Les Trafics pour La Guilde (page 22)
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PeterOctavian
1550 Crédits
Ange s’approchait de moi.
Danger.
Gros danger.
Et l’autre en moi qui lutte pour reprendre le dessus.
Je vois son visage …
De plus en plus près …
Ses lèvres en plan panoramique.
Quand soudain , elle tourne la tête…
Comme paniquée, elle se retourne nerveusement.
Puis elle sort de ma cellule oubliant ma présence.
J’entends Peter qui rage en moi.
Sans doute espérait il ( tout comme moi ) qu’Ange puisse s’occuper plus longtemps de mon cas.
Mais tout a coup, je commence a saisir le pourquoi du comment.
Des bruits … certes lointains , mais présents, de combats .
Ou tout du moins ses prémices .
Je me morfond.
Incapable de bouger.
Je ne peut même pas tenter de me libérer.
Tout à coup, une pulsion de haine monte en moi.
Je remarque plusieurs lésions sur mon corps qui est a demi nu contre la pierre.
D’autres souvenirs me reviennent et m’assaillent .
Torture.
Douleur.
Questions .
Douleur.
Haine.
Je commence à saisir le pourquoi de Peter en colère.
Et, chose étrange…
Je me sens en phase avec lui.
Pour la première fois de ma vie, j’ai l’impression d’habiter mon corps.
Un sentiment de puissance, autant que de faiblesse m’habite.
La voix de Peter se mêle a la mienne.
- Peter ?
Encore une voix .
Mais celle ci, sans savoir pourquoi, me rassure a moitié.
Ce type.
- C’est moi, Denis…
- De… nis ?
- Ouais … J’suis la pour toi ! Sib m’a passé le colis !
Ainsi, mon père était en train de tenter de me libérer.
Quel était ce paquet dont le type me parlait ?
- Une épée tronçonneuse, on voit pas ça tous les jours…
Bondissement de joie dans ma poitrine .
Des envies …
Une odeur de sang flotte .
Souvenirs …
Ou bien illusion ?
Qu’est ce que j’en ai a faire .
Un âme charitable … ( hin hin … ) envoyée par Sibass vient me libérer et me permet de faire un carnage au sein même du clan de nos rivaux.
Pourquoi laisser passer une telle occasion ?
Mais … qui pense ?
Est ce moi ?
Vraiment moi ?
P.O. ?
Ou bien …
Pour toute réponse, Denis me libère de mes entraves.
Les chaînes tombent au sol dans un bruit de métal.
Le bruit de ma liberté .
Denis : - Euh , maintenant, fait semblant de m’assommer, que je puisse me faire passer pour une victime si jamais on se doute de quelque chose quand a ta libération…
T’en fais pas … petit … Je vais te montrer ce que ça veut dire, semblant chez moi …
Tu ne mourras pas … Mais …
WHAM !
Le sang vole de la mâchoire de Denis … et deux de ses dents par la même occasion.
Au moins, pour le réalisme, il est servi.
J’empoigne l’épée.
La vibration me rassure…
Je me sens confiant…
Une bestiole étrange aux allures de lézard me regarde, posée sur une branche a proximité de ma cellule.
« Ysalamiri » me souffle la voix dans ma tête.
Pour toute réponse, le truc se prend un coup d’épée tronçonneuse dans la tronche.
Le sang retapisse le mur.
…
Hin …
Je sens que cette soirée sera mémorable.samedi 07 octobre 2006 - 23:48 Modification Admin Réaction Permalien
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Sibass
4239 Crédits
Ma hache découpa une autre gorge.
- Tenez les portes ! Hurlais-je.
Quatre de mes mercenaires gisaient au sol, ainsi qu’Hypocrass, tué d’un laser en plein front.
Trois de nos droïdes étaient également hors service.
Un Shistavanen me sauta littéralement dessus… et fut accueillit par la lame de mon bracelet mandalorien. Le poids de son corps me projeta en arrière. J’enlevais ma lame de son œil, et la plantait dans le torse d’un rodien trop confiant.
- Capitaine, le hangar est à nous. Envoyez les renforts.
- Bien reçu. Garez-vous.
- TOUS SUR LES COTES ! Hurlais-je.
Ils n’eurent que le temps de s’exécuter. Dix autres capsules « atterrirent ». L’ensemble de nos forces était là. Presque une quarantaine d’hommes… plus les droïdes !
Nous nous étions divisés en équipe de 5 (sans compter les droïdes), pour plus de facilité de coordination. Je menais l’équipe un, Gallia la deux, Jes la trois, Enora, la quatre, Attia la cinq, etc.
