Les Trafics pour La Guilde (page 13)

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Si on nous proposait un cinquième forums pour la Guilde, qu'en feriez-vous ? (46 votes)


  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

    28881 Crédits Modo

    Edo> Franchement, comment t’as trop les idées mal placées mdrrr Espèce de pervers !!!

    Dans le genre « j’ai la poisse », je les enchainais… Les Forceux ne voulaient pas me donner un coup de paluche, le Sénateur ne savait que dalle et cette allumeuse à 4 Crédits m’avait emmené dans un appartement vide !
    Qu’est-ce qui pouvait m’arriver de pire ?
    Un orage ?
    Un bruit fracassant se fit entendre : le ciel semblait se déchirer et la pluie commença à tomber.

    Y a juste à demander…

    Avec un ti poil d’espoir – tout de même ^^ - je fis une rapide inspection des lieux en commençant par les pièces où des odeurs de nourriture flottait. Par déduction, je m’imaginais qu’il s’agissait de l’ancienne cuisine du fugitif. Je fis une rapide inspection pour ne rien trouver et fit de même dans toutes les autres pièces… Jusqu’à… me poser sur les bords d’une ancienne baignoire.

    Et blast ! En plus, il y a des fuites…

    L’eau me fit chavirer dans le truc et je me retrouvai les quatre fers en l’air en train de maudire les anciens proprios. Il fallait que je me fasse mal en plus d’être dans une impasse ! Je faisais de gros progrès dans le domaine Pas de Bol et Cie, ma foi !
    Ce que je croyais en réalité… La position dans laquelle, je me retrouvai me donna un angle de vue étrange qui me permit d’apercevoir un comlink derrière des toilettes…Hum… De la chance ? Enfin ?
    Je me levai sans me vautrer et m’empressait de prendre l’objet…
    Assise sur le sol, les fringues trempées (^^), je me mis à farfouiner… Un mot de passe ? Niark ! Ca allait se décoder comme du gâteau…

    Je n’avais rien dit^^ Il me fallut une bonne petite quinzaine de minutes pour trouver quel était le code de l’imbécile qui avait oublié son comlink. Erf ! Le Coco devait ci connaître un minimum question sécurité pour me faire poireauter autant. Je recherchais donc de schoses plus ou moins intéressantes jusqu’à trouver le numéro de P.O.

    Pour que j’ai une chance pareille, il y a Bantha sous Dune…

    Je me mis en contact avec ladite personne^^
    D’ailleurs, je du renouveler mon appel deux fois avant que P.O. ne décroche…

    Solo : P.O., quel plaisir de t’entendre… J’ai du mal à te trouver, tu sais…

    Je l’entends râler à l’encontre d’un type. Il s’agissait sûrement du type qui avait perdu l’appareil.
    Lorsque sa voix résonna dans l’appareil, un frisson me parcourra l’échine et descendit jusque dans mes doigts.

    Bordel ! Je vais finir par haïr ce mec !
    Haïr ?
    Si seulement, je le pouvais…

    mercredi 10 mai 2006 - 20:45 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar PeterOctavian

    PeterOctavian

    1550 Crédits

    - SKAAAAAAAAAAAAAD !
    - Me frappes pas ! En plus on arrive !
    - Justement, elle a notre trace avec le com-link.
    J'écrabouillais rageusement l'engin métallique qui rendit l'ame dans un grésillement de souffrance.
    Mer...credi .
    Je venais de détruire le seul lien que j'avais avec Ange.
    Crétin .
    Remarque, d'un autre coté, avec une prime sur ma tête , j'allais pas me jeter amoureusement dans ses longs doigts , nan ?

    Skad : - On change de planète ?
    P.O. : - Nan , on se trouve un coin peinard ou on reste caché , et on sort pas pendant deux semaines. Vaut mieux ca que de se faire trouver par les guildeurs .
    Skad : - Et si on se fait reconnaitre ?
    P.O. : - On élimine .


    Le lendemain .

    On avait plutot bien réussit notre coup.
    Skad , qui n'était pas encore fiché, avait pris les clefs du batiment , et je m'était installé en m'introduisant par le toit , pour pas me faire roder.
    Mais qu'est ce que je me fais braire .
    Et Skad qui passe son temps dans les cantinas.
    Et Zut .

    Skad : - P.O. ??? T'es ou ? J'ai ramené de la bouffe . P.O. ?
    - Bruit du vent qui rentre par la fenetre -
    Skad : - Et ... mince .

    Ah !
    Ca fait du bien de sortir un peu .
    Meme si ces ruelles sont ... peu sures.
    Tant mieux , ca fera de la distraction .

    lundi 22 mai 2006 - 14:49 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Voyons... qu'y a-t-il dans ces dossiers ? Une araignée, trois dizaines de grammes de poussière, des noms de personnes impliquées dans le projet "Bouclier des âmes", une disquette pleine de traces d'une substance graisseuse grisâtre et une autre, gluante, dont le contenu est rapiécé de nombreux textes apocryphes, images bidimensionelles et notations de bas de page contradictoires. Sans hésiter ni éprouver de remords (ce sentiment m'étant inconnu), je subtilisai les disquettes et les enfournai dans ma poche intérieure.

    - Tu as ce que tu voulais ? me demanda doucement la jolie Twi'Lek que j'avais choisi pour m'accompagner, après l'avoir rencontrée dans une station de taxi coruscanti.
    - Je crois, oui. En tout cas, c'est un bon début.
    - J'ai trouvé des disquettes avec comm titre "service des immatriculations", dans la section des plans de bâtiments administratifs.
    - Tu es géniale, tu sais ?
    - Et vous, vous n'êtes pas autorisés à être ici. Mains en l'air, kapa tonka !

