Les Trafics pour La Guilde (page 19)

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Si on nous proposait un cinquième forums pour la Guilde, qu'en feriez-vous ? (46 votes)


  • Avatar Jesand

    Jesand

    7509 Crédits

    - Vous venez ou vous rester ici?
    - Tu vas juste chercher un croiseur?
    - Mouais, je ne vois pas ce que j’irais chercher d’autres… Ma tète est à prix, ne l’oubliez pas!
    - Dans ce cas des gardes du corps sont demandés, non?, demande Zephir qui semble bien décider à ne pas laisser le vurk partir seul.
    - Bon, ok Zephir, si tu tiens à venir, viens. Quelqu’un d’autres? Armif, j’ai absolument besoin de toi ainsi que de Lyster. Une autre personne?
    - Moi je reste ici avec Quert. On connaît les ordres et on sait que t’es plus cinglé que nous autres dans les situations désespérées, donc je ne vois aucun problème à le voir sortir sans nous.
    - Je suis d’accord avec Zol, on te connaît depuis plus longtemps que les autres. Et puis, tu as Lyster, donc aucun problème!
    - Krystal?
    - Je vais venir. Il va bien falloir une femme pour vous empêcher de faire des problèmes.
    - Bon d’accord, c’est parti. Si quelqu’un des Réprouvés me cherche, dites-lui que je suis présentement en mission et que je ne sais pas quand je vais revenir.
    - Bon, moi je monte, s’exclame Armif. Je veux travailler sur quelque chose de concret avant ma mort.
    - Je te ferais remarquer que le Saber est un vaisseau quand même respectable!
    - Je n’ai pas dit le contraire. Mais c’est toujours plus amusant que de travailler sur une casserole de YT-2000!
    - Une casserole?!?! Tu sais ce qu’il te dit le propriétaire de la casserole?
    - Non, qu’est qui me dit, le proprio?
    - Ça va vous deux? On part!
    Krystal et Zephir se dirigent rapidement vers le Saber, suivit de Jésand et Armif qui éclatent de rire. Lyster, déjà abord, s’occupe déjà de faire décoller le vaisseau et de programmer le saut en hyperespace.
    - Oh, on se calme, Lyster! Je ne sais même pas où l’on va aller.
    Lyster répond de quelques sifflements en continuant de s’afférer sur la préparation du saut. Jésand s’assoit sur le siège du pilote et regarde l’écran.
    - C’est où, ça?
    - Quelques parts dans la bordure extérieure.
    - Zephir? Mais d’où tu sors ces coordonnées?
    - Oh, j’ai pu parler à quelques types sympas quand j’étais mercenaire et que je travaillais pour mon compte.
    - Krystal?
    - Quoi? Je n'ai rien à voir dans tout ça, moi!
    - Tu connais l’endroit?
    - Non, jamais mis les pieds et jamais entendu.
    Jésand tapote quelques boutons.
    - Si j’en crois la carte, c’est dans une ceinture d’astéroïde!
    - Je sais.
    - Et tu crois qu’ils vont nous fournir un forceur de blocus?
    - S’ils n'en ont pas, ils vont nous le trouver…., dit évasivement Zephir.
    - Sympathique, s’exclame Jésand. On va aller voir des pirates et des contrebandiers.
    - Ça risque d’être comme parler à un gars des Réprouvés, dit simplement Krystal.
    - Comment ça?
    - Nous sommes… pardons. Tu es un déserteur de la Guilde et je te ferais remarquer que t’as tête est à prix.
    - Je ne suis pas contrebandier, je suis chasseur de primes!
    - Vous avez fini de vous obstiner?, dit calmement Armif. Je suis qu’un mécano et je me fou carrément si vous avez tué du monde. Je veux juste travailler et être en bonne compagnie.
    Le silence s’installe et le Saber passe en hyperespace.
    - Combien d’heures avant l’arriver?
    - Je dirais entre 8 et 10, selon l’écran, déclare Krystal.
    - Oh, ça risque d’être long….Je vais aller voir si je ne peux pas trouver un truc dans la soute pour nous remonter le moral…
    - Comme quoi?
    - Je ne sais pas s’il me reste un peu d’alcool dans la soute, peut-être du rhum…
    - Chouette, je vais chercher avec toi, Jes!
    - Krystal, Armif, vous vérifiez que tout dans le voyage est en états? Et si c’est long avant que l’on revienne, discuter avec Lyster, je vous jure que vous allez en avoir pour vos crédits.

    Manque de temps, reste du poste demain.


    -------------------------------------
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    Ce message a été modifié par: Jesand le 24-07-2006 02:49

    lundi 24 juillet 2006 - 02:48 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar NagaShadow

    NagaShadow

    6513 Crédits

    Cela faisait des années que j'attendais une occasion comme celle-ci...Bon, ce n'est pas que je m'ennuyais dans les Services Secrets, mais tout de même. Je vais être franche: bosser pour la Guilde était plus amusant que bosser pour les Corelliens. Enfin bon, j'étais donc devant la maison en question, le patron et Mischka étant de l'autre côté, et il y avait Mina juste à côté. Elle était douée pour se camoufler, se faufiler, être discrète, et, il faut l'avouer, son maquillage était mieux réussi que le mien. Mais quand même: lorsqu'il s'agissait de rentrer discretemment en trouvant le code de sécurité de la maison, je n'ai pas d'égaux. Je suis Allegra la magicienne de l'informatique, la professionnelle des codes d'accès, la déverouilleuse de portes. Je ne suis pas n'importe qui, et j'espère que j'aurai une augmentation: je la mérite. D'autant plus que le patron a l'air de bien m'aimer. Et lui-même n'est pas mal...Il est intelligent sous ses airs de brute, assez bien bâti, et puis il est riche, ce qui n'est jamais négligeable...Et puis...oui, je crois qu'il me plait bien. Il me plait même énorme...