De plus, les deux droides de la salle d’entraînement avaient été lâchés dans la Guilde, en mode combat. Du sang en perspective…
- Gallia ! Prend l’équipe 8, et va neutraliser les deux salles de communications. La première est sur ce niveau.
- Bien, Sib.
- Equipe 5 et 3, avec moi. On va rechercher PO. Equipe 7, vous allez protéger le Saber et Zol, lorsqu’il pillerons le hangar. Les autres, direction le deuxième hangar. Progressez lentement. La défense sera rude. En avant.
Suivit par mes hommes, je progressais dans le couloir. Rapidement, trois malheureux Guildeurs nous firent face.
Nous tirâmes de concert.
Ce fut trois corps carbonisé que nous dépassâmes.
PO… Nous voilà !dimanche 08 octobre 2006 - 00:13 Modification Admin Réaction Permalien
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PeterOctavian
1550 Crédits
Le combat Intra Muros …
Pour une gars comme moi …
Disons que quand on à l’habitude des acrobaties … et qu’on m’offre de quoi appliquer les techniques offensives …
Trois gardes postés devant la grille haute sécurité de la prison.
Trois victimes potentielles.
Juste un problème auquel je n’avais pas vraiment pensé.
Le poids de mon arme…
Tout serait plus simple avec mon sabre laser.
Mais bon… si il n’y a pas de difficultés … le jeu n’est pas intéressant.
L’autre bouillonne en moi.
Son envie de tuer se fait de plus en plus pressente.
Et moi …
J’aime ça.
Je saute sur le mur de droite.
Mes pieds n’ont pas besoin de beaucoup d’appuis.
Suffisamment pour arriver la verticale.
Le premier des gardes n’aura jamais l’occasion de s’interroger sur le pourquoi de sa mort.
La lame tronçonneuse lui taille une coupe de cheveux version très très short.
Les deux autres, alertés, se baissent pour éviter le coup fatal.
Ca y’est.
Je l’atteint enfin, ce moment où tout devient blanc.
Encore, …
J’en veux plus !
Les deux mecs me toisent.
Ils se demandent visiblement ce que je fais la.
Erreur .
Mon épée tombe au sol tandis que je deviens une sorte de bête assoiffée de sang.
D’une vélocité surprenante, je saisit le premier par ses habits, et me déchaîne sur son thorax qui après une dizaine de coups portés dans une violence rare, cède dans un craquement sourd et répugnant.
Son coéquipier, tentant désespérément de rester concentré sur la menace qui lui fait face.
Mon aura devient tintée de noir.
L’épée tronçonneuse revient dans ma main, attirée par ce phénomène qui commence a m’être de plus en plus familier.
L’homme panique.
Il tire dans tous les sens, espérant probablement se débarrasser de moi.
Dans un coup de chance, il parvient à me toucher à l’épaule.
Autant que faire se peut, mon esprit parvient partiellement à assimiler la douleur.
( - 2 pv )
Rage.
Haine.
Douleur.
Puissance.
Haine…
L’aura m’entourant devient presque palpable…
Une noirceur artificielle empli le corridor, noyant le garde dans la stupeur et la terreur.
Je sens sa peur…
Je sens son envie d’implorer le pardon.
Mais ma main se dirige directement sur sa gorge.
Mes ongles lacèrent tout doucement sa douce et tendre chair.
Ses vaisseaux éclatent sous la pression de mes doigts, renforcée par la Force.
Ses yeux deviennent imprimés de veines rouges, tendant vers le noir quand l’oxygène manque d’affluer au cerveau.
De la bave s’écoule lentement de la bouche du type, puis la tête cède dans un craquement monstrueux et se détache du reste du corps.
Attrapant sa tête de ma poigne infernale, je meurs d’envie de me gorger de son sang.
Une dernière pulsion d’humanité me retient.
…
Pour l’instant…
Vaguement… des bruits d’explosions me parviennent.
Tiens .. on s’amuse ?
Parfait …
Le bal ne fait que commencer.dimanche 08 octobre 2006 - 00:45 Modification Admin Réaction Permalien
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Edoras
7665 Crédits
Pourtant, ce fut assez facile.
Une vibrolame dans chaque main, Glark avec ses longues grifes et sa vibrohache à mes côtés, Albert qui cessa de tirer pour ne pas risquer de nous toucher, Kiffa qui tenait ses armes, Gortipka qui serrait fermement sa propre hache et celle de la défunte Fiona, Naga qui avancait dans un silence pesant. Nous.
Quarante types, momentanément unis, armés de tout ce que la Galaxie a pu inventer comme arme de proximité. Eux.