    C'est un garde de sécurité et il se répête. Humain, ce qui ne signifie pas forcément intelligent, loin s'en faut. Un DH-17 dans uen main, il nous menace d'une mort horrible, pointant tour à tour nos deux estomacs. Moi, je m'en gratte le targif lascivement - et me permet même un bâillement lorsque je me retourne vers lui et m'étire - mais la migonette le regarde durement, intimidante. C'est pour celà que je l'ai choisie. Intelligente, téméraire, physiquement et mentalement résistante et attirante.
    Pour être tout à fait franc, je ne l'ai pas emmenée pour le plaisir, mais pour les affaires : cette demoiselle à l apeau noire, aux trois lekkus et aux dents acérées d'une éclatante blancheur contrastante ; cette naïade superbe à la poitrine fière et à l'intellect arrogant, ou l'inverse ; cette amazone cruelle aux doigts agiles, au blaster prompt, au fouet vif et à la lame célère ; Kiffa, donc, car c'est son nom, est en tout point mon égale. Hormis en contrebande (qu'elle ignore), en force physique (où je la soupçonne de m'être supérieure, du moins à la lutte) et en dextérité dans l'usage des armes (où je lui suis légèrement supérieur). Je ne lui fais pas totalement confiance, ce qui est normal et réciproque, et je n'ai pas encore eu l'occasion de goûter à sa peau, ce qui me frustre et m'émerveille à la fois.
    Maintenant que les choses sont établies, revenons à notre situation :

    Kiffa défie le garde, qui concentre sur elle son attention. J'en profite pour faire mourir ce dernier, car il faut bien nous protéger, nous. Essuyant ma lame sur sa veste, j'utilise cette position pour lui faire les poches, tout en admirant les jambes de ma coéquipière, guettant l'arrivée éventuelle d'un autre déambulateur. Ensuite, nous ressortons de l'imposante bâtisse républicaine, dissimulés dans les caisses de victuaille dont sont chargés des droïdes, nous rejoignons le métro et nous rendons dans mon appartement.
    Tandis que Kiffa malmène le punching ball,je réfléchis à cette affure et réalise. Joyeux, je sors annoncer la nouvelle à la tueuse, laquelle valide la proposition de mes synapses et me conseille de m'habiller. Mi amusé, mi honteux, je m'exécute, car il vaut toujours mieux s'exécuter soi-même qu'en laisser le soin à quelqu'un d'autre.

    :jf:

    mardi 23 mai 2006 - 20:02 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

    28881 Crédits Modo

    J’entendis un hurlement et plus rien, un choc violent et plus rien.
    Mais ce n’était pas vrai ! Me voilà qui faisait des kilomètres et des kilomètres pour quasiment que dalle ! Pas un heureux hasard, je trouvais un comlink sur le sol et cet abruti de guildeur me raccrochait littéralement au nez ! Il aurait pu au moins laisser mon blaster sur place !
    Mais quel abruti !
    Et maintenant, je devrais me débrouiller pour trouver des informations sur le lieu d’où le pépère avait répondu. J’allais encore devoir utiliser mes aptitudes plus ou moins légales… le piratage informatique…
    Cela me prendrait sûrement trop de temps, à vrai dire… mais le Sénateur me devrait toujours un service….
    Je laissais l’appartement et sortis comme j’étais entrée, fermant la porte que je le pouvais. Je retournai par la suite dans la direction où se logeait mon vaisseau, tout en composant le numéro personnel du sénateur.

    Kluiko : Oui, ici Ethan, que puis-je faire pour vous ?
    Ange : Sénateur Kluiko ? Ici, Melinda, vous…
    Kluiko : Ah !!! Comment vous portez-vous ? Avez-vous un problème pour prendre contacte avec moi de nouveau en si peu de temps.
    Ange : Rien ne vous échappe !
    Kluiko : Je ne suis pas Sénateur pour rien, ma chère amie. Alors, que puis-je tenter de faire pour vous, cette fois-ci ?
    Ange : Vous souvenez vous de l’homme dont je vous avais parlé ?
    Kluiko : Un certain Octav…. Quelque chose comme ça ?
    Ange : Peter Octavian.
    Kluiko : Tout à fait !
    Ange : J’ai pu le contacter par un heureux hasard le problème étant que je n’ai pas pu avoir ses coordonnées car sa batterie est tombée par inadvertance pendant qu’il me parlait. J’aurais pu tenter de le localiser moi-même mais cela m’aurait pris beaucoup de temps et je suppose que ce genre de requête est plutôt simple à réalité pour un homme tel que vous.
    Kluiko : Vous pensez admirablement bien, ma chère. Je pense pouvoir avoir des informations d’ici un jour ou deux. Je passerai votre demande priorité pour ne pas trop vous faire patienter. Ce n’est pas grand-chose pour ce que vous aviez jadis fait pour moi…
    Ange : Ne vous en faite spas pour cela, Sénateur.

