Base de Tatooine (page 12)
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xeniamnleo
6463 Crédits
J’étais encore sous le choc de la révélation de Sibass, je ne pouvais le voir que différemment maintenant que je savais que nous étions plus proches que je ne le pensais. Mais je devais me concentrer à présent sur la tâche qu’il m’avait confier : en gros j’allais servir d’appât pour éloigner le poisson…Je me dirigeais donc sur l’aile droite du bâtiment comme me l’avais suggéré Sibass. C’est vrai qu’il y avait pas mal de gardes. J’avançais discrètement en me tenant accroupi avant d’arriver à distance de tir des 5 gardes qui patrouillaient…Je dégainais mon DH-17 avant d’envoyer une salve dans le tas. Bien sûr personne ne fût touché, mais à présent toute l’attention était porté sur moi, ce qui était le but. Je remballais mon blaster avant de me remettre rapidement debout et de commencer à courir vers la forêt. Je me retournai pour voir si les gardes me suivaient et je dois dire que j’étais un peu surpris de leur vitesse étant donné leur corpulence. Je parcourais la forêt à toute jambe mais je ne voyais pas encore une bonne issue, peut être parce que le fait d’entendre cinq personnes se rapprocher de vous et voir des tirs de blasters fusaient ne permet pas de pleinement se concentrer. Cependant je repèrai vite une branche assez basse pour être attrapé. Avec l’élan que j’avais, je n’eus pas trop de mal à saisir la branche et à me retrouver perché dans l’arbre. Cependant mes poursuivants n’étaient pas idiots et bien que moins habiles, ils se diriger vers moi, bien résolus à grimper. Aussi je commençai un parcours d’escalade dans cet arbre, afin de me jucher le plus haut possible. A mi hauteur de l’arbre, je décidai de changer de direction et sauter sur l’arbre le plus proche, en me raccrochant de justesse à une liane. Les gardes avaient grimpés dans l’arbre mais avait pris beaucoup de retard sur moi, il faut dire qu’ils n’avaient pas l’air d’avoir été entraînés à grimper. Mais je ne pouvais pas encore me reposer. Je faisais donc le voltigeur d’arbre en arbre, de manière plus ou moins réussie, arrachant parfois la branche à laquelle je me rattrapais mais ayant toujours la chance de trouver un autre appui. Mais j’avais assez pratiquer l’escalade pour m’en sortir et surtout gagner le plus temps sur les gardes afin de ne laisser aucune piste. En parcourant ainsi une grande distance, j’étais sûr d’avoir semé mes poursuivants. Mais je ne voulais prendre aucun risque : aussi, je me redirigeais vers mon point de départ mais toujours par le moyen des arbres. Quand je fus enfin arrivé, je vis au loin que plus personne ne se trouvait autour de la maison. Sibass avait dû faire le ménage…Je descendis prudemment de l’arbre, m’accroupit, et me dirigeai vers le bâtiment. Une fenêtre avait été brisée, certainement pendant l’affrontement. Je me déplaçai jusqu’à cette ouverture et sautai pour entrer dans la maison…
mercredi 14 juin 2006 - 09:32 Modification Admin Réaction Permalien
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Sibass
4239 Crédits
Je regardai Xeniam fuir, emmenant plusieurs gardes derrière lui.
Bien. A moi.
Epaulant mon DLT-20a, je descendis un à un les gardes restant.
Quelques coup répondirent, mais brièvement.
Je trouvais ensuite une fenêtre, que je brisais, et pénétrai à l’intérieur du bâtiment.
La routine.
Blasters automatiques, vite réglé, divers mercenaires taillé en pièce, je ne perdis que trois pdv.
Je faillis tuer Xeniam quand il surgit à l’improviste derrière moi.
- Oh, relax, frérot !
- Ne m’appel pas comme ça.
- On est pas…
- Tu es Guildeur ! Vous êtes des traîtres !
- Quoi ? tu délire, c’est toi qui as…
- NE M’INSULTE PAS ! Vous avez tués Padmenat !
- Qui ? Ah ! oui… ta femme. Mais ? J’ai rien fait ! et… la Guilde, c’est… mon dieu… la datacarte.
- Tu commences à comprendre. La preuve est la dessus. Vous… Attention !
Un garde apparut à l’angle du couloir. Je dégainai mon SC-15, et le tuai avant qu’il n’ouvre le feu.
- La Guilde ne l’aurait pas tué sans bonne raison.
- Il n’y a pas de bonne raison. J’aurais la tête du coupable.
- Et si la raison est sur la carte ?
- J’en doute. Il n’y a que des ordres de mission. Mais c’est sans importance. Le responsable payera. Quel qu’il soit. Redis qu’il y avait une bonne raison pour qu’elle meurt, et frère ou pas, je te tue.
Il ne répondit rien.
Trouver Nial ne fut pas compliqué. Eliminer sa « Garde d’élite » fut enfantin (brave Relby^^)
- Nial.
- Oh mon dieu… Sibass.
- Tu vas me donner bien gentiment la clef du codage des infos contenue sur ta carte.
- Contre ma vie.
- Dites, intervint Xeniam, si on y allais ? Non, parce que les gardes que j’ai semé ont du revenir, ils vont…
- Tu ne les as pas tués ?
- Ben, non…
- Tu es entouré d’incapable, Sibass ?
Je giflais Nial.
- Silence. Bon, on l’emmène. On l’interrogera plus tard. Xeniam. Programme le détonateur du rodien pour exploser dans 5 minutes.
- Heu… on fuit par où ?
- Fenêtre, plus rapide.
Le feu d’artifice eut lieu, mais nous étions déjà loin.
Suite à une communication holographique un peu houleuse, j’obtint la prime contre la promesse de faire souffrir Nial le plus longtemps possible. Je parvins à les convaincre qu’il avait tué l’un de mes hommes, les commanditaires comprirent mon besoin de vengeance.