    "Arrête de revasser et ouvre cette porte!"

    Mina me rappelait à l'ordre: en effet, ce n'était pas le moment de fanta...de revasser à propos du patron. Accroupie, je branchai mon datablock à la "serrure" de la porte. J'analysai, et déduisant quelque chose de très simple (il y avait des gens à l'intérieur qui ne s'attendaient pas à une attaque étant donné que la sécurité était minimum), j'ouvris la porte sans trop de difficulté. Dedans, il n'y avait personne.

    "-à quoi est-ce que tu pensais?
    -A rien. Continuons"

    Mina et moi pénétrèrent donc dans la maison. Visiblement tous les gardes avaient disparus. Probablement attirés ailleurs. Nous montâmes les escaliers, lorsque des voix parvinrent à nous:

    "-Je te dis qu'il faut continuer à en produire!
    -Pourquoi? Le stock qu'on a est suffisant pour fournir toute la population pendant 10 ans! Ce n'est pas à toi que je vais expliquer cela!
    -Oui, mais plus on en produit, mieux ça sera: on pourrait étendre le marché à d'autres planètes!
    -Le patron ne veux pas faire ça! Il n'a pas le droit, tu le sais bien!
    -Je ne te parle pas de lui, je te parle de nous deux! On pourrait faire fortune!
    -Calme! Je te rappelle que je ne suis pas ici pour faire fortune! Je suis ici pour aider la science!
    -En modifiant du ryll?
    -....
    -C'est bien ce que je pensais..."

    Je regardai Mina et elle me regarda. Elle hocha de la tête et moi aussi: nous étions prêts à rentrer. Nous rentrâmes, blasters à la main, et nous vîmes deux pauvres scientifiques binoclards, chauves, petits et gros, qui poussèrent un cri de surprise. J'éclatais de rire en voyant que l'ambitieux qui voulait trahir le Hutt était le plus laid et insignifiant des deux. Je m'arrêtai bien vite lorsque Mina commença à parler, histoire de faire un peu plus sérieuse:

    "-Messieurs, nous travaillons pour....ce n'est pas important. Toujours est-il que nous voulons connaître le processus de modification de l'épice, ainsi qu'un moyen de créer l'effet inverse si vous en avez un.
    -Va au diable, sale ****!"

    Son langage vulgaire, grossier et inadapté à la situation était en proportion de son geste idiot: se diriger vers un blaster posé sur la table. Je tirai dans sa tête, sans grand remord: il méritait de mourir, ce n'est pas ainsi qu'on nomme une femme. Je me tournai vers l'autre scientifique-binoclard-petit-et-gros:

    "-Bien...toi tu pourras nous donner ce que nous voulons non?
    -Tout de suite!"

    Il fouilla avec désespoir et vélocité ses tiroirs de scientifique, avec toute la maladresse d'un scientifique stressé. Il finit par trouver un petit cahier, et nous le tendit.

    "-Là dedans. Tout ce que vous voulez savoir. Comment on augmente les effets en tout cas. Plus des renseignements pour faire passer les gens du normal au modifié. Et l'inverse. Voila, ne me tuez pas. Pitié. Je vous ai donné ce qu'il fallait."

    Le petit scientifique me faisait pitié. Il y avait de quoi. Je regardai Mina, et elle me regardait. Elle n'avait aucune envie de le tuer elle-même, et moi non plus. Enfin j'hésitais. Il était petit, mignon dans sa maladresse, mais c'était un scientifique avec un instinct douteux. Je pris rapidemment la parole:

    "-On l'enferme ici, et il attend les secours?
    -Ca me va."

    Nous enfermâmes donc le pauvre diable, tout en sachant qu'il ne tarderait pas à mourir, puisqu'il était prévu que la maison soit explosée avant le lever du jour.
    Nous partîmes tranquillement. Dehors, il n'y avait pas un chat. Enfin...jusqu'à ce que nous voyions Naga et Mischka courir. Deux gardes étaient après eux, mais furent vite abbatus par moi et Mina. Nos deux amis continuèrent à courir, le patron criant

    "-CA VA EXPLOSEEEEEeeeeeeeeerr"

    Sa voix se perdait dans le lointain, mais nous la rattrapâmes vite, aussi vite que nous pas pouvaient aller. Au bout de quelques secondes, nous entendîmes une gigantesque explosion, et un souffle d'air chaud parvint jusqu'à nous.
    Chacun repris son souffle, le patron vit que nous avions ce qu'il fallait, et nous repartîmes joyeusement vers l'hôtel.




    :woo:

    mercredi 26 juillet 2006 - 14:32 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Jesand

