Le Temple Jedi 5 (page 63)

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  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

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    Alors que Kaarde, Liam, Anjel, Tyria et Sam disparaissaient dans un couloir, Solo – contre toute attente – saisit par le col la personne se trouvant le plus près d’elle. En l’occurrence, ce fut sa fille.

    Ange, hurlant de joie : C’est fini ! C’est fini ! On est vivant ! On est tous vivant ! Lalala !
    Mimi, se dégageant de l’étreinte forcée de sa mère et lui attrapant les mains : On est vivant ! Lalala ! On est vivant !! Allez, tout le monde, c’est la fête !

    Dans le champ de vision des deux femmes se détachaient plusieurs cadavres.

    Mimi, déglutissant : C’était de mauvais goût ?
    Ange : A peine…
    Mimi : On s’en fout ?
    Ange : On s’en fout !

    Alors qu’elles se dandinaient toutes les deux, heureuses de se savoir en vie et ayant conservé – cette fois – toutes les parties de leur corps, Solo eut soudainement conscience que si une bataille venait être gagnée, il lui en restait une autre à mener.

    A peine acheva-t-elle cette pensée que son comlink bipa frénétiquement, lui indiquant qu’une communication urgente demeurait en attente. Elle sourit à sa fille, cette dernière comprenant que les affaires reprenaient. Elle s’esquiva dans un geste théâtral, laissant le champ libre à sa mère.

    Ange ne perdit pas une minute de plus : elle venait de s’apercevoir que son canal privé –et crypté – présent sur le vaisseau, avait été sollicité plus d’une dizaine de fois, il y avait moins d’un quart d’heure. Instantanément, elle comprit qu’il y avait du nouveau concernant l’affaire « Waren ». Sans plus attendre, elle s’approcha du dénommé Tycho et lui exposa la situation.

    Ange, battant des cils : Dites-moi, jeune homme, vous ne pourriez pas m’indiquer un coin tranquille ou je pourrais facilement passer quelques appels longues-distances ?
    Tycho, pris au dépourvu : Euh…
    Ange, lui saisissant un bras : Je ne voudrais pas déranger les Fondatrices dans un moment pareil, vous voyez…
    Tycho : Oui, je pense que…
    Ange, l’interrompant en lui caressant la joue : Parfait…

    Après avoir renvoyé le pauvre malheureux et s’être enfermée dans la pièce que ce dernier lui avait indiquée, Solo verrouilla l’entrée et connecta son comlink à la console afin de générer un canal éphémère et protégé.
    L’image tridimentionnelle de Mireille se matérialisa devant ses yeux.

    Mireille : Pardonnez-moi de vous déranger, Leader mais nous venons de recevoir des informations sur l’emplacement où devrait se situer Waren Horn.
    Ange, méfiante : Vraiment ? Aussi vite ?
    Mireille : Vous ne croyez pas si bien dire. Un des membres de son entourage a monnayé l’immunité et des milliers de crédits en échange de ce renseignement. Nous avons cru qu’il était bon d’accéder à sa requête.
    Ange, sifflant : Effectivement, vous avez bien fait. Vous se trouve ce fils de l’Empereur ?
    Mireille : Coruscant. Je vous transmets les coordonnées.
    Ange, l’interrompant : Après, quand j’aurais mis un terme à cet entretien. Je ne suis pas sur mon vaisseau.
    Mireille : Très bien. On a des gens sur place qui peuvent…
    Ange, bouillonnant : Non, non, inutile. Que personne ne se mouille. Je veux avant tout éviter un bain de sang.

    Solo maqua une pause.

    Ange : On a les plans du lieu ?
    Mireille : Oui. Le dénommé Jethro, celui qui a retourné sa veste, nous les a fourni en échange de crédits supplémentaires. On a tous les plans, la localisation des caméras… Mais… sur place, il n’y aura que des fidèles à Waren Horn.
    Ange : Très bien. De toute façon, je préférai qu’on fasse une entrée plutôt discrète. Si j’ai toutes les informations, je peux nous mijoter quelque chose à distance. A la réflexion, occupez-vous de nous fournir uniquement une équipe de gros bras qui se contenteraient de nous récupérer en cas de problème majeur.
    Mireille : Entendu, ce sera fait.
    Ange : Constituez-la, désigner un responsable et mettez-les en contact avec moi une fois que ça sera fait. Trouvez-nous un lieu sûr sur Coruscant – que ce salopard de Waren ne connaisse pas ! - : je les brieferai une fois sur place. Dans tous les cas, assurez-vous que ce soit des hommes qui savent obéir à des ordres. Je ne veux aucune bavure.
    Mireille : Entendu.
    Ange : J’emmène seulement Mimi et Tony avec moi. (Elle s’interrompit.) Faites-moi aussi parvenir tout mon équipement. Je ne sais pas trop ce qui nous attend là-bas avant de peaufiner un plan. On a pas de temps à perdre. Je vous confirme mon départ dans les heures à venir.
    Mireille : Bonne courage, Leader. Si vous…
    Ange : Merci Mireille, je tâcherai de m’en souvenir.

    Quand Solo mit fin à la communication, elle ne savait trop si elle devait se réjouir ou non de la nouvelle qu’on venait de lui communiquer. Elle allait aux devants des ennuis et elle le savait. Seulement, il fallait mettre un terme, une bonne fois pour toutes, aux manigances de Waren.

    Pour ça, elle était prête à tout…

    lundi 08 septembre 2014 - 00:22 Modification Admin Permalien

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    ProjetT

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    La mission de sauvetage avait été un succès, tout bien considéré. J'avais tenu – pas de trahison suspecte en plein milieu – la petite Sam était sauve. Seule ombre au tableau, les deux fou furieux avait pu fuir. M’était avis qu'il allait chercher des poux sur la tête de Tyria a la première occasion.

    Aynor. Suite a notre combat, avait noté une liste interminable de défaut dans ma façon de combattre. De fait, elle passait notre temps libre a m'entrainer.

    Malheur à moi, elle avait demandé a Kyrio d’être mon partenaire. Ce qui rendait l'entrainement particulièrement exigeant… et douloureux, mon oncle n'y allant vraiment pas de main morte. « La douleur aide l'apprentissage » m'avait-il glissé.

    Quand je n’était pas a l'entrainement, je méditais – pour, dans un premier temps, utiliser une transe de guérison pour panser les blessures que Kyrio m'infligeait – et aussi pour réfléchir a la suite. Méditation bien sur étroitement surveillée par Aynor, Kyrio ou Mirax.

    Je réfléchissais à ce que m'avait dit ma mère quelques jours plus tôt – que Clickman avait demandé que j'aille dans le système de Tatooine. J'avais beau réfléchir, je ne voyais pas. Tout ce que je savais, c'est que c'est la qu'il a rejoint la Force. Veut-il m'enseigner quelque chose, ou simplement me délivrer un dernier message ?

    Quelque chose me dit que nous n'allions pas rester ici encore très longtemps.

