Le Temple Jedi 3 (page 31)
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Kaarde
17496 Crédits Modo
Je venais de me livrer à la justice. Après mon annonce de prise de responsabilité des actes de Jad'den le Chancelier discuta à vois basse avec ses conseiller et reprit enfin la parole.
Tils : - Maître Kaarde Nabery, étant donné votre responsabilitée assumée dans l'attaque terroriste du Sénat il vous est demandé de vous présenter à la Commission d'Enquête du Sénat présidée par le Sénateur Mohel'ya qui statuera sur votre sort. Sachez que vous risquez une lourdre peine d'emprisonnement. Malgré vos faits passés et votre dévouement envers la justice vous n'aurez que peu de concistances atténuantes. L'acceptez-vous ?
Moi : - Oui, votre Honneur.
Pauvre Gumbrak Tills, si dévoué envers la République Galactique, si épris de justice. Il connaissait toute la vérité sur les derniers événements et je sentais bien qu'il me condamnait à contrecoeur. Pour ma part je regrettais amèrement d'avoir amené un Chancelier aussi intègre à commettre ce qu'il considérait comme une injustice dès le début de son mandat.
Je sentais également les présences de Jorus et Yota, qui surveillaient les débats et Mohel'ya avec attention. D'un bref contact télépathique je les rassurai sur mon sort, je n'avais pas peur de ce qui pourrait m'arriver et je savais que mes paroles et mon sacrifice auraient une influence sur quelques sénateurs.
Tills : - Bien, veuillez remettre votre sabre laser au gardes qui vous attendent et les suivre.
Une vague d'applaudissement accompagna ses paroles. Les Sénateurs saluaient rituellement le Chancelier Suprême, non mon départ, mais avec très peu d'enthousiasme. Certains, comme Gumbrak Tills, regrettaient la mise aux arrêts d'un Maître Jedi, une première dans l'histoire. D'autres, comme Mohel'ya étaient amèrement déçu de ne pas avoir attrapé un autre coupable, et craignaient que mon arrêt compromette le projet de mise sous tutelle. Le sénateur bothan devait être en train de faire fonctionner ses méninges pour trouver comment tirer parti de la situation.
Après un coup pareil ma mère, Elora Karrde Nabery de Naboo, allait sans doute devoir mettre un terme définitif à sa carrière politique. Elle n'avait déjà jamais supporté les violentes prises de paroles et les engagements de Pad au Sénat lorsque celle-ci dirigeait le Conseil Jedi. Mon arrivée à la succession de ma soeur l'avait peut-être appaisée, je n'en sais rien, et voilà que je portais le coup de grâce ! La pauvre...
A ma sortie de l'auditorium je fut accueilli par quatre gardes qui me demandèrent mon arme. Avant de le leur remettre je contemplait une dernière fois mon vieux sabre laser. Je n'y étais pas particulièrement attaché mais je le possédais depuis ma formation de padawan, je ne l'avais jamais perdu et à présent je risquait de ne plus le revoir. La vue de cette arme couverte d'éraflures raviva plusieurs souvenirs. Un sabre monophasique à lame bleue, fabriqué lorsque j'étais l'un des padawans de Sonnychristence. Je m'étais toujours efforcé de m'en servir le moins possible mais j'avais mené de nombreux combats avec. Par un extraordinaire concours de circonstances il n'avait arraché que peu de vies mais tout de même tranché son lot de bras et de jambes. Je l'avais en mains lorsque je dû affronter Dark Mashin, Dark Olethros, Viktor Koher, Dark Soul, Baaaaaaal, Dark Belfor et Lambda. Il m'avait aussi malheureusement servi à combattre des gens proches comme Macematu, Tyria et à présent Jad'den...
Le meilleur usage que j'avais trouvé à mon sabre laser était au Conseil. Outre les combats il me rappelait avec réconfort tous les nouveaux et prometteurs Chevaliers Jedi que j'avais adoubés et auxquels j'avais coupé la tresse de padawan.
Garde : - Monsieur ? Votre sabre laser s'il-vous-plaît !
Moi : - Tenez.
Garde : - Auriez-vous autre chose à consigner ?
Moi : - Non... euh, si ! Mon chasseur léger, l'Aurora, qui est posé depuis des jours sur une plate-forme d'atterrisage du Sénat. Gardez-le de côté pour moi ou confiez-le à l'Ordre Jedi s'il renaît de ses cendres.
Garde : - Bien. Vous pouvez garder votre comlink jusqu'à ce que la Commission d'Enquête ait rendu sa décision.
Je fut bientôt présenté à la Commission d'Enquête du Sénat, où je confirmais à Mohel'ya ma responsabilité dans les événements et ma démission du Conseil des Jedi. On me plaça ensuite en résidence surveillée. Restait à savoir combien d'années de prison seraient retenues contre moi. Je me doutait déjà des problèmes que cela allait susciter. On allait sans doute me placer dans des quartiers de haute sécurité sur une planète pénitentiaire avec des ysalamiris pour me couper de la Force. Si l'endroit n'était pas tenu secret je risquais de devenir une cible facile pour n'importe quel Jedi Noir, Chasseur de primes ou imbécile souhaitant se faire une réputation. Mais je n'avais aucune peur, aucun doute.