    Jesand

    7509 Crédits

    L’hyperespace laisse place à un champ d’astéroïde. La vaste ceinture d’astéroïde est plus qu’une simple vision sur un fond étoilé ; elle est bien réelle et les gros astéroïdes se promènent autour du Saber. L’un d’entre eux vient percuter le Saber qui tournoie sur lui-même. Lâchant quelques jurons, Jésand arrive aux pas de course dans le poste de pilote.
    - Qu’est qui se passe ici?
    Le haut du dôme de Lyster pivote vers Jésand et une cacophonie résonne dans le Saber.
    - Je pense que je vais faire changer quelques-uns de tes circuits.
    Jésand se dépêche de prendre place dans le fauteuil du pilote et ses mains se promènent sur les commandes. Krystal et Zephir apparaissent à leur tour dans le poste de pilotage.
    - Qu’est qui c’est passé?
    Une autre secousse vient secouer le Saber.
    - Lyster a mal calculé les donnés. Oh et ferme-là, Lyster, ordonne Jésand quand le droide commence à s’obstiner. On en parlera plus tard. Pour l’instant, vérifie les dégâts et trouve-moi la base que l’on cherche!
    Armif apparaît à son tour. Il jette un coup d’œil sur l’écran.
    - Bon, et bien je vois que cette casserole va encore avoir besoin de réparation. Lyster, tu viens?
    Le R7 sifflote et sort du poste de pilotage.
    - Zephir, tu peux me vérifier la puissance des boucliers? Ainsi que les dégâts?
    - Pas de problèmes, Jes!
    Jésand marmonne entre ses dents. Il fait éviter des astéroïdes à son Yt-2000 et essaie de faire sortir le Saber de la ceinture.
    - Dégâts mineurs aux moteurs, mais plus important à l’armement. Les boucliers ne fonctionnaient pas à plein régime, je présume. Nous sommes à 50% pour les boucliers.
    Jésand parvient, en évitant un assez gros astéroïde, à sortir de la ceinture.
    - Lyster?
    Le petit droide R7 revient en sifflotant.
    - Maintenant que l’on est sortit, tu peux faire ce que je t’es demandé? Chercher un endroit pour trouver un forceur de blocus, précise Jésand en voyant son droide ne rien faire.
    Ce dernier s’approche des commandes et un bras sort d’un de ses compartiments. Au même moment Armif revient.
    - J’ai réussit à augmenter la puissance des boucliers. J’ai déconnecté les armes automatisées, ça prenait de l’énergie au vaisseau qui était perdue pour l’instant. Les boucliers vont revenir tranquillement, mais pas à 100%. Concernant l’armement, je verrais dès que nous aurons acheté le forceur de blocus.
    - Merci, Armif.
    Zephir se penche sur les commandes et jette un coup d’œil.
    - Lyster a trouvé les donnés. En fait, c’est l’astéroïde le plus gros.
    - Merci, Lyster. Bon, bah, on y retourne, alors!

    _____________________________________________________

    - Hey, dès que vous quitter ces lieux, vous oubliez que vous êtes venus! Il serait préférable d’effacer de la mémoire de vos droides ainsi que les coordonnées enregistrées dans votre vaisseau les informations, compris?
    - Oui, je comprends parfaitement que vous voulez rester discret et à l’abri des regards.
    - Au moins vous comprenez.
    - En fait, on travaille tout les deux contre le gouvernement, d’une façon ou d’une autre.
    - Je n’ai rien contre la République et toutes les compagnies de vaisseaux, mais nous ne pourrions pas avoir notre vie si nous ne faisons pas ça. Et puis, des contacts, ça sert à quelque chose, non?
    - À qui le dites-vous !- Bon, vous êtes venus pour quoi?
    À vue d’œil, l’homme à la barbe devant Jésand semble très sympathique. Mais c’est le genre d’homme qu’il ne faut pas berner. Dans ses yeux on peut voir qu’il a vécut de nombreuses expériences et que c’est ses expériences qui font de lui un homme qui préfère rester discret.
    - Nous venons pour se procurer un forceur de blocus.
    - Un quoi? Mais vous savez que ça ne se trouve pas n’importe où, ce truc?
    - Oui, je le sais.
    - Vous avez les crédits, j’espère?
    - Oui. Mon… employeur viendra vous les donner au moment voulut.
    Mon employeur…..Bah, d’un certain côté, Sibass est mon patron….
    - Le moment voulut?
    - Oh, ayez un peu confiance. J’ai fait confiance à du monde bien plus louche que vous et moi et ma confiance a été récompensé.
    Zephir approche près de Jésand.
    - Nous travaillons tous pour le même homme et je pense qu’il pourra très facilement vous payer. Il suffit simplement que nous ayons le forceur et nous pourrions vous payer.
    - Et si je veux un avancement?
    - Dans ce cas, je crois qu’il va falloir que je débourse de ma poche. Mais moi, je n’ai pas les moyens de payer un forceur.
    - Je vois. Je vais aller en parler avec quelques personnes, si vous voulez bien attendre ici.
    L’homme quitte par une porte qui se referme automatiquement en arrière de lui .Jésand prend place à une chaise et s’installe confortablement, les deux pieds sur la table près de lui.
    - On fait quoi maintenant?
    - On attend.
    - Qu’est qui arrive s’ils tiennent à avoir une avance?, demande Zephir.
    - Dans ce cas, va falloir trouver un autre moyen, commente Armif.
    - J’espère que les hommes ici ne travaillent pas pour les primes….
    - Dit-moi pas que……, commence Krystal.
    - Oui. Ils ont beau être à l’autre bout de la Galaxie. Nous sommes nombreux à avoir une tête à prix. Sib surtout. Et en tant que bras droit, j’ai ma tête à prix. Au moins ma prime est moins haute.
    - Tu penses qu’ils t’ont déjà identifié?, s’inquiète Zephir.
    - Oui….
    - Le Saber doit être enregistré, tout comme les vaisseaux de tous les autres. Depuis la formation des Réprouvés, personne n’a changé de vaisseau. Donc quand la guilde et tout les autres ont mis vos têtes à prix, les vaisseaux ont été enregistrés. Sans compter que tout les Réprouvés doivent être avec une prime sur la tête. Moi et Krystal sommes chanceux, Armif aussi, d’ailleurs, on est venu après.
    La porte s’ouvre et l’homme revient, suivit de deux autres un peu moins grand et imposant.
    - Nous avons discuté sur votre sujet et nous avons trouvé une entente.
    - Oui?, dit Jésand en se levant.
    - Mais avant, je veux être sur d’une chose. Vous êtes bien Jésand Wand Kyl, propriétaire du vaisseau à l’extérieur, le Saber?
    - Oui, vous devez donc savoir que ma tête est à prix.
    - Oui. Votre ‘’employeur’’, doit être Sibass?
    Jésand fait signe qu’oui et descend lentement sa main vers son S-5. Zephir et Krystal font de-même.
    - Oh, nous en n'avons pas après votre peau. Si vous nous payer, nous allons oublier que vous avez une prime sur la tête. Par contre, si nous n'avons pas les crédits dans les 10 jours suivant votre appelle à Sibass, nous allons informer les autorités que vous êtes ici et votre antiquité va exploser en un rien de temps.
    Jésand soupire.
    - Ça me va.
    - Bien. Est-ce tout?
    - Non. Je voudrais savoir si vous pouvez faire quelques modifications dès que vous aurez le forceur de blocus.
    - Comme?
    - Un système pour communication sécurisé en tout temps, brouillage radio. Enfin, comme vous savez que j’ai une tête à prix et que Sibass a les crédits pour payer. Arrangez-vous pour que notre sécurité et notre anonymat soit au top. Mais Sibass, à son arrivé, va vous informer de tout ce qu’il a besoin.
    - Ça me va. Vous pouvez rester ici pendant quelques temps. Nous allons nous charger du forceur de blocus.