    La « réunion » de l'Organisation était terminée, les pouvoirs transmis, un accord conclu avec Kaarde, et je sentais que notre prochain voyage se profilait déjà à l'horizon.

    lundi 08 septembre 2014 - 01:55 Modification Admin Permalien

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    AngeSolo

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    Solo sortit en trompe de la salle de communication, déterminée à mettre les voiles de l’astéroïde au plus vite. Dans l’ordre, il lui fallait mettre sa fille au courant au sujet de la situation actuelle, empêcher que cette dernière ne devienne incontrôlable en l’apprenant, alpaguer Tony au passage et récupérer son vaisseau sans trop faire de vagues. Rien que ça. Dans les deux heures à venir. En comptant large. En imaginant pouvoir également gérer les éventuels imprévus.

    Ange soupira et se félicita d’être, pour une fois, relativement optimiste.
    Elle s’enfonça dans un dédale de couloirs à la recherche de sa fille qu’elle trouva non sans mal en pleine discussion avec Tony.

    Ange, au Lorrdien : Je peux t’emprunter ma fille quelques instants s’il te plait.

    Il opina du chef, déposa un baiser sur la joue de sa bien aimée et s’éclipsa sans broncher.
    Seule, face à sa fille, la Corellienne hésita à débuter cet entretien qu’elle savait si gênant dans cette pièce, ayant peur d’être interrompue au beau milieu de celui-ci. Enfin, si Ange devrait être franche avec elle-même, elle ne nierait pas qu’elle cherchait une fois de plus une excuse valable pour retarder ce moment si fatidique.

    Ange, mal à l’aise : Bon, il y a quelque chose dont je dois te faire part… Mais, avant, tu dois me promettre de ne pas m’interrompre avant que je n’ai terminé.
    Mimi, faisant la grimace : Je déteste quand tu dis ça… En général, c’est pas une bonne nouvelle. Soit je suis – ou plutôt j’allais être – punie, soit tu m’annonçais un truc qui équivalait à la fin du monde.
    Ange : Ouais… J’t’avoue que je devrais un peu renouveler ma manière de faire.
    Mimi : Génial… Tu me vends vraiment du rêve, là, Mam’s ! (Elle marqua une pause.) Vas-y, je suis toute ouïe.

    Après une longue et pénible inspiration, Solo résuma ce qu’elle avait appris sur cette histoire de comptes frauduleux et du comment Waren avait tenté de prendre le pouvoir par la Force.
    Si Mimi avait promis qu’elle n’articulerait un son pas avant d’avoir le fin mot de l’affaire, son corps se dévoua pourtant pour prendre le relais. De rage, la jambe de la jeune femme s’alla heurter violement plusieurs pans de murs et une malheureuse chaise – qui n’avait rien demandé – qui vola sous l’impact.

    Ange, à voix à peine audible : Et bien, à côté, on pourrait presque dire que j’ai bien accueilli la nouvelle. (Haussant le ton.) De plus… Je sais où est Waren.

    Mimi se figea et dévisagea sa mère.

    Mimi : Horn ? Tu sais où est cette raclure de l’espace ?
    Ange, approuvant d’un battement de cil : Effectivement.
    Mimi, hurlant : Je vais le tuer !
    Ange : A ce sujet justement… J’ai déjà posé une option sur sa tête et, en tant que Leader, je t’interdis de m’ôter ce droit.
    Mimi, les yeux écarquillés : Mam’s, tu plaisantes, j’espère ? Waren est à moi ! à MOI ! A MOI !

    Sa mère prit aussitôt un air grave.

    Ange : Pour le coup, jeune fille, je crois que je vais abuser des droits qui m’ont été octroyés par mon statut. Si quelqu’un doit faire sauter la cervelle à ce sala*d, ça sera moi. D’une, parce tu n’es pas vraiment en position de le faire vu ton statut actuel et que ça ne ferait que mettre de l’huile sur le feu. Si ça tête doit tomber, elle le sera sous l’action de la justice, c’est-à-dire de la main du Leader actuel – moi -, si tu veux bien me passer cette expression. De deux, si tu protestes et essaies de t’opposer à ma décision, je te fais mettre aux arrêts en attendant ton jugement, ce que je me suis abstenue de faire jusqu’à présent. De trois, je ne t’emmène pas avec moi sur Coruscant pour participer à sa capture. C’est clair ?

    Mimi se tut pendant des secondes qui constituèrent une éternité pour sa mère. Si Solo avait adopté la posture froide et stoïque de Leader en apparence, intérieurement elle redoutait que sa fille se laisse emporter par ses émotions.

    Mimi, en serrant les dents : Tu me laisseras quand même lui casser une ou deux côtes ?
    Ange, soulagée intérieurement : Ca marche. Maintenant va préparer tes affaires, on décolle dès que j’ai réussi à mettre la main sur mon vaisseau.

    Mimi remercia sa mère d’un signe de tête et disparut dans l’encadrement de la porte qu’elle venait d’ouvrir, laissant la place à Tony qui entra toute aussi vite.
    Il s’avança d’un pas nerveux tout en pointant un index accusateur et menaçant dans la direction de Solo.

    Tony, sarcastique : J’espère que j’ai mal entendu. Tu sais où est Waren et tu comptes te lancer à sa poursuite dans ton état. Bravo ! Génial ! Merveilleux !
    Ange, énervée : Parce que tu écoutes aux portes, maintenant !
    Tony : Change pas de sujet, tu veux ? T’as entendu ce que t’a dit ton amie, Mirax. Il faudrait que tu refasses un séjour dans une cuve à bacta pour te remettre totalement de ta blessure. Je crois que t’as assez fait de zèle comme ça.
    Ange : Et alors ? J’ai pas de temps à perdre. J’ai réussi à faire décoller un vaisseau avec une main en moins, tu crois que je vais me mettre à claquer des dents pour un fémur brisé ?
    Tony, levant les bras au ciel : Y a que moi qui me soucie de ta santé dans cette foutue galaxie ?
    Ange : Tony, tu me suis ou tu te casses.
    Tony : C’est pas comme ça que tu le prends ?
    Ange : Tu veux peut-être que je te colle un congé sans solde.
    Tony : Très amusant…

    Ils se défièrent du regard.

    Tony : Tu comptes faire quoi de Waren ?
    Ange : Lui faire la peau, littéralement.
    Tony : Littéralement ? Bordel, Solo ! Tu comptes vraiment foutre tous tes principes en l’air pour une simple histoire de coup d’état ?
    Ange, criant : Un SIMPLE coup d’état ? Il s’agit de l’honneur de ma fille ! De mon bébé ! Fous-toi ça dans le crâne une bonne fois, pour toute, c’est clair ?

    mardi 09 septembre 2014 - 00:44 Modification Admin Permalien

  • Avatar Kaarde

    Kaarde

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    J'ai enfin retrouvé ma padawan adorée.

    Je n'aurais pu espérer meilleure issue à ces quatorze années de doutes. Non seulement nous avions retrouvé Tyria, mais elle était restée digne de la grande Jedi qu'elle était autrefois, prête à mettre sa vie en danger pour les autres et à résister à l'obscurité. Peut-être même les durs événements qu'elle avait traversés et la naissance de Sam l'avaient rendue plus... responsable ? Moins écervelée ?
    Là, avec ma première élève dans les bras, je goûtais enfin à un immense soulagement et à la joie des retrouvailles. Même avoir débarrassé la galaxie du néfaste Baaaaaaal ne m'avait pas autant libéré.
    Pour la première fois en plusieurs décennies consacrées à L'Ordre Jedi j'avais l'impression d'avoir dûment accompli mon devoir envers la Force. J'eus le sentiment d'être enfin récompensé pour mes efforts.