    Quelques jours plus tard, il reprit contact avec moi et me donna les informations nécessaires… Visiblement, il se trouvait dans le secteur sud de Kuat et l’objet qui avait reçu l’appel était un comlink piraté.
    Pas étonnant, au passage…

    Kuati…
    Ce mec n’a pas deux sous de jugeote ! Sur une planète où les femmes sont les dirigeantes !
    Je suis tombée sur le crétin le plus bête de la galaxie…

    mardi 23 mai 2006 - 20:15 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    La semaine de vacances touchait à sa fin.
    Je terminais ma troisième bouteille de la journée.
    J’avais peu bu, aujourd’hui.
    Un ennuie moteur m’avais réclamé sur le pont une partie de l’après-midi.
    Je me regardais mon reflet…
    Peu glorieux.
    Ma barbe, habituellement correctement taillé, était hirsute. Mes cheveux en bataille encadré un visage fatigué.
    J’avais peu dormi.
    Très peu.
    Coyn… Mes fils, mes amis… tous ces morts… tout cela me trottait dans la tête, me hantant.
    J’effleurais la coupure de ma lèvre inférieure.
    Souvenir d’une bagarre avec Angel, un soir ou j’avais encore plus bu.

    Je devenais fou.
    Tout ce que je faisais pour m’éloigner de mes soucis, de cette Guilde qui m’avais pourri, ne faisait que m’éloigner de ce que j’aimais.

    Je fermais les yeux. Comme toujours, je vis défiler des morts, , des gens que j’avais tué, ou vu mourir.
    Une dernière image me saisit.

    Padmenat.

    Je te revois… sabre levé, au milieu de tous ces tirs.
    Brisant ton vœux de ne plus te servir de la force.
    A l’époque, nous renforcions la Guilde, en lui construisant un vrai QG.
    La fin de sa période d’or.
    J’étais sur Myrkr, quand tu m’avais contacté, me demandant de te rejoindre au plus vite, sur Ryloth.
    J’avais donc quitté le chantier, pris mon Praemium, et m’étais envolé vers toi.

    Je sombrais dans un sommeil agité, ou je revis la mort de Pad.


    Je m’étais posé sur le spatioport de la cité de Ryloth ou tu m’avais dit te trouver. La plus proche de la zone désertique.
    Comme toujours, Ryloth était secoué par une tempête.
    « Je t’attends, Padmenat. Dépêche toi… »
    Qu’y avait-il donc de si important pour que tu m’ai fait venir ?

    Je m’étais rendu dans un bar, pas vraiment le lieu que je recommanderais au touriste, mais au moins, je savais que tu connaissais ce lieu, et que tu m’y chercherais.
    J’ignorais qu’ils penseraient la même chose.
    - Sibass, dit une voix, alors qu’une lame se glissait sous ma gorge.
    - Lui-même. A qui ai-je le plaisir ?
    - Elle va chercher à te rejoindre. Ca tombe bien, on cherche justement à la voir. Tu vas nous attendre bien sagement, hein ?

    Je ne les ai pas reconnus. Normale… Combien de chasseurs de prime sont engagé par…
    Que ce serait-il passé si j’avais attendu ?
    Je ne sais pas.
    Mais tu me connais.

    - Vous lui voulez quelque chose ?
    - Ouai. Sa tête.
    C’en fut trop. J’attrapais le poignet de l’homme me menaçant, et le brisais. Je me jetais à terre au moment ou un tir résonna, et roulais sur le sol. En me relevant, je vis un trou dans le dossier de la chaise que je venais de quitter. L’humain était accompagné d’un shistavanéen, un homme-loup, gigantesque
    Je sortis ma vibro hache, et décapitais l’homme. Je frappais l’homme-loup, mais ma lame heurta la sienne. Il frappa. Je parais le coup, qui alla briser une table.
    - Je prendrais ta tête pour ça ! Hurla-t-il.
    Il frappa de nouveau. Je parvins à bloquer sa lame. Nous luttâmes pour nous dégager. Je m’approchais de lui, et, au dernier moment, fit apparaître la vibro-lame à mon poignet. Je le frappais à la gorge.
    - Ne… te… crois… pas… Nous… Nous … ne… sommes… pas… pas ….seul…. RHAAAA.
    Il m’assena un violent coup à la tempe, qui me fit traverser la salle. Etourdi, je ne puis rien faire quand il se jeta sur moi. Plusieurs tirs résonnèrent. L’homme-loup tomba, la poitrine percée de plusieurs lasers.
    - J’arrive à temps, on dirait.
    - Padmenat !
    Je me jetais dans ses bras et l’embrassait.
    - Ces hommes te cherchaient !
    - Je sais, c’est pour ça que je t’ai contacté. Il y a une prime sur moi. Une TRES grosse.
    - Pourquoi ?
    - J’ai tué un type influent durant un de mes contrats… un de ses proche tente de le venger. Le contrat spécifie : mort.
    « Sibass, mumura-t-elle. Je… J’ai peur.
    Je n’eu pas le temps de la rassurer. Le combat avait attiré du monde… dont une patrouille de « police » locale.
    Il était temps de mettre les voiles.
    - Où est ton vaisseau, Pad ?
    - J’ai du me poser hors de la cité, dans la zone aride.
    - Ok, allons le chercher.

    Nous partîmes vers les portes de la cité, tout en restant au aguets.
    Le shistavanéen m’avait dit qu’ils n’étaient pas seul…
    Qui ? Où ?
    - Pad, qui a lancé le contrat ? Qui y a répondu ?
    - Pour qui l’a lancé, c’était pas très clair, mais je suis parvenue à dresser une liste de 3 nom : sa femme, son frère, et son associé.
    - Et qui y a répondu ?
    - Je l’ignore. Je ne les connais pas. Mais je ne suis pas dans le métier depuis très longtemps.
    - Je… tu aurais du rester chez les jedi. C’est de ma faute. Tu y étais bien plus en sécurité.
    - Non, Sib, je suis bien mieux avec toi.
    - Mouai… Regarde, tu es… Attention ! devant la porte !

