Le Temple Jedi 3 (page 6)

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  Padme111

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  J’avais clairement senti l’intention du Sénateur Bothan.
  « Il va venir m’interroger car il ne semble pas convaincu que je sois venu pour Meeto uniquement. Il doute de mon indentée de contrebandière, comment puis-je lui donner tord ? »
  
  Entre mon arrestation et ma mise en cellule, j’avais repéré 3 occasions de m’enfuir, mais pas sans utiliser la Force. Le nombre de prisonniers capables de me reconnaître est important, j’en ai mis trop sous les verrous pour m’en tirer sans être reconnu. Je suis sur le point de plonger sur l’un des gardes et fuir, lorsque j’entends que leur intentions est de me mettre en isolation jusqu’à mon « interview » avec Mohel’Ya. Une confrontation avec lui me semble indispensable ! J’étais curieuse de connaître les raisons de sa conversation avec le « parton » de la SEZ !
  
  La cellule d’isolement que l’on m’attribue est placée dans le secteur des dangereux criminels. Et mon seul crime est d’être entrer sans autorisation au sénat, d’avoir pris l’indenté d’une suivante de la Reine de Naboo, doublé de celle d’une contrebandière, mais heureusement pour moi, il ignore encore cela… du moins pour l’instant !
  Mais la plus grande des accusations qui pèse sur moi est c’elle que je ne réfuterais jamais : c’elle d’avoir frappé un Sénateur, dit respecter, sous la ceinture avec violence et une volonté non cacher. Et pour couronnée le tout, j’ai 2 témoins tout aussi respectable !
  « Je suis dans le pétrin jusqu’au coup ! »
  
  Au bout d’un certain temps,
  Wartk Mohel’Ya me fait convoqué dans une salle d’interrogatoire standard. Je suis déjà assise, les mains menottées dans mon dos. Il se place debout devant la table qui nous sépare. Il agite mon sabre dans sa main comme un objet de délit.
  
  Wartk – Nerris, votre nom ne m’est pas inconnu. Semble que vous êtes en réalité la Jedi qui s’est infiltrée au près de Mister X, il y a quelques années. D’ailleurs, cet armes vous appartient, n’est-ce pas ?
  
  Pour un sénateur, il est fort bien renseigné. Rien d’étonnant à cela au vue de l’efficacité du réseau d’espionnage Bothan. Mais je n’avais ni envie de lui mentir, ni envie de lui confirmée mon identité. Je refuse de lier l’Ordre Jedi à mes affaires personnelles !
  
  Moi – Vous semblez bien sur de vous, mais vous n’avez lu qu’un rapport avec des noms. Et si je vous disais que la Jedi a pris mon identité pour s’infiltrer ?
  Wartk visiblement un peu septique – Et pourquoi auriez vous accepté un tel subterfuge ?
  
  Je sens le doute se glisser dans son esprit. J’avais côtoyé assez JediBothan pour percevoir quelques un de ses sentiments, malgré toutes sa maîtrise. Alors, bien que le sénateur soit natif de Bothawie, bien qu’il avait certainement appris à camoufler ses émotions comme tous ceux de son espèce, il n’avait aucune barrière entre mon empathie et ce qu’il ressent ! « Le doute est en lui et je vais en profiter ! Je dois rentrer dans la peau de mon personnage plus que jamais. Je suis une contrebandière ! »
  
  Moi – Parce que vous pensez que l’on m’a demander mon avis ! Vous ne connaissez pas la Guilde ! Quand on est en dette, on n’a plus que le droit de se taire !
  Wartk – En dette ? En dette avec les Jedi ?
  Moi – Par les griffes du Rancor ! Vous n’y comprenez décidément rien à la Guilde !
  Wartk – Un ton plus bas ! N’oubliez pas à qui vous vous adressez ! Qu’est-ce que…
  J’ignore le haussement de ton – Je vais pas vous racontez ma vie. Disons que le grand et puissant Konix a donné mon identité à une Jedi et cela a effacer ma dette !
  Wartk – Voilà qui est intéressant. Mais d’où vient ce sabre, dans ce cas ?
  Moi – Volé ou arrachez à un Jedi ! Mais vous nous prenez pour quoi ? Des larves de Taozin ? Je ne suis pas la première contrebandière qui possède un Sabre !
  Wartk – Qui possédait !
  
  Un lourd silence tombe. Je ne voulais pas relever et il lui reste des réserves sur mon identité.
  
  -------------------------------------
  Maître de Carth, Cal et Bakara
  Besoin d'un assistant pour les pouvoirs
  
  

  Ce message a été modifié par: Padme111 le 28-11-2007 19:19

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  padawanthrawn

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  Dans son extrême bonté le sénateur Bothan nous avait relachés. Pourtant, il était clair que s'il l'avait voulu il aurait pu poursuivre ce qui ressemblait fort à une mascarade pendant fort longtemps.
  