- Bon, maintenant, Nial, tu vas parler. Ils pensent que toutes les informations sont détruite, je peut donc à loisir jouer avec toi.
Je pris mon cutter laser.
- La clef, s’il te plait.
- Sibass… écoute, on peut s’arranger.
- Oui. Donne la clef, tu mourras vite. Sinon, tu n’es pas prêt de cesser de souffrir.
Xeniam entra dans la pièce.
- Sib…
- Sors de là, Guildeur ! Quitte cette maison. Tu auras ton argent. Notre travail d’équipe est finit. Part, ou meurt. Je t’ai supporté assez longtemps.
- Je dois défendre la Guilde. Et j’ai promis à Edo de détruire toutes les informations.
Il sortit son arme, et tira deux coup en plein dans la poitrine de Nial.
- NOOOOOOOON !
Il sortit en courant. Je le poursuivi en courant jusqu’à ce qu’il sorte. Il fallait que je sauve Nial.
- Tiens bon, Nial ! Je vais te sauver.
- Ja… jamais, Sib. Tu… as… perdu.
Il étouffa un rire avant de rendre l’âme..
Je tombais à genoux.
Décoder la carte prendrais des mois, si cela était possible.
Epuisé, enragé, a bout, j’éclatai en sanglot.
Padmenat.
Tu seras vengée.
Je le jure.
Gain pour Xeniam : 120 000 crd.
Pour moi : 180 000
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Guildeur indépendant.
Co-fondateur du R.H.HU.M
Pryvette geoqueCe message a été modifié par: Sibass le 15-06-2006 12:52jeudi 15 juin 2006 - 01:24 Modification Admin Réaction Permalien
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Jesand
7509 Crédits
Capturer un hutt, Gurja, chef de clan très important sur Nal Hutta. Vivant. 500 000 crd.
- Allez Lyster, c’est 500 000 crédits directs dans mon compte! Imagine les modifications que je vais pouvoir faire comme modification sur le Saber…. Sans compter un petit rajout dans tes circuits..
Et voilà, les lamentations du droide R7 reprennent de plus belle. Cela fait déjà 10 minutes que la discussion est lancée et le droide R7 semble tenir son bout.
- C’est juste un Hutt!!! Et depuis quand un droide se doit de contredire son maître?
La réponse s’inscrit sur l’écran du poste de pilotage :
Depuis qu’un droide à le droit à son opinion!
- Tu parles d’un droide…. Bon! Si tu te lamentes une fois de plus sur cette mission, je te découpe et t’envois en petit morceau à ton créateur. Est-ce clair?
Le droide s’apaise et disparaît du poste de pilotage. Jésand soupire. Il se lève et se dirige vers la salle de repos.
- Hey, nouvelle mission
Les 5 PNJ jettent un coup d’œil à Jésand.
- Nous allons sur Nal Hutta.
- NAL HUTTA?
- Nous partons à la chasse au Hutt!
Krystal fronce les sourcils;
- C’est pour ça que Lyster courrait partout.
- Nous partons qu’en?, s’informe Zephir.
- Maintenant. Armif? Tu peux garder le vaisseau?
- Ouais, je pense bien. Lyster ne devrait pas être trop dure à garder…
- Y’a autant de caractère que son maître, lance doucement Quert.
Jésand sourit et retourne au poste de pilotage. Il passe la main sur sa joue en s’assoyant. Décidant de garder un souvenir du tragique combat sur Coyn, Jésand refuse d’utilisé les traitements médicaux pour faire partir ses cicatrices. Celle sur sa joue est la plus marquante. Jésand empoigne les commandes et Armif vient s’asseoir sur le siège du co-pilote.
- On peut me trouver les coordonnées de Nal Hutta?
Un léger sifflotement retentit dans la pièce déjà remplie.
- Ha! Merci Lyster! Vient te connecter au Saber.
Le petit droide vient s’installer et calcul les coordonnées.
- Nous y serons dans environ deux heures, non?, dit Zol.
Lyster affiche sa réponse à l’écran.
- Pour cinq minutes…. Et la précision est importante!?!?, s’exclame Jésand en voyant la deuxième réponse.
Les autres éclatent de rire et le Saber décolle doucement.
- Lyster, pourrais-tu avoir la gentillesse d’envoyer un message Sib’ disant que l’on va chercher de l’argent?
Il y a quelques sifflements comme réponse. Le YT-2000 arrive dans l’espace. Les limites pour l’hyperespace sont maintenant qu’à une centaine de kilomètres. Le Saber est maintenant prêt pour le saut ; il augment de vitesse et s’engage dans l’hyperespace.
Le Saber réapparaît dans l’espace deux heures, cinq minutes et 30 secondes plus tard, selon les calculs de Lyster. La planète contrôlée par les Hutt semble être polluée et pas très… enjouée.
- Lyster, tu peux faire apparaître des informations sur cette planète infecte?
L’écran affiche les informations avec quelques photos.
- Je vois….
- On se pose où, Jes?, demande Quert en regardant par-dessus son épaule
- Je n’ai pas d’information concernant le lieu exacte de la position de se Hutt, en plus ils se ressemblent tous…
- Il le faut mort, j’espère?
- Le problème, il est là.
- Qu’il soit mort?
- Non, le contraire, Krystal
- Vivant?, s’exclame à l’unisson le reste de l’équipe.
- Oui.. Bon, descendons vers la planète. Peut-être qu’ils seront sympathiques…. Lyster, engage les tourelles automatiques si nous sommes attaqués.
Le vaisseau descend lentement vers la planète. Rapidement, une voix rauque retentie dans le vaisseau en Hutt :
- Chuba! Ah'chuba da naga.
- Non mais tu penses vraiment que je suis un Hutt ? Oulà, et le basic, tu connais ? Et où sont donc passer les bonnes manières ?
En arrière de Jésand, Quert et Zol ne peuvent s’empêcher de rire.