Je donnai le signal de l'assaut. Cinq Guildeurs contre 40 mercenaires... On aurait dit un vieil holofilm tatooïnien. Les deux premiers que je rencontrèrent furent aisément tués : une passe, une esquive, une pointe en arrière, une tête qui roule, une parade, un large coup de biais, un flanc qui s'ouvre, deux morts. J'entendis le craquement sinistre des vertèbres d'un ennemi qui avait oser s'en prendre à Naga. Mon illustre grand-père n'avait même pas encore dégaîner. Glark hurla de rage lorsqu'un mercenaire tenta de le pourfendre en traître. Il se pencha en avant et fonça dans la mêlée, toutes griffes sorties. Puis, je me retrouvai au milieu de la confusion. Une tête hirsute tenta de me mordre, puis je du parer, trancher, tuer, lutter encore, encore, et encore... Je faiblissais. Je comptai mentalement : 5 contre 40, ça nous en faisait 8 chacun. Raisonnable. J'en avais eu six et blessé un septième. Seulement, d'autres pouvaient être trop isolés et...
Je criai un ordre. Nous nous rejoignîmes pour nous couvrir mutuellement, bataillant en cercle. Nous nous gênions l'un l'autre, mais n'avions plus qu'un angle restreint à protéger.
La chose fut assez rondement menée. Seul un Huralok et un monstrueux Houk nous posèrent véritablement problèmes. Kiffa décérébra le premier et Albert osa abattre le second. Les trois derniers combattants reculèrent. L'un d'eux exigea un duel. Les deux autres implorèrent. Go' attrapa leurs cols de ses membres inférieurs, se tenant sur ses "bras" supérieurs, et les secoua avec vigueur. J'acceptai de relever le défi du plus courageux des trois, un Barabel à la peau écailleuse et à la voix de roc. Il me blessa au bras, je le contrai et le blessai aux genoux et à l'épaule, entâmant la cuirasse. Puis il rejetta son arme, se rendant. Il disait vouloir rejoindre la Guilde préférant, disait-il, travailler en compagnie de gens capables.
Je ne me prononçai pas sur sont sort.
Glark trancha la gorge des deux poltrons, après les avoir provoqué au corps-à-corps, et se fit un devoir de dépouiller leurs cadavres de leurs scalps. Il arracha aussi les griffes de l'un d'eux, un Jarrel déplaisant.
Les Hutts ne nous avaient pas attendus. Une fois qu'ils se furent rendus compte de l'immobilité de leur moyens de locomotion, ils s'étaient jettés l'un sur l'autre en se hurlant des insanités. Nous les immobilisèrent juste avant que Tafkar ne puisse écraser la tête de Zabga d'un bon coup de queue.
Nausicaä revint, menant les esclaves. Certains d'entre-eux portaient encore des chaînes brisées, dont ils s'étaient servis comme d'armes contre leurs tortionnaires. Nous recyclâmes les chaînes pour immobiliser les Hutts. Puis ce fut le moment de jouer mon dernier acte.
Édoras Konix Terrik, contrebandier : Messires les gluants ! Vous avez été reconnus coupables de crimes divers. Etant moi même notoirement criminel, je ne me prononcerai pas sur la majorité d'entre-eux. Toutefois, vos pratiques ont mis l'économie planétaire locale en faillite ! Désormais, vos domaines sont nôtres ! La Guilde se chargera de rétablir le calme et de favoriser la croissance. Après tout, plus nos collaborateurs gagneront, plus nous en profiterons nous-même, n'est-ce pas ? Atzerri recevra officiellement le soutien de la Guilde.
" Par ailleurs, vos esclaves ont été libérés... et l'esclavage abolli - à jamais - sur Atzerri. Ces affranchis ne sont pas arrivés assez tôt pour nous prêter mains fortes dans le grand combat que nous menions pour leur libération, mais je ne leur en tiendrai pas rigueur, puisqu'ils devaient d'abord libérer leurs compagnons d'infortune. J'encourage vivement tout ceux qui se sentent reconnaissant d'aller s'engager dès demain au sein de la Guilde : nous avons du travail, plaisant et bien payé, à leur offrir.
Après le discours, je rejoins ce vieux manoir de pierre qui nous avait hébergé plusieurs nuits durant. Je me défais enfin de mon armure et la pose sur le ratelier. Puis je prend conscience de ma douleur et de ma lassitude. J'ai perdu pas mal de sang (-18 PdV) : deux coupures au bras droit, une entaille près du cou, presque dans l'os de la clavicule, une brûlure à la cuisse et deux doigts cassés - broyés par la masse d'un Gamorréen particulièrement gras.