  Jorus et moi-même sortîmes du Sénat.
  
  Jorus : Bon ça c'est fait... Encore que je me demande si nous ne devrions pas rester ici.
  padaT : Tu penses à Padme dont nous avons senti la présence ? Rien n'indique pour le moment qu'elle ait besoin de notre aide. Mais tu semblais connaître ce sénateur tout à l'heure.
  Jorus : Oui : le sénateur Wartk Mohel’Ya, un bothan tout ce qu'il y a de plus typique : fourbe, manipulateur et ambigu. Il était au Sénat lorsque j'ai dû m'expliquer sur la séparation des pouvoirs entre le Sénat et l'Ordre Jedi. Bien que le problème en surface soit sur les recherches que nous menons sur Onderon, recherches dont nous ne divulguons pas les conclusions, comme tu t'en doutes ; il semblerait cependant que ce ne soit qu'un simple prétexte pour le Sénat pour prendre le contrôle de l'Ordre Jedi.
  padaT : Et ce semblant d'aide ?
  Jorus : Je pense que le sénateur a estimé sue le moment n'était pas encore bon : il ne veut pas que les Jedi soient considérés comme des personnes persécutées, ni vus comme des victimes.
  
  padaT : j'ai appris pas mal de choses durant mon absence. La première est que nous ne faisons pas l'unanimité partout où nous allons, principalement à cause de la méconnaissance de notre philosophie. Les autochtones ont souvent peur de nos pouvoirs : pouvoirs qui pourraient aisément prendre le contrôle de planète. On ne compte plus les histoires où des Jedi ont inversé le cours de bataille rien que par leur présence... Ce que je veux dire, c'est que dans ce cas, il vaut mieux ne pas se montrer tels que nous sommes.
  
  Sur ces paroles j'enlevai ma bure et plaçai mon sabre laser sous mes vêtements. Plus difficile d'accès, il me permettait de passer cependant pour un Chiss normal.
  
  padaT : Peut-être est-il temps pour nous de passer dans un rôle plus d'observateurs. Nous pouvons toujours remplir notre fonction, sans en faire un étalage public.
  
  ...
  
  padaT : Quoiqu'il en soit j'aimerais te proposer deux options : soit nous retournons au Clun Hy’s Bar, soit nous retournons dans le quartier des Jedi. J'y avais trouvé un peu de sang mais je n'avais pas cherché à aller plus loin, d'autant plus que je voulais te retrouver. Peut-être que sur place, une méditation nous permettrait d'ne apprendre plus sur ce qui s'est passé. A moins que tu aies une meilleure idée
  
  Jorus : non, retournons au bureau local, nous y retrouverons peut-être des indices.
  
  
  -------------------------------------
  Chevalier Jedi Terrik Nuruodo,
  adepte du soresu
  maître d'Aerandir
  
  

  Ce message a été modifié par: padawanthrawn le 02-12-2007 19:55

  samedi 01 décembre 2007 - 22:48 Modification Admin Permalien

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  Padme111

  27263 Crédits

  Il reprend la conversation en m’offrant, sans le vouloir, une précieuse information.
  
  Wartk – Le sénateur Meeto semble tenir à vous. Il vous a réclamé en me montrant des papiers dès plus légal. Vous étiez peut-être une contrebandière, mais maintenant, vous n’êtes plus qu’une esclave !
  
  Je dois faire appel à toute ma maîtrise, à tout la Force qui est en moi pour ne pas sombrer dans une colère noir ! J’avale ma salive et espère qu’il a quelque chose à me proposer.
  
  Sur un ton sec et méprisant, je lui réponds – Très bien ! Si vous êtes là et pas lui. C’est que vous voulez m’offrir un moyen d’échapper à Meeto ! Parlez !
  Wartk – Suivante de la Reine, Contrebandière, esclave, … votre palmerez m’impressionne. Je vous offre une promotion !
  Moi – Vraiment ?
  Wartk – Tueuse a gage, cela vous dit ?
  
  Je suis stupéfaite ! Un sénateur qui est sur le point de m’engager pour que je tue quelqu’un !
  
  Moi – Sérieux !? Mais les papiers de votre copain sénateur…
  Wartk – Ils sont en ma possession. Je peux les brûler ou m’en servir pour vous rendre à votre propriétaire. Soit vous tuez la personne que je vous nommerais, soit vous repartez dans les bras de mon ami Arzo. Que choissiez vous ?
  Moi – J’ignore qui est le plus dégoûtant entre le Charien et vous ! Vous parlez d’un choix ! (je marque une pause) Qui dois-je tuer ?
  Wartk – Pas si vite ! Vous acceptez ?
  Moi – Je vous l’ai déjà dit ! Ais-je seulement le choix ? Je refuse d’envisager de rester seule avec ce gros lard bleu…
  
  Connaître sa cible me semble primordial. Et accepté ce travail, me permettra, du moins je l’espère, de sortir d’ici légalement ! Mais sa réponse me déplut.
  