Tout en méditant je ne pu m'empêcher de repenser à Maître Sonnychristence, qui avait été si fier de moi et de son autre padawan, Pad. Pad, ma grande soeur, mes frères Obitom, qui venait en ce moment même vers Coruscant, et Macematu... ils allaient me manquer, tout comme les défunts Pollux et Clickman, qui avaient donné leurs vies pour en sauver d'autres, ou ceux qui avaient pris leurs distances, comme Starseb, Remeyodi,Ange et Doc. J'avais aussi beaucoup d'inquiètudes pour Aynor et Jad'den dont l'avenir était incertain, et que je n'étais plus en mesure d'aider. Je faisais en tout cas confiance à Jorus, Mirax, Padmeia, PadaT, Yota, Kiad, Carth, Alek et toute la nouvelle génération de Jedi pour les aider et continuer de servir la Force avec ferveur.
Je repensais enfin à Tyria et ObiWan33, mes anciennes padawans bien-aimées. J'avais consacré à leurs formations respectives les plus longues et belles années de mon parcours de Jedi, multipliant les missions, les enseignements et les entraînements avec chacune d'elles. Elles avaient été toutes deux ma plus grande fierté. Paradoxalement la chute de Tyria dans le Côté Obscur puis sa disparition demeurait ma plus terrible épreuve. J'aurais aimé aprendre ce qu'elle était devenue avant de mettre un terme à ma carrière.
Je suis donc au bout ? Mon parcours s'arrête aujourd'hui ?... Bon, je n'ai que peu de regrets.
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I've a baaad feeling about this !Ce message a été modifié par: Kaarde le 16-08-2015 19:13vendredi 14 novembre 2008 - 12:37 Modification Admin Permalien
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Aynor
9944 Crédits
Ryloth, cité de Kala'Man
Enclave du clan Doneeta.
Aynor sortit de sa cachette, et s'interposa entre les gardes menés par Jart, et Kiad.
Jart - Vous voilà donc.
Aynor - Pourquoi ne pas me laisser tranquille !? J'vous ai rien demandé !
Jart - Ce n'est pas une question de ce que nous voulons, ou de ce que tu veux. Il est question d'honneur, et de respect des traditions. Sans doute l'étranger - il y avait dans sa voix du dédain - ne peut-il comprendre. Mais toi tu connais nos traditions. Tu sais aussi ce qu'il en coûte à ceux qui les bravent.
Kiad - Elle est Jedi, elle n'a rien à voir avec vos traditions.
Jart - Nous le savons. C'est ce qu'elle fut. Elle est aussi une twi'lek et ça, elle le sera toujours. Plus important même, elle est l'héritière du clan Doneeta et du clan R'Lyek. Elle est plus importante que vous ou que moi. Plus importante pour son peuple qu'elle ne le sera jamais pour les Jedi. Jedi dont les jours sont comptés. La République ne va pas tarder à s'écrouler, et eux avec. Mais nous n'en avons cure.
Kiad - Imbéciles, elle compte plus à mes yeux que vous ne le croyez !
Kiad ralluma son sabre, preuve qu'il ne comptait pas les laisser l'emporter sans réagir.
Kiad - Twi'Lek ou non, je m'en fiche. Vous êtes une pourriture, et moi j'abats les pourritures !
Jart - Je n'en attendais pas moins d'un vulgaire contrebandier. Tout ceci vous dépasse. Tuez moi si vous le pouvez. D'autres prendront ma place. Fuyez. On saura vous retrouver. Comment croyez-vous que nous l'avons retrouvé ? Cela ne nous coûtera que quelques dizaines de milliers de crédits de plus. L'importance qu'elle a pour nos deux clans dépasse de loin vos considérations sentimentales mièvres. Gardes, tuez-le, mais la fille doit rester en vie. Il en va de notre avenir à tous.
Aynor se saisit à pleine main du blaster qu'elle avait, et le braqua sur sa tempe.
Aynor - Bougez pas où je me flingue ! *Je deviens dingue moi aussi ...*
Kiad - Contrebandier ? Assassin ?
Parfait parfait, au moins je passe pour ce que je veux être pris. Adieu, insondables crétins, pensa t-il. Et sans même bouger d'un poil, il attira Aynor à lui, sauta par dessus elle et fonça dans le tas.
Aynor vit Kiad sauter au dessus d'elle et charger les gardes Twi'lek armés jusqu'au dents, prêts à bondir.
Aynor *Ce type est complètement syphonné !*
Aynor - Kiad, nooooon !!
Aynor mit un genoux à terre, baissant la tête.
Aynor - Je me rend ... mais ne le tuez pas.
Bien qu'il l'ai entendu, Kiad ne s'arrêta pas. Seulement cette fois il n'avait pas l'avantage de la surprise et bien qu'habitué aux combats sans espoirs, cette fois un blaster le toucha, puis un autre, un troisième...Il s'écroula au sol, grinçant des dents et crispant ses doigts de douleur.
Kiad - Rien à fiche, je suis un...un...
Aynor - ARRETEZ !!!
Elle se jeta sur lui, le protégeant de tout son corps. Elle ne voulait pas le voir mourir, même s'il n'était encore qu'un vague souvenir renaissant.
Jart - Son sort sera décidé plus tard. Le tiens est scellé. Ton destin t'attend. Un grand destin, princesse.
Il s'inclina avec sollenité devant elle, puis ordonna que soit conduit Kiad dans une geôle. Impuissant, l'ancien Jedi ferma les yeux et se concentra. Aynor ne tarda pas à entendre sa voix résonner dans sa tête.
"Rappelles toi, Yavin IV, Ossus, Tyria, Jenna, Jesse, la Force, Pad ! Remeyodi...Rem..."
En le regardant s'éloigner, sous escorte et blessé, Aynor entendit cette voix la pénétrer au plus profond d'elle. Quelque chose se réveillait en elle. Pour la première fois depuis plus de deux semaines elle se rappela de quelque chose. Oui, elle le connaissait. Son visage, ce qu'il avait représenté pour elle. Oui, elle avait été une Jedi. Elle était liée à la Force qui la rappelait à elle. Un frisson la parcoura. Une lumière au bout de ce trou noir.