    Nous étions arrivé devant la porte de la ville… gardée par des mercenaires.
    Nuls doutes qu’ils étaient là pour elle.
    - C’est trop dangereux. Allons au Praemium, nous passerons par la voie des air pour aller chercher ton vaisseau.
    - Ils sont sûrement en planque également devant ton vaisseau.
    - Ils sont si nombreux.
    - Une quinzaine, moins les deux qu’on a tué. Et pas mal de droïdes.
    - Que fait-on, alors ?
    - Pas d’hésitation, on fonce.
    - Quoi ?
    Elle sorti son sabre laser.
    - Pad…
    - Aux grands maux…
    Elle dégaina également son blaster, et, soulevée par la force, sauta sur une passerelle surplombant les ennemis.
    Je sortis mon arme.
    - Quand tu veux, Pad.
    - Maintenant.
    Je tirais, et eu deux droïdes. Padmenat atterrit devant eux, et tira dans la tête d’un des hommes. Elle para un tir, et détruisit le dernier droïde. Je tuais le dernier homme.
    - On fonce !
    Elle détruisit la serrure magnétique de la porte d’un coup de sabre, et nous sortîmes.
    La tempête s’était à peine clamée. Le vent soufflait moins fort, mais les éclaires illuminaient toujours le paysage d’une lueur sinistre. Il nous fallut dix minutes pour rejoindre son cargo.
    - Nous y sommes, Sib !
    Je n’entendis pas le tir.
    Mais je le vis toucher Padmenat au flanc droit.
    Ses pouvoirs jedi manquaient d’entraînement. Elle ne l’avait pas senti venir.
    - PAD !
    Je senti l’homme dernière moi à temps. Je me baissais et vit une lame passer au dessus de ma tête.
    Je ne pus éviter le premier coup de matraque assommante, et tombais a terre.
    Je tentais de me relever, mais reçut un coup paralysant.
    Je ne pouvais plus bouger, et était à peine conscient.
    - Tu ne nous intéresses pas, collègue. Tu connais la chanson. Seule la prime…
    - P…a…D…

    Elle se battait courageusement. Deux types était à terre, mort. Elle parait tir sur tir, trouvant assez de concentration pour faire voler une arme de temps en temps. Un droïde surgit derrière elle. D’un coup de sabre tournant, elle lui coupa les deux avant bras, et, d’un coup le pied, le projeta loin d’elle.
    Elle ne pu parer le tir qui la toucha à l’épaule.

    Je tentais de bouger le bras, sans succès.

    Elle ne se battait plus que d’une main, continuant à parer les tirs. Un rodien tenta de s’approcher d’elle. Il tomba, mort.
    Un tir la toucha en pleine poitrine.
    Elle tomba en hurlant.

    Ils s’avancèrent.
    - On fait quoi ?
    - Ben… avant de l’achever, on pourrait s’amuser, non ? Le contrat l’empèche pas.
    « Non ! Pad ! Allez, me dis-je, bouge ! »
    - Ouai, bonne idée. Elle est pas mal, en plus.
    Un tir résonna, et le dernier à avoir parler fut soulever de terre, une parti de sa tête arraché par le laser de Pad.
    Ils tirèrent.

    - NOOOOOOOOOOOOOON ! Hurlais-je.
    Plus exactement, murmurais-je, à cause de l’effet du tir paralysant…
    Celui qui semblait être le chef se dirigea vers moi, quelque chose à la main.
    - C’était ta femme, je crois. Elle s’est bien battue. Tiens.
    Il jeta près de moi le sabre de Pad.
    - Souvenir. Ne nous en veux pas. C’est le métier. On prend le vaisseau… et son corps. Adieu.
    - Sa…l…a**
    Il fit demi tour, et monta dans le cargo de Padmenat. Ses hommes avaient déjà pris son corps.

    Ils décollèrent, alors que mes muscles commençaient à bouger.
    Je pris mon comlink, et contactais mon R7
    - T6, enclenche l’autodestruction du vaisseau de Pad. VITE !
    Il gazouilla.
    Deux secondes plus tard, le cargo se transforma en une boule de feu.

    Je me relevais, et pleurais.
    Longtemps.


    Je me réveillais en sursaut, tremblant.
    Pad…
    Je me rappelais la suite des évènements.

    Après la destruction du vaisseau, j’avais tué les derniers chasseurs de primes, qui attendaient près de mon vaisseau.
    J’avais ensuite traqué les trois commanditaires possibles et je les avais tué tous les trois, avec son sabre.
    SA vengeance.
    J’avais longtemps crut que cette histoire était finie, jusqu’à ce que Jes’ craque face à la vague de force ressentit au cour d’une mission, ou l’on nous avait refusé de l’aide, plusieurs année plus tard.
    Sur le chemin du retour, après que Jes’ ai commencé sa méditation avec les jedi, j’avais cherché dans les dossiers de la Guilde qui était cette personne, pour lui en « toucher deux mots », quand je suis tombé sur le dossier du chef des chasseurs de primes de Ryloth. Il se terminait par : Mort en mission.

    A ma sorti d’hyperespace, mon vaisseau avait été détruit, et je tombais dans le coma.
    A mon réveille, je quittais la Guilde, et fondais les Réprouvés.

    Avait-ils agit seuls, ou en accord avec la Guilde ?
    Quelle importance.
    C’était des Guildeurs.
    Cette trahison devrait se payer.