  Wartk – Très bien. Je vous dirais qui vous devriez tuer le moment venu. Lorsque cette personne sera morte, je brûle les papiers. Vous ne serez plus esclave, vous serez a nouveau libre comme l’air. Marché conclus ?
  
  Je fis mine d’hésiter, mais je devais connaître sa cible et essayé de la sauver ! De plus, avoir un Bothan et sénateur de surcroît, ayant besoin de moi me semble un assurance vie à l’encontre des Coynites !
  
  Moi – Bien, j’accepte. « Je suis dans le pétrin, jusqu’au dessus de la tête ! »
  
  En me déliant les mains, il remarque alors une trace de brûlure sur mon avant bras droit. Un « M » qui semble être dans un triangle.
  
  Wartk étonner – Qu’est-ce ?
  Moi – La marque de votre ami ! Regardez de plus prêt et vous pourrez distingué un A et non un triangle !
  
  Le Bothan se raidit et pendant un instant je soutiens son regard tout en retirant mon bras de ses mains poilues. Mon Empathie le transperce complètement, pour la première fois ! Il est clair qu’il ne pouvait croire que son ami Charien soit une brute capable de marquer au fer rouge, une femme. Même si c’est une contrebandière ou une esclave !
  
  Il m’emmène ensuite hors des prisons. Je perçois la présence de Jedi au loin. Je préfère ne pas attirer leurs attention pour l’instant.
  
  Une silhouette encapuchonner s’approche et le sénateur lui parle à l’oreille. Puis, la silhouette me prend par le bras. Wartk se contente de me dire de le suivre. La seule et unique chose que je perçois en la silhouette est qu’il est Bothan lui aussi ! Enfin, elle !
  
  

  dimanche 02 décembre 2007 - 14:58 Modification Admin Permalien

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  Aynor

  9944 Crédits

  Kaarde et Jadden étaient déjà présents dans la salle de communication du Temple, faisant face à la silhouette holographique de Jorus. Sans bruit, pour ne pas couvrir les propos du maître Jedi, je me plaçai à leurs côtés.
  
  Jorus - ... et comme je vous le disait, tout ceci n'était qu'un piège. Bien que innocentés, notre implication dans cet événement va fournir un élément de poids au sénateur Mohel'Ya pour arguer sur le rattachement de l'Ordre au Sénat.
  
  Une deuxième silhouette apparut dans le champ holographique, celle d'un chevalier qui n'avait donné de nouvelles depuis fort longtemps !
  
  PadaT – Et naturellement cette histoire va faire le tour de l'holonet. Comme j'ai pu le dire à Jorus, notre image déjà floue auprès des peuples de la galaxie ne va pas s'en retrouver améliorée.
  
  Kaarde – Inutile de vous recommander la plus grande des discrétion à présent. Et quand est-il de l'enquête sur la disparition de nos deux frères Jedi ?
  Jorus – Rien de probant. Des traces de sang pourront faire l'objet d'analyses mais, je doute qu'elles nous révèlent l'identité des tueurs.
  Kaarde – Bien, je compte sur vous pour faire la lumière sur tout cela. Nous n'allons pas vous envoyer de renforts dans l'immédiat.
  Jorus – C'est plus sage. Nous devons être circonspect.
  Kaarde – Je dois également vous prévenir de la venue sur Coruscant de deux gradés de la République, mêlés à la résolution du blocus sur Eriadu. Ils sont à la recherche d'un traitre répondant au pseudonyme de Fox. Difficile de savoir si cette histoire à un lien avec ce qui se passe au Sénat mais en recoupant avec votre rapport cela ne paraît pas impossible. Les forces armées de la République semblent elles aussi être manipulés.
  Jorus – Bien, nous vous tiendrons au courant. Jorus et PadaT, terminé.
  
  Leur deux silhouette s'évanouirent.
  
  Aynor – Nous sommes piégés. Si nous n'intervenons pas, le Sénat va nous placer sous son autorité. Si nous nous y opposons, nous donnerons raison au sénateur Mohel'Ya et ses partisans.
  Kaarde – Un conflit ouvert n'est pas possible. En attendant de mettre à jour cette machination il nous suffira de brosser le Sénat dans le bon sens du poil.
  Jadden – Et surtout le sénateur Wartk !
  
  Nous rîmes un instant, évacuant notre anxiété. Ce moment de détente fut de courte durée lorsque le centre de contrôle des communications se mit à biper, ouvrant automatiquement le canal de réception.
  