    Bien sûr, des devoirs, j'en avais encore. C'est pour cette raison que je m'en allais retrouver Mirax et Aynor. Depuis la fin de la mission celle-ci ne ménageait pas ses efforts pour amener Weedge à plus d'auto-discipline ce qui, dans son cas, pourrait s'avérer salutaire.

    Moi. - Je suis désolé que Kyrio ait loupé Antilles. Comment va-t-il ?

    Mirax. - Il s'en remettra. Maintenant que l'action est passée je pense qu'il a hâte de retrouver la maison. Ça fait longtemps qu'il est parti.

    Aynor. - A propos, est-ce qu'il sait que le Temple n'est plus sur Ossus ?

    Mirax. - Alors, cette réunion avec l'Organisation, ça a donné quoi ?

    Moi. - Tyria a bien mené sa barque. Ils vont renoncer à toutes leurs recherches sur la suppression de la Force, en échange de quoi le Conseil Jedi gardera le secret sur l'existence de leur communauté.

    Aynor. - Est-ce bien prudent ? La création de ce déForciseur était un crime très grave.

    Moi. - Justement, je ne tiens pas à ce que le reste de la galaxie sache qu'il est possible de "déForciser" ou zombifier des planètes. C'est bien trop dangereux. Sans de dangereux agitateurs comme Tusk ces gens n'aspirent qu'à vivre en paix.

    Mirax. - Et Tyria ?

    - Elle quitte l'organisation, Anjel aussi. Donc elles et Sam repartent avec nous ! Dis-je, ravi.


    - Je rajoute une condition : les Jedi s’engageront à protéger Mademoiselle Lorn, avait spécifié Liam, visiblement très attaché à son ancienne dirigeante et inquiet pour elle. Bien sûr il ne se doutait pas que je tenais à elle au moins autant, et que je prenais la question de sa protection extrêmement au sérieux.
    - Sur ce point, je vous dis OUI sans condition et m'engage à la protéger coûte que coûte. Vous avez ma parole de Maître Jedi, avais-je répondu, sincère.


    Mirax. - Qu'est-ce qu'elles vont devenir ?

    Moi. - C'est là où je voulais en venir... je propose la réintégration de Tyria à l'Ordre Jedi. Elle devra faire ses preuves, bien sûr, pour regagner la confiance de l'Ordre tout entier, mais je me porte garant d'elle.

    Aynor. - La question est délicate... et nécessite l'approbation des trois membres Jedi du Conseil.

    Moi. - Ce qui m'amène à un deuxième point...

    Je me tournai vers Mirax et lui servait un de mes plus grand sourires.

    Moi. - Veux-tu rejoindre le Conseil Jedi, oui ou non ?



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    I've a baaad feeling about this !
    Consultez l'ENCYCLO JDR du site !

    Ce message a été modifié par: Kaarde le 17-09-2014 18:08

    mardi 09 septembre 2014 - 19:26 Modification Admin Permalien

  • Avatar poluxhornterrik

    poluxhornterrik

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    Polux réfléchi et se dit que ça lui avait manqué de voyager avec Tyria, depuis 16 ans qu’il patientait dans la Force pour arriver a ce moment de l’histoire. Bon en contrepartie, il avait acquis une compréhension de la Force qu’il n’aurait jamais cru possible, mais il ne pouvait pas vraiment l’enseigner ni tous a fait s’en servir, car il n’était plus vraiment là et en même temps il était partout à la fois. Dans quelques jours il pourrait enfin se retirer.

    Tyria (sur la défensive) : Et on va sauver qui ?

    Po sortit de sa réflexion, pour répondre à la petite blonde.

    Po : Quand je suis mort j’ai appris pas mal de choses et je me suis rendu compte que j’avais des liens spéciaux avec tous les gens auxquels je suis lié – notamment avec ma famille biologique. J’ai eu une vision funeste qui doit se produire dans les prochains jours. Si je n’interviens pas, ils mourront tous.
    Tyria (toujours sur la défensive) : Et ils s’appellent ?
    Po : Je ne sais pas. Ils sont sur Myrkr et il n’y a pas de Force là bas. Je sais juste que celui qui a l’air d’être le plus important s’appelle Galak.
    Sam : Comme le chocolat ?
    Tyria (avec une gentillesse qu’il n’avait jamais vue avant) : Ma chérie, va dans ta cabine et laisse-moi parler avec Polux. (Une fois Sam partie) Et qu’est-ce que l’on peut faire si c’est sur Myrkr ? Tu vas disparaitre à 20 Km de la planète.
    Po : Exactement. Mais dans ma vision, j’ai vu qu’ils vont s’enfuir de la planète. Un pirate va s’en prendre à eux et nous, nous serons là pour les protéger. Ils n’ont pas d’armes sur leur vaisseau et nous si.
    Tyria (d’une manière pensive) : Et donc tu sais tout ça comment ?
    Po : Tu ne trouve pas que 16 ans c’est long pour un spectre de force ?
    Tyria : Je suis surprise qu’un Spectre de Force puisse avoir encore une notion du temps et le trouver long…
    Po : J’ai eu cette vision au moment de ma mort. C’est ma dernière tâche à accomplir.
    Tyria (surprise) : Dernière tâche ? Mais qu’est ce que tu racontes ?
    Po : Écoute ma chérie…
    Tyria (sèchement) : Je t’ai déjà dis de ne plus m’appeler comme ça.
    Po : (calmement) : Je n’ai pas demandé ton aide par hasard, tu sais. Je voulais être une dernière fois avec toi. Après avoir sauvé ces gens, je disparaitrais à tout jamais et tu pourras m’oublier.

    Polux vit l’expression de Tyria changer. Elle prit énormément sur elle pour ne pas exploser de colère.

    Tyria (froidement) : Cela fait seize ans que j’essaye de t’oublier et que je te demande de me laisser. Tu ne m’as jamais écouté et là, tu débarques la bouche en cœur pour me demander de l’aide en jouant sur ma culpabilité uniquement parce que tu voulais profiter d’un dernier voyage en ma compagnie ? Tu es vraiment le roi des cons, Polux.

    Et sur ces mots, Tyria partit dans la cabine de pilotage. Polux s’était attendu à cette réaction et n’insista pas. Avant de disparaître pour de bon, il voulait faire connaissance avec Sam et alla la trouver dans sa cabine.

    Sam (avec crainte) : Tu es quoi ?
    Po : Je suis un magicien, et si tu me vois c’est que tu peux aussi être une magicienne. Tu veux que je t’apprenne ?
    Sam (avec réticence mêlée de curiosité): oui
    Po : Trouve un petit objet.

    Une fois que Sam eut trouvé un objet de petite taille, Polux lui expliqua ce qu’il fallait faire.

    Po : Ferme tes yeux et fais le vide en toi.
    Sam (les yeux fermés) : C’est quoi faire le vide ?
    Po : Tu ne penses à rien du tout et tu respires calmement. Ensuite tu pense juste au petit objet que tu as posé sur la table, et tu essais de le faire levi… Euh… Voler plutôt. Mais il faut qu’il reste sur place en l’air comme s’il était accroché avec un fil tu comprends ?
    Sam : Je crois.