    Quel qu’en soit le prix.

    jeudi 25 mai 2006 - 13:21 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    (deux voix chuchotent, sur fond de froissement d'étoffes et de ronronnement de moteur de croisière)
    - ...sance de feu est phénoménale ! Rien à voir avec... Édo ? Tu m'écoutes ?
    - "Des larmes dans le néant."
    BAF !
    - Tu refais surface avec ma réalité ?
    - Ca dépend : y trouve-t-on de jolies femelles, des gens charmants, des vaisseaux et des arbres ?
    - 'Crétin. Je te causais du nouveau prototype de chez Blastech, tu remémorises ?
    - Hmm... ouais, 'scuse moi : une sâle impression. Bon, on en était où ?
    - À "vire tes pattes de ma cuisse" et "toi, ôte ton genou de ma bouche". Fait chaud, dans cette caisse, hé ?... Je crois qu'on est arrivé, on sort ?
    - Je compte jusqu'à 222 et on y va. T'as quoi comme matos à portée de main ?
    - À part... ?
    - À part moi et mes organes, oui, merci.
    - Je crois que je saurais saisir ton "Mos Eisley". Toi, si tu bouges ta peaume gauche plus haut, je pense que tes phalanges rencontreront mon MOA, à condition qu'elles sachent passer outre mes...
    - Ne sois pas grossière, des enfants pourraient nous lire ! 219, 220, 221, GO !

    "SCHKRAK ! bing, tong, bom brelom" Fait la caisse de duracier inoxydable, ses dernières soudures et vis intactes cédant sous la pression de nos muscles, ses panneaux soudain libérés percutant les parois de la soute. Je me redresse d'un bond, m'assure que personne n'arrive ni ne témoigne d'agressivité envers moi, puis m'étire et masse mes molets endoloris de courbatures perverses. Kiffa fait de même, tout aussi (si pas plus) démonstrativement que moi. Nous baîllons, nous rendons nos armes respectives et observons le contenu des caisses, prudents comme deux scurrier à l'affut.
    Des armes bon marché, des uniformes, des rouleaux de papiers toilettes et des milliers de liasses de formulaires en trois exemplaires reliés : pas de doutes, nous sommes à bord d'un vaisseau militaire républicain.
    Nous nous rapprochons de la porte et nous accroupissons. Je donne un vigoureux coup de poing sur l'ouverture du panneau de commandes et celui-ci cède, révèlant des dizaines de petits boutons reliés à des cables bâveux.

    - Pff... tu parles d'une varicelle ! Je doigte lequel ?
    - Obsédé ! Tu reconnais pas ce tableau ?
    - Ha, c'est malin, tiens ! Non, moi j'ai l'habitude de travailler avec du matos de qualité, tu comprends ?
    - Pas glop !

    A ce moment là, celui-là précis, la porte d'accès se leva d'elle-même, et de la soldatesque républiacaine entra, datablocs en main. Plaqués face contre la cloison, nous les laissons nous dépasser d'un bon mètre sans bouger d'un pouce, puis risquons un coup d'oeil pour nous assurer que le couloir de l'autre côté est tatooinien, c'est à dire désert. Rassurés de ce fait, nous nous occupons des trois uniformisés. Je bondis et me jette en arrière. Kiffa prend appui d'une main sur le sol, pivote sur sa jambe gauche, toujours pliée, et lance la droite à la rencontre des chevilles de ces types, lesquels basculent à plat ventre. Moi, élégant dans la mise à mort, je retombe sur eux, amortissant ma chute de mon avant-bras tendu sur leurs nuques fragiles. Ainsi étendu sur le dos, j'admire un instant le plafond, puis me relève d'un léger effort abdominal et rejoinds mon équipière, qui s'est déjà glissé dans la pièce adjacente.

    - Ca baigne ? Ton bras ?
    - Aucun bobo. Où est la cible ?
    - Je suppose que les documents doivent être dans les quartiers du commandant ? Troisième porte à gauche.
    - On est doué, quand même ! De moins brillants se seraient planqués n'importe où...

    Fouillant les quartiers du commandant, nous découvrîmes bientôt son coffre, et les documents qui s'y trouvaient avant que nous ne les prissions. Nous retournâmes ensuite dans la remise, décrochâmes une conduite d'aération que nous plaçâmes sur la nuque des bonshommes, qui se retrouvèrent ainsi décédés d'une mort accidentelle. Nous choisîmes une caisse d'oreillers en duvet naturel et nous y installâmes, non sans avoir préalablement modifiés les inscriptions ayant traits à la nature de la marchandise.

    :jf:

    jeudi 25 mai 2006 - 17:41 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar PeterOctavian

    PeterOctavian

    1550 Crédits

    3 jours plus tard ...

    Skad et moi étions désormais en train de fuir d'une planete a l'autre, en essayant de ne pas se faire repérer par les chasseurs de prime.
    Tout ca parce qu'un type me ressemblant comme deux gouttes d'eau commencait a se faire mousser en se faisant passer pour moi.
    Braquages , incendies , meurtres sur différentes planetes ( bizzarement , en meme temps que nous sur les memes planetes ) , sous le couvert de mon identité , rajoutant encore a ma prime ...
    Quel désastre.

    En plus , quand il se fera chopper , il aura qu'a passer au test adn pour prouver qu'il n'est pas moi et on le laissera partir.
    Snif .