  Voix – Ici le secrétaire du Chancelier Novasrunner. Je suis porteur d'un message à destination des membres du Conseil de l'Ordre Jedi. Il vous fait savoir qu'au cours de la prochaine assemblée sénatoriale, qui se déroule dans 4 jours, sera décidé votre rattachement au Sénat. Votre présence est plus que vivement sollicitée.
  
  La canal se referma, imposant le silence.
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  Maître de Stella et Ismama
  Ancien maître de Yota.
  Chevalier Jedi
  Responsable accueil des padawan.
  
  

  Ce message a été modifié par: Aynor le 02-12-2007 16:24

  dimanche 02 décembre 2007 - 16:23 Modification Admin Permalien

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  Edoras

  7665 Crédits

  ~~ Bordure Intérieure, Nébuleuse de Hapès
  Chantier Naval Mundi, Soleil Bleu
  Heure Galactique : 23h - t° int : 20°C ~~
  
  Ki-Adi se passa la langue sur les lèvres. Il croyait encore y goûter le rouge à lèvres de la Reine. Décidément, il aimait cette mission que le précédent Leader de la Guilde, le vieux Terrik avec qui il avait vécu l'Enfer de Coyn, lui avait confié voici près de six ans.
  Le lit que le Chiss s'était approprié dans le meilleur vaisseau d'infiltration de la Guilde - le Soleil Bleu - embaumait encore du parfum de la Hapienne. Aller en ambassaderie à Hapès ? C'était risqué, mais soit : il était payé pour prendre des risques. Coucher avec la Reine pour avoir plus d'emprise sur elle ? C'était tout aussi risqué, mais il était payé comptant en nature, et ça lui plaisait ! Et en plus, il bénéficiait d'un salaire de gouverneur pour gérer le chantier et ses dépendances. Le pied total.
  Le chiss passa un pantalon et se leva. Oui, cette mission lui plaisait. Mais il avait reçu un rapport déplaisant. Visiblement, le travail était trop ardu pour les travailleurs libres, et des guildeurs sans grandes responsabilités avaient montés un marché parallèle de trafic d'esclaves. Des esclaves qu'ils capturaient au sein de la Nouvelle République : c'étaient pour la plupart des équipages capturés.
  Au fond, Mundi s'en foutait pas mal. Lui, c'est la Reine qu'il foutait ! Mais l'esclavage était interdit par la Guilde, et il ne doutait pas qu'Ange Solo en profiterait pour lui faire cracher au bassinet si elle venait à l'apprendre.
  Il devait trouver le moyen de nettoyer ce commerce et de remplacer les esclaves par des travailleurs libres, plus ou moins séquestrés sur place.
  Mais pour ça, il fallait trouver les crédits.
  "Jacquy" soupira et alla chercher Gortipka le Dug : s'il n'était pas encore saoul, il pourrait l'aider.
  
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  ~~ Région du Noyau, Coordonnées 0-0-0, Coruscant
  Niveau 220, Mégabloc 4, Bloc 5, Sous-bloc 12
  Hôtel-Cantina "l'Anx Baroudeur", tenu par la Guilde
  Heure Galactique : 23h25 - t° int : 19°C ~~
  
  Je me dégageai de l'étreinte et roulai sur le côté, le coeur battant. Kiffa ronronnait, le souffle halettant, ses lekkus agités de spasmes. Je fermai les yeux un instant puis regardai le plafond, m'efforçant de ralentir les battements sourds de mon coeur. Ma fiancée se glissa dans mes bras, posa sa tête sur mon torse, caressa mes épaules et mon cou de ses lekkus.
  Je passai un bras autour de sa taille et ramenai les draps sur ses épaules de l'autre.
  
  - Et pourquoi pas "Ann", pour une fille ? sussura-t-elle. C'est un nom commun au Basic et au Twi'leki, ça signifie "lune"...
  - Oui, ce serait bien. C'est pas mon préféré, mais j'aime bien.
  - Terrik, tu es agaçant, dit-elle en riant.
  
  Je lui rendis son baiser avec toute la passion qu'elle m'inspirait. Ma main erra sur ses flancs et je me demandai si je n'allais pas "remettre le couvert"...
  ... quand mon comlink bipa.
  Soupirant, je me redressai sur un coude et attrapai l'engin-à-ruiner-les-dimanches-matins-et-les-soirées-calins.
  Un message. Sobre, clair, élégant.
  " Sysca Neris capturée par Mocheté N°4. Amitiés, Gripa. "
  On n'a décidément jamais la paix pour faire un calin à la mère de son futur enfant. Tu parles d'une démocratie ! Elle peut pas faire attention à ses jolies fesses, Maîtresse Naberry, non ?!
  