- Vous venez faire quoi ici ?, reprend la voix en parlant un basic pas si mal.
- Nous sommes venus pour affaire.
- Combien de passager ?
- 6 et un droide.
- Quel genre d’affaire ?
- Je dois accomplir une mission
- Chasseur de prime, alors ?
- C’est qu’il est brillant de l’autre côté
Deux tires rouges passent prêt de la coque.
- Tenez votre langue pour ce genre de remarque.
- Mon cher, tu ne sais pas à qui tu t’attaques.
- Ha bon ?
- Et ouais.
- Vous venez voir qui ?
Jésand fait signe à Lyster de faire apparaître le nom du Hutt.
- Gurja le Hutt.
- Je n’ai pas été informé qu’une prime avait été lancée par Gurja…. Mais il y en a tellement.
- Puis-je me poser ?
- Pas encore… Votre nom ?
Jésand retient sa respiration quelques secondes. Si jamais ils savent qu’ils appartiennent aux réprouvés, son vaisseau serait désintégré.
- Terol….
- Ok, monsieur.. Terol, plate formes 10. Vous allez avoir besoin d’aide pour retrouver votre chemin ?
- Non non, ça va aller, dit Jésand en pensant aux désastres que ça pourrait engendrer.
- Bon séjour.
La voix s’éteint et Jésand pousse un juron.
- C’est qui, ce Terol ?
- Mon grand-père… Une chance que je lui ressemble…
- Tous les Vurk se ressemblent, si tu veux mon avis, dit Zephir.
- Tous ? Tu n’as pas de bons yeux, alors.
Le Saber s’approche lentement de la plate-forme.
- Au fait, nous allons avoir un comité d’accueil ?
Jésand dévisage Krystal.
- Lyster, place les tourelles automatique sous tes ordres. Si y’a un danger, fait les crachés ce qu’ils sont.jeudi 15 juin 2006 - 02:20 Modification Admin Réaction Permalien
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darkscorpionw
3935 Crédits
Mission G
Un joli matin sur Tatooine. Les deux soleils commencent à percer le ciel de leurs rayons…
La Base s’illumine. D’un coup, je me réveille. Je reste malgré tout en léthargie. Il est l’heure de se lever. En plus, aujourd’hui,… mission !
J’dois aller récupérer du matos volé aux Impériaux… 17 caisses…j’sens que je vais m’amuser encore…
Et puis, personne pour m’aider…
Enfin, on va faire avec.
Sans tarder, je m’habille, me lave vite fait, et suis paré à partir. J’ai faim. Je n’ai rien mangé depuis deux jours. Dans sa grande bonté, Sib’ m’offre quelques vivres que j’engloutis aussitôt.
Mon Baudo est prêt à décoller. Je fais les dernières vérifications et enclenche les réacteurs. En dessous, je vois quelques amis qui, d’un clin d’œil, me souhaitent bonne chance. C’est touchant… ou alors savent-ils déjà que je ne reviendrais pas…
Le sol s’éloigne. De nombreuses pensées m’envahissent, toutes aussi stressantes les unes que les autres…
Hyperespace…il faut que je fasse le saut. Ca y est. Pilotage automatique enclenché.
Je sors du cockpit, et me diriges vers la couchette. J’ai une heure dix d’hyperespace alors… autant en profiter. Je m’allonge. Je sors mon Database, et essaie de trouver des infos sur mon contact.
Un Dévaronien, qu’ils disent. Eh bien, restait à le trouver en plein Bastion…
Le sommeil, quel beau moment… Je ferme les deux yeux. Des rêves plein les yeux, je m’endors. Une bonne demi-heure passe.
Soudain, les senseurs s’affolent. L’Hyperespace s’annule. Tout se bouscule dans le vaisseau.
Pas possible, ça, on peut jamais dormir tranquille !
Deux TIE en approche. Manquait plus que ça. Heureusement que j’avais eu l’idée de faire des faux papiers juste avant mon départ…
Un numéro d’identification ? Ca allait poser problème… J’en avais pas.
Invente en un, DS, vite !
Les codes impériaux sont tous sur la même base…
Suffit de créer un petit code, pas bien dur…le reste sera l’œuvre de la Chance.
Garde impérial : Vous allez pénétrer un espace impérial, veuillez décliner votre identité, votre motif d’atterrissage, et votre code d’identification.
Je m’exécutai, croisant les doigts.
Garde impérial : Votre motif, vous dites que vous venez chercher un ami ?
Moi : Ben, oui, c’est la vérité.
Garde : Son nom ?
Moi : euh…Gorak, il est dévaronien…
Garde : Mouais, je ferme les yeux…allez-y, passez.
Une étape de franchie, et pas petite…L’astroport était en vue. Des gardes, encore et toujours. Il y en avait partout. Plate-forme 14 P-0214… Peuvent pas trouver des noms plus simples, ceux-là !
Le nom importe peu, tant que j’ai la place qui m’est due…
A peine sorti de mon vaisseau, un garde vient à ma rencontre. Il me demande ce que je viens faire ici.
Garde : Qu’est-ce qu’un non-impérial fait sur cette planète ?
Moi : Vous ne saviez donc pas que votre commandant de régiment fêtait ses 40 ans ?
Garde : Hein ??
Moi : Je suis négociant en Cotyg, pour le compte du Grand NagaShadow… et je viens livrer quelques bouteilles.
Garde : Si ce n’est que cela alors… Vous voulez de l’aide ?
Moi : Non, merci, cela ira, je vous remercie quand même.
Le garde tourne les talons, se dirigeant vers un autre garde. Je peux l’entendre dire « Un négociant.. très distingué. »
Je remerciais Naga de m'avoir offert ces quelques caisses...