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Maître de Stella et Ismama.
Ancien maître de Yota.
Chevalier Jedi.Ce message a été modifié par: Aynor le 15-11-2008 20:58samedi 15 novembre 2008 - 20:55 Modification Admin Permalien
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Jadden_Korr
5671 Crédits
Le tunnel bleu de l'hyper espace s'étend a l'infini tandis que le Défiance et l'Armada file tout deux a des vitesses supra luminique . A la passerelle , un homme . Un homme ou une machine ? La limite est mince tant le systeme organique d'un homme s'apparente a une machine et tant les nanites circulant dans ce corps en ont augmenté les capacités ...
Jad'den : " Aynor ... "
L'homme-machine regarde en boucle différentes hologrammes , mettant en scène une twil'ek parcourant les dédales du super destroyer en esquivant les Unités S.T.A.R.S lancaient après elle . Elle parviendra à atteindre un hangar , prendre un vaisseau et a s'enfuir du Défiance ... La donnée qu'elle ignorait , est qu'elle était filmé , dedans comme dehors . Sa récupération n'est pas passé inaperçue au Radar , et selon les fichiers informatiques ainsi que les données de la fuite du vaisseau contrebandier . La destination n'en était que plus clair ...
Légion : " Ryloth ... "
Un gémissement tira l'hybride de ses réflexions , il fit face a deux humains , un homme et une femme . Cette dernière était plus agé que le second prisonnier . Plus agé même que l'hybride lui même ...
Légion : " Enfin de retour parmi nous ? La dernière ponction psychique ne t'as pas fait du bien , ton énergie m'a revitalisé , mais tu t'es évanouie , il y a de cela plusieurs heures... "
Pad , tourna sa tête lentement , comme si chaque mouvement lui demandé un effort sur humain, vers Alek .
Légion : " Lui ? Il résiste moins bien que toi ... Depuis qu'il est a tes cotés , pas une seule fois il ne s'est réveillé . Mais qu'importe , tant que j'ai mon énergie ... "
Sur ces mots , Légion leva une main vers Alek et une aura blanchâtre s'éleva du corps du jeune homme pour aller vers l'Hybride . L'atmosphère de la passerelle s'agita et les yeux de l'homme-machine brillèrent ...
Légion : " Oui , la puissance , le pouvoir ... La ... Liberté ... "
Les yeux interrogateurs de Pad , fixant la Baie vitré donnant sur l'Hyper espace , suffirent à Légion pour comprendre la Question ...
Légion : " Notre destination ? Mais Ryloth ... Tu tenais a prouver que cette femme était vivante ? soit ... Je te prouverai que pour lui , elle est morte ... "
S'en retournant , il fixa l'espace ... Impatient d'arriver ...lundi 17 novembre 2008 - 21:58 Modification Admin Permalien
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Padme111
27263 Crédits
Lieu : passerelle du Défiance.
Localisation : Orbite de Ryloth
Mon corps me faisait souffrir et mes forces physiques m’abandonnent ! Voir Alek inconscient me fit comprendre que son état devait être pire que le mien. J’observe le responsable de cela qui est concentré sur la planète. Il la scanne tout en ignorant purement et simplement toutes les procédures d’approchent. Bientôt, les autorités de Ryloth allaient probablement envoyés des vaisseaux contre le Défiance et l’Armada. Une autre bataille en perspective ? Oui sûrement ! Je devais éviter cela !
Moi – Jadden…
Légion – Nous apprécions lorsque vous n’êtes pas réveillé ! Nous avons des choses plus importantes à faire que perdre du temps en discussion stérile ! Vous vouliez retrouver Aynor et nous nous y employons !
Résigner devant l’évidence, il n’y avait plus d’humain devant moi. Je me résolus avec tristesse et désespoir à trouver une logique qui me permette de sortir de cette impasse.
Moi – Mauvaise procédure. Le chemin le plus droit n’est pas toujours le meilleur !
Légion – Raisonnement humain, illogique et stérile.
Moi – Exactement là où je veux en venir, Légion ! Aynor est Twi’lek ! Ce peuple ne raisonne pas par logique, mais par tradition. Votre approche doit être moins frontal. C’est une attaque du peuple…
Légion – Nous sommes invincible, rien ne nous arrêtera !
Moi – Théoriquement, je suis d’accord. Mais en attaquant la planète, vous effacez la moindre possibilité de retrouver Aynor en vie. Vous pourriez la tuer physiquement par un dommage collatéral.
L’hybride pris un moment pour me fixer. Il pensait mes mots et toutes éventualités devaient passer dans son cerveau mi-homme mi-machine.
Moi – Laissez-moi vous aider ! Laissez moi calmée les autorités de Ryloth. Eviter ainsi des dommages à vos navires, à vos S.T.A.R.S., à vous-même ! Je veux évité des morts inutiles, Twi’lek ou autres ! Libérez-moi de ce champ magnétique et je vous aiderai à la retrouver, vous avez ma parole !