  - Des soucis ?
  - Rien d'urgent. Ca te dirait qu'on mange un truc au lit ?
  - Tu crois qu'il reste du miel ??
  - Euh... oui.
  - Apporte-le. On se passera des toasts pour l'étaler...
  - Si c'est un ordre, évidemment...
  
  Quelque chose lui disait que le propriétaire de l'hôtel allait râler, mais on ne refuse pas son envie à une femme enceinte, n'est-ce pas ?
  Son coeur se mit à rire, oubliant complètement une certaine Padme.
  
  :jf:
  -------------------------------------
  Édoras Konix Terrik
  Ex-Leader de la Guilde, retraité
  Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !
  
  

  Ce message a été modifié par: Edoras le 04-12-2007 00:58

  mardi 04 décembre 2007 - 00:56 Modification Admin Permalien

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  Padme111

  27263 Crédits

  La silhouette est plus grande que moi, une cape sur les épaules lui recouvre le corps. Sa capuche couvre sa tête. Elle avance d’un pas décidé vers une porte a peine visible car elle est confondue dans le papier peint. La comparse de Wartk, ouvre la porte et se tourne vers moi. Je peux enfin deviner ses yeux et la Force me confirme qu’il s’agit bien d’une femelle Bothan. J’obtempère et entre dans un long couloir, sans aucune porte à l’horizon et dont l’éclairage est vraiment réduit au minimum.
  La Bothane referme la porte derrière elle et me pousse vers l’avant. Au bout de quelques mètres, un escalier descendant apparaît. Comme il n’y a pas d’autres issues, nous descendons. Ca ne m’aurait pas servie d’essayer de m’échapper, d’autant plus que j’ignorais encore le nom de la personne que je devais tuer. Pourtant, la Force semble vouloir me prévenir d’un danger. Mais il est bien trop tard pour moi faire demi tour, surtout avec la native de Bothawie sur mes talons. Les escaliers semblaient ne plus finir !
  
  Enfin, nous arrivons devant une porte. La main poilue de mon escorte se pose sur une plaque, la porte s’ouvre. Je suis a nouveau poussé à l’intérieur de la pièce par cette femelle. Un froid glacial m’envahit ! Non, ce n’est pas une absence de chaleur, mais malheureusement bien une absence de Force ! « Il y a un Ysalamir quelque part, mais pourquoi cette précaution ? Ont-ils deviné mon identité ? » Je prends le temps de découvrir l’endroit, mais ce n’était que 4 murs avec pour seules issues la porte par laquelle nous venions d’entrer. J’essaie de ne pas laisser paraître que j’ai remarqué l’absence de Force. La Bothane retire sa capuche puis ôte sa cape, laissant apparaître son corps plus que musclé revêtu d’une tunique de combat couvrant quasi que le nécessaire pour rester décente.
  
  Moi - Et maintenant, nous prenons le thé ?
  La Bothane – Ne sois pas impertinente ! Tu as une mission à accomplir pour Monsieur Mohel’Ya ! Et nous sommes ici pour te préparer à ce qui t’attends !
  Moi – Trop aimable de votre part, chère… excusez moi, je n’ai pas retenu votre nom ?
  
  Avant même que je puisse réagir, la Bothane me fonce dessus ! J’essaie de riposter mais trop tard, je me fais plaqué au sol.
  
  La Bothan – Melah’Ki ! Pauvre petit humaine, je ne t’ai pas fait trop mal ?
  
  Elle se retire de dessus moi et j’en profite pour replier les genoux contre me ventre et lancer mes pieds vers son corps, elle l’esquive mais pas entièrement et est déporter sur la gauche, je me remet sur mes pieds, cette fois-ci, prête à riposter à une de ses attaques.
  
  Melah’Ki – Mieux ! Si tu veux avoir une petite chance de tuer quelqu’un, soit plus efficace !
  Moi – Si vous doutez de mes performances, ne fallait pas m’engager.
  
  Sur ses mots, elle bondi pendant que je m’apprête à la réceptionner comme il se doit. Nous nous engageons dans un corps à corps. De toute ma vie, je n’avais jamais comparue à main nue sans la Force, une adversaire comme elle. Parfois, je me demandais si elle ne désirait pas ma mort. Elle aime se battre, mais plus que tout, elle est certaine de gagner !
  
  Hélas, elle a raison. Au bout d’une heure de combat, je suis épuisée, courbaturé et vaincue. La bothan me maintient au sol et prête à me donner un coup fatal ! Elle arrête sa main dans son élan. De l’autre main, elle sort de sa poche un collier qu’elle vient placer autour de mon cou sans que je ne puisse l’en empêcher.
  