Maintenant, tout cela allait commencer…jeudi 15 juin 2006 - 21:06 Modification Admin Réaction Permalien
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Sibass
4239 Crédits
Jes’ : Bon, ben, bienvenu sur Nal Hutta. A toi de trouver le palais du hutt, et de voir comment tu vas y entrer. Fais-toi discret, n’oublie pas que ta tête est mise à prix ! Fait très attention, sous peine de devenir la proie…
DS : Tu as raison, en effet. Ton changement subit de motif a éveillé les soupçons. Ben, oui, ici, c’est Bastion, pas Tatooine ! Te voila suivis, mais cherches pas, c’est des pro, tu ne les verra que lors de l’attaque.
(N’oublie pas que tu dois perdre une caisse.)
Bonne chance à vous deux.samedi 17 juin 2006 - 19:45 Modification Admin Réaction Permalien
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Jesand
7509 Crédits
Cela fait déjà quelques minutes que le Saber est posé, et il n’y a pas encore de comité d’accueil, ce qui est rassurant.
- On peut sortir? demande Krystal
- Hum... Zol, tu peux aller vérifier avec Zephir que la voix est libre?
- Mouais, ça ne causera pas trop de problèmes, selon moi.
Les deux s’éclipsent du poste de pilotage. Peu de temps après, ils réapparaissent dehors, près du poste de pilotage. Zephir fait signe qu’il n’y a aucun problème. Les autres descendent et Jésand s’arrête près d’un fauteuil. Il glisse sa main en dessous et sort une petite mallette. Il l’ouvre et sort une petite cape noire. Il se la met sur le dos et l’attache solidement. Ça ne cache pas son visage, mais au moins, il peu inspiré plus de choses à quelqu’un, surtout avec Zephir qui va faire office de garde du corps. Il prend dans la mallette des fléchettes soporifiques et les glisse à sa ceinture. Il prend aussi quelques flacons d’un liquide transparent.
- Ça va prendre combien de flèches, selon toi, un hutt?
- Si y’a moyen de lui faire avaler la flèche ou le poison, ça irait bien mieux.
- Jésand, Krystal, vous faites quoi? J’ai l’impression que l’on nous observe, dit Quert du dehors.
Jésand se relève, ferme la cape autour de lui et descend dehors.
- À l’avenir, appelé moi Terol et faites comme si vous étiez tous sous mes ordres, genre esclave, et non frères d’armes
- Je vois…. Profite en pas trop!
Le groupe au complet sortit, Lyster lance un cri en guise de bonne chance et ferme le Saber et active les systèmes automatiques de défense. Zephir et Quert à ses côtés, Jésand avance la tête base vers le premier bâtiment. Si le gars des douanes ne sait pas tromper, le palais le plus près devrait être celui du seul hutt qui va se promener dans le Saber. Krystal et Zol ferment la marche. Ils avancent vers une porte et deux gardes lourdement armés sortent. Jésand reste en retrait, une main sur son S-5. Zephir s’avance vers les deux gardes.
- Que puis-je pour vous?,demande le premier garde.
- Nous sommes venus rencontrer Gurja le Hutt.
- Avez-vous un rendez-vous?,demande le second.
- Nous venons d’accomplir une mission au compte de Gurja et mon…. Maître souhaiterait avoir la prime.
- Et qui est votre maître?
- Terol, le vurk vêtu de noir.
Les gardes tournent la tête et dévisagent Jésand. Ils doivent être au courrant de tout ce qui se passe dans le domaine des primes. S’ils pensent à un interrogatoire, la mission vient d’être fini.
- Terol….?
Jésand lève la tête haute, pour être plus imposant.
- Oui, c’est moi. Si vous voyez un problème à nous laisser passer, je vais devoir demander à mes gardes de s’occuper de votre cas.
Zephir met en valeur son E-11 et sa vibro-rapière. Krystal fait de même.
- Si vos avez vos ordres de Gurja, vous êtes sans problèmes pour nous. Vous pouvez passer.
- Merci. Oh fait, je voudrais savoir, vous vous chargez seulement de cette plate-forme?
- Oui, Gurja le Hutt a assez de gardes pour que chacun soit attiré à une zone petite. Pourquoi?
- Pour lui dire que vous avez faillit à votre tâche, dit Jésand en se rapprochant rapidement des deux hommes
- Faillit à notre tâche?
Jésand fait signe de la tête d’assommer les deux gardes. Ils se dépêchent de rentrer.
- Cachez les et ligoter-les.
- Tu prends ton rôle de maître à cœur.
- Ha ouais, Quert?, dit Jésand en laissant paraître que ses deux mains sont armées. Je pense plutôt que je viens de m’empêcher de descendre deux gardes.
- Rhoooo.
- On y va.
Le groupe reprend le chemin en espérant ne pas être reconnu. Ils arrivent rapidement devant le premier groupe de sécurité.
- Halte. Vos papiers je vous pris.
Ha m****
- Nous venons ici pour discuter avec Gurja le Hutt concernant une prime
- Une prime? Je veux quand même vos papiers
À vue d’œil, ils sont cinq. Ils peuvent les neutraliser rapidement s’ils font attention. Krystal et Quert prennent leurs lames doucement dans leurs mains.
- Je ne vois pas de problème.
Jésand glisse son DH-17 dans son holster et prend ses papiers dans une poche.
La prochaine fois je vais demander d’avoir une fausse carte…Grrrr
Jésand lui tend et, toujours sous sa longue cape, change la fonction de son S-5 pour des flèches paralysantes. L’homme regarde les papiers, puis Jésand.
- Votre nom est Jésand Wand Kyl? Si je me fis à nos informations, votre tête est à prix. Vous êtes en…
L’homme n’a pas le tend de finir ; une fléchette se loge dans son cou et il tombe sur le garde en arrière. Quert et Krystal ne pensent pas juste à assommer cette fois. Les gardes sont armés et plus brillant que les autres. Il faut donc tuer en silence. Jésand tire une autre fléchette. Rapidement, les 5 gardes sont neutralisés.