    Ca faisait maintenant quelques minutes que Sam essayait, quand Polux sentit une sorte de fluctuation de la Force. Et Sam ouvrit les yeux

    Sam : Je n’y arrive pas.
    Po : C’est normal c’est la première fois que tu essaie. Mais la Force a un peu réagi juste avant que tu ne rouvre les yeux. Refais le vide en toi, et recommence, on à le temps, tous le temps.

    Il lui fallu quelques autres minutes pour que le caillou bouge un petit peu sur la table. Malheureusement Sam fut tellement étonnée qu’elle en rouvrit les yeux et perdis ca concentration.

    Sam (en sautant partout) : Tu as vu ?! Il a bougé ! Il a bougé !
    Po (avec amusement) : Oui j’ai vu. Maintenant recommence en le faisant entièrement voler.

    Pendant que Sam recommençait, Polux se rendit compte avec nostalgie que ça lui rappelait son enfance au temple lorsqu’il apprenait à maîtriser la Force. Un sentiment de mélancolie s’abattit sur quand il se rappela que tout ceci était bientôt fini…


    -------------------------------------
    PIOU-PIOU-PIOU

    Ce message a été modifié par: poluxhornterrik le 14-10-2014 11:44

    mercredi 10 septembre 2014 - 10:56 Modification Admin Permalien

  • PSW
  • Avatar Jedi-Yoda

    Jedi-Yoda

    9943 Crédits

    Cela fait plusieurs jours que je n'ai plus de nouvelles d'Hemera. Pour être plus précis, je ne sais pas ce qu'elle est devenue depuis que l'on s'est embrassé. Le soir-même, j'ai voulu me remettre de mes émotions et j'ai pensé sur le moment qu'une simple réflexion sur le sujet m'aiderait à y parvenir. J'ai pensé que cela suffirait... Pourtant, j'ai vite réalisé que la tâche serait plus ardue et que cela prendrait plus de temps que prévu. De la même façon, j'ai compris que la corellienne avait besoin de prendre du recul elle aussi afin d'y voir plus clair sur le lien qui nous lie à présent. Je ne suis pas encore sûr que nous sortons bien ensemble ni que nous formons officiellement un vrai couple. Mais ce dont je suis certain, c'est que mes sentiments à l'égard de la jeune humaine sont on ne peut plus sincères et authentiques. Dans mon cœur, le baiser que nous avons échangé n'a pas été un simple smack que l'on se donne pour le fun, par amitié ou par timidité. Il symbolise beaucoup plus.

    J'ai pu me rendre compte, en partageant ma vie avec bon nombre d'être humains, que ce sont des créatures sensibles et fidèles. J'en déduis donc que cette expérience a touché Hemera, qu'elle n'a pas pu lui paraitre si anodine. En tant que nautolan, c'est pire encore pour moi. Je suis naturellement plus empathique et comme ceux de mon espèce, je suis extrêmement sensible au partage émotionnel. Nous les nautolans recherchons le bonheur à travers une relation unique et exclusive. Et lorsque nous sommes sûrs d'avoir trouvé notre âme sœur, il n'est pas rare que nous nous projetions rapidement dans l'avenir avec elle, imaginant avoir des enfants et fonder une famille.

    L'Ordre ne sera sans doute pas fermé à ce que nous entamions Hemera et moi une relation conjugale. Mais dans le cas actuel, il ne s'agit pas seulement de savoir si j'aurai la bénédiction de mes aînés. En effet, au delà de ça, j'ai bien conscience de la responsabilité qui m'incombe en tant que chevalier, du rôle que j'ai à jouer aux côtés de mes pairs et de ma destinée tout entière en tant que garant de la paix. Qui plus est, entretenir une relation amoureuse pourrait conduire à me distraire. Progressivement, je pourrais même être amené à quitter l'Ordre. Non, c'est impossible ! Jamais je ne laisserai une telle chose arriver ! Je ne pourrais me résoudre à abandonner mes amis : Keller, Jaina, Eckmül et Cenovii, ni même mon maître, Kaarde. Ils sont pour moi aussi précieux que les membres d'une famille. Ils sont tout ce que j'ai ! De plus, je ne saurais oublier que devenir jedi a donné un sens inédit à mon existence qui, à l'époque où j'étais enfant, me semblait bien terne. Le seul problème, et je ne peux le nier, c'est qu'Hemera commence elle aussi à prendre une place cruciale dans ma vie et à lui donner un sens nouveau.

    Pour mettre de l'ordre dans mes idées, je décide d'aller faire un tour dans la jungle yavinienne. Comme souvent, pour faire le point, je me retire au cœur de celle-ci et grimpe à la cime d'une des montagnes les plus hautes que je peux trouver. Je m'assois alors en tailleur et ferme les yeux avant de plonger dans une profonde méditation. Sur le chemin, tandis qu'un brusque coup de vent vient fouetter les feuilles des arbres, mes pensées vont vers mes amis sur No Erda. J'ai l'impression qu'ils ont quitté la planète depuis un certain temps et qu'ils vont mieux maintenant. Je n'en suis pas tout à fait sûr mais au moins mes cauchemars se sont calmés. Alors que je suis plongé dans une rêverie profonde, mon pied heurte soudain un objet. Je m'arrête et baisse le regard. Un mystérieux hololivre, bruni par quelques grains de la terre sur laquelle il repose, se présente devant moi. Je le ramasse et l'époussète un peu.

    Zatila : Un hololivre ici ? C'est étrange. Quelqu'un l'a surement fait tombé.

    En le feuilletant, je me rends compte qu'il s'agit de tout à fait autre chose qu'un hololivre pour les cours ou même venant des archives de la bibliothèque. C'est un journal ! Lorsque je m'en rends compte, je referme aussitôt celui-ci, souhaitant respecter le secret de son contenu et de celui ou celle qui l'a écrit. Mais avant de rebrousser chemin pour le rapporter à l'académie, je m'aperçois qu'un nom est gravé sur la page de couverture. A sa lecture, je ne peux m'empêcher un frisson de parcourir mon corps.

    Zatila : Hemera ?

    Quelques secondes passent le temps que je me remette de la surprise. Puis, je commence à réfléchir plus posément. Devrais-je le lire ? Je reconnais sans m'en cacher que la tentation est grande. J'ai envie de savoir si elle a écrit quelque chose à notre sujet depuis que l'on s'est embrassé. Je ne devrais peut-être pas. Mais la Force a placé ce livre sur ma route. Ce n'est pas une coïncidence. Ne souhaitant pas douter plus longtemps, je me risque à consulter la première page.

    « Cher journal... C'est une belle opportunité qui s'offre à moi, une nouvelle vie pleines d'aventures qui m'attend... »

    Dans les premières lignes, Hemera parle de son départ depuis l'astroport de Coronet, de ses peurs, de ses doutes, mais aussi de son espoir de pouvoir consacrer sa vie à devenir une garante de la paix aux côtés des jedi. Je passe à la deuxième page et continue la lecture.