  Melah’Ki – T’es morte ! Pfff
  
  Elle se redresse et me libère. Je me relève doucement, douloureusement. « Kaarde, faudra que je reprenne tes cours de survie sur Myrhr ! » Mes mains touchent le collier, c’est un ras du cou métallique style aux colliers de parure de la Reine ou sénatrice de Naboo.
  
  Moi – Vous récompensez les vaincus ?
  Melah’Ki – T’as échouer dans le premier test, voilà une assurance, une motivation pour toi remplir ton contrat.
  Moi – Êtes vous enfin décidé à m’en dire plus sur ma mission ?
  Melah’Ki – Oui. Il y a un explosif dans votre collier. Une garantie de votre loyauté. Maintenant, il temps pour vous de sortir de l’ombre !
  
  :fou:
  
  -------------------------------------
  Maître de Carth, Cal et Bakara
  Besoin d'un assistant pour les pouvoirs
  
  

  Ce message a été modifié par: Padme111 le 04-12-2007 12:17

  mardi 04 décembre 2007 - 12:16 Modification Admin Permalien

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  padawanthrawn

  9932 Crédits

  Après la conversation avec Aynor et Kaarde, nous nous préparâmes à entrer en méditation afin de chercher à revivre les événements qui s'étaient déroulés dans le bureau local des Jedi et de voir ce qui s'y était passé.
  
  Avant de m'y plonger je fis part de mes sentiments à Jorus.
  
  padaT : Tu sais, je pense que si le sénat cherche à nous piéger, la solution pourraît être de dissoudre l'Ordre Jedi.
  Jorus : Tu n'es pas bien ?
  padaT : Si au contraire. Nous ne sommes pas des Jedi parce que nous faisons partie de l'Ordre Jedi mais l'Ordre Jedi existe grace aux Jedi. Si l'Ordre disparait, nous continuerons de vivre. Par ailleurs, je vois mal comment nous pourrions conserver nos idéaux et notre philosophie si nous étions enchaînés et contrôlés par le Sénat, alors que sans autre maître que la Force, nous pourrions faire ce pourquoi nous existons : servir la Force et ceux qui en ont besoin.
  
  La conversation s'arrêta là et nous entrâmes en transe

  mardi 04 décembre 2007 - 21:06 Modification Admin Permalien

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  Padme111

  27263 Crédits

  Coruscant,
  Heure Galactique: 18H07
  
  Melah’Ki ne me ménage pas car j’ai à peine le temps de réagir à ses paroles, qu’elle m’empoigne par le bras et me fait sortir de la pièce. Avant de remonter, elle tape un code en sa langue natale sur la plaque de commande. Une autre porte s’ouvre, une porte qui n’était pas visible, elle m’y entraîne.
  
  Tout en marchant à vive allure, elle m’explique qu’un certain Jedi du nom de Netim n’a jamais aimé la collaboration entre Jedi et La Guilde.
  
  Melah’Ki – …cela nous facilite la tâche ! Il est le bouc émissaire tout trouver. C’est lui qui officiellement, vous a engagée. Si vous dites le contraire… BOUM ! Le collier explose !
  Moi – Vous ne désirez pas revendiquer un meurtre ? Cela nuit de trop à Mohel’Ya ! Les Bothans sont lâche !
  
  Sans aucune retenue, elle m’envoie un coup de poing vers le visage, mais comme ma connexion avec la Force est de nouveau là, je parviens à intercepter son poing dans ma main. Elle reste stupéfaite, puis laisse son bras retombé le long de son corps.
  
  Melah’Ki – Ma leçon a au moins le mérite d’avoir porter ses fruits.
  Moi – Cela ne me dit toujours pas qui est ma cible ?
  Melah’Ki – Un bureaucrate, un homme d’affaire, un croisement entre un hypocrite et la honte des politiciens ! Un ambassadeur qui n’a pas, qui n’a jamais eu sa place au Sénat, mais qui l’a obtenu que par sa notoriété, ses relations plus qu’intime avec des femmes de haut rang et pas mal de pot de vin. Mais plus que tout, il soutient les Jedi ! Maintenant, il va regretter de l’avoir fait !
  
  La description qu’elle faisait me laisse sous-entendre qu’il s’agit d’une de mes connaissances ! La seule chose qui me fait espérer que je me trompe, c’est que dans mes souvenirs, il n’a rien d’un politicien. Bien qu’avec lui…
  La Bothan ouvre une autre porte qui donne dans une ruelle à l’air libre. Et j’aurai voulu qu’elle referme cette porte sans rien ajouter.
  
  Malheureusement pour moi, elle ajoute – Vous êtes dans le Corridor Ecarlate. Bonne chance à vous, qui que vous soyez en réalité ! Débrouillez vous, mais il vous reste une semaine pour accomplir votre mission. Après quoi, le collier explosera. L’ambassadeur Thyferrien doit mourir !
  