    Vaisseau acheté ; plus qu'à faire passer l'argent.
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    Ce message a été modifié par: Jesand le 27-07-2006 03:55

    jeudi 27 juillet 2006 - 03:53 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

    28881 Crédits Modo

    Génial !
    Pour une fois, cela allait plutôt bien. L’homme sur qui j’avais craqué se retrouvait finalement de mon côté. Si ça se trouve, il finira par rejoindre la Guilde, qui sait ?
    Je m’étais donc préparer à cambrioler l’endroit sans faire voir à ce monsieur que j’avais tout préparer. Et vu que je n’étais pas seule, je ne pourrais pas signer mon acte comme de coutume. Tant pis, je ferais ça un peu plus tard quand j’aurais tout raconté à « Appelez-moi, Ugo ».
    Les gardes dormaient tous lorsque nous arrivâmes sur place. Nous mettant à notre aise, nous entrâmes dans le palais sans nous faire remarquer. Ugo rassembla ses affaires avant de filer dehors et de placer les deux speeders sous les fenêtres pour plus de facilité de transport.
    Devais-je ramasser les miennes pour effacer toutes traces de mon passage ?
    Je secouais la tête : on ne savait jamais ce qui pouvait arriver…

    J’entrais les codes de sécurité et commençais à inspecter la marchandise. « Appelez-moi, Ugo » était dehors. Je ne pouvais donc pas me compromettre. Je regardais tour à tour les œuvres d’Art et eus l’agréable surprise de constater qu’elles étaient tous des originaux. Une bonne chose ! Toutes avec des valeurs plus ou moins variables mais véritables !

    Je me penchais à une fenêtre et appelais « Appelez-moi, Ugo ».

    Ange : Ugo, tu es là ?
    Ugo : Ouais. Ca se passe bien de ton côté ?
    Ange : J’ai tout désactivé mais j’ai besoin de ton aide pour tout transporter.
    Ugo : J’arrive.

    Quelques heures plu tard, tout était entassé devant les speeders. Nous montâmes chacun dans le notre avant d’aller dans un entrepôt. Nous nous posâmes sur le sol, fatigués d’avoir autant bouger durant la nuit.

    Ange : On fait quoi maintenant ?
    Ugo : On attend.
    Ange : On attend quoi ?
    Ugo : Un ami doit arriver.

    Un ami ?

    Ange : Mais, je croyais que tu n’attendais personne ! Tu m’avais dit que tu ne faisais confiance à personne.
    Ugo : T’enflamme pas, chéri. Ca fait 20 ans que je le connais. Il doit arriver d’ici trois heures.
    Ange : Oui mais…
    Ugo : T’es franchement chiante, tu sais !

    Quoi ?!
    Attends, je rêvais là où y avait un changement de ton significatif ?
    Ca voulait dire quoi ça ?

    Ange : Tu joues à quoi là ?
    Ugo : Ecoute, Elyssa… T’es franchement mignonne et bien gentille mais un peu trop naïve. Il me fallait quelqu’un pour embarqué la marchandise… T’étais sur place.
    Ange : Ca veut dire quoi exactement ?
    Ugo : Merci du coup de main mais maintenant, tu peux décamper.
    Ange : Et ma part ?
    Ugo : Que dalle.

    Et ***censuré*** ! Pourquoi est-ce qu’il avait fallu que je tombe gaga d’un mec pareil ? Pourquoi ?! Pourquoi est-ce que j’étais tombée sur un salaud ? C’est pas vrai !
    Je ravalai ma salive et les larmes.
    Y avait un temps pour tout.

    Ange : Et je fais quoi ?
    Ugo : Tu dégages ! J’ai pas envie de te faire du mal mais si tu restes plus longtemps ça va chauffer pour ta belle paire de fesses.

    Qu’est-ce que je fais, moi ?
    Je respirai.
    Je n’avais pas le choix.
    Je pointais mon arme dans sa direction.

    Ange : Moi aussi, j’ai quelque chose à t’avouer, gamin.
    Ugo : Baisse ton arme, ma belle.
    Ange : Je te conseille de te la boucler jeune homme.
    Ugo : Ah oui ? Et sinon ?
    Ange : Tu auras l’honneur de devenir de la chaire à canon pour Mademoiselle Ange Solo, Lady Cambrioleuse à votre service ou presque…

    vendredi 28 juillet 2006 - 16:34 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Nous trouvâmes la peite vivante, apparemment en excellente santé et victorieuse de deux malappris.
    Pour ma part, je me disais que mon superbe casino avai une santé plutôt défaillante, mais je me consolais : les dégats matériel, c'est pas franchement grave, surtout sur des biens qui m'ont pas coûté un rond...