    « Voilà déjà une semaine que je suis arrivée. Ma famille me manque, mes parents un peu, ma grand-mère beaucoup, mes amies de Corellia et tellement d'autres... »

    Bien qu'attendri, je reste assez impatient de lire mon propre nom. Aussi, je m'apprête à sauter directement à la dernière page pour connaître les plus récents écrits de la jeune humaine. Mais avant que je ne le fasse, quelques mots retiennent mon attention.

    « ...enfin ce qui me manque surtout, c'est le clan mystique des âmes du chaos »

    Je m'arrête net sur la dernière phrase.

    Zatila : Un clan mystique ? Les âmes du chaos ? Mais de quoi parle-t-elle ?

    « Eux seuls me comprennent vraiment. Mais ils ne pourront pas m'aider. Une seule personne le peut. »

    Frustré de ne plus rien comprendre aux vagues écrits de la correlienne, je ne peux que poursuivre ma lecture.

    « Je dois percer les secrets de la pyramide. Elle renferme la clé qui me libèrera. Mais avant je dois en savoir plus sur les jedi. »

    Tout cela n'a aucun sens. J'aurais bien envie de questionner Hemera sur tous ces mystères mais elle saurait alors que j'ai lu son journal. Bref, je continue.

    « J'ai fait un rêve. Je l'ai vu à l'académie. Il est exactement fidèle à ma vision. Peut-être est-il celui que j'ai toujours attendu... »

    Ayant subitement changé de sujet, je garde en mémoire ce que j'ai lu tantôt et me focalise sur la page présente. De qui parle-t-elle ? Serait-ce de moi ? Je ne peux m'empêcher de retenir un rire. Je ne tiens plus de me poser la question. Je dois absolument en avoir le cœur net.

    « Il s'appelle Zatila. »

    C'est donc bien de moi qu'elle parlait. Voyons ce qu'elle dit d'autre ?

    « Je sens en lui une capacité d'ouverture d'esprit que je n'ai trouvée que chez très peu de personnes dans toute ma vie. »

    Flatté par les propos de la jeune corellienne, je ne m'attarde pas plus longtemps sur la page en cours surtout qu'elle n'évoque plus grand chose me concernant. Je passe alors trois pages plus loin et je tombe de nouveau sur une partie où je suis cité.

    « J'ai de plus en plus confiance en lui. Acceptera-t-il de me soutenir ? Suffirais-je que je lui demande ?

    Arf, quelle frustration ! Si seulement je savais de quoi elle parle, je pourrais en effet peut-être la soutenir. Le journal est encore long à lire et je perçois soudain dans la Force qu'une personne vient dans ma direction. Ne souhaitant pas être surpris, je saute aux dernières pages et lis rapidement la partie qu'Hemera a écrit à notre sujet.

    « Comme je suis émue en écrivant ces mots. Zatila et moi avons passé un moment très agréable ensemble. [...] Je le pressens depuis un certain temps déjà, nos deux âmes sont connectées par un lien mystique. [...] A présent que nous nous sommes embrassés Zatila et moi, je n'ai plus de doute, nous sommes fait l'un pour l'autre. […] L'académie des jedi me paraît subitement bien plus grande et paradoxalement bien moins vide. La présence de celui que je peux désormais appeler mon nautolan d'amour est perceptible partout autour de moi et dans chaque activité que j'entreprends.

    Je ne peux m'empêcher de rougir ou plutôt de verdir au surnom affectif que m'a donné Hemera.

    « Penses-tu, oh mon cher journal, que nous pourrons partager d'aussi belles expériences un jour ? Je continuerai d'en rêver en tout cas... »

    Par réflexe, en entendant les pas se rapprocher, je referme l'hololivre que je tiens encore fermement entre mes mains. J'aimerais vraiment pouvoir aider ma belle. Si j'avais pu en lire plus, peut-être que j'en aurais découvert davantage. J'ai manqué de temps. Y a-t-il encore un moyen que j'en gagne ? Je pourrais peut-être utiliser le pouvoir de vitesse et trouver un coin tranquille au plus profond de la forêt. Personne ne viendrait m'interrompre et je pourrais poursuivre la lecture sans être dérangé. Alors que je m'interroge, et avant que je puisse me décider, la mystérieuse présence se rapproche. Je me cache derrière un arbre usant du pouvoir d'invisibilité que j'ai appris récemment. Et tandis que je m'apprête à fuir, je découvre à ma grande surprise que la personne en question n'est autre qu'Hemera.

    -------------------------------------
    "Ne l'oublie jamais : c'est ton attention qui détermine ta réalité."

    Ce message a été modifié par: Jedi-Yoda le 10-09-2014 23:27

    mercredi 10 septembre 2014 - 11:03 Modification Admin Permalien

  • Avatar DocBeldom

    DocBeldom

    5633 Crédits

    Douze ans. Pendant douze longue années, il avait marché sur le sol de Kashyyyk. Au jour le jour, il avait chassé pour se nourrir et était revenu à un état quasi sauvage où seul comptait l'instant présent et la Force dans la vie autour de lui. Mais il y a deux ans, tout s'était arrêté et celui qui avait été le Maître d'Arme de l'Ordre Jedi était revenu à la "civilisation". Il avait ressenti une grande douleur dans la Force et avait escaladé les arbres de Kashyyyk. Son vieil ami Wroobany, le wookie qui l'avait quasiment élevé n'en était pas revenu quand il avait vu Doc apparaitre devant lui. Les nouvelles concernant la quasi destruction de Coruscant venaient tout juste d'arriver et le vieux contrebandier n'avait pu que les rapporter à celui qui avait été un Maître Jedi
    Il lui avait fallu plusieurs mois pour prendre la décision de revenir définitivement à la civilisation. Il s'était rendu à son YT, le "FireBreaker" qui avait bien plus mal que lui supporté le passage des années. Attaqué par la végétation, abimé de toute part le vieux transport Correlien avait eu besoin de nombreuses réparations. Même ses soutes avaient été atteintes et le X-Wing qui était entreposé n'était pas réparable sans passer entre les mains d'un expert. Décidant de se concentrer sur le Firebreaker, Doc avait commandé à Wroobany de nombreuses pièces et s'était attelé à la réparation lui même. Depuis quelques semaines pourtant, son départ lui paraissait de plus en plus urgent sans qu'il puisse déterminer pourquoi.
    Quelques pièces lui manquaient pour réussir à remettre son vieil YT en état de faire un voyage en hyperespace mais Wroobany lui avait promis qu'il pourrait faire quelque chose pour lui d'ici peu. En les attendant, Doc s'était plongé dans la Force pour essayer de comprendre ce qui se tramait. Il était ressorti de sa transe avec une seule certitude : il devait se rendre sur Myrkr au plus vite. Si Wroobany n'avait pas ses pièces, il lui faudrait se débrouiller autrement pour se rendre sur la planète.
    L'ancien Jedi avait démarré l'YT et l'avait remonté sur une des zones de chargement non-officielle du contrebandier. Il avait ensuite été voir directement ce dernier dans son bureau.