Je me soigne avec abondance de bacta, de bactide et de bandages, en bon Thyferrien. Puis je me fais couler un bain, me lave et me revêt d'un habit de soie askajienne, doux et léger.
Le soir tombe. J'ai mal.
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Je regarde tomber la pluie. Triste soirée d'une triste journée. Le feu que j'ai allumé achève de sêcher mes vêtements trempés, posés sur un tabouret. Un verre de whisky tente de me réchauffer de l'intérieur, mais n'a d'effet que sur mes boyaux... le suivant parviendra peut-être à apaiser mon âme ? Du sang a coulé, aujourd'hui. Beaucoup de sang. Trop, peut-être. Pour moi, ce soir, j'en ai assez. Mes côtes lacérées pleurent ce que mes yeux ne savent plus depuis longtemps.
J'entend la porte grincer sur ses gonds. Un pas de femme. Je ne suis pas armé, mais qu'importe ? Je suis fatigué de me battre : si c'est un nouvel ennemi, je me laisserai tuer. Une main noire glisse sur mon épaule, ferme et douce à la fois, réconfortante.
- Tu... hésite sa voix.
- J'ai fais ce qu eje devais faire, je sais... Je suis fatigué.
- Tu trembles.
- Le contre-coup de l'adrénaline. J'ai carburé à ça, essentiellement. J'ai beaucoup tué depuis ce matin et je n'ai rien mangé depuis hier.
- Oui. Nous avons évité les pertes collatérales, en nous battant nous-même, sans l'aide des mercenaires de Myrkr.
Elle se colle contre moi. Je sens ses seinspointer contre mon dos, à travers l'étoffe de son débardeur. Il y eut un éclair. Dans la fenêtre, le reflet de mon armure posée sur un mannequin en bois rouge, semble me jetter un sourire glacial. Le tonerre fit trembler les vitres.
- Tu as bien conçu ton plan d'invasion. Aucun d'entre nous... aucun d'entre nous n'est mort par la faute des Hutts. Nos forces ont augmentées et les limaces ont été renvoyées sur Nal Hutta, en émissaires.
- J'ai faillis tuer par plaisir. J'ai exposé ma fille et je t'ai obligée à passer pour une esclave.
- Elle s'en remettra et moi, je me suis bien amusée à délivrer ces gens. Tu as vraiment bien fait, je pense. Moi, en tout cas, tu m'as prouvé plus d'une fois ta valeur. Je suis prêtes à servir la Guilde, à tes côtés, sans jamais hésiter. Vous avez vos mauvais côtés, mais êtes bien meilleurs que n'importe quel autre groupe criminel, ou même que les gouvernements ! Le profit éclairé, en somme.
- Il faut toujours que tu exagères ! fis-je en tournant la tête, souriant. Disons qu'on limite les dégats, c'est tout ! Si...
Je me tus. Dans ses yeux brillaient ce regard que je lui avais déjà vu, dans le palais du Hutt. Je tournai de nouveau la tête vers l'extérieur, semblant admirer l'orage qui nettoyait les rues et les façades souillées par une nouvelle bataille décisive de notre guerre des gangs.
- Je venais juste te dire... merci, pour ce Rodien...
- Je n'allais quand même pas risquer de perdre la pilote de mon yacht ! Répondis-je en souriant à nouveau, me retournant sur le coup.
- Non, mais tu risquais de perdre la vie, sur ce coup-mà, mon grand.
- Grand ? J'ai la même taille que toi, je te signale, répondis-je en écho à une conversation précédente, datant du jour de son embauche.
- Ca te gêne ? minauda-t-elle.
- Quoi ?
- D'avoir une femelle aussi grande que toi, dit-elle, rayonnante.
- Hein ?! Mais...!
Nos lèvres s'unirent.
Elle me poussa vers le lit.
Il pleuvait toujours.
Lorsque six jours plus tard nous quittâmes Atzerri, nous ignorions qu'alors même que nous entrions dans l'hyperespace, sur Myrkr, des capsules tombaient du ciel.
:jf:
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Édoras Konix Terrik
Leader de la Guilde
Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !Ce message a été modifié par: Edoras le 08-10-2006 00:54dimanche 08 octobre 2006 - 00:48 Modification Admin Réaction Permalien
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Sibass
4239 Crédits
Peur…
Je ne sentais qu’elle.
Celle d’en face.
Celle de mes compagnons d’armes.
La mienne.
Un autre de mes mercenaire tomba. Le deuxième.
- Grenade ! Hurla un des Guildeurs.
Trop tard pour trois d’entre eux.
Une partie du mur s’effondra.
Douleur.