    Me sortant de mes pensées , mon (nouveau) com link piraté fit son stressant et detestable "bip bip".
    P.O. : - Ouais ?
    Sib : - Ca va ? Je te dérange pas trop entre tes carnages ? Tu te rapelles que j'avais dit de se faire discret ?
    P.O. : - Chuis innocent ! C'est pas moi ! Skad pourra en témoigner !
    Sib : - M'en fous , tu fais ce que tu veux . Juste, tu pourrais faire un truc pour moi ? Enfin , pour nous ?
    P.O. : - Les réprouvés rentrent en action ?
    Sib : - Oui da !
    P.O. : - Arf ... au fait , on a toujours pas de logo ?
    Sib : - Et ca nous servirais a quoi ? On est recherchés , banane . On va pas s'afficher . Allez , a plus tard .

    Et voila .
    Les réprouvés allaient commencer a faire parler d'eux ...
    Mais avant toute chose , j'avais envie de m'occupper de ce type qui usurpait mon nom .
    Pourvu que Ange ne le trouve pas , sinon , ...

    -------------------------------------
    Fils de Sibass et Meggyra
    Papa de Leewa et de Enora Octavian
    Mari d'Ange
    Membre du R.H.HU.M.

    Ce message a été modifié par: PeterOctavian le 13-06-2006 10:01

    mardi 06 juin 2006 - 15:06 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    J'étais tranquille, j'étais peinard. Avachi dans mon fauteuil de moleskine, je fourbissais un DL-18s, sauvourant un instant de calme entre deux ruses. Les glaçons dans mon verre craquèrent et Fiona entra.

    La Falleen : Boss ? On est arrivé.
    Ma pomme : Bien, attendez-moi dans le bureau, j'arrive.

    La tueuse s'en retourna. Je finis mon verre, me levai et entrai dans la chambre. Je secouai doucement Kiffa et lui intimai de nous rejoindre plus tard, puis m'en retournai voir mes gens.
    Ils étaient bien là. Albert, le tireur d'éilte Poli-Massanien maniaco-dépressif, son pote Kalatulba, un Dugg a l'air peu ammène, l'Egorgeur, qui caressait d'une longue griffe orangée les scalps qu'il portait à la ceinture, et naturellement Fiona, qui semblait songeuse en aiguisant sa vibrohache.

    Le gars moi-même : Bien, merci d'être venu. Voici notre affaire : la Nouvelle République a entrepris la construction d'un destroyer stellaire largement informatisé, baptisé "Bouclier des Âmes". Le chantier se trouve, bien évidemment, sur Mon Calamari. Le problème est qu'un client Duro m'a appellé car son fils, qui travaille comme steward dans une compagnie de voyages interstellaires, risque d'être assassiné si le père ne livre pas des secrets concernant le chantier, et n'accepte pas de le saboter.
    Nous allons donc tâcher de protéger ce fils, en supprimant les malsains.
    Nous arrivons au terme imposé au père, j'ai trop fait traîner les choses à cause... de l'affaire de Coyn. Donc, nous allons nous embarquer à bord de la ligne de voyage, déguisés en touristes. Il s'agira d'éliminer les tueurs, après les avoir fait parler si possible. Il faut savoir qui les emploie, afin d'éliminer cette personne, et de voir si ses intérêts peuvent concerner d'une façon ou d'une autre la Guilde.

    Kiffa entra et salua l'assemblée, laquelle l'accueillit à sa manière : froidement, joyeusement, tristement, et très amicalement. Elle alla s'asseoir à côté de Fiona tandis que j'exposai les plans du vaisseau de ligne.

    " Bien, nous decevons donc rechercher des tueurs à gages. Probablement Devaroniens. Il faut à tout prix les intercepter avant leur action. Essayez d'être discrets : n'oubliez pas que les moteurs pourront assourdir le bruit, mais qu'il faudra veiller à ne pas tirer n'importe où : nous serons tout de même dans un vaisseau de ligne, pas dans un bâtiment de guerre !Je vous expliquerai le déroulement de mon enquête lorsque nous aurons capturés les tueurs.
    " L'embarquement aura lieu dans trois heures, voici vos billets, passeports et fauses identités. Soyez présents... Dès que cette affaire sera finie, Kiffa partira rejoindre son clan sur Ryloth, afin d'ouvrir le dialogue avec la Guilde. Les autres m'accompagneront sur Tatooïne, où nous resterons pour préparer une opération plus intéressante...

    :jf:
    -------------------------------------
    Leader de la Guilde
    Un Vaurien koalaphile membre du R.H.HU.M.S
    TERRIK

    Ce message a été modifié par: Edoras le 12-06-2006 16:22

    samedi 10 juin 2006 - 17:51 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

    28881 Crédits Modo

    Pourquoi ô grand diable, je dois encore avoir mis le grappin sur un espèce d’abruti sans cervelle ? Mais c’est vrai ! J’ai tous les hommes que je veux et me voilà gaga d’un type qui n’a pas deux crédits de jugeote !
    Solo ! Tu es la plus grande débile de tous les temps pour tomber accro d’un type de bas étage !


    Bref, tout ça pour dire que j’étais dans de beaux draps encore une fois et que je ne savais où trop commencer pour ce psychopathe ! Kuat Kuat Kuat ! Mais qu’est-ce qu’il pouvait bien ficher dans le secteur de la galaxie ?

    Pendant près d’une heure, je me mis en quête du secteur sud de la planète en demandant (à l’aide de blaster^^) de-ci de-là si un dénommé Octavian était dans le coin. Je me doutais du résultat et cela fut vite confirmer : personne ne l’avait déjà vu…
    Mon seul espoir résidait désormais dans l’espoir qu’il capte une communication et qu’à l’aide de mon système de brouillage/piratage et Cie que m’avait filé le Sénateur, je puisse trouver sa trace dans un rayon de quelques kilomètres…
    Pour une fois d’ailleurs, j’eus de la chance ! Un bref appel eut lieu et ma recherche finit par être de plus en plus précise. Je réussis à trouver l’appartement où Peter était censé se trouver. J’avais quand même pris un long moment avant de le trouver et puis… hum… mon cœur battait la chamade dès que je me rapprochais du but.

