Le Temple Jedi 3 (page 11)
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Kaarde
17496 Crédits Modo
Nous n'avions eu aucune difficulté à sortir du Sénat sans attirer l'attention suite à l'agitation provoquée par la mention de censure déposée par Mohel'ya à l'encontre du Chancelier Novasrunner. Cet événement avait au moins l'avantage de reléguer la mise sous tutelle de l'Ordre Jedi au second plan, du moins pour un temps.
Jorus, Aynor, Jadden et PadaT marchaient à mes côtés dans les vastes rues du quartier sénatorial. Nous n'avions aucune destination précise mais en tout cas aucune envie de nous attarder entre les murs du Sénat Galactique.
Moi : - Nous voilà biens...
Aynor : - Tu as fais ton possible, inutile de te reprocher quoi que ce soit !
Jadden : - Qu'est-ce qu'on peut faire maintenant que notre ennemi a obtenu ce qu'il veut ?
PadaT : - Je ne suis pas sûr que la partie soit déjà terminée.
Jorus : - En effet, Mohel'ya n'est pas encore Chancelier.
Moi : - Ce n'est pas le plus important. Je pressent que les machinations dont nous sommes victimes ont un tout autre but que la chancellerie.
Jorus : - Que peut-on faire, alors ?
Moi : - Ils faut absolument éclaircir les récents événements, à commencer par l'attaque du Bureau Jedi, si nous voulons avoir une vue éclairée de la situation.
Jadden : - D'autre part je pense qu'il faudrait également se préparer au pire, prendre des dispositions si jamais la mise sous tutelle de l'Ordre est approuvée.
Aynor : - Je pense qu'on peut faire confiance à notre principal allié, Edoras, pour s'y opposer. Il avait l'air bien décidé à entraver la marche de Mohel'ya.
Jorus : - Je l'ai également senti très affaibli.
PadaT : - Qui sait s'il l'on n'a pas essayé d'attenter à sa vie ?
Il restait un point d'inquiètude que je partageait avec Jorus et PadaT. Quel rôle jouait Padme111 dans tout ça ? Il était évident qu'elle était impliquée dans certaines affaires graves, mais elle avait tout fait pour que nous ne nous impliquions pas. A cause de sa couverture ? D'un risque trop grand ? D'un piège, peut-être ?
Toutes cette intense réflexion m'empêcha d'anticiper la trajectoire d'un jeune homme qui marchait sans regarder devant lui. Il me heurta de plein fouet et tomba à terre en lâchant son databloc. Je l'aidais à relever tandis qu'un autre garçon, accompagant le premier, ramassait le databloc.
Moi : - Est-ce que ça va aller ?
Carth : - Oui merci.
Moi : - Carth ?!
Carth : - C’est moi.
Décidemment mes perceptions de Jedi étaient émoussées ! Je n'avais pas tout de suite reconnu Carth, le padawan de Pad, et Alek derrière lui ! Leur présence ici était pour le moins inattendue.
Moi : - Mais qu’est-ce que tu fais ici ?
Jadden : - Alek ?!
Alek : - Bonjour maître.
Moi : - Mais que faites vous ici ?
Carth : - Moi je suis venu pour savoir si vous saviez quelque chose au sujet de mon maître et Alek avait à parler avec son maître.
J'échangeai un regard lourd avec Jorus puis PadaT. Ils savaient tout comme moi que Pad était en ce moment dans une situation déicate, qu'elle se sentait en danger. Etait-ce la détresse de Pad qui avait attiré Carth jusque sur Coruscant ?
Moi : - Sais-tu quelque chose sur ton Maître, Carth ? Est-ce la Force qui t'a guidé jusqu'ici ?
Carth : - Non, c'est vous que je cherchais, Maître Kaarde, dans l'espoir que vous sauriez quelque chose.
Moi : - Ecoute, Pad est en ce moment sur Coruscant et le fait que tu sois venu en l'ignorant complétement n'est peut-être pas dû au hasard.
Carth : - Où l'avez-vous vue ?
Moi : - Attend. Elle semble s'être fixé une mission qu'elle opère sous couverture et que j'ignore mais a explicitement souhaité nous en tenir à l'écart. Tu ne dois à aucun prix tenter de la retrouver, au risque de la mettre en danger.
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I've a baaad feeling about this !