Un tir m’atteignit à la jambe droite.
Par chance, superficiel (-1 PDV.)
C’en était trop.
- Chargez !
Nos troupes les submergèrent. Un seul de mes hommes tomba, les leurs furent balayé.
Un vertige me pris.
Ce sang…
Cette odeur…
Je me senti glisser.
Les murs se tintèrent de rouge. Un homme apparut au bout d’une haie d’arbre saignant et murmurant mon nom.
Un Yuzzem apparut, une masse d’arme à la main.
- Laissez le moi ! Criais-je.
Grimaçant, presque difforme, il me fit face. Du sang coulait de ses orbites vides. Il poussa un long hurlement, qui me retourna les intestins, si aiguë que je reculais.
Il me regarda longuement, de ses yeux bien existant, ne comprenant pas mes gestes désordonnés.
Il leva son arme.
Son arme, dégoulinante de fluides corporels des plus diverses, s’éleva dans les airs. Je m’écartais au dernier moment. L’arme percuta le sol avec fracas.
Le permabéton se fissura.
Horrifié, je vis du sang d’un rouge surnaturel s’échapper de ces « plaies ».
Tétanisé, je ne pouvais en détacher mon regard.
Des insectes, sorte de scolopendres géant, sortirent des méandres de la terre.
Mon intestins se crispa. Je me sentis nauséeux.
Un choc au dos me projeta dans les airs.
Mon corps toucha le sol, près du saignement du sol.
- Chargez ! Ordonna Atia.
Le yuzzem se retourna vers ses nouveaux assaillant… trop tard pour lui.
Le sang s’écoulant du sol, avançant vers moi, rampant presque, inquiétant, d’un rouge maintenant presque brillant, me toucha la jambe.
Je hurlais.
Douleur.
Peur.
Haine !
Haine incontrôlée, débordante, sang coulant sur mon corps, ma haine, ma peur, me brûlant, peu à peu, à chaque image de mon passé.
Mes fils !
Pourquoi les mêler à tout cela.
Ma vie… pas la leur.
Mes fautes… pourquoi en sont-ils les victimes ?
Le sang coulait de plus belles des blessures qu’une lame invisible m’infligeait sans cesse, telle autant de punition d’un passé, de gestes, d’actions, regretté, mais dont les conséquences, jusqu’à maintenant, n’étaient que trop palpable.
« PO ! Pardonne moi ! Tu ne méritais pas ça ! »
Devant moi, le sang avait rattrapé mon fils.
Il brûlait.
Le sang devenait flamme.
Les flammes me l’enlevait.
NON !
Son corps, brûlé, presque méconnaissable, se pencha vers moi.
- Sibaaaaaaaaaaaaaaassssssssssssss, hurla-t-il, d’une voix atrocement déformée par sa douleur.
- Sibass ?
- NOOOOOOOOOOOOOOOOON !
- Sibass, calme-toi, c’est moi, Atia.
Je repris soudain conscience, un goût de sang dans ma bouche.
- C… continuons. PO n’est plus loin. Je le sens.
- Ca va ? me demanda-t-elle ?
- Oui, mentis-je. Avançons.
Je me relevais, encore frissonnant de mon… pétage de câble ? rêve ? je ne voulais savoir.
PO n’étais plus loin.
Nous devions le trouver.dimanche 08 octobre 2006 - 01:23 Modification Admin Réaction Permalien
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PeterOctavian
1550 Crédits
La sensation s’accentue .
Tel un rat me dévorant l’esprit, me rongeant, s’insinuant dans le moindre recoin de paix de mon âme.
Mes yeux se strient d’une couleur semblable a de l’émeraude.
La véritable nuance des yeux de Peter.
De plus en plus, son essence vitale se déverse sur la mienne, comme deux cordes d’un même instrument tentant de s’accorder sur le même ton.
Son énergie.
Mon énergie.
Un flot de pensée.
Une seule action.
Dans ma tête, son bras se lève.
Et mes muscles m’obéissent.
Le couloir se prolonge.
Etrangement, je sens les êtres vivants a l’intérieur de la structure de perma-béton.
Je sens leur frayeur.
Et ils ont raison.
Sib.
Quelques étages au dessus de moi.
Peter m’avertit.
La Force … ne pourra pas me défendre au sein de ces murs.
Dès que j’arriverai dans les derniers étages, les capacités inhérentes a cette « chose » seront bridées.
La planète gèle la Force.
Pourquoi ? Peter refuse de me le dire .
Mais ce que je sais , c’est que j’ai quelques étages pour perpétrer un carnage monumental.
L’épée vibre et s’accorde sur mes envies de meurtres.