  Elle referme la porte me laissant seule dans cette ruelle hostile.
  « Non, non, dites-moi que cet ambassadeur n’est pas l’homme que je crois ! »
  :pens:
  
  -------------------------------------
  Maître de Carth, Cal et Bakara
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  Ce message a été modifié par: Padme111 le 07-12-2007 09:35

  mercredi 05 décembre 2007 - 09:34 Modification Admin Permalien

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  Edoras

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  ~~ Région du Noyau, Coordonnées 0-0-0, Coruscant
  Niveau 235, Mégabloc 6, Bloc 12, Sous-bloc 8
  Ambassade de Thyferra, Bureau du Plénipotentiaire
  Heure Galactique : 8h25 - t° int : 18°C ~~
  
  Heure du boulot. En tantq ue Plénipotentiaire, je suis censé représenter le Gouvernement de Thyferra et le Premier Canir, alors que les deux ambassadrices Humaine et Vratix représentent leurs peuples respectifs. Ca, c'est la théorie. Presque mot pour mot ce qui est inscrit dans la loi. Je le sais par coeur, forcément : c'est moi qui ai rédigé cette loi. Lors de mon premier mandat, que j'ai utilisé pour refondre en profondeur les institutions afin de limer les disparités culturelles, légales, civiles et politiques des deux communautés. L'égalité des espèces ayant été atteinte avant la fin de ce mandat (que j'avais gagné en trichant un peu), je m'étais attaqué au droit des femelles Humaines et des mâles Vratix. Le résultat avait été de me garantir un second mandat, sans avoir besoin de truquer les élections. Une popularité de près de 65%... qui était montée à 85% lors de mon troisième et dernier mandat.
  
  Autant dire que dans ce bureau, dans cette ambassade, tous voyaient en moi, au choix, un Élu du Peuple ou un dangereux adversaire politique qui n'aurait aucun mal - s'il le voulait - à devenir un tyran populaire. J'étais conscient de pouvoir à tout moment abolir la démocratie si l'envie m'en prennait.
  Mais le Premier Canir avait les facettes bien en place : il savait pertinemment que je ne m'étais pas échiné à renforcer la démocratie (re)mise en place par Asia Lars pour dénaturer à présent ses institutions. La troisième année de mon premier mandat était souvent choisie dans les manuels scolaires pour dater le début de la deuxième "Alazhixazha" (Saison Prospère, autrement dit Âge d'Or). N'avait-on pas nomé une Avenue à mon nom au centre de la capitale, valbresges ? N'avais-je pas fondé la ville nouvelle de Corles-la-Neuve, sur les ruines de mon village, détruit pas Ysane Isard ?
  
  Je me sentais comme un Seigneur en son fief, et c'était presque aussi grisant que de diriger le plus puissant empire criminel de tous les temps. Et pourtant, elles étaient loins, ces premières élections... plus d'un siècle standard, à présent.
  Mais le rapport que j'étais en train de compulser faisait voler en éclat ce sentiment de toute-puissance, le remplaçant par un courroux mortel, une ire démesurée.
  
  Amanda Xucphra : Tu nous as appelé, Konix ?
  Konix Xyphor : Oui... dis moi, tu es au courant de ce nouvel impôt ? Qui a signé pour Thyferra ?
  Vikshy Xolban : K'shaakzi ?! Qu'est-ce que cette histoire, monsieur Xyphor ? Il n'y a pas de nouvel impôt !
  Amanda : En tout cas, le Canir ne nous a rien dit à ce sujet !
  Konix : Et pourtant, j'ai ici sous les yeux le document et on me demande de le contresigner, en tant que représentant légal de Thyferra sur Coruscant. Et pas n'importe quoi... un "affouage" sur le bois et "toute espèce de végétal exporté de manière systématique et industrielle hors d'une planète, d'un Système ou de toute installation de culture spatiale". A cela, vous devez ajoutez un "tonlieu" sur les droits de circulation des marchandises, l'emplacement des étals et des loges au marché galactique et à la bourse". Cet impôt supplémentaire est à base de 1.5% et vise à "épargner nos citoyens et faire payer directement aux commerçants et gouvernements locaux les forces armées qui les protègeront".
  
