elle, la proie apeurée, où si elle allait pouvoir tenir les deux heures qui restaient avant la fin du jeu. Elle avait faim, soif et froid mais elle ne s'en rendait pas vraiment compte parce qu'elle souffrait infiniment plus d'un syndrome de manque lié aux injections qu'on lui avait faites les jours précédents. Ce devait être des drogues très addictives au vu de de qu'elle endurait à présent. Ses sens étaient émoussés, particulièrement sa vue et son ouïe, et elle avait du s'arrêter plusieurs fois pour vomir une bile jaunâtre. Elle saignait du nez et ses lekkus lui semblaient lourds, courbaturés, comme si on les avaient maintenus pressés pendant des mois. Ses doigts la picotait et elle son estomac l'élançait à tel point qu'elle étaient convaincue qu'elle se digérait elle-même. Bientôt, elle dut arrêter de courir et avança en titubant, vidée de ses forces et s'appuyant sur tout ce qui avait la force de supporter son maigre poids. Elle toussait à présent et crachait de petites quantité de sang, mais elle s'avait qu'elle était à moins d'une heure de gagner le jeu. Une petite heure, probablement moins, une demi-heure et elle pourrait s'arrêter, attendre qu'on vienne la chercher et qu'on l'envoie sur Camp Gremine où elle changerait enfin de maître... Caluine Peks était réputé pour être très économe et il ne maltraitait qu'assez peu les esclaves pour éviter d'en faire baisser la valeur. Forcément mieux que ceux qui l'avaient débarqué sur cette maudite planète.

    Au bout de quelques temps, chancelante, la jeune twi'lek finit par s'effondrer. Elle perdit conscience quelques minutes, se réveilla la tête dans la boue et repoussa de la main quelques gros insectes colorés un peu insistants, puis chercha un abri. La souche d'un arbre énorme à moitié éventrée ferait l'affaire. Lentement, la twi'lek commença à ramper. Sa peau verte déjà constellée d'hématomes fut bientôt couverte d'éraflures. Quand elle arriva enfin à la souche, elle se rendit compte que la nuit tombait. Elle avait gagné le jeu depuis bien longtemps. La dernière chose qu'elle entendit bien distinctement avant de tomber de sombrer dans l'obscurité fut le bruit caractéristique et dangereusement proche des tirs d'un blaster. Un éclair rouge et puis plus rien.

    jeudi 11 juillet 2013 - 12:49 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar hypertonyk

    hypertonyk

    23756 Crédits

    ... Blast it !
    Je commençais à tomber amoureux, moi !

    J'aime toujours autant.
    (Par contre fais gaffe, y a quelques fautes de grammaire et de frappe, surtout sur la fin).

    jeudi 11 juillet 2013 - 13:55 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar bantha

    bantha

    1942 Crédits

    Bonjour à tous, 

    Bon ça fait longtemps que je n'ai pas repris cette fan-fic, SW : Reconversion, qui se déroule après l'avènement de l'Empire entre l'épisode III et l'épisode IV. Effectivement, pas mal de fautes à corriger. Est-ce que ça intéresserait quelqu'un que je continue ? 

    lundi 02 novembre 2015 - 19:56 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Kinsa-Talik

    Kinsa-Talik

    12884 Crédits

    Je viens de tomber sur ta fanfic et je te tire mon chapeau, c'est très bien ! Le style est agréable, fluide, j'aimerais beaucoup que tu continues.

    lundi 02 novembre 2015 - 20:18 Modification Admin Réaction Permalien



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