Légion – Ce n’est qu’une ruse pour …
Moi – Vous détruire ??? Non, je ne peux pas croire que vous pensiez que je sois encore une menace pour vous. Auriez vous si peux confiance en vous, Légion ?? N’êtes-vous pas plus fort ? Plus intelligent ? Je n’aie qu’une parole, Légion ! Je ne suis jamais revenu sur une parole donner ! Je VEUX vous aider à retrouver Aynor ! Libérez moi et laissez moi parlée aux autorités de cette planète ou il y aura encore des morts pour rien !jeudi 20 novembre 2008 - 11:44 Modification Admin Permalien
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KiAdiMundi
5879 Crédits
[Post toujours fait en collaboration avec Aynor sur msn]
Kiad avait été emmené en cellule où, avait-on promit à Aynor, il serait bien traité. Ce qui signifiait simplement qu'ils ne le tueraient pas. Pas dans l'immédiat. Quant à Aynor, elle avait été conduite dans ses futurs appartements qu'elle partagerait avec les autres femmes du clan. On l'y laissa se préparer, avant sa première entrevue avec son futur époux. Un moment de répit ? Autant être lâchée en plein milieux d'une fosse à serpents que de se retrouver au milieu de toutes ces femmes dont la jalousie à son égard n'était masquée que derrière des courbettes d'usage. Celles qui auraient pu se montrer aimables étaient écrasées par les autres....
La pièce où fut emmené Kiad ne comportait qu'un néon crépitant et flashant et un lit de fortune. C'est à dire un matelas posé à même le sol. Quelques soins rudimentaires à base de bacta lui furent prodigués, juste de quoi le maintenir dans un état stable sans pour autant qu'il reprenne assez de force pour redevenir dangereux. Néanmoins, après dix ans d'errance dans la galaxie, il avait apprit à manier la Force pour se soigner. Certes uniquement les blessures bénignes, mais c'était toujours ça de prit.
Aynor se faisait habiller, sans trop de ménagement, par ses "soeurs". Elle ne tenta même pas de leur demander de l'aide. Il valait mieux tâter le terrain et voir si l'une de ces femmes serait prête à l'aider. D'ailleurs, celle qui lui ajustait une coiffe consentit à lui adresser la parole.
Xuna - Je m'appelle Xuna. Ne t'inquiète pas, avec le temps tu finiras par te faire accepter. Bon, cesse de gesticuler. Je sais que c'est pénible, mais tu n'as pas le choix.
Aynor - Qui est celui à qui l'on doit me marier ?
Xuna - Celui qui va bientôt prendre la tête de notre clan, Hamondon'eeta.
Aynor - Et pourquoi moi ? Ce n'est pas ce qui manque les épouses potentielles ici.
Xuna - Tu leur demanderas toi-même.
Une heure était passé et Aynor, vêtue d'une élégante robe et d'une coiffe sertie de joyaux, se fit amener auprès de Hamon, son futur époux....De son côté, Kiad se débrouillait comme il le pouvait...
Un temps considérable était passé. Il avait un peu atténué les brûlures et refermé en partie les plaies, pour ensuite se reposer. Repos qui fut précieux, surtout dans sa condition. Dans l'après midi, une escouade de gardes vint à lui le quérir.
Capitaine: Allez, debout vermine ! On va s'occuper de toi...
Kiad: Ah ? je préfèrerais rester là à vrai dire...
Capitaine: Tu crois avoir le choix ? Emmenez le !
Deux gardes vinrent le relever et le portèrent à moitié. Il faisait la comédie bien sur, il aurait été capable de marcher, bien qu'en boitant un peu surement. Il fut emmené à Jart, assit devant lui comme pour un interrogatoire...
Jart - Etes-vous disposé à vous montrer coopératif ? Je ne saurais que trop vous le conseiller.
Kiad: Ah ? Vous me feriez quoi si je refusais ?
Jart - Après vous êtes rendu coupable de meurtre nous n'aurons aucun mal à justifier votre exécution. Et nous le ferons si vous ne vous pliez pas à nos conditions. Premièrement ne pas interférer dans ce mariage, qui ne vous regarde pas. Deuxièmement, en nous offrant vos service. Nous n'avons pas manqué d'observer certains de vos grand talents.
Kiad: Vous me prenez pour un Juda, c'est ça ? Vous vous trompez, c'est Jedi. Et encore...Kiad se pencha en avant pour regarder Jart de plus près: Sérieusement, vous croyez vraiment que si vous me laissez en vie je vous laisserais tranquille ?
Jart se pencha alors plus en avant. Ils étaient à présent, Kiad et lui, presque front contre front.
Jart - Vous pouvez toujours opter pour la mort. J'en serais personnellement ravie. Mais dans le cas contraire, nous saurons nous assurer de votre obéissance.
Kiad: Je peux vous briser la nuque sans même bouger, vous croyez m'intriguer avec vos excroissances colorées et vos cornes minables, hum ?
Jart - Sans doute. Mais vous seriez tué dans l'instant. Ne me prenez pas pour un imbécile. Je connais la puissance des Jedi. Mais même vous n'êtes pas immortel. Et en admettant que vous réussissiez à vous échapper, elle ne fera pas preuve d'autant de résistance que vous.
Kiad: Et c'est quand qu'on commence la séance de torture ? Je croyais que c'était pour ça qu'on m'avait fait mener à vous...
Jart - Je prend cette réponse pour un refus. Dans ce cas - il se leva - cette entrevue prend fin. Vous serez jugé demain. Il Sortit de la cellule.
Kiad: Hoooo non...demain je serais déjà loin d'ici, Rétorqua Kiad même si Jart ne pouvait plus l'entendre...
Au moins c'était officiel, ils allaient tenter de l'exécuter le lendemain. Ca lui laisserait le temps de se reposer encore un peu et de penser à un plan...
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Lorsque l'obscurité t'entoure, lorsque le chaos règne, reste fidèle à tes valeurs, et l'aide escompté viendra quand tu en auras le plus besoin.Ce message a été modifié par: KiAdiMundi le 20-11-2008 19:05jeudi 20 novembre 2008 - 18:57 Modification Admin Permalien
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Jorus-Beku-n
12506 Crédits
Yota : Je ne peux pas croire à ce que je vois !