    Mais j'avais perdu un employé. Un employé de sexe féminin et plutôt sexy, de surcroit. Ca, ça me faisait plutôt ch... surtout que mon équipe s'en retrouvait démoralisée.
    Tandis que j'aidais ma fille à se relever, je remuai de sombres pensées.
    - D'une part, ma fille venait assurément de nous prouver qu'elle était prête, mure pour le danger. Sa formation allair réellemement pouvoir commencer. Mais... avec mes occupations, je devais absolument la confier à un précepeur. Ange Solo, par exemple ? A part pour les moeurs, elle serait parfaite...
    - D'autre part, problème bien plus grave : ces huit types étaient, de toute évidence, des tueurs envoyés par une quelconque autorité, probablement criminelle, dans le but évident de me zigouiller et de récupérer les documents que j'avais emporté...

    Qui celà pouvait-il êre ? Un des Hutts ? Peu probable... Un mafieux étranger ? Evidemment, il y en avait pas mal à vouloir me supprimer, mais j'etais ici incognito, en tout cas pour des pégréleux de classe moyenne. Il fallait un service de renseignement diablement puissant pour me rerouver, ici ! Alors, qui ?...
    L'empire ? Des pirates ? Ces manières sont pluôt celle d'un homme... Sibass ? Non, s'il avait l'occasion de me sulfater, il s'en chargerait lui-même.

    Quoi qu'il en soit, il était temps de se réfugier ailleurs... et discrètement.
    Nous passâmes donc par les égoûts.
    Et c'était pas marrant !
    Tout ça pour se retrouver dans un hôtel ancien, dans les faubourgs extérieurs de la ville. Un chouette hôtel en pierre, où personne ne pourrait nous retrouver... enfin, je l'espérais.
    De toute façon, notre rôle allait être discret, à présent... sous prétexte d'une mission pour notre seigneur bâveux.

    Je décidai d'entraîner ma fille au corps-à-corps, en prévision de la baston qui s'approchait, à mesure que les Hutts se faisaient la guerre.
    Je décidai d'envoyer des observateurs pour surveiller mes Guildeurs, et nettoyer le terrain derrière eux au cas où : hors de question de les laisser s'embourber avec des témoins gênants si des tueurs les suivaient.

    :jf:
    -------------------------------------
    Édoras Konix Terrik
    Leader de la Guilde
    Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !

    Ce message a été modifié par: Edoras le 30-07-2006 11:45

    samedi 29 juillet 2006 - 18:01 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    Post fait par Gallia et Sibass.

    Cinq jour après avoir rendu MJ à la Guilde (Un flash back, quoi.)

    Sibass.
    Des vacances.
    J’en avais bien besoin.
    Enfin, des vacances…
    Avec une prime pareil, je ne pouvais me permettre de rester au même endroit bien longtemps.
    Pour le moment, je traînais sur Ryloth, de bar en bar, de bouteille en bouteille.
    Le pire, c’est que je n’arrivais même pas à être saoul.
    J’aurais bien aimé, pourtant.
    Dès que je fermais les yeux, je voyais Coyn.
    J’en cauchemardais toutes les nuits.
    Je me resservis un verre de rhum, et le bu d’un trait.

    Et voila.
    C’est reparti.
    Le rodien, là bas. Et son copain twi’lek.
    Ils me zieutent depuis un petit moment.
    Ils savent.
    Pour la prime.
    C’est à chaque fois pareil sur toutes les planètes où je suis allé, depuis…
    Bon, aller, le patron est un brave type, autant ne pas bousiller sa cantina. Réglons cela dehors.
    Je vérifiais discrètement que mon DC-15 était chargé, me levais, et me dirigeais vers la sortie.
    On me bouscula violement.
    Ma main se dirigea vers mon arme.
    - Excuses moi, beau gosse ! Me fit une zeltronne avec un beau grand sourire.
    Quelle idiote celle là ! Un peu plus, et je la buttais sur place.
    C’est pas parce qu’on a un joli minois et un beau fessier qu’on est dispensé de faire attention !
    « Concentre-toi, Sib’ ! »
    Le rodien et son copain s’étaient levés à leur tour.
    Ben tiens.
    Sans me presser, je pris une ruelle me semblant calme…
    … pour déboucher sur un véritable lupanar.
    Bien ma veine.
    Continuons.
    Sans en avoir l’air, je vérifiais que mes deux loustics me suivaient toujours.
    Je tournais dans une autre ruelle, vide, cette fois, et me cachais dans l’ombre.
    Sans surprise, ils débarquèrent, arme au poing.
    Mon tir toucha le twi’lek en pleine tête.
    Le rodien se tourna vers moi.
    Mon poing bionique lui fracassa le nez.
    Il s’étala de tout son long.
    - C’est moi que vous cherchez ?
    - Oui, heu… non… pitié ! On ne voulait pas…
    Je le tuais sans lui laisser la moindre chance.
    Je rengainais.
    Bon. J’aurais passé un chouette moment sur cette planète.
    Il me fallais encore fuir.
    « Eh, minute… où sont mes jumelles ? »


    Gallia.
    Cela faisait déjà un moment que je l’observais discrètement. Il ne m’avait pas remarqué. Il enchaînait verre sur verre et son regard se portait de temps en temps sur deux individus. Il avait quelque chose de triste dans le regard, cela le rendait encore plus beau.
    Grand, musclé, mystérieux, il m’attirait…
    Je voulais qu’il me regarde. Mais non, il était plongé dans son rhum. Je voulais qu’il me parle, mais pourquoi le ferait-il ? Je voulais qu’il me touche, mais il était loin de moi…Tant de distance, et pourtant…
    Il finit son verre et quitta sa place. Il se dirigeait vers la sortie…Il fallais que je fasse quelque chose…J’eus une idée.

    Je me levai à mon tour et me précipitai dans sa direction. Je le bousculai violemment et en profitai pour lui voler ses macrojumelles.
    - Excuses moi, beau gosse ! m’écriai-je en souriant.
    Qu’il était séduisant. Mon regard se perdit un instant dans ses yeux émeraude.
    Après m’avoir esquisser un sourire, il continua son chemin et sorti de la cantina.