- Zephir et Quert, placez les dans une autre intersection en faisant attention au sang. Nous ne devons pas être repérés.
- Compris.
- Rejoignez-nous dans la pièce à droite.
Jésand s’y engouffre en gardant son S-5 haut. Krystal et Zol le suivent. Zol allument la lumière pour vérifier qu’il n’y a aucune porte n’y aucun intrus. Tout le monde se cache et Zol éteint la lumière.lundi 19 juin 2006 - 02:43 Modification Admin Réaction Permalien
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darkscorpionw
3935 Crédits
Eh ***censuré*** ! Je suis suivi, je le sais. Seul problème…je ne les vois pas.
Je décide donc de continuer mes petites affaires. Le dévaronien, il est là !
Mais…entouré de deux gardes, qui semblent l’interroger sur ses motifs à lui aussi. Heureusement pour moi, il arrive à s’en défaire. Comment ? J’en sais rien, et ne préfère rien savoir. Ici, moins on en sait, mieux on se porte.
Le dévaronien s’approche. Il maîtrise bien le Basic .
Gorak : Euh… Vous êtes … comment dire …affilié à la Guilde ?
Moi : Oui, mais, soyez gentil, parlez moins fort… je suis certain qu’on nous écoute.
Gorak, à voix basse : Bien, donc, euh … la marchandise est par-là.
Moi : Vous avez de quoi la transporter jusqu’à mon vaisseau ?
Gorak : Un simple esquif .
Moi : … Que foutez-vous avec un esquif ici ?
Gorak : Officiellement, je transporte les troupes impériales qui sont sur Bastion de camps en camps. Je suis un … chauffeur.
Moi : Bien, alors, montrez-moi les caisses.
Il m’emmène dans un petit garage, où seul son esquif est garé. Derrière, des caisses. Y’en a dix-sept !
J’vais m’amuser. Aidé de Gorak, je les charge une par une sur l’esquif. En vingt minutes, l’affaire est pliée.
Au moment de sortir du hangar, nous nous trouvons face à un barrage . Des impériaux, et pas n’importe lesquels. Dans le temps, j’en avais rencontré… Des commandos !
Me voilà verni. Armés jusqu’aux dents, spécialistes des techniques de combat les plus difficiles à assimiler…contre Gorak, petit dévaronien sans arme, et moi, qui, même armé, et pas trop pitoyable au combat, reste seul contre cinq.
En plus, ils ne perdent pas de temps. Deux restent en arrière, l’un avec un DH-17 en main, l’autre un E-11 .
Les trois autres ? Vibro-lames . Voyant Gorak désarmé, je lui envoie mon E-11.
Avant de me faire plomber, je me planque derrière une simple caissette . Les tirs pleuvent. Je pense, longtemps, trop longtemps, et c’est un tir me rasant la nuque qui me tire de cette interminable réflexion. Je sais quoi faire. Je visualise la situation maintenant.
Le crochet de fermeture du hangar, il faut que… oui !
Je lance ma vibro-lame, qui percute de plein fouet l’interrupteur de fermeture de la porte. Le crochet qui était posé sur l’interrupteur valse. Un de moins, crocheté à la tête. Mon but avec la fermeture ? Les coincer dans un espace restreint. Et j’y arrive. Bientôt, la porte est totalement fermée. L’un meurt sans comprendre ce qui lui arrive. Ma vibro-lame… égorgé.
Soudain, j’entends un cri du côté de Gorak. Je me précipite, essuyant un tir sur le blouson que je porte. Gorak est étendu sous un corps. Quant tout à coup, le corps du dessus bouge. Mais j’entends la voix de Gorak. Ainsi, il l’a tué ! En reste deux.
L’un touche Gorak à l’épaule droite avant que je n’ai le temps, attrapant un blaster, de le tuer. Il finira quand même par l’être.
Le dernier semble être coriace. Un pro, qui menait des gars en phase de le devenir. Il me regarde, et sort une épée en cortosis. Il la manie bien, trop bien même. Je n’ai d’autre choix que je combattre, créant ainsi une diversion pour qu’à cinq reprises, Gorak puisse le plomber.
Manque de chances, c’est comme si il sentait tout venir. Je suis touché à la hanche, sans trop de mal, puisque c’est avec le manche de son épée qu’il a frappé ici. Je suis à terre, je crois qu’il va m’achever. Tel est mon destin. Mourir ainsi.
Il lève les deux bras, tenant haut son épée, lorsque je vois, dans une giclée de sang immonde qui se répand sur le sol, qu’il vient d’être poignardé. Mais…par qui ?
Je me relève, et voit Gorak apeuré, caché derrière son esquif. Ce n’est donc pas lui qui m’a sauvé la vie … Mais…qui alors ?
A croire qu’ils me veulent vivant !
Je reprends mes esprits, aide le dévaronien à retrouver un état à peu près normal, et je monte sur l’esquif. Gorak ouvre la porte, et monte de suite. Nous sortons. Aucun garde extérieur au bâtiment ne semble avoir été interpellé par l’altercation qu’il y eût dans le hangar. Dans un sens, je ne peux qu’en être satisfait.
Mais, ne traînons pas. Nous fonçons à travers les camps pour rejoindre au plus vite mon vaisseau, toujours posé et en bon état, du moins, je crois.
Soudain, une salve explose à l’avant du véhicule. Je m’y précipite. A mon grand damne, une caisse venait de sauter, et ce qu’elle contenait avec. Je vois, regardant la trajectoire probable du missile suite à de simples calculs, qu’un groupe d’impériaux nous a pris pour cible. Pourquoi ? Sans doute sont-ils au courant de ma véritable identité. Il ne faut plus traîner, je reviens à l’arrière.
Gorak : C’était quoi se truc ?
Moi : Des impériaux, ils savent qui nous sommes, et à mon avis, on ferait mieux de ne pas traîner. On a eu de la chance…
Gorak : De la CHANCE ??? Tu te moques de moi ???