Tel des tentacules, la Force s’enroule autour de mes bras et frémit d’impatience.
Un pauvre type, sûrement de l’entretien, traîne au milieu du couloir malgré l’alarme d’alerte.
Rangeant l’épée dans mon dos entre mes habits et ma peau, je prend le type autour du cou avec mes bras.
Serrant mon étreinte, je lui pose une question. Simple.
- Ou se trouve la sortie.
Pas de réponse.
J’ignore si c’est à cause de mon étreinte, mais le fait qu’il reste muet devant une interrogation m’exaspère.
Je tend mon index et lui enfonce dans l’œil gauche.
Celui ci cède sous ma pression.
Le liquide chaud et visqueux coule le long de mon doigt… suivi de son sang.
Epais.
Appétissant.
Enivrant.
Le type hurle.
Ca me fait de la distraction dans ces longs couloirs vides.
Je lui arrache la langue.
Le bruit sort toujours de sa bouche, incompréhensible.
Sans que je ne puisse me contrôler, un rire sadique sort de moi, tel un diable de sa boite.
Et puis, je l’entend…
Elle.
Je ne réfléchis plus.
Mes doigts tracent sous mes yeux deux traits distincts grâce au sang de ma fraîche victime. Et elle, sortant d'un couloir annexe.
Ange : - P….O. ?
Peter : - …
Ange : - Que …
Je ne sais que répondre.
Peter P.O.
P.O. Peter.
Une seule et même entité.
Je m’approche d’elle.
J’ai envie de la serrer contre moi, mais elle n’a pas l’air encline aux câlins.
…
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" Toutes les bonnes choses ont une fin , camarade .
La Tienne est venue "
Membre du R.H.HU.M.Ce message a été modifié par: PeterOctavian le 08-10-2006 02:01dimanche 08 octobre 2006 - 01:58 Modification Admin Réaction Permalien
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Jesand
7509 Crédits
La nausée fut incroyable et un mal de tête me prit. Je ferma les yeux, essayant de ne pas voir ce massacre. Partout, le sang coulait à flot et les cris retentissaient. Je revoyais Coyn, le massacre, la mort d’amis et le plaisir sadique de découper les soldats en morceaux avec une lame. Un long sourire se dessina. J’ouvris les yeux et le spectacle semblait avoir baissé d’intensité. Les murs étaient secoués, les cris apeurés résonnaient.
Encore ce plaisir, si soudain et si attrayant. La mort me ravie et pourtant… Ma vengeance est assoupie depuis des années, j’ai tué nombre d’hommes et accomplis l’incroyable…. Je ne combats pas moi, enfin de compte…. Mais pour Sibass, Gallia, Leewa et tous ceux qui m’entourent. Ils ne doivent pas mourir, même si je dois me sacrifier. Ce n’est pas mon combat!
Je chargea en criant dans ma langue maternelle. Sibass était à mes côtés, l’arme au poing et un visage indéchiffrable. Une douleur me fit fermer les yeux. Je venais de recevoir un laser dans le bras gauche. Par chance, il n’avait rien sectionné.( -1 pv). Je hurla en fonçant. Le pauvre guildeur fut écrasé sur le mur jusqu’à ce que ces os soient fracturés. Le canon de mon S-5 trouva sa bouche et la détente mon doigt. Le corps tomba au sol dans une mare de sang. Je ne percevais plus la douleur. Je laissa dans mon holster le Dh-17 et j’empoigna solidement le Zhaboka. La troupe fonça vers un autre couloir. Un long jet de flammes sortit de mon armure. La résistance s’affaissa rapidement par quelques lasers. L’alarme continuait son cri strident et on pouvait entendre les cris de détresses dans tous les couloirs. D’autres guildeurs apparurent de l’autre côté du couloir en prenant soin, cette fois, de ne pas se mettre à découvert. Je défonça une porte et m’y engouffra, suivit par Zephir et Krystal. Quert et Zol étaient dans un autre groupe. Les tires continuèrent à fusés de chaque côté et d'autres guildeurs, que j’ai connu dans mes premières années de chasseur de prime, fonçaient vers Sibass et les autres groupes.
Mon devoir est des protégés et d’empêcher ceux que j’aime et apprécie de mourir, quitte à me sacrifier… Voilà ma raison de combattre et de suivre Sibass dans chacune de ses missions suicidaires. Je ne fais plus ça pour m’amuser, mais pour avoir la conscience tranquille lorsque je me ferais abattre, un jour.