    Doc : Deuxième père, as-tu récupéré ce que je t'ai commandé ?
    Wroobany : Doc, je t'ai demandé un peu de temps hier. Je suis doué, mais il y a des limites.
    Doc : Je dois partir. Rapidement. Tu n'aurais pas un vaisseau que je puisse... Emprunter ?
    Wroobany : C'est si urgent ? En tout cas, rien à moi en ce moment, mon dernier transport est parti chercher tes pièces ce matin. Et je doute que tu veuilles revenir en commençant par un vol de vaisseau...
    Doc : Je n'ai pas encore décidé de quel côté de la barrière je souhaite travailler désormais mon vieil ami. Père n'avait pas tort sur tout et je ne suis pas certain d'être encore le bienvenu dans l'Ordre.
    Wroobany : Et pourquoi cela ?
    Doc : Disons que certaines choses ont changé. Je ne suis pas certain que ce soit en bien. Mais quelques soient mes doutes, je sens que je dois me mettre en mouvement. Et rapidement.

    L'ancien Jedi avait en effet remarqué quelques temps auparavant qu'un de ses sabres laser les plus précieux ne s'allumait plus. Pendant sa retraite, il avait quasiment arrêté de se servir de ses sabres tout comme il avait cessé de porter la bure. En exil même volontaire, il ne se considérait plus vraiment comme membre de l'Ordre et donc Jedi. Et puis il avait de nombreuses autres solutions qu'il avait créé. Lasers elles aussi, mais pas des sabres. Quand il avait décidé de quitter son exil, il avait voulu rallumer ses armes les plus précieuses. Son sabre Multicristal s'était rallumé mais il n'avait pas réussi à rallumer le Solari. Aucun problème dans l'arme, il avait vérifié. Le problème venait donc de lui et des propriétés particulières de ce cristal. Seul un Jedi au cœur pur pouvait s'en servir. Il ne l'était visiblement plus.

    Wroobany : J'ai peut être une solution pour toi Doc. Si tu veux vraiment partir, je connais quelqu'un qui doit se rendre sur Coruscant. De là bas, tu devrais pouvoir...
    Doc : Trouver un transport. Si ton contact peut me prendre, j'en suis. Il part quand ?
    Wroobany : Dans dix minutes. Je peux te faire passer pour quelqu'un qui sort d'une mission pourrie et qui a un rapport à faire et qui m'a payé une fortune pour rejoindre Coruscant. Mais tu ne dois pas poser de questions sur sa mission, ni fouiller son vaisseau. Et ça ne sera pas gratuit.
    Doc : Je peux m'arranger pour le paiement et pour l'absence de question. Mais pourquoi la mission pourrie ?
    Wroobany : Parce que tu n'as visiblement pas pris de douche depuis une semaine... Tu as de quoi payer sur toi ?
    Doc : Deux mois en réalité. S'il prend les cristaux, je paye à l'aise.
    Wroobany : Ca devrait aller.

    Quelques minutes plus tard, Doc était dans la soute d'un transport piloté par un Wookie du nom de Grehäta payé une petite fortune en cristaux. Le Jedi était parti avec un blaster, ses anciens sabres cachés sur lui et quelques surprises laser qu'il avait créé très longtemps auparavant. Il espérait qu'aucune mauvaise surprise ne l'attendrait à l'arrivée. Le Wookie avait parlé dans sa langue avec un contact sur Coruscant au moment de partir et Doc avait entendu un nom qui lui avait rappelé de nombreux souvenirs.
    L'ancien Jedi s'était arrangé pour que le wookie le dépose avec lui dans le coin tranquille où il comptait atterrir, promettant qu'il ne se mêlerait en aucun cas de ce qui se passerait sur place. Il ferait en tout cas en sorte que ce soit le cas si la personne dont il avait entendu le nom n'était pas celle à laquelle il pensait.
    Et si c'était bien elle... Il ferait en sorte de la saluer et qui sait, de lui proposer son aide si besoin était. Il regrettait cependant d'avance fortement le seul inconvénient du vaisseau où il avait embarqué : il ne contenait pas de douche... Le Terrik ressemblerait donc vraiment à un sauvage hirsute, barbu et couvert de cicatrices à son arrivée. Sûr que si Ange le voyait dans cet état, il en entendrait parler pendant des années.

    mercredi 10 septembre 2014 - 20:06 Modification Admin Permalien

  • Avatar Dark-Spencer

    Dark-Spencer

    2600 Crédits

    ~~~ Jandoon ~~~

    Dans son camp de fortune, QG improvisé, Dark Spencer grignote quelques vivres de son dernier pillage en regardant ses guerriers s'entraîner selon ses instructions quand soudain un pressentiment l'assaille. Une perturbation dans la Force, difficile à interprêter, viens interrompre son repas.
    Des images floues, des visions au ralenti, lesquelles reflètent des lieux et des personnes ; l'une d'entre elles semble être un humain qui fume, un cigare... un cigare ? Une odeur de cigare infecte qu'il peut presque sentir, renifler comme les vapeurs d'un souvenir... 

    !!?

    Des sabres laser jaillissent dans la fumée. Le Cathar soudain se met à crier en levant les bras « DES SABRES LASERS ! » dans une éruption de bave qui lui dessine le museau jusqu'aux naseaux.
    Il tourne en rond, joint ses paluches dans son dos tandis qu'entre les bulles noyant ses crocs ne s'échappent que ces mots « sabre laser... sabre laser... cigare... odeur immonde, gnééééh, JEDI !!! »
    D'un coup le poilu s'arrête, se ressaisit, bombe le torse et appel son premier lieutenant, un Chiss destitué de son rang de grand amiral pour avoir tenté de renverser le système gouvernemental de sa nation.

    Spencer -  Dji (son nom est trop compliqué alors Spencer l'a rebaptisé (comme il aime le faire souvent)), appelle notre taupe sur Coruscant. Transmet son image ici.
    Dji - Tout de suite Seigneur...

    L'holoprojection d'un humain apparaît au centre de la pièce.

    René - Je vous écoute Monseigneur.
    Spencer - Gnrrr, alors (il laisse un temps d'arrêt, le regarde de travers), quoi d'neuf sur Coruscant ?
    René - Heuuuu... Le trafic est dense, l'air est saturé par la polution et la bouffe est dégueulasse... A part ça, Waren se tient tranquille, ses affaires prospèrent, voilà quoi, pas plus d'agitation qu'à l'accoutumé.
    Spencer (d'un air ébahit) - Jusqu'ici tu n'as été d'aucune utilité à ce que j'entends.

    René fait dans son froc en pensant à l'implant explosif placé dans sa tête. Spencer ne lui laisse pas le temps de répondre, il enchaîne :

    Spencer - mais c'est ton jour de chance, écoutes moi bien et transmet ce message à Waren :
    Dark Spencer arrive.
    René - Bien reçu.

    Le Cathar pose alors son regard sur Dji qui coupe immédiatement la transmission.

    Spencer - ...Fait appeler Tête de Mort.

    Le Chiss s'éxécute, quelques minutes s'écoulent, Spencer rejoint son trône, un Kaleesh déboule.

    Spencer - Dji, laisse-nous.

    Il quitte la salle alors que le grand guerrier s'agenouille devant son libérateur, son guide.

    Spencer - Relève-toi.

    Le Kaleesh se relève. Son masque ne trahit aucune émotion.