    Montant la plus discrètement possible et déguisée, j e respirai un bon coup et chassai les dernières pensées parasites qui m’sombraient l’esprit et me calmai. Je passai mes armes en revue…

    Un DL-44 ne suffira pas…
    Si mes doutes sont confirmés… Ma seule option reste…


    Je repoussai cette pensée. Je respirai une nouvelle fois, portai ma main à la crosse de sabre laser et enfonçai la porte de l’appartement…

    Quelle conne !

    Mes doutes, du moins, furent confirmés lorsque j’aperçus la personne de P.O. déjà prête à parer mes coups, mon DL-44 dans une de ses mains. Instinctivement, je cherchai à mémoriser le décor et à voir si d’autres personnes étaient un danger potentiel.
    Je vis un drôle de type, l’air ahurit…
    P.O. n’avait pas du le prévenir des doutes qu’il avait quand à mon arrivée…

    Ange : Hey, l’abruti, un bon conseil, ne bouge pas ou je te fais un joli trou dans la cervelle…

    L’homme leva ses mains.

    Ange : Un moindre geste… (Je me tournai vers P.O.) J’ai mis du temps pour retrouver ta trace… Pose ton arme, s’il te plait.
    P.O. : Hors de question…
    Ange : Personne ne veut d’une paix que l’on demande à mains armées : ce n’est pas ce que je te demande… Je veux tout simplement des explications… Qu’est-ce que tu fichais sur Coyn ?
    P.O. : Pourquoi devrais-je répondre à une de tes questions, Ange ?
    Ange : Je ne t’ai pas demand…
    L’autre : C’est elle que tu cherches ?

    Je tirais dans la jambe du type qui s’effondra en hurlant.

    L’autre : Espèce de ….
    P.O. : T’es folle ou quoi ?
    Ange : C’est moi qui pose les questions ! Et t’inquiète pas, une cure de bacta et tout sera rentré dans l’ordre pour lui… Comme ça tu me cherchais ?
    P.O. : Si on veut…
    Ange : Et tu te barrais à l’autre bout de la galaxie : intéressant…

    Je le regardai droit dans les yeux et compris qu’il faisait de même.
    Une aura semblait émaner de lui… Une aura que je sentais trop bien… Que je sentais ? Oh non…. Si jamais ça recommençait, je…

    Ange : Tu n’as pas répondu à ma question…
    P.O. : Pourquoi le devrais-je ?
    Ange : Je pointe une arme sur toi… et je n’hésiterais pas à m’en servir sur toi ou sur ton pote…
    P.O. : Peut-être mais ta réputation te précède… Si c’est à Miss Lupin auquel j’ai affaire, tout le monde sait qu’elle te tue jamais, non ?
    Ange : Je peux faire pire …

    P.O. : Comme quoi par exemple ?
    Ange : Ca.

    Je tire sur son pote au niveau de l’abdomen.

    P.O : Comment as-tu osée ?
    Ange : Tu comptes répondre à ma question ?

    Il s’approcha lentement de moi… Je pointai toujours l’arme… Je la pointai… Je…

    P.O. : On se trouble ?
    Ange : Je…

    Il passa mes bras autour de ma taille et m’embrassa quelques instants. Quelques instants qui suffirent à ce que mon arme parte au loin… Le baiser prit fin.

    P.O. : Bien… Maintenant…

    Je sortis une dague et l’appuyai au niveau de l’estomac.

    Ange : Tu vas répondre à ma question, maintenant ?

    Il m’envoya valser au loin d’un coup de pied bien placé. Je me relevai tant bien que mal et le dévisageai. Je me remis debout et, DL-44 en main – je l’avais récupéré au passage – je m’élançai dans sa directement en tirant. Il évita la plupart des tirs et choppa à son tour son arme pour balayer ma direction de tirs. Sachant que nous étions dans une petite pièce, je sortis ma lame en cortosis et parai comme je pouvais les coups qui affluai vers moi.
    Je parai… jusqu’une onde me projeta à nouveau contre un des murs de l’appart’.
    La Force…

    Ange : Tu… !
    P.O. : Surprise, non ?

    Une telle puissante, une telle puissante…
    Je… des images passèrent en trombe devant mes yeux… des images… les mêmes que Coyn… P.O. … Il était donc…


    Ange : NON !!!!!!

    Invoquant mes dernières ressources d’énergies, je fus une des choses des plus stupides et inimaginables que j’aurais pu faire dans ma vie… Enfin… celle-ci n’avait néanmoins pas été volontaire… Un tel lot de rage d’avait pour issue qu’un seul but : ma dernière barrière mentale qui bloquai la Force se rouvrit…

    Des présences… trop de présences… trop des présences…
    Neeja… Mes parents… Je…


    Je sentis un violent coup sur la nuque et les ténèbres m’envahirent…

    lundi 12 juin 2006 - 15:27 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar PeterOctavian

    PeterOctavian

    1550 Crédits

    Quelques minutes auparavant.