Je soupira et prit à deux mains mon Zhaboka que je sépara en deux. Je ferma les yeux et, sans m’en rendre compte, mon esprit tenta de renouer avec la Force. Mais les Yslamaris empêchaient tout lien de s’effectuer. Pour la seconde fois, je retombais assez bas pour rechercher ce pouvoir que j’ai décidé d’exiler de mon être. Je sauta dans le couloir et fonça aussi vite que mes jambes le pouvaient. La tête du premier tomba au sol. Le second le rejoint aussitôt au sol, la tête coupé à la verticale. Deux tires me touchèrent, mais je ne sentais plus la douleur.( -3pv) Zephir et Krystal m’avaient suivit. Ils s’occupèrent des autres pendant que je pris le temps d’égorger l’un des guildeurs. Je vis dans ses yeux la peur et le désespoir. Il tomba au sol, le corps mutilé et les poumons vidés. Il avait payé pour les blessures qu’il avait faites. Les autres me rejoignirent et c’est à ce moment que je remarqua que mon acte était stupide. Mais qu’importe ; Il fallait trouver P.O. Il devait être tout près.
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Jésand
Seul vurk digne de se nom.
Fier leader des Hellcats
Tire avant, parle après
Bras droit du grand Sibass^
Membre du R.H.HU.MCe message a été modifié par: Jesand le 08-10-2006 03:12Ce message a été modifié par: Jesand le 08-10-2006 03:14dimanche 08 octobre 2006 - 03:10 Modification Admin Réaction Permalien
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PeterOctavian
1550 Crédits
J’avoue que la vision de ma douce avec un blaster dans la main en train de me viser me remet un peu les idées en place .
Les quelques actes abominables que je viens d’accomplir ( si peu ) me reviennent en mémoire.
- Qu’est ce qui t’as pris , demande Ange, d’un air menaçant.
Ne sachant que répondre, et surtout, ne pouvant répondre logiquement, mon corps, guidé par Peter, se jette sur Ange et l’embrasse fougueusement …
Tout en lui phagocytant son énergie.
Profitant des dernières ressources que la Force pouvait m’apporter, j’écartait a la fois un obstacle physique et mental a ma fuite.
Tout doute eut été pour moi une condamnation à mort.
Déposant délicatement à terre le corps inconscient d’Ange Solo ( + 1PV ) , je me ruais dans le couloir.
Grand mal m’en pris.
Le système de défense venait d’être activé.
Deux minis tourelles me canardèrent, me blessant certes superficiellement, mais dans plusieurs zones du corps. ( - 3 pv’s )
Cherchant un moyen de m’enfuir, je me dit que cela ne s’avérerait pas aussi facile que prévu.dimanche 08 octobre 2006 - 03:41 Modification Admin Réaction Permalien
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Sibass
4239 Crédits
Le combat fut âpre pour descendre d’un étage.
Chaque palier devait être reconquis, au laser et à la lame.
J’étais couvert de sang.
Un fois encore, nous n’avions perdu qu’un droïde, et qu’un homme.
Beaucoup de chance.
Trop ?
Je ne voulais y penser.
Encore deux paliers.
Deux autre hommes nous attendaient. Un tir me toucha au bras, me faisant perdre un point de vie. Angel sauta entre eux, et les découpa en morceaux.
Un palier.
Trois hommes.
Pourquoi se casser la tête ?
Le détonateur thermique arracha membres et marches, sans distinction d’aucune forme.
Un seul homme subsistait, agonisant.
Je l’achevais d’un coup de hache.
- On avance.
Nous entrâmes dans un couloir à priori désert.
A priori !
Plusieurs droïdes de combat apparurent.
Chouette. De l’action.
Le combat s’engagea de nouveau.
Tiens bon, fils !dimanche 08 octobre 2006 - 03:50 Modification Admin Réaction Permalien
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Edoras
7665 Crédits
Sortie de l'Hyperespace. Le Soleil Bleu, magistral, apparut dans toute la splendeur des ses deux paires d'ailes hérissées de canons laser, ses deux tourelles (tri-turbolaser et ionique) pointant les étoiles. L'Evangelion le suivait de près, piloté par Kiffa. Édoras était allongé dans une couchette à bord du yacht et jouait au sabacc avec sa fille. A bord du Soleil Bleu se pressaient des dizaines d'anciens esclaves. Les trois employés mâles du Leader surveillaient ces affranchis, tandis que Sunny se pilotait seule.
- Boss ?!! Pus d'vornskr, ça fait plaisir de t'avoir !! On a un petit problème avec les Réprouvés !
- Pardon ?! Que se passe-t-il, Johnny ?!