Jorus : Kaarde se sacrifie pour l’Ordre Jedi…
J’observai la nacelle de Kaarde rejoindre son emplacement, attendue par les gardes sénatoriaux. Le Maître Jedi avait senti notre présence et je lui renvoyai mes sentiments d’espoir pour l’avenir. Ainsi c’était fait ! L’Ordre Jedi n’avait plus de Conseil et seul l’idée du Chancelier Tills, de nommer deux ambassadeurs Jedi au Sénat, nous donnait encore une existence légale.
Jorus : … Mais je ne suis pas sur que cela suffise
En effet, la petite nacelle des représentants de Malastar s’approcha du centre du Sénat en demandant la parole. Cela fit « tilt » dans mon esprit car le sénateur de Malastar avait déjà aidé Mohel’Hya dans le passé.
Gumbrak Tills : La parole est au sénateur de Malastar
Sénateur de Malastar : Je proteste contre la position actuelle de la Chancellerie suprême envers les Jedi. Le procès de Maître Naberry est l’arbre qui cache la forêt. L’attaque des Jedi contre le Sénat
Jorus : Non Sénateur…
Ma nacelle quitta son emplacement et rejoignit le centre du Sénat. J’observai que celle de Mohel’Hya se joignit aussi à nous
Jorus : Maître Naberry a expliqué que le Chevalier Korr n’était plus un Jedi car tourné vers le côté obscur
Mohel’Hya : Seuls les résultats de la commission d’enquête pourra confirmer cette affirmation
Jorus : Dans ce cas, on ne peut pas non plus assimiler l’attaque de Korr à celle de l’ensemble des Jedi
Gumbrak Tills : Merci, sénateur Mohel’Hya, d’avoir rappelé ces faits à votre collègue
Le pelage du Bothan frissonna un instant. Je le dévisageai mais il détourna les yeux
Sénateur de Malastar : Même en attentant un procès, il est trop dangereux de laisser l’Ordre Jedi sans contrôle
Gumbrak Tills : L’Ordre Jedi est désormais représentés par deux ambassadeurs extraordinaires. Maître Beku-n ici présent et par le Chevalier Aynor qui nous rejoindra dans les plus brefs délais
Mais l’ambiance autour de nous avait changé ! Les Sénateurs criaient contre les Jedi… Le bombardement du Sénat nous avait définitivement discrédités au sein de l’auguste assemblée de la République
Sénateur de Malastar : Il n'est pas admissible que des effets de procédures cachent l'atteinte qui à été faite à la République, au sein même de ces lieux ! Je demande que l’Ordre Jedi soit sous la tutelle exclusive du Sénat…
Tout le sénat était debout, applaudissant, hurlant contre ceux qui devraient être les garants de la justice dans la République. Le chancelier réclama un silence qui mit du temps à revenir
Gumbrak Tills : Les Jedi sont indissociables de la République, ils sont même un de ses fondements, au même titre que cette noble assemblée et que la notion de séparation des pouvoirs…
Cette phrase déclencha un tonnerre de huées, d’abord contre les Jedi. Puis, alors que le Chancelier semblait aussi pris à partie, Mohel’Hya réclama la parole
Mohel’Hya : Chers amis sénateurs, les arguments juridiques soulevés par le Chancelier sont recevables. Je propose que la commission d’enquête que j’ai l’honneur de présider termine ses travaux le plus rapidement possible et que les conclusions soient assorties de nouvelles propositions quant au devenir de l’Ordre Jedi
Sénateur de Malastar : La délégation de Malastar soutient la proposition du Sénateur de Bothawie
Personne ne s’opposa à cette proposition qui fut entérinée par le Chancelier. Gumbrak Tills voyait sa position affaiblie car il devait sa survie politique à Mohel’Hya. La session se termina ainsi et Yota me suivit dans les couloirs du Sénat
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May the Force be with you
Membre de l'Ordre des Célèbres Phraseurs !Ce message a été modifié par: Jorus-Beku-n le 21-11-2008 13:31vendredi 21 novembre 2008 - 13:30 Modification Admin Permalien
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Padme111
27263 Crédits
Lieu : passerelle du Défiance.
Localisation : Orbite de Ryloth
Je tombe main et genoux au sol. J’ai l’impression que tous mes muscles sont endolories et que la gravité artificielle et plus danse. Elle me donne l’illusion de m’écraser. Je suffoque un moment puis redresse la tête. L’hybride me fixe tout en pianotant sur le tableau de bord.
Légion – Une solution diplomatique ? C’est une perde de temps ! Elle est morte. Mais tout détruire ne vous prouverait pas que nous avons raison. Si vous le pouvez, une fréquence est à votre disposition avec les autorités locales !
Enfin, il m’avait libéré du champ magnétique. Il m’offrait une chance de lui prouver qu’il avait tord. Je ne devais pas échouer, je n’avais pas le droit à une seule erreur, sinon, tout serait fini ! Sans mots dire, j’essaye péniblement de me relevée. M’appuyant sur tout ce qui m’entoure, j’arrive péniblement jusqu’au voyant qu’il m’avait indiqué. J’eue une pensé pour ce pauvre Alex, j’aurais souhaité que lui aussi soit sorti du champ magnétique, mais ce n’était pas le moment de négocier sa libération. La présence des Ysalamaris m’empêche d’user de la Force, je ne pouvais plus que compter que sur moi-même. Je presse le bouton des communications en prenant une grande inspiration. Ma voix se devait être calme, ferme et ne pas laisser transparaitre mon état physique.