    Je n’étais pas inquiète, je savais qu’on allait se revoir sous peu…J’étais tout excitée…Je me dirigeai vers le barman et lui dis :
    - Hé ! Si on me cherche, je suis derrière la cantina ! lui lançais-je en posant quelques crédits sur le comptoir.
    - OK ! Mam’selle !
    Je sortis ensuite de cet endroit et allai attendre derrière la cantina. Je voulais que ce bel inconnu me retrouve, et je savais qu’il allait le faire…du moins, je l’espérais au plus profond de moi…

    jeudi 03 août 2006 - 21:41 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Gallia

    Gallia

    3375 Crédits

    Fin du post, encore fait par Sib et moi.

    Sibass.
    Je dus refaire au moins trois fois le chemin que j’avais fait pour piéger mes deux pas doués.
    Tssss. Ils étaient bons pour la Guilde.
    Mais je ne trouvais rien.
    « Une idée… il me faut une idée. »
    Je décidais de retourner au bar, que je n’avais pas encore fouiller (ben quoi, je désaoule, hein !)
    Rien. Rien autour de ma table, ni là ou l’on m’a…
    « Où l’on m’a percuté ! Sib, espèce de crétin, tu t’es fais avoir comme un bleu ! »
    J’essayais de me souvenir de la saleté qui m’avait volée.
    Hum…
    Pas facile de me rappeler… j’étais plus préoccupé par les deux futurs morceaux de viandes froides.
    Hum…
    La peau rouge.
    Ah, oui, une Zeltronne.
    Evidement.
    Je n’pouvais pas tomber sur une bête chadra-fan pacifique ?
    Noooooon, à moi l’espèce la plus casse pied de la galaxie.
    Bon, je ferais avec.
    Ah si ! Je me souvenais aussi de son sourire. Pas mal, d’ailleurs.
    J’allais voir le… second ? du gérant de la cantina, un Sakiyan à l’allure peu engageante.
    - Dites, vous n’avez pas vu la…
    - Si. Elle vous à bien eu, non ? Vous n’êtes pas le premier. Mais, vous c’est pas pareil.
    - Ah bon ? Parce que je suis un guildeur aguerrit ?
    - Ah, ça ? Non. Parce qu’elle vous attend. Là bas.
    Vexé, je me dirigeais vers son arrière cour. Elle était là, assise sur un conteneur cabossé.
    - Ah, te voila enfin, beau gosse ?
    Une si belle insolente dans ce rabi coin proche de la déchetterie, et moi, là… je ne sais même pas pourquoi.
    Dans quoi je m’embarque, encore ?

    Gallia :
    Ah ! Il débarquait enfin. Mon plan avait marché. J’espérais qu’il n’était pas là pour m’en mettre une !
    - Ah, te voila enfin, beau gosse ?
    Il me regarda longuement…
    - Je présume que c’est vous qui avez mes jumelles ?
    Maintenant, il me dévorait des yeux. Un frisson parcouru mon corps. Je sentais que je lui plaisais.
    - Exact, répondis-je, viens les prendre sur moi, beau gosse !

    Sibass.
    Un peu énervé, je la poussais contre le mur et lui repris mes jumelles accrochées à sa ceinture.
    Je reculais de quelques pas.
    Elle sauta à bas de la poubelle, m’attrapa le bras, m’attira à elle, et m’embrassa langoureusement.
    Une fois nos lèvres séparées, elle me lança un regard malicieux.
    « Ouha. »
    Je ne trouvais pas d’autres mots.
    Cette fille était…
    - Mmm… Belle hache… tu fais quoi dans la vie… heu… je pense que « beau gosse » n’est pas ton nom, même s’il t’irait à merveille. C’est quoi ton petit nom ?
    Instinctivement, ma main se posa sur mon blaster.
    Qui était donc cette fille ?
    - Pas si vite. Tu es mignonne, mais ça me renseigne peu. Je suis du genre prudent… par nécessité. Et toi ? Qui es-tu ? Et tu fais quoi, dans la vie ?
    - Ah, je vois que tu es du genre à répondre aux questions en en posant d’autres. Moi, c’est Gallia, et je suis chasseur de prime. Mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas en mission, là. Je sais qu’il y a un contrat sur ton joli minois, mais tu es plus craquant vivant.
    Ca devenait de plus en plus étrange.
    - Tu veux dire que tu as fait tout ça juste parce que… je te plais ?
    - Bah tu vois, quand tu réfléchis, tu trouves ! Me répondit-elle en un éclat de rire. Dis, tu veux pas qu’on aille faire connaissance dans un endroit plus sympathique que le dépotoir de cette cantina ?

    Nous passâmes quelques jour ensembles, qui me semblèrent les plus beaux de ma vie.
    Mais cette dernière, surtout mon passé, me rattrape, sous la forme de nouveaux chasseurs de primes. Nous dûmes nous séparer pour un moment, non sans nous fixer un rendez vous quelques temps après.
    Cette fille me plaisait.
    Je la reverrais.

    dimanche 13 août 2006 - 00:36 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    L'ombre fuyait. Je courus après pour la rattraper, quand soudain elle se retourna, pointant un blaster dans ma direction.
    J'étais désarmé, nu comme un ver, sous la pluie. Je vis nettement la gueule noire du canon qui béait devant mon front.
    L'ombre était en colère. Elle tira.


    Je me réveillai en sursaut. Dehors, la pluie giflait les fenêtres et le vent hurlait sa rage en faisant craquer les boiseries. Un éclair zébra le ciel et une nouvelle détonation me rappella celle qui avait mit fin à mon cauchemard.
    J'étais tombé de mon lit. Mon coeur battait si fort que son bruit eût pu briser les pierres du château.
    " Du calme, m'exhortai-je. Tu es un gars plutôt censé et plein de ressources, c'est pas un rêve qui va te foutre les foies, non ?