    Une migraine …
    À se taper la tête contre les murs …

    Skad : - P.O. ? Ca ne va pas ?
    Grognement rauque.
    Mal …
    Envie de vomir …
    Deux présences …
    Une personne arrive, et elle a pas l’air encline a faire dans la dentelle…
    L’autre…
    Je la sens …
    En …
    Moi.
    Sa voix.
    Oppressante.
    Comme les ténèbres.
    Le genre de voix qui ferait changer de trottoir n’importe quelle personne sensée.
    Le crissement d’ongles sur le tableau noir au beau milieu de la nuit …
    Et en même temps … une voix chaude, séductrice, attirante.
    Et cette voix s’adressait a moi.
    - Laisse moi …
    < Quoi ? Pensai je … Que veux tu ? Qui es tu ? >
    - Qui es tu toi ? Le sais tu seulement ?
    < De quoi tu parles ? Je suis P.O. ! Je suis moi ! Mais ou es tu ? >
    - Je suis proche de toi. Je suis la … ferme tes yeux.
    J’obéissais, mes paupières se fermant presque toutes seules.
    Une présence se dessinait.
    Une autre personne me regardait …
    Brun, un peu plus petit que moi, assurément plus vieux. Les mêmes yeux verts que moi.
    Totalement vêtu de noir. L’arme, sabre laser, qui pend a sa ceinture.
    Ce type émane quelque chose d’étrange.
    J’ouvre les yeux, il disparaît.
    Je les fermes a nouveau, il est la, me fixant intensément.
    - Ca y’est ? Tu peux me voir ?
    < Qui es tu ? Que fais tu la ? >
    - Il m’en a fallu du temps pour arriver a ce stade. La bride de ce foutu (grésillement) à été dure a forcer. Mais je n’ai pas encore libre accès a ta conscience… de même que ta bride a toi n’a pas été détruite.
    < Mais de quoi tu parles ? >
    - Je suis toi, P.O., puisque c’est ainsi que tu prétends t’appeler…
    Le brun me regardait a présent avec un air mêlé de tristesse et d’énervement.
    - C’est moi la cause de tes absences. Où plutôt, c’est toi qui es la cause de la mienne.
    < Moi ? Mais qu’est ce que j’ai fait ? >
    - Rien. Enfin, tu as pris possession de mon corps, involontairement. Tout ça à cause de ce
    ( grésillement ) .
    < Je ne comprends pas … >
    - T’en fais pas, je te ré expliquerais. Pour le moment, on doit s’occuper de notre invitée.
    < Qui ? Mais … pourrais tu être plus clair ? >
    - Ange. C’est elle la clef… C’est grâce à elle si je peux revenir un peu. Si je peux communiquer avec toi… Bon. Prépare toi, elle arrive.
    < ANGE ? >
    - Oui, mon ex…
    < Quoi ? Tu pourrais m’expliquer ? >
    - Plus tard je t’ai dit. Rouvre tes yeux… je tenterais d’intervenir si ça tourne mal.

    J’ouvrais a nouveau mes paupières.
    Je ne comprenais rien.
    Un homme dans ma tête qui prétendait être moi … serais je schizophrène ?
    Mon dieu…
    Et Ange qui arriverait ?
    Je saisis le DL 44 à ma ceinture. Celui d’Ange.
    Trop de questions, pas assez de réponses.
    - Sois confiant, me dit la voix dans ma tête.
    < ***censuré***, je me parle tout seul >
    Skad : - P.O., ça va ?
    La porte vole en éclats.
    Mon esprit sombre a nouveau dans cet état de torpeur …


    Retour a l’instant présent.

    … Sa présence ….
    Je sens nettement la présence de l’homme.
    Il parle avec Ange…
    C’est …
    Ma voix …
    J’aimerais bouger mes mains, mes doigts…
    Rien .
    Je suis en spectateur derrière mon propre regard.

    Je vois Ange tirer sur Skad, les deux protagonistes dialoguer…
    Et Ange voler.
    Les pulsions de violence de l’autre me font encore chavirer dans les ténèbres.


    Ange ...
    Elle est si belle quand elle dort...
    Merci , mon amour , grace à toi , j'ai récupéré mon corps.
    Temporairement , mais je sens que le sort du Jedi ne tiendra pas très longtemps.
    Du moins , si j'arrive a faire s'écrouler les barrières mentales de l'autre abruti.
    Il a l'air si naif !
    J'arrive a communiquer avec lui ... il sera mon instrument, pour le moment.

    Aie ... Ange s'est relevée dans mon dos, et a plantée sa lame en cortosis dans mon épaule gauche.
    ***censuré*** ... Je saigne...
    Je lui décolle une baigne dans la machoire.
    Elle va dormir pour un moment.
    ***censuré***... j'ai mal jugé .
    Et Skad qui a l'air mal en point .
    Grmbl .
    Il peut encore m'être utile.
    Je le porte sur mon épaule droite , et casse la lame en ne laissant qu'un morceau incrusté pour ne pas trop saigner.
    Au moment ou je franchis la porte, j'entend clairement Ange prononcer ...
    - Deux auras...
    Je ricane.

    Une fois dans le vaisseau, je me soigne et je place Skad sur une couchette...
    Direction l'Asmodée. Je dois voir Grinder, et il soignera Skad dans une cuve bacta.
    Ah ... ***censuré*** ... elle m'a fait une cicatrice.
    Tant pis...
    Je vais aller cacher ca ...
    D'autant plus que j'avais bien envie de me faire tatouer.
    ....
    Je vois déja le motif.
    Une sorte de crane avec un masque...
    Les yeux emplis de flammes ... tel ma haine .
    Et , pourquoi pas ?
    Réprouvés.


    mardi 13 juin 2006 - 10:52 Modification Admin Réaction Permalien

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