- Ils attaquent le QG, ***censuré*** ! On a battu le rappel de tous les Guildeurs disponibles et les scientifiques sont barricadés dans les bunkers du sous-sol. Ca chauffe méchament par ici ! Il sont déjà abttus plusieurs fonctionnaires qui avaient pris les armes, et Tark vient de se faire massacrer !
- Galaxie ! Ils viennent libérer leur collègue, le cinglé ! Ecoute, dis à Kalabaraka, Saül, Grov et Fino de se planquer en sous-sol. Je vais me poser dans la clairière d'élevage numéro six. Il y a un tunnel qui la relie au bunker, qu'ils me rejoignent par là. Trouve Micky et dis-lui de se planquer dans la tour de l'auditorium, il couvrira plus de terrain et pourra toujours se tailler dans la jungle si les choses tournent mal. Line est avec toi ?
- Ouais, et Ange est redescendue pour faire monter le Cinglé, pour l'échanger. mais elle devrait déjà être revenue !
- Saloperie ! Bon, c'est pas grave pour Ange : le Cinglé avait l'air de l'aimer, non ? Elle a des ressources, elle devrait s'en sortir. Planque toi dans le Hangar du Canyon et prépare un feu d'artifice avec le tibanna : essaye de protéger les zincs le plus loin des portes, et allume l'enfer si les réprouvés s'approchent des vaisseaux ! Line n'est pas taillée pour le combat, dis-lui de mettre les armes en sûreté : qu'elle trouve un moyen pour contrôller les systèmes de tirs automatiques et les mines cachées ! J'arrive ! Naga doit me suivre, je pense. Tenez bon !
Prennant les commandes, je poussai les moteurs pour parvenir à la face illuminée de la planète, puis traversai promptement l'atmosphère.
Quatre jours plus tôt, alors que nous étions encore sur Atzerri pour réorganiser les entreprises, Johnny m'avait déjà appellé. Ange avait déniché l'un des réprouvés, Peter, celui qui avait foutu le plus de boxon dans l'Enfer de Coyn. Et ils l'avaient capturé, puis ramené au QG pour l'interroger. Il était vite apparu qu'il était passablement perturbé par un trouble de la personnalité. Il semblait réagir aux tests anti-Forceux et osciller entre la personnalité d'un type banallement romantique et celle d'un seigneur de guerre sadique et paranoïaque. C'est pour lui que j'étais revenu plus tôt, en allant directement sur Myrkr sans passer par Corellia ou Coruscant, où nos affaires devaient être corrigées.
Et maintenant, il nous servait les Réprouvés...
Quel que soit le vainqueur, nosu serons affaiblis, mais pas autant qu'eux...
Je me demande quand Line décidera de lâcher les vornskrs et les deux rancors ? Ca pourrait être assez intéressant à voir.
J'enfilai mon armure.
:jf:
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Édoras Konix Terrik
Leader de la Guilde
Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !Ce message a été modifié par: Edoras le 08-10-2006 07:56dimanche 08 octobre 2006 - 07:55 Modification Admin Réaction Permalien
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- Projecteur Holographique --- La plupart des projecteurs holographiques comprennent à la fois un projecteur et un enregistreur. Lorsqu’un enregistrement holographique est effectué, les enregistreurs balayent l’objet grâce à deux imageurs synchronisés. (Armements & Technologies - Technologies)
- Mon Ephant --- Au départ, ce Chevin était connu pour son intelligence. Il travaillait alors comme mercenaire indépendant, il fit alors la connaissance de Jabba le Hutt. (Personnages - Mercenaires)
- Wyn Aubrie --- Jeune femme aux talents prometteurs, Aubrie Wyn faisait partie des meilleures guérisseuses parmi les padawans. A tel point qu’elle avait attiré l’attention de Mace Windu en personne : elle fut sélectionnée pour être entraîner par le maître originaire d’Haruun Kal la faisant changer de son professeur actuel, Sirrus. Sur la route de Coruscant, Maître Sirrus décida de s’arrêter sur Jabiim pour des raisons inconnues. Ils étaient dans un camp loin de la Base Refuge avec Obi-Wan Kenobi quand Alto Stratus les attaqua soudainement. (Personnages - Jedi)
- Butter newt --- Le Butter newt était une petite salamandre extrêmement primitive qu’on trouvait sur Bakura, et qui possèdait un système nerveux limité. (Espèces & Civilisations - Animaux)
- Nu Jocasta --- Le Maitre Jedi Jocasta Nu était la Responsable du centre des Archives Jedi et Gardienne du savoir de l’ordre sous l’ancienne République . Maitre Nu jouissait d’une grande renommée dans la galaxie et nombre d’érudits convoitaient ses connaissances. (Personnages - Jedi)
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