    Je me relevai et me versai un verre de scotch, éclairé par la seule lumière intermittente* de l'orage. Et ceci uniquement afin de respecter ce que ma mère me disait des bonnes manières et de ne pas boire à la bouteille, car je vidai son contenu d'une traîte. Je le remplit à nouveau... Je me calmais. Ce n'était pas ma première - ni ma dernière - nuit de cauchemards, mais pourtant celui-ci me perturbait : c'était pourtant bien la prime fois que je me voyais mourir, moi ! D'habitude, j'assistais aux souffrances ultimes des miens (ce qui était en fait la seule chose capable de m'atteindre réellement dans cette Galaxie) ; la Mort ne m'était-elle pas connue de longue date, comme une vieille amie de voyage ?
    Il y avait longtemps que je n'avais plus peur de mourir ! C'est indispensable quand on vit de sa jugeotte et de son blaster.

    Mais ce rêve m'effrayait pourtant. Prémonitoire ?
    Voyons... à quoi ressemblait mon assassin ?
    A une femme, je ne vois plus son visage, mais c'était une humaine de race blance, avec des cheveux... foncés par la pluie, par la Force et les donuts ! Rien de plus banal ! Il me semble qu'elle était nue, comme moi...
    S'il fallait que je devienne mysogine, autant me suicider directement : je n'y arriverais jamais !

    - Édo ? s'inquiéta Kiffa, passant sa tête par la porte entrouverte.
    - Ce n'est rien, ma grande, ce n'est rien...
    - Un mauvais rêve, patron ? demanda-t-elle, sussurante, en entrant délibérément dans la chambre.
    Je ne répondis pas et lui versai également un whisky corellien. Elle se blottit contre mon dos et posa sa tête sur mon épaule. Sa main me caressa doucement les tempes, devinant ma migraine imminente. Je ressentis à nouveau cet étrange sentiment à son égard et me saisis soudainement - mais avec douceur - de sa main. Elle était chaude, la peau en était fort veloutée et il me sembla que cette main-là, malgré les cales qui ne manquaient pas d'endurcir sa peaume, était faite pour la mienne.

    - Papa ? Tout va bien ? fit Nausicaä en entrant.
    - Oui ma chérie... ce n'est rien, j'ai dû rêver.
    - Tu as crié.
    - Ca prouve que j'étais encore vivant à ce moment-là, répondis-je avec un humour qui ne déplairait pas à Sunny
    La petite vint m'enlâcer, comme je le faisais quand c'est elle qui avait de la peine. Curieuse émotion que celle que j'éprouai à ce moment, coincé au chaud entre deux femmes.

    - Je t'aime, fis-je.
    Car il n'y avait rien de mieux qui ne passât dans ma tête ! Ces trois mots pouvaient plaire à ma fille (et ils étaient d'autant plus vrai que cet amour était échu par nature) et n'étaient peut-être pas faux envers ma collègue. Que dire de mieux ?
    Elle dut me baragouiner une réponse genre "moi aussi je t'aime mon petit papa" ou une couênnerie du même tonneau, mais je ne perçus que la tiédeur de la double étreinte. Une tiédeur qui me rappella ma maison de Naboo, la bonne bière tièdie et les parlottes au coin du feu. Et pourtant, ce n'était pas désagréable !
    Je remarquai tout de même que l'embrassade² de Kiffa était nettement différente, notemment à cause de son anatomie délicieuse que je sentais se presser contre moi avec une léger mouvement de glissement.
    - Retourne dans ta chambre chérie, on a école demain³, intimai-je à ma Nausi.
    >> C'est valable pour toi aussi, Kiffa.

    :jf:

    * => c'est une intermittente du spectacle ^^
    ² => 'vaut toujours mieux aller chercher refuge dans une embrassade que dans une ambassade !
    ³ => Tout le monde, naturellement, à compris "baston" (NDLA)

    lundi 14 août 2006 - 09:20 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Nausicaa

    Nausicaa

    2200 Crédits

    Après être rentrer dans ma chambre, je me couchais sur mon lit. Comprenant rapidement que je ne me rendormirais pas, je réfléchissais quand je me lèverais je continuerais l’entraînement avec Edo. Il fallais que j’essaye de dormir car la journée m’avait épuisé mais je n’arrivais pas à dormir, une question trottait dans ma tête « Pourquoi papa semblait si perturbé ». Il ne l’avait pas laisser voir mais je l’avais sentis. Je n’aimais pas ça, qu’avait-il je ne le savais pas et je doutes qu’il veuille me le dire.
    Au petit matin je me levais, attachais mes cheveux et me préparait mentalement à la journée qu’il allait commencer. Entraînement en perspective je n’aimais pas trop ça mais bon il faut que je m’y accommode je fais partit de la Guilde à présent. En plus ça me changeais de ma méditation en forêt quand j’étais Jedi, de l’exercice le matin ça n’avait jamais fait de mal à personne bah enfin c’est ce qu’on dit^^. Je ne pris pas de petit déjeuner avant de m’entraîner je préférais le prendre après bah enfin si j’en avais encore la force. Je vérifiais ma tenue, parfaite comme d’habitude, je resserrais mon élastique dans mes cheveux, c’était bon l’entraînement pouvait commencer. Edo devait se demander si je n’étais pas folle mais quand je veux faire quelque chose il faut que je me sente bien donc que mon apparence soit parfaite enfin c’est l’une de mes mimiques (une parmi d’autres^^). Je regardais Edo avec un regard qui voulait dire que j’étais prête.
    Après je ne sais combien d’heures d’entraînement papa décida enfin d’arrêter. Déjà qu’avant j’étais fatiguée à cause de ma nuit blanche là j’étais dans un état comateux. Je pris quelque chose à manger et retournais dans mon lit. J’étais si fatiguée que je m’endormis sans peine. Je dormis pendant longtemps, ce qui fut bizarre c’est quand me réveillant je me rappelais d’un rêve pas normal d’habitude je les oublient. Ce rêve je l’avais déjà fait une fois bah enfin c’était lors d’une méditation en voyant ça j’avais perdu tous contrôle de moi-même. Je le revoyais dans me tête : j’étais dans ce que je supposais être les quartiers de la Guilde Edo avait un regard fière. Quand j’avais fait ce rêve la première fois je l’avais répugné et même oublier avec le temps. Pourquoi j’avais rêver de cela et pourquoi maintenant bizarre très bizarre. J’entendis la porte s’ouvrir.