Moi : Non, pas du tout, imagines que la salve ait pété vingt-cinq centimètres en dessous…on sautait avec !
Il se tait , et fonce. Bientôt, le vaisseau est en vue. A priori, en bon état aussi.
Nous descendons, et commençons, dans une hâte frôlant la folie furieuse, à recharger dans le vaisseau les seize caisses. Seize…mon chiffre porte-bonheur ! Allait-il le rester ? Quid…
Bientôt, tout est chargé.
Un impérial, sûrement un officier, arrive à ma portée.
Officier : Messieurs, j’ai le regret de vous dire que vous n’allez pas partir…
Gorak me fixe longuement, me montre un détonateur thermique qu’il a sous sa veste, et, à vois basse, me dit…
Gorak : Monte, et décolles. Ils croient que tu n’oseras pas. Je connais leurs hommes et leurs tactiques. Le temps que les soldats lourds pouvant te dézinguer arrivent, tu seras loin. Je vais créer quelque chose qui les divertira.
Moi : Mon vieux, je t'oublierais jamais !
Il enclenche son détonateur thermique. Je me retourne, sourit à l’officier, qui commence à me gueuler après, et à dire à ses hommes de m’abattre, et saute dans le vaisseau. Il ne me faut pas longtemps avant de décoller. Quelques mètres en dessous, Gorak se fait exploser. L’officier n’est plus, ses hommes non plus, mais Gorak y aura laissé la vie. Avait-il de la famille, sûrement pas…mais, il méritait au moins que je demande à la Guilde qu’on lui monte une stèle décente.
L’explosion a dégagé une épaisse fumée, et une affreuse odeur de corps carbonisés. Les renforts impériaux s’attèlent à nettoyer le pus vite possible l’endroit. L’atmosphère est à peine passée que bientôt, je me retrouve avec cinq TIE accolés au troufion…lundi 19 juin 2006 - 09:56 Modification Admin Réaction Permalien
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Gallia
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Phase 2 : Tuer ma proie.
Sur le chemin du retour, j’aperçus des gardes autour de ma planque. Ils étaient une dizaine à fureter…Ils scrutaient le coin. Il ne fallait pas qu’ils me voient. Je devais à tout prix remonter sur le toit pour effacer toutes les traces de mon passage. Je me faufilai dans la ruelle sombre et me planquai derrière du bordel. Un homme passa devant moi. Je retins alors ma respiration. Il continua son chemin sans me voir. Lorsqu’il fut assez éloigné pour ne pas repérer ma présence, j’avançai à raz le sol, pour me rapprocher de ma planque. Je n’étais plus qu’à quelques pas … J’entendis des hommes parler qui se rapprochaient. Ils s’arrêtèrent juste devant l’amas de détritus qui me servait d’échelle, mais n’y portèrent aucune attention. Ils restèrent à cet endroit pendant quelques minutes, puis, continuèrent leurs investigations. Lorsqu’il n’y eut plus aucun danger, je m’avançai vers mon échelle de fortune, et grimpai. Il n’y avait personne en haut. Je me dépêchai de ramasser ce que j’avais laissé sur le sol, et toutes les traces de ma présence.
_ Vous deux allez regarder sur les toits ! Ordonna l’un deux.
A ce moment là, le battement de mon cœur s’accéléra. Sans attendre, je descendis de ma planque….j’entendais leurs pas approcher de plus en plus….une fois en bas je me jetai dans la première cachette que je trouvai. Juste à temps ! Les deux hommes montèrent sur les détritus pour atteindre le toit de la maison…
J’étais restée jusqu’à la tombée de la nuit dans ma cachette. Les gardes, eux, étaient partis depuis belle lurette, mais je n’avais pas bougée. Il était tard. J’observai la ruelle, puis, sortis de ma planque. Il n’y avait rien de suspect. La nuit était noire…
Il était 2h10. Il y avait de la lumière dans la chambre. J’escaladai l’échelle que j’avais fabriqué quelques jours auparavant pour atteindre la fenêtre. Je regardai l’intérieur : la jeune femme était là, paisible et heureuse…
2h30. Le moment clé approchait à grand pas…Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte. La jeune femme se leva et se dirigea hors de la pièce. Sans perdre une seconde, je passai par la fenêtre et m’introduisis discrètement dans la chambre. Je les entendais parler. Ils approchaient …Je me planquai derrière la porte et dégainai ma vibro-rapière. J’étais prête à donner le coup fatal. La jeune femme entra dans la pièce suivie de son amant. Ils me tournaient le dos… De mon arme, je tranchai la gorge de ma proie. Le sang gicla sur le dos de sa compagne, que j’assommai d’un coup fort à la tète avant qu’elle ne pu se retourner. Elle tomba sur le cadavre du haut dignitaire. Je tranchai définitivement la tête du haut dignitaire et l’emportai avec moi…vendredi 23 juin 2006 - 12:34 Modification Admin Réaction Permalien
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Sibass
4239 Crédits
Jes : Pas de chance. Tu t’es caché dans l’un des abris des gardes.
Une porte au fond de la pièce s’ouvre, et deux hommes entre en riant.
Ils se figent en vous voyant. Zol tue le premier homme, mais le second déclenche l’alarme avant d’y passer à son tour.
Amuse-toi bien… et tache de te faire vite oublier ! (perds au moins 3 PDV, et 3 à répartir parmi tes PNJ.)
DS : tu perds 2 PDV. Ah ! une bataille spatiale !
Quelle dommage qu’on ne puisse se la faire sur msn, dé en main.
Saleté de travail.
Bref.
Les TIE ont visiblement pour ordre de te descendre. Et on est sur Bastion. Je te conseil de t’activer, car des renforts ne devrait pas tarder.