    Spencer - Ton potentiel dans la Force apparaît prometteur.
    Dark Alys a été choisie pour ses aptitudes d'infiltration et sa sournoiserie, mais ça fait un moment qu'elle devrait être revenue, elle a eu sa chance...

    Il brandit un détonateur et s'esclaffe en appuyant sur le bouton :

    Spencer - ...Voilà ce qui arrive quand on me déçoit !

    -bip-

    Tranquillement il reprend d'un ton solennel.

    Spencer - Je n'ai plus d'apprenti... La règle des deux doit s'appliquer. Une bataille se prépare, je te choisis car tu es mon meilleur combattant, jeune guerrier Kaleesh, je ne t'appelerai plus Tête de Mort, tu répondras désormais au nom de Dark Bones. Tes dieux l'ont voulu ainsi.
    Bones - C'est un honneur, mon Maître. Que je trépasse si je faiblis.

    Dark Spencer suivi de Dark Bones, traversent l'enclave et rejoignent Dji.

    Spencer - Le Seigneur Bones et moi allons faire une petite virée, dis à Gueule d'Ange de préparer mon vaisseau. Tu es responsable du clan en mon absence.
    Dji - A vos ordres!
    Spencer (à Bones) - On décolle.


    -------------------------------------
    être perturbé
    sith forever

    Ce message a été modifié par: Dark-Spencer le 13-09-2014 15:49

    jeudi 11 septembre 2014 - 02:59 Modification Admin Permalien

  • Avatar poluxhornterrik

    poluxhornterrik

    3602 Crédits

    Polux était en pleine observation de l’avalanche de questions, que Tyria subissait de la part de sa fille. Son envie d’apparaitre avait été refrénée aussitôt par la révélation de Sam à sa mère, pour le petit entrainement qu’il lui avait fait subir. L’alarme se mit en marche, il fut donc obliger de faire son apparition.

    Po : Dit à Sam d’aller dans sa cabine.

    Tyria fit ce que Po lui disait, puis se retourna avec un air exaspérer.

    Po (limite en colère) : Quoi ? Tu vas me reprocher de lui avoir enseigné à manipuler la force ? Tu attends quoi ? Qu’elle se fasse enlever à nouveau ? Je sais bien que ce n’est pas ma fille et que tu pense que ce n’est pas mon problème. Mais tu as tort ! Au cours de ses 16 années, tu as changé et tu n'as plus grand chose à voir avec la femme dont je suis tombé amoureux. Mais même si tu t'es perdu pendant longtemps mes sentiments n'ont pas changé à ton égard. Je suis heureux que tu aies retrouvé le chemin de la rédemption mais s'il arrivait malheur à ta fille, comment réagirais tu ? Tu crois quoi ? Qu’elle peut encore vivre dans le petit monde des gentils ewoks ?

    Tyria (sur le même ton) : Tes sentiments ne te donne aucun droit de regard sur la manière dont j'éduque ma fille. La Force n'est pas quelque chose que l'on manipule à la légère. Nous le savons tous les deux pour en avoir expérimenté les conséquences. Une enfant de cinq ans n'a pas le recul nécessaire pour comprendre la portée de ses actes. Elle est trop jeune. Elle apprendra à maîtriser la Force - si c'est son choix - seulement quand elle sera âge d'avoir cette compréhension. En attendant, c'est une petite fille comme les autres et c'est à moi de la protéger.

    Po (prêt à exploser et d’un ton méchant) : Mais tu a raison c’est a toi de la protéger, et ça a très bien fonctionner la dernière fois d’ailleurs. Elle n’a pas du tout été enlevée et elle n’a surement pas du tout été terrorisée pendant tous ce temps. Toi la grande Tyria, tu préférais aller te battre et te sacrifier comme j’ai eu la bêtise de le faire. Bordel tu ne vois pas que c’est Sam qui t’a permis de redevenir celle que tu es. De toute façon elle n’aura jamais une vie normale, avec une mère maitre Jedi, et un père qui reviendra surement se venger.

    Tyria (ironique) : Merci Polux de me démontrer qu'on peut ne faire qu'un avec la Force et être complètement à côté de la plaque. Ce n'est pas parce que tu baignes dedans que tu comprends tout. Sam aura la vie qu'elle veut avoir. Et si elle veut avoir une vie normale, alors en tant que mère, je ferai tout ce qui est nécessaire pour que ce soit le cas. Elle n'a pas à subir les conséquences des actes de sa mère, son père, ou encore de son grand-père ! Et je ne braderai pas l'innocence de ma fille sous prétexte que j'ai peur de ne pas être à la hauteur pour la protéger. Me gueuler dessus n'y changera rien non plus. Le débat est clos. Si je te surprends encore une fois à lui enseigner des tours avec la Force, je pars vivre sur Myrkr les dix prochaines années.

    Po (blasé et écœuré par sa veuve) : Oui c’est vrai tu as raison comme d’habitude, je dois être à coter de la plaque. Et casse toi donc sur Myrkr comme ça tu foutras moins de bordel dans la galaxie, espèce d’inconsciente. T’inquiète pas je ne verrai plus jamais ta fille, ni toi d’ailleurs et j’en suis bien content.

    Tyria allait répliquer quand le vaisseau sorti de l’hyperespace. Et a sa sortie, il se trouva nez a nez avec un vaisseau ne datant pas de la découverte du noyau mais ça aurait pu être le cas. Et malheureusement a cette coque de noix était amarrer un vaisseau pirate beaucoup mieux équipé.

    Po : ***censuré***, 16 ans que j’attends ce moment et je m paye le luxe d’être en retard.Tyty rapproche toi j’y vais.

    Tyria : Qu’est ce que tu vas faire imbécile ? Les attaquer au sabre ?

    Po : Je ne sais pas mais je trouverais.

    Tyria (ironique) : C’est vrai, ça t’a toujours bien réussi…

    Quand Polux se retrouva dans le vaisseau zabrack, il se rendit compte que presque tout le monde était déjà mort, il ne restait plus que Galak et sa petite sœur de 3 mois qui respirait encore. Mais Galak, qui avait eu l’intelligence de se cacher, se sentait mal. Il avait vomi partout, et ne comprenait pas se qui se passait dans sa tête. Polux lui apparu comme a Sam 3 jours plus tôt.

    Po : Bonjour a toi jeune zabrack, surtout ne prononce pas un seul mot ou tu te ferras repérer. Si tu veux me parler, parle dans ta tète, je l’entendrais.

    Galak était paniqué, il ne comprenait pas tous les événements qui se passait, mais il se dit qu’écouter était sans doute la meilleur des solutions.

    Galak (par la pensé) : T’es qui toi et pourquoi les pirates nous attaque, et pourquoi j’ai un mal affreux a la tête.

    Po : Je suis Polux Horn Terrik, je suis un spectre dans la Force, les pirates t’attaquent parce qu’ils pensent que vous avez des richesses ce qui n’est pas le cas. Et pour le mal de tête c’est que tu es capable de ressentir la Force, mais comme tu es né sur myrkr ou la Force y est absente, tu ne la jamais sentie, et d’un seul coup ca te viens et ton corps ne comprend pas ce qui se passe.

    Galak (par la pensé) : Comment je vais m’en sortir ?