Moi – Défiance aux autorités de Ryloth. Demande autorisation de rester en orbite standard…
Homme – Ici le capitaine Roolak’Yido. Décliner votre identité et vos intentions ?
Moi – Je suis maître Jedi Nabery. Selon mes sources, le Chevalier Aynor est ici, sur sa planète. Le Sénat m’a mandaté afin de ramener l’ambassadeur sur Coruscant.
Roolak – L’ambassadeur ? Quel ambassadeur ? Quel rapport avec ce chevalier Aynor ?
Légion avait un regard perplexe et sa main s’avance vers la console. D’une main, je lui fais signe de ne toucher à rien, de l’autre, je m’appuie sur la console. Mes jambes tremblent sous mon poids.
Moi – Dois-je comprendre que vous n’avez reçu aucune instruction de Coruscant ? Le Chancelier Gumbrak Tills a mandaté le Chevalier Jedi Aynor comme Ambassadeur Jedi.
Silence
Moi – Capitaine Yido, me recevez-vous ?
Roolak – Oui. Nous vérifions.
Moi – Le Défiance a subit des problèmes de communication. Le Sénat éprouve des difficultés avec les communications longues distances, ce qui explique ma présence.
Roolak – Et qu’est-ce qui justifie le présence d’un vaisseau de combat ?
Moi – C’est une longue histoire, mais disons que je… les Jedi l’ont réquisitionner pour cette mission. Il est urgent que j’escorte l’ambassadeur Aynor sur Coruscant. Le Sénat réclame ses compétences.
Silence
Légion me fixe le regarde vide d’humanité. Mes muscles me fond souffrir et je lutte pour ne pas m’écrouler.
Roolak – Le Défiance à l’autorisation de rester en orbite. Il semble que vous ignorez un fait de la plus haute importance, Hamondon'eeta a des projets bien spécifique pour cette personne. Elle seule peut sauver son clan ! Je ne suis pas habilité à vous en parler.
Moi – Alors mettez moi en contacte avec Hamondon’eeta.
Roolak – Je vais voir ce que je peux faire. Mais aucune personne n’est autorisée à descendre sur Ryloth.
La communication se coupe. Et je me traine jusqu’à un siège.
Moi – Elle est vivante et sur sa planète Légion ! J’ai raison !
Légion – Pathétique ! Vous tenez à peine sur vos pieds, vous êtes faible, vous titubé ! Nous savons que ce Hamondon’eeta la possède, nous pouvons allez la chercher.
Moi – Attendez au moins que le capitaine Roolak nous contacte.
Légion – Pourquoi le devrions nous ?
Moi – Vous avez détruit le sénat. Ramener Aynor sur Coruscant plaidera en votre faveur.
Légion – Nous n’avons pas besoin de la faveur de qui que ce soit !
Moi – Si vous vous obstinez à faire tout ce qui vous passe par la tête...! Si vous détruisez tout ce qui ne vous plait pas...! Vous finirez par ne plus avoir nulle part où aller ! Seul, vous resterez seul ! C’est ça que vous voulez ?
Légion – Nous n’avons plus besoin de rien, ni de personne!! Nous nous suffisons à nous même!
Moi en m’asseyant dans un siège – Faux ! Vous avez besoin d’Alex pour vous régénérez ! Vous avez besoin de pièce de rechange lorsque votre beau vaisseau est endommagé. Personne ne survie seule. La Galaxie est parvenu à repousser l’invasion de Yuuzhan Vong ! Ne vous croyez pas invulnérable, personne ne l’est !
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Maître de Carth et du Wookie-TarffulCe message a été modifié par: Padme111 le 28-11-2008 11:33jeudi 27 novembre 2008 - 14:19 Modification Admin Permalien
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kateo
2684 Crédits
Je me réveillais en sursaut, comme presque toutes les nuits depuis que nous étions arrivés ici Jolee et moi. Mon sens du danger était décuplé depuis l'évènement et à chaque fois qu'un animal approchait du vaisseau, je sortais de mon sommeil. Je me concentrai brièvement sur la menace. La bête dehors était effrayée par notre épave et n'oserait jamais s'y aventurer, comme à chaque fois... Je regardais mon élève, il dormait paisiblement dans la couchette en face de la mienne. Son état semblait s'être amélioré, même si je l'entendais encore parfois pleurer la nuit.
Je dormais peu, quelques heures me suffisaient, mon esprit était de toute manière trop préoccupé par notre sort, je ne parvenais que rarement à me rendormir. Pourtant, cette nuit était différente. Je restais là, allongé dans ma couche, dans un état second. Il ne me fallut pas très longtemps pour comprendre que la Force me guidait vers quelque chose.
Je me redressais et me plaçais en tailleur pour méditer. Au bout de quelques instants, une vision du passé me vînt.
Cela ne datait pas de si longtemps, mais nous en avions perdu la notion, ici, le cycle solaire était très particulier. Je voyais la salle des machines de la station spatiale de la SEZ, Jolee était à terre. Le choc qu'il avait reçu à la suite du combat où il avait tué un homme l'avait traumatisé et je l'avais aidé à se plonger en transe cataleptique pour que la Force l'aide à retrouver ses esprits. Pour ma part, j'étais affairé à saboter le générateur de champs de force de la station.
Un peloton de mercenaires arriva. Me saisissant de mon sabre, je déviais leurs tirs de blasters tout en avançant vers eux pour les combattre. Deux étaient déjà au sol lorsque je les atteignait enfin. Je projetais contre un mur trois d'entre-eux qui me confrontaient à un feu nourri à l'aide d'armes lourdes. Je bondis ensuite en direction de celui qui semblait être le commandant de cette escouade, seulement armé d'un pistolet, mais portant à sa ceinture une imposante épée à vibro-lame. Mes deux pieds l'atteignant au niveau du torse, il perdit l'équilibre et tomba en arrière. Mon rebond me mena directement au milieu des quatre soldats restants, j'effectuais alors des gestes rapides et précis avec mon sabre pour les désarmer un à un.