Genre plusieurs autres escadron… des vaisseaux plus lourd…
Un des TIE ouvre le feu. Tes boucliers résistent. Nouvelle salve. Une console explose quelque part dans un couloir. Une odeur de câbles brûlés te saisis. Il te faut agir, vite.
Et tu es encore trop près de la planète pour espérer passer en hyper-espace… le combat est inévitable.
Bonne chance.
Gallia : Mission finie. Je me suis piégé avec mes consignes, tu n’as pas fait un seul combat digne de ce nom. Attends voir la prochaine mission.
Bref, bien joué. ^^
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Guildeur indépendant.
Co-fondateur du R.H.HU.M
Pryvette geoqueCe message a été modifié par: Sibass le 25-06-2006 12:39dimanche 25 juin 2006 - 12:37 Modification Admin Réaction Permalien
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Jesand
7509 Crédits
Sibass, tu vas me le payer!!!
L’alarme résonne contre la cloison. Échappant un juron typique de sa race, Jésand descend le second soldat.
- Je déteste les hutt, marmonne Jésand en jetant un coup d’œil par-dessus son épaule.
Les deux autres les rejoignent.
- Peut-on me dire qui est le cinglé qui a parti l’alarme? , demande Quert, arme en main.
Tout le monde pointe le corps au sol.
- Intrus dans la section 8. Intrus dans la section 8.
Et l’alarme continue de plus belle…
- Ils ne peuvent pas avoir des technologies un peu moins avancés?
Jésand enlève sa cape pour avoir bouger plus vite. Tout le monde s’arme. Zol va fermer du mieux qu’il le peut la porte d’où venait les gardes. Zephir s’approche de l’autre et met des meubles devant. Il ne reste qu’une porte.
- Zephir passe en premier, les autres suivront. Compris? Foncez!
Jésand prend un détonateur de classe A et le place près d’une porte. Il s’élance vers l’autre porte et la referme après son passage. Il court le plus vite qu’il peut et rejoint les autres. Ils se retrouvent dans une intersection. Puis, on entend une terrible explosion.
- Tu as fait quoi?
- Laissez un cadeau, dit Jésand distrait.
Des bruits de pas se font entendre par l’un des trois couloirs devant eux. Jésand balance un détonateur de classe B dans le couloir qui s’écroule. Il fait signe de continuer le chemin par la droite avant de les suivre. Il se retourne vivement et ne voit personne. Il envoie un autre détonateur, espérant ralentir la course de ses poursuivants. Les autres l’attendent au bout du couloir, devant quelques soldats. Les tires se font déjà remarquer. … Et l’alarme va finir par rendre fou tout le monde!
- Il faut quitter le bâtiment, dit Jésand en se joignant au groupe.
- Impossible, il faut d’avoir s’occuper du Hutt. Si on parvient à lui, les gardes nous lâcheront.
Un tire percute le bras gauche de Jésand, lui arrachant un cri de douleur. Zol descend l’homme.
- Je t’approuve, dit Zol à Krystal.
- Faut se faire invisible, dit Zephir avant de recevoir un tire dans le haut d’une aile.
Quert défonce une porte et tout le monde s’y engouffre. Krystal et Zephir se postent de chaque côté pour empêcher les gardes d’entrés.
- On fait comment pour disparaître? Pour se rendre invisible, demande Quert à Zephir.
- Il faut s’infiltrer dans des quartiers plus tranquilles, quitter le bâtiment….
- Quartier tranquille? Nous sommes recherchés par les forces de sécurités d’un des pires Hutt de cette planète, réplique Jésand.
- On peut simuler notre mort dans une explosion.
- Comment peut-on le faire, Zol?
- Simple, Quert. Avec un détonateur, on peut faire une explosion. On met dans morceaux de notre linge ici et là, peut-être des armes, et le tour est joué!
Jésand réfléchit et décide du plan. Il arrache une plaque de son armure qui jette au sol avec une vibro-dague et son DH-17. Les autres se coupent des morceaux de vêtements. Sauf Krystal et Zephir, occupez à la porte. Jésand leur fait signe de quitter la pièce par une autre porte qui mène sur un balcon. Quert se dépêche avec Zol à placer un lourd meuble devant l’entrée vers le couloir. Jésand met un détonateur thermique au sol, son dernier. Il quitte la pièce. Du balcon, il tire un laser, ce qui provoque l’écroulement du toit de la pièce. Le commando étant dehors, c’est le temps de mettre au point la mission en étant un peu plus calme. Zephir et Zol sont blessés et Jésand perd un peu de sang au bras.
- On rejoint le Hutt comment?
- J’ai un grappin et un S-5 pouvant soutenir une personne. Zephir, tu peux utiliser tes ailes?
- Le tire n’a heureusement pas endommagé mon aile gravement. C’est assez léger comme blessure.
- On monte d’un étage.
Jésand détache son grappin et le lance en haut du mur. Il prend son S-5 et vise sur le rebord d’une fenêtre. Il se laisse monter. Zephir monte lentement avec ses ailes et les autres utilisent le grappin. Rendu en haut, tout le monde se colle entre eux pour prendre le moins de place. Krystal reprend le grappin. Jésand s’apprête à tirer dans la fenêtre quand des bruits de pas plus bas se font entendre. Par l’autre entré du balcon vient d’apparaître quelques gardes. Tout le monde garde son sens froid et ne respire plus. Les secondes semblent être des minutes. Les gardes font demi-tour et retourne vers la porte. Celle-ci se referme et Jésand jette un coup d’œil par la fenêtre en prenant sa respiration. Il tire un laser avec son S-5 et s’engouffre rapidement dans le couloir. Celui-ci semble être désert. Les autres le suivent.
- Je vois…..
- Tu vois quoi? , demande Zephir.
- Rien de particulier, répond Jésand. C’est seulement trop calme. Ça sent le piège.