  Un long silence, épais comme du babeurre, flotta dans la pièce. Enfin, Vikshy agita une antenne.
  La Vratix : Il doit s'agir d'une farce, d'une erreur de traduction, ou... enfin, ce n'est pas possible !
  L'Humaine : Le fils de chien ! Et il ose faire passer ça pour une mesure épargant les citoyens ?! Il va tous les mettre sous pression économique, oui !
  Xolban : Du calme. Il faut d'abord savoir qui est ce "il".
  Xyphor : Qui voulez-vous que ce soit ? Le Chancelier Jo'nn Novasrunner, bien sûr. Et je ne sais comment, mais cette loi a passé le cap de l'aval du Sénat, sans qu'il soit débattu devant l'assemblée réunie. Certainement un pot de vin faramineux, ou quelques arcanes administratives particulièrement tordues.
  Amanda : Jamais notre peuple n'acceptera cela : c'est l'étouffement de Thyferra à court terme, que représente cette ignominie ! Que va-t-on faire ?
  Édoras Konix : Faire ce que le Premier Canir m'a suggéré : déposer une motion de censure à l'encontre du Chancelier et demander l'appui de l'Union des Confédérations Marchandes afin que notre peuple ne meure pas de faim.
  
  A 12h35, je sortis de l'Ambassade et me dirigeai vers un turboélevateur afin de descendre au niveau 220, pour retrouver Kiffa, manger un morceau et me diriger ensuite avec elle au Sénat. Où il nous faudrait affronter Novasrunner et liguer contre lui les mondes de l'UCM.
  Je glissai deux blasters légers DL-18s à ma ceinture et sortis, serrant les poings.
  
  :jf:

  mercredi 05 décembre 2007 - 12:34 Modification Admin Permalien

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  Jorus-Beku-n

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  Dissoudre l’ordre Jedi ! Cette solution, choquante de prime abord, montrait à quel point la situation était tendue… Mais cela était maintenant entre les mains du Conseil et je me concentrai sur les lieux, ces bureaux dans lesquels vécurent Nétim et son Padawan. Je pénétrai dans les limbes de la Forces, me laissant guidé par ses différents flux, puis je sentis près de moi l’aura même de PadaT. Nous cherchâmes au sein de la Force des traces résiduelles de la Force… Je sentis une légère déchirure, la pièce apparut alors devant nous, mais cette image était baignée d’une lumière rouge sang… Un être humain était penché sur deux corps, il portait un sabre laser à la ceinture. L’image était perturbée, il était impossible de distinguer parfaitement les silhouettes fantomatiques, mais les traces dans la Force étaient claires… Quelques instants plus tard, je repris conscience
  
  PadaT : J’ai sentis le côté obscur de la Force, autour de ce mystérieux personnage
  Jorus : Il semble donc que l’assassin des Jedi soit sensible à la Force, qu’il utilise le côté obscur de la Force et qu’il manie le sabre laser…
  PadaT : Je croyais que les Sith avaient été décimés lors de la chute de Dark Lana
  Jorus : Certains tenants mineurs du côté obscur ont pu nous échapper. Je n’ai sentis qu’une puissance restreinte dans le côté obscur
  PadaT : Notre « tueur Sith » ne serait alors qu’un homme de main !
  Jorus : Il faut être toujours prudent avec le côté obscur, nous l’avons trop négligé ces dernières années. Mais je suis d’accord avec toi.
  PadaT : Mais pourquoi ce meurtre ?
  Jorus : Continuons à chercher des indices
  
  Nous fouillâmes toutes les pièces et tous les recoins du bureau des Jedi. Au bout d’un moment, je m’intéressai à l’ordinateur, ou plutôt à ces restes car il avait été cassé
  
  Jorus : Dommage qu’il soit dans cet état !
  PadaT : Oui mais qui l’a mis ainsi ? Notre tueur après avoir pris des données ? Les services secrets de la République ?
  Jorus : Si Nétim avait découvert quelque chose pouvant le mettre en danger, il a du nous laisser un indice. Les Jedi peuvent utiliser la force pour dissimuler des informations dans des mémoires électroniques…
  PadaT : J’ai compris, je vais voir ce que je peux faire
  
  PadaT trouva un moniteur qu’il brancha sur les restes de l’ordinateur de Nétim. Il connecta tout cela à une source d’alimentation. Fermant les yeux, il plongea dans la Force, l’utilisant pour entrer dans les circuits électroniques et cracker ce qui pouvait l’être encore… Au bout de quelques minutes, les pages d’un agenda apparurent… PadaT alla aux dernières pages !
  
  PadaT : Regarde ! Nétim avait un rendez-vous avec le Chancelier !
  Jorus : Oui, le lendemain de sa disparition…
  PadaT : Il avait du découvrir quelque chose d’important, pour qu’il sollicite ce rendez-vous
  Jorus : Oui… Mais cela pose deux questions. 1, pourquoi Nétim n’a-t-il pas informé le Conseil. Et 2, pourquoi le chancelier n’a-t-il fait aucune référence à ce rendez-vous ?
  
  Tout à coup, le Chancelier m’apparaissait sous un nouveau jour car il nous avait caché des informations importantes. PadaT se concentra à nouveau dans la Force, à la recherche éventuelle d’autres indices
  
  
  

  jeudi 06 décembre 2007 - 10:49 Modification Admin Permalien

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