Lorsqu'ils furent tous à terre, je retournais vers la console permettant de commander le bouclier. Je sentais que des renforts étaient en approche, le temps m'était compté, je donnais alors un grand coup de sabre dans le poste après avoir programmé une surcharge progressive des multiples sources du bouclier. Une grille d'aération en hauteur attira mon attention, mon sabre la pulvérisa d'un seul jet. Je me saisissais alors de Jolee et sautait rapidement à l'intérieur du conduit.
Ma progression fut difficile, mon Padawan qui n'était plus un enfant me donnait du fil à retordre et je n'avais aucune idée de ma position réelle. Un pression sur ma tempe le mit en liaison par comlink avec Metus. Il me guida alors vers le hangar où il se trouvait. Depuis ma fuite, une sirène avait commencé à me casser les oreilles, la station était en alerte et les abords de mon vaisseau n'étaient pas en reste. Seul, je n'avais aucune chance de me débarrasser de tous les soldats tout en reprenant possession de mon appareil. D'autant plus que le champs de force individuel de l'entrée du hangar était levé. Je devais agir en plusieurs temps, et coordonner le feu d'artifices final au moment opportun.
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Jolee et moi avions pour mission d'infiltrer la station spatiale de la SEZ. Metus, qui est l'IA de l'ordinateur de bord d'un vaisseau créé par Tom O’Brayn.
Le dernier message de notre mission par Jolee
Notre arrivée sur la station
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Maître de Jolee
Ex-Padawan d'Unduli
"La nature est un professeur universel et sûr pour celui qui l'observe."Ce message a été modifié par: kateo le 03-12-2008 13:22mercredi 03 décembre 2008 - 13:21 Modification Admin Permalien
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KiAdiMundi
5879 Crédits
Quelques heures plus tard après son retour en cellule...
L'heure de l'exécution de Kiad avait été avancée, il ne s'attendit pas du tout à ce qu'on vienne le chercher aussi tôt. Jusqu'à présent il n'avait trouvé encore aucun plan potable pour s'échapper et aider les autres, c'était ça son problème: A force d'être seul il ne réfléchissait plus pour un groupe mais pour lui même. Une fois de plus, il lui faudrait mettre en oeuvre méthodiquement ce qu'il avait apprit au temple, se rappeler comment il avait pour la première fois apprit à maîtriser la Force, le sabre, dans quelles conditions, pourquoi...Bien que ce fut il y a plus de dix ans, ses souvenirs étaient aussi limpides que si c'était là veille.
L'escorte le conduisit dans une pièce nue de tout objet où se trouvaient déjà plusieurs Twi'leks, Jart et les autres prisonniers. Hormis Aynor bien sûr. En tout ils étaient quatre prévus pour la mise à mort, et Kiad ne manqua pas de remarquer le sourire de Jart. Ils se firent tous attacher au mur par des chaînes attachées à leurs poignets, tandis que la seule femme se débattait et manifestait son mécontentement sans retenue.
Jart: Eh bien eh bien, quelle joyeuse réunion ! Une dernière volonté peut-être ?
Kiad: Je peux fumer une dernière fois ?
La banalité de sa demande et son calme étonnèrent plus d'une personne dans la pièce. sans compter les condamnés, ils étaient cinq: Un garde pour chaque prisonnier et Jart. Celui-ci, après un sourire de satisfaction, offrit une clope au Forceux (Pardonnez moi s'il y a méprise, mais je sais pas vraiment ce qu'ils fument dans star wars ^^ ). Il eut cependant le malheur de faire entrevoir le sabre-laser confisqué à Kiad à sa ceinture, sous la cape de capitaine qu'il portait. Lorsqu'il s'en rendit compte, Kiad n'était que plus confiant dans ses chances de réussites.
Comme le disait si bien Click, il faut analyser l'endroit où l'on risque de se battre. Ici c'était simple, aucun obstacle entre lui et les gardes, mais la pièce était trop basse et trop petite pour des acrobaties. Il tira quelques peu sur les chaînes pour vérifier leur solidité, il ne pourrait surement pas s'en défaire même en essayant de faire lâcher le loquet fixé au mur...
Kiad: Twi'lek, relâche moi et je te laisserais la vie sauve et peut-être en un seul morceau. dans le cas contraire, toi et tes hommes mourrez. Menaça-t-il.
Jart, éclatant de rire: Il faudra plus que cela pour m'effrayer ! Tu as été vaincu en pleine possession de tes moyens, alors dans cette situation...Un instant passa, puis il reprit: Je vois que tu as fini, messieurs, l'heure est venue !
Voilà, c'était le grand moment. Les gardes se mettaient déjà en rang devant chaque personne attachée. Tout se passerait relativement vite...Il n'était pas coutume pour Kiad de se ménager lorsqu'il combattait et il ne comptait pas faire exception cette fois-ci ! Tout comme lors du cour dispensé par Jacen, il fit accélérer ses battements de coeur pour que tout son système augmente en rapidité, et, d'un truchement de Force il attira son sabre à lui et se défit de ses entraves, se rendant alors invisible dans la seconde qui suivit. Les gardes voulurent ouvrir le feu sur les autres prisonniers, mais ils se retrouvèrent propulsés contre le mur derrière eux. Kiad réapparut alors devant le quatrième et le trancha en deux d'un coup de sabre.