Le groupe se dirige vers la gauche en se fiant à la largeur du couloir. Si celui-ci est large, les appartements du Hutt ne doivent pas être loin. Au tournant, ils se retrouvent nez à nez avec un corps de garde. À cet étage, l’alarme est un peu moins forte, mais les gardes sont quand même présent. Ils sont cinq. Jésand a le temps de flanquer un coup de S-5 dans le coup du premier avant de recevoir un lourd coup à la tête. Les autres essaient d’être discret pour les éliminer. Jésand reprend ses esprits et lance sa dernière vibro-dague dans le corps du garde le plus proche. Il s’écroule. Krystal est blessée en dessous de l’œil par un coup de point et Zol à une coupure au bras gauche. Elle saigne un peu. Jésand se relève.
- Désolez, mais nous n'avons pas le temps de nous soigner, dit Jésand en s’empêchant de perde équilibre.
Le coup fut plus violent qu’il ne l’aurait pensé. Ils reprennent le chemin en espérant trouver cette saleté de Hutt. Ils parviennent à une large porte après avoir décimé les gardes aux portes.
- Ils doivent être nombreux à l’intérieur.
- On procède comment, Jésand?
- Je n'ai aucune idée. Nous pouvons foncer dans le tas ou bien localier le Hutt et mettre les gardes au courrant de ce qui risque d’arriver. S’il y a un problème, le Hutt va souffrir. Et si en plus ils commencent à nous tirer, faites le plus de dégâts et tuer le hutt si on perd un homme. Aucun commentaire ne sera accepté, compris? Allons-y!
Jésand prend son S-5 et change les fléchettes pour des fléchettes faisant souffrir énormément la cible. Jésand s’avance vers la porte. Zol se place sur le côté et essaie d’ouvrir la porte avec l’ordinateur. Comme il n’est pas un espion, il ne sait pas comment faire un court-circuit. Puis, il tire un laser dans l’ordinateur. Zephir s’approche et ouvre la porte avec Quert. Le hutt est dans le fond de la salle, avec une dizaine de gardes lourdement armés. Jésand braque son S-5 sur le Hutt en disant haut et fort ;
- Hagwa doopee! Si j’envois un bouger, je vais descendre le Hutt!
Les autres suivent Jésand, armes en main. Les gardes remarquent l’arme dans les mains de Jésand et semblent hésiter.
- J’ai un pistolet-blaster S-5 munis de fléchettes qui causeront le plus de souffrance possible à quiconque se dressera devant moi. Si vous nous tirer, votre maître sera mort et vous serez sans un crédit.
Les gardes de toutes espèces lèvent les armes.
- Bona nai kachu, lance le Hutt en riant.
Comme réponse, Jésand tire une fléchette à côté de sa tête.
- Avez-vous besoin d’une démonstration?
Jésand espère que le poison dans ses fléchettes sera assez fort.
- Tagwa, répond le hutt.
Jésand pointe un des gardes gamoréens et tire. Le garde s’effondre au sol, agitez de spasme. Il souffre et lance une plainte sourde. Un des gardes à côté le descend. Le silence revient. Les autres prennent leurs armes à deux mains.
- Je veux le Hutt et seulement le Hutt. Envie, de préférence. Kee hase do punyoo!
Le Hutt rit et fait signe à ses soldats de tirer. Jésand passe rapidement la fonction de tire de son S-5 en tire laser et tire le plus proche. Les lasers fusent de partout. Le groupe de Jésand gagne et le Hutt semble ne pas être content. Jésand reçoit un coup de pied en arrière du tibia suivit d’un lourd coup de cross en arrière de la tête. Il s’effondre au sol en tirant un laser à côté du Hutt qui essaie de bouger. Krystal lance son arme blanche dans le dernier soldat. Quert jette un coup d’œil à la porte. Des gardes sont arrivés. Jésand se lève avec son S-5 et s’approche du Hutt le plus rapidement possible. Il colle le canon de son S-5 sur le Hutt qui ne bouge plus.
- Si vous bougez, vous mourrez! Kapa tonka!, lance Jésand.
Trois gardent foncent et tombent au sol, un trou béant dans le corps. Certains mettent les armes au sol. Jésand prend son comlink
- Si vous tirez notre vaisseau, nous nous faisons sauter, dit Jésand.
Zol pointe son canon sur la ceinture d’un des gardes qui possède des détonateurs.
- Lyster, approche le vaisseau de la ….. tour Nord. La plus grande fenêtre, dit Jésand avant de remettre son comlink à sa ceinture.
Les quelques minutes se passent sans problèmes, sauf quelques gardes qui se font descendre car peu nombreux. Jésand se masse la tempe avec sa main. Puis, le mur gauche s’effondre. Un YT-2000 se dessine par le trou. La rampe descend et se pose de peine et misère sur le sol. Jésand fait signe au Hutt de monter. Tout le monde rentre. Jésand est le dernier. En signe d’adieu, il tire une fléchette avant de crier.
- Lyster, met les gaz.
La rampe se referme et Jésand rejoint le Hutt. Il tire deux fléchettes sur le hutt avant de rejoindre le poste de pilotage.
- Il ne nous causera pas de problèmes.
Puis, le Saber reçoit quelques tires.
- Bouclier arrière à pleine puissance, s’écrit Jésand en prenant place dans le siège du pilote.
- J’espère que le Saber sera intacte. Il est long à réparer.
- Si on reste envie, la prime nous ira et je ferais réparer. Content?
Personne ne dit un mot et le Saber continue son chemin.
Jésand – 3 pvd, - 1 DH-17 et – une vibro dague
Zephir –1 pvd
Krystal –1 pvd
Zol – 1 pvd
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Jésand
Seul vurk digne de se nom.
Fier leader des Hellcats
Tire avant, parle après
Plus grand donateur des Réprouvés
Membre du R.H.HU.MCe message a été modifié par: Jesand le 27-06-2006 03:44mardi 27 juin 2006 - 03:43 Modification Admin Réaction Permalien
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