    Nausi : Salut papa.
    Edo : Sa va mieux ??
    Nausi : Oui à part que je viens de faire un rêve bizarre.
    Edo : Quoi comme genre de rêve ??
    Nausi : Pas trop envie d’en parler si tu veux bien je préférais qu’on retourne s’entraîner ça m’éviteras de pense à ça.
    Edo : D’accord.

    jeudi 17 août 2006 - 21:54 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

    28881 Crédits Modo

    L’homme resta figé sur place, sans rien dire à m’observer tel un agneau qui aurait aperçu un loup fonçant dans sa direction.

    Ange : Tu m’as franchement déçue, tu sais ? Je pensais que tu étais un type honnête dans ton genre et que tu n’aurais pas fait ton salopard sur ce coup. Comme quoi, on est souvent trahis bien malgré soi…
    Ugo : Tu crois que tu vas me faire peur ?
    Ange : Tu sais à qui tu as à faire, non ?
    Ugo : Ouais, je sais qui vous êtes, les holonews parlent souvent de vous. On sait tous que vous ne tuez pas.

    Je lui fis un sourire carnassier.

    Ange : Vraiment ?
    Ugo : Vôtre réputation vous précède, ma chère…
    Ange : Dans ce cas, tu dois aussi savoir que j’ai toujours plus d’une carte dans ma manche et que si je ne tue pas, c’est que je n’ai jamais vraiment eu l’utiliser… Remarque, j’ai toujours voulu savoir comment réagirait le public en me voyant endosser davantage la moralité de la société.

    L’homme leva sa main et s’apprêta à tirer.
    Je fus plus rapide : je le désarmais en atteignant son d’arme d’un tir et en lui décrochant une salve très faible dans la jambe.
    Ugo poussa un cri suivit d’un juron.

    Ange : Tu continues à faire le malin ou je vais devoir devenir plus sévère ?
    Ugo : C’est bon… Tu veux quoi exactement ?
    Ange : A vrai dire : tout aurait été bien mieux pour ta petite personne si tu n’avais pas jouer double jeu ! Tu aurais eu une part du gâteau… Tu agis un peu trop, mon cher et tu devrais parler un peu plus. Mais le temps n’est pas aux remords…

    Je le regardais sans broncher, fouillant dans une de mes poches ?

    Ange : Tu as mal ?
    Ugo : Joue les malignes, tant que tu peux.

    Je lui lançais la fiole.

    Ange : Bois ça, ça ira mieux.
    Ugo : Qu’est-ce qui me dit que tu ne veux tout simplement pas me tuer ?
    Ange : Si j’avais eu l’envie, je l’aurais fait, il y a quelques secondes. Maintenant, si tu n’en veux pas, merci de me la rendre.

    Il but la boisson d’une traite.

    Ange : Ca va mieux ?
    Ugo : Je ne vois pas grand changement.
    Ange : Je pense que tu devrais attendre quelques secondes avant de voir les premiers effets.
    Ugo : Oui.

    Tiens, cela commençait à marcher…

    Ange : Comment vas-tu maintenant ?
    Ugo : J’ai mal.
    Ange : Quelle est la couleur de tes sous-vêtements ?
    Ugo : Noir.
    Ange : Qu’est-ce que tu éprouves en ce moment ?
    Ugo : L’impression que je dis et fais des choses contre ma volonté.
    Solo : C’est exact ! On va faire dans le simple : Tu vas m’aider à embarquer tous les trucs qu’on a piqué jusqu’à mon vaisseau, qui n’est pas très long d’ici d’ailleurs. Tu feras uniquement ce que je te dirais et tu ne penseras plus à tes propres intérêts.
    Ugo : Oui.

    Ainsi se passa le reste de la soirée.
    « Appelez-moi, Ugo », m’aida à tout transporter jusqu’au Fury. Je le laissais ensuite en plan en lui ordonnant d’aller se cacher dans un des hôtels où je savais que son patron Hutt avait des agents infiltrés. Tout se jouant donc comme prévu.

    Je décollai quelques minutes plus tard et plongeai ans l’hyperespace après ayant pris le soin de laisser un message au Hutt.



    « Votre Altesse,

    J’ai l’humble honneur de vous informer que vous vous êtes fait volerr dans les règles de l’Art. La simple et bonne chose que vous devriez en retenir est qu’il faudrait mieux choisir le personnel que vous recruter.
    Le dénommé Ugo, qui vous servait, ayant des idées d’or et de grandeur, fit main basse, cette nuit, après vous avoir drogué, Vous et votre entourage, sur votre trésor. L’aide de la jeune Ilumina lui fut nécessaire. Or, la demoiselle était à ma solde.
    Ce qui découla de cette affaire est que la jeune femme pirata les codes pour le compte de ma personne et neutralisa vos comptes de sécurité. Les esclaves que vous aviez gambadent dans la nature et les futurs sont libres.
    Votre collection, authentique, est désormais mienne et le brave Ugo repose dans l’hôtel ….. espérant passer une nuit tranquille. Chose auquel je doute fort, mademoiselle Ilumina l’ayant abandonné et dépouillée.

    Je vous remercie du don que vous m’avez fait de votre collection, Votre Sainteté.
    Veuillez recevoir l’expression de mes sentiments distingués.

    Ange Solo. »

    vendredi 18 août 2006 - 16:33 Modification Admin Réaction Permalien

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