    Po : Je sens ton trouble et toutes les questions que tu te pose, mais mets-les en attente et je t’expliquerais tout une fois à l’ abri. Pour l’instant, il faut que tu sortes de se vaisseau et que tu rejoignes celui d’où je viens.

    Galak (par la pensé) : Oui mais comment on va faire ?

    Po : Dans ce vaisseau il y a une nacelle de sauvetage, monte dedans et éjecte toi. De toute façon tu n’a pas le choix, alors fait ce que je te dis ou meurt.

    Dans sa tête, a l’annonce du mot mort, Galak matérialisa les images de toute sa famille déjà morte, Polux eu du mal à rester stoïque face a ca, mais il se reprit aussitôt.

    Heureusement la capsule se trouvait juste derrière la porte la plus proche. Les deux jeunes Zabrack rentrèrent dedans sans aucun problème et s’éjectèrent aussitôt.

    Po : Tyria, rayon tracteur.

    Malheureusement les pirates réagirent très vite et commencèrent à tirer sur la capsule. Apres seulement trois coups ils la touchèrent. Sous le choc Galak fut projeter en direction de la paroi et réussi de justesse a se retourné pour protéger sa sœur. Malheureusement se tête s’écrasa violement sur la tôle froide, et il perdit connaissance.

    Polux, qui lui ne pouvais rien faire physiquement, sonda le jeune zabrack et s’aperçu que son esprit s’échappait de son corps. Il ne lui restait qu’une seule solution rattraper la conscience de Galak avant qu’il ne devienne qu’un légume. Po savait que ca voulais dire la fin pour lui mais le Zabrack était bien plus important, il l’avait vu dans la Force.

    Il plongea dans le corps de Galak et fut pris dans un tourbillon de Force, il était trop tard. La seule chose qu’il pu faire, c’est envoyer un message a Tyria dans la Force avec toute l’énergie qu’il pouvait

    Po : Désolé pour tout, je t’aime…

    -------------------------------------
    PIOU-PIOU-PIOU

    Ce message a été modifié par: poluxhornterrik le 11-09-2014 15:20

    jeudi 11 septembre 2014 - 15:04 Modification Admin Permalien

  • Avatar AngeSolo

    AngeSolo

    28975 Crédits

    Solo ne tenait plus en place. Le fait de savoir où se situait désormais Waren et, surtout, celui de pouvoir se projeter passant ses doigts longilignes autour du cou de ce dernier jusqu’à perte de souffle, la faisaient trépigner d’impatience. Elle avait envoyé ses premières recommandations et devait envoyer de nouvelles sitôt qu’elle serait à bord de son vaisseau.

    Ce simple fait rendait la situation beaucoup plus palpable : elle n’avait plus à patienter en se rongeant les ongles en attendant qu’une bonne âme lui fournisse contre paiement les informations qu’elle désirait tant. Le temps relativement long du voyage, celui qui le séparait de l’assouvissement de son objectif, ne l’effrayait guère. Il fallait étudier les plans de la mystérieuse tour où se demeurait cette ordure de Horn et préparer un plan d’attaque dans le temps imparti. Après réflexion, elle se dit que l’aide – ce mot lui fit crisser les mâchoires – de Tyria ne serait pas de trop. Avoir des êtres sensibles à la Force était bénéfique, elle en savait quelque chose.
    Tony venait tout juste de la quitter.

    Protester n’avait servi à rien, il le savait. Quand Solo avait quelque chose en tête, elle ne l’avait pas ailleurs et la faire changer d’avis quand elle était dans cet état d’esprit relevait du miracle. Il s’était résigné à obtempérer et s’occuper de rapatrier le vaisseau dans la baie d’embarquement plus admiratif que réellement fâché. S’il n’osait lui avouer, il était émerveillé par la capacité d’abnégation dont la femme qu’il aimait était capable.

    Pensive, Ange attendait, une bouteille à la main, que ce dernier revienne. Pourtant, ce ne fut pas la carrure masculine de Tony qui interrompit le fil de ses pensées mais la plus frêle silhouette d’Anjel.

    Ange, le regard vague : Je peux t’être utile ?
    Anjel, un peu gênée : Tyria m’a fait savoir que je serai sûrement plus utile sur Coruscant qu’à errer dans la galaxie pour assouvir les désirs d’un esprit. (Elle marqua une pause.) Et, elle m’a clairement dit de prendre soin de moi au lieu de veiller sur un indécrottable boulet kuati…
    Ange, levant un sourcil : En somme, sa proposition de me filer un coup de main comprenait des petites lignes…
    Anjel : Ah. Je pensais que…
    Ange : Non, elle ne m’a rien dit. (Elle lui présenta une chaise.) Bois un verre, ça ne sera pas de trop.

    Anjel acquiesça en silence, prenant la place que Solo lui indiqua et, ne voyant aucun verre, but à même le goulot de la bouteille.

    Anjel, avalant une nouvelle gorgée : A vrai dire, puisque j’ai moi aussi démissionné et que Tyria s’apprête à retourner dans l’Ordre jedi, je suis en quelque sorte… au chômage…
    Ange, sarcastique : Sarkin a déjà décidé de rejoindre les rangs des coincés de la bure ? Elle ne perd pas de temps. (Elle se mit à rire.)
    Anjel, souriant : Je pense qu’ils se passeront bien de la sorte de ménage que je peux leur offrir…
    Ange, intéressée : Du type ?
    Anjel : Du type déblayer le sol des personnes trop gênantes bien que ça ne soit pas spécialement mon point fort.
    Ange : Mais encore ?
    Anjel : Je suis plus du genre à savoir glaner et obtenir des informations sans me faire remarquer. L’infiltration, c’est plus mon truc, à la vérité.

    Solo ne répondit rien.
    A ce stade de la discussion, elle pesait le pour et le contre quant à proposer à la jeune femme de rejoindre l’organisation de laquelle elle était momentanément à la tête. Bien sûr, elle ne la connaissait que depuis quelques jours mais engager sa parole comme garantie de sa bonne foi lui paraissait encore prématuré. Elle avait été largement satisfaite de ce qu’elle avait vu à l’œuvre et la confiance que lui avait insufflé Sarkin lui apparaissait comme un gage de sûreté mais… Ange ne prenait jamais ce genre de décision à la légère.

    Ange, souriant : Écoute, j’ai peut-être – je dis bien peut-être – quelque chose qui pourrait t’intéresser sous la main mais, tant que cette histoire de coup d’état raté n’est pas réglé, je ne m’engage à rien.
    Anjel : Je comprends. Merci.
    Ange : Ne me remercie pas encore. Nous ne sommes pas encore tirés d’affaire. Si cette partie de nos péripéties n’a pas été une mince affaire, je doute qu’il en soit autrement par la suite. Prends tes affaires, on décolle sitôt que Tony a remis l’Angel’s en état.

    -------------------------------------
    Leader de la Guilde à la retraite
    Ministre de la Perversité et maît... euh... Secrétaire du Président

    "Vous désirez ? Un soda ? Un coca ? Moi ?"

    Ce message a été modifié par: AngeSolo le 11-09-2014 23:08

    jeudi 11 septembre 2014 - 16:29 Modification Admin Permalien

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