Il acheva alors les autres au sol sans délai et reprit un rythme cardiaque normal, respirant comme un boeuf pour compenser l'énergie qu'il venait de dissiper en si peu de temps...Jart avait son blaster pointé sur lui et ouvrit le feu sans sommation, mais c'était sans compter les pouvoirs du Forceux. Seules deux décharges partir du canon de l'arme de Jart avant que sa main ne roule au sol et qu'il bascule en arrière dans un cri de douleur.
Jart: Peu importe si tu me tues ! Tu ne sortiras jamais vivant d'ici !
Kiad: Permet moi d'en douter...
Le Twi'Lek se vit alors soulevé en l'air, projeté plusieurs fois contre les murs de la pièce jusqu'à ce que sa colonne vertébrale cède et que sa nuque se brise...vendredi 05 décembre 2008 - 22:35 Modification Admin Permalien
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Padme111
27263 Crédits
Lieu : passerelle du Défiance.
Localisation : Orbite de Ryloth
Les autorités de Ryloth tardent à reprendre contact et cela ne présage rien de bon. J’avais l’impression d’être assise sur une bombe menacer par un cyborg et pour couronner le tout, avoir mis une planète sur le pied de guerre. Rien n’allait tel que je l’espérais !
Légion a fait preuve de patience jusqu’ici, mais cela n’allait certainement pas durer, hélas !
Physiquement, j’aurais eu besoin d’un bain relaxant, d’une bonne nuit de sommeil et quelques jours de repos ! Pour l’heure, rien de tout cela ne m’attendait ! Que du contraire, trouver une solution afin d’éviter que l’hybride ne détruise cette planète et avec elle toute chance de retrouver Aynor. En ce qui concerne Jadden lui-même, j’avais abandonné l’idée de retrouver l’ami, l’humain en lui.
Légion – Ils[autorité de la planète] ne répondent pas. Nous avons localiser le domaine de Hamondon’eeta. Nous allons nous y rendre et si Aynor et belle et bien là, nous…
Moi – Attends ! Lorsque tu dis vouloir nous rendre au domaine de Hamonmachin, tu penses y aller comment ?
Légion – Nous, pas toi ! Le Défiance restera en orbite. Mais l’Armada est occulté, nous allons descendre avec lui et…
Moi – Tu ne vas pas te débarrasser de moi comme ça !
Légion – Nous n’avons pas besoin de toi ! Notre plan est…
Moi – Nous serions plus discret avec de tes S.T.A.R.S. Il restera en Jet et nous pourrons être plus discret. Programme l’ordi pour qu’il transmette les messages en provenance des autorités. Ainsi tu continues à savoir ce qu’ils veulent.
Légion – Plus discret, moins rapide ! L’Armada fera une approche silencieuse et puis …
Moi – Il détruira tout ! Cela ira plus vite mais tu n’obtiendras que des ennemis ! Je tiens à préserver de bonne relation avec…
Légion – Tu es agaçante avec tes principes ! Nous n’avons pas les mêmes méthodes nous n’avons pas à collaborer, tu ne peux rien m’apporter !
Moi – Lorsque tu seras face à Aynor ! Comment penses-tu que tu la raisonneras ? Nous ignorons ce qui lui est arrivé et donc comment elle réagira. Cette une femme, comme moi !
Pendant quelques secondes, je cru déceler un combat entre l’homme et la machine. J’avais tellement développer mon empathie dans la Force, que je cru percevoir un conflit dans le cyborg. On dit qu’un femme et intuitive et que le genre humain est doté d’empathie naturellement. Cette théorie semble correct puisque coupé de la Force, je percevais une émotion mais ce fut bref.
Légion – D’accord ! Vous et nous allons avec mon S.T.A.R.S sur Ryloth ! Au domaine de Hamondon’eeta, nous ne vous quitterons pas. Nous essayerons votre diplomatie.
Moi – Vous voilà enfin raisonnable et plus de logique. Ne perdons plus de temps.
Légion – Êtes vous vraiment en état de nous suivre ?
Moi – Dès que je serais hors porter des Ysalamaris, je retrouverais une sérénité.
Légion – Interdiction d’utiliser la Force contre moi ou Alek mourra !
« Voilà une occasion à saisir ! »
Moi – Tout a fait ! Et si je tiens parole, si je n’use jamais de la Force contre vous, Légion, alors Alek vivra ! Vous le libérerez !
Je pu déceler une once de surprise puis de l’amusement. Légion fut tellement certain que j’utiliserai la Force contre lui – probablement pense-t-il que je désir l’arrêter, voir le tuer – qu’il ne pense n’avoir rien à perdre !
Légion – Nous sommes d’accord.
Moi – Vous avez ma parole, Légion. Je n’utiliserai pas la Force contre vous tant qu’Alek sera en Vie !
L’hybride fit la moue comme s’il venait de comprendre que j’avais obtenu un sursis pour le Jedi. Il donne des instructions à ses S.T.A.R.S puis à la femme que j’avais déjà vu mais qui m’était inconnue. Lorsqu’elle arriva, elle me foudroya du regard sans mots dire. Légion permis à ce qu’Alek soit placer dans une cellule et confier à des soins qui le maintiennent en vie. La femme s’exécuta et avant de passé la porte avec Alek toujours inconscient elle me regarde, intrigué et presque reconnaissante. Je ne comprenais pas pourquoi et ce n’était pas Légion qui répondrait à mes questions.
Tous les 2, nous montons dans un S.T.A.R.S. qui nous mena droit sur le domaine de Hamondon’eeta !samedi 06 décembre 2008 - 14:14 Modification Admin Permalien
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