Consultez l'ENCYCLO JDR du site !Ce message a été modifié par: Kaarde le 07-10-2014 23:30mardi 15 janvier 2008 - 15:43 Modification Admin Permalien
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carth
1858 Crédits
Kaarde : Attend. Elle semble s'être fixé une mission qu'elle opère sous couverture et que j'ignore mais a explicitement souhaité nous en tenir à l'écart. Tu ne dois à aucun prix tenter de la retrouver, au risque de la mettre en danger.
Carth : Impossible je veux vérifier qu’elle va bien et d’après ce que vous venez de me dire elle semble avoir des ennuis, il est donc hors de question que je n’aille pas la retrouver.
Kaarde : Je viens de te dire qu’elle ne veut l’aide de personne et que tu pourrais peut-être la mettre en danger en essayant de lui venir en aide.
Je regardais Kaarde droit dans les yeux, il n’allait surement pas me dire ou se trouve mon maître tant que je ne lui aurais pas donné ma parole de pas la rejoindre mais je ne pouvais pas faire cela. D’après ce qu’il venait de me dire elle se trouve sous couverture et ne veut l’aide de personne et elle veut absolument que personne n’intervienne. Une vague d’émotion était en train de me submerger, de la tristesse ou de la colère ? Je ne pourrais le dire avec certitude mais dans tout les cas je me devais de contrôler mes émotion surtout si je voulais convaincre Kaarde de me laisser la retrouver. « Il n’y a pas d’émotion, il y a la paix ! » Après un rapide effort je parvins à me calmer et j’espérais que Kaarde n’avait rien remarqué.
Carth : Si elle est sous couverture elle est donc en mission, n’est-ce pas ?
Kaarde : Ce n’est pas une mission officielle et en plus elle n’a voulu en parler à personne. Si jamais je te laisse la rejoindre vous seriez peut-être tous les deux en danger !
Carth : Si elle est sous couverture elle est donc sur un fil qui pourrait céder à tout moment. Si jamais cela se produit elle se retrouvera en danger. Dans tout les cas, si elle n’est pas encore en danger elle finira par l’être.
Kaarde : Je suis d’accord avec toi mais que veux tu que nous fassions elle ne veut l’aide de personne et elle ne nous a pas parlé de sa couverture ou de la mission qu’elle s’est fixé a personne. C’est son choix et on se doit de le respecter !
Carth : Mais elle a besoin de notre aide j’en suis sur, même si elle ne veut pas l’admettre ! Maître Kaarde, je sais que vous respectez votre sœur mais elle a besoin de mon aide, de notre aide!
Kaarde : Carth, je sais que tu tiens beaucoup à ton maître mais elle ne veut l’aide de personne !
Carth : Elle ne pourra pas refuser mon aide, maître Kaarde !
Kaarde : Comment peut tu en être aussi sur ?
Carth : La Force me le dit.
La dernière chose que je venais de dire avait donné réflexion a Kaarde on dirait. J’attendis sa réponse mais s’il ne me laissa pas la rejoindre je me résignerais et je suivrais les directives qu’il me donnerait.
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Padawan de Padmé111 est fière de l'être!!
A bientot est que la force soit avec vous.Ce message a été modifié par: carth le 15-01-2008 18:12mardi 15 janvier 2008 - 18:08 Modification Admin Permalien
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alek
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Alors que j'avais enfin trouvé mon maître, la détresse de Carth me percuta. Aussi, je me dis que mes affaires personnels pouvaient attendre au profit d'un ami qui avait besoin d'aide. Je prit la parole avant que maître Kaarde ne réponde.
_Moi: Si c'est dangereux qu'il y aille tout seul, je peux l'accompagner.
_Carth: Alek...
_Kaarde: Je sais que tu veux aider Carth Alek, mais ça reste dangereux, et je crois que ce serait ce que ma soeur répondrait.
_Moi: Le danger fait partie intégrante de la vie d'un jedi, ensuite, maître Padmée n'est pas forcée de le savoir, nous pourrions juste la suivre et lui prêter main forte si besoin. Notre devoir est bien d'aider ceux qui en ont besoin même contre leur gré.
Je regardai Carth d'un sourire confiant, histoire de le rassurer même si je savais très bien que convaincre des maîtres, notemment les membres du conseil, de laisser des padawans effectuer une telle mission ne serait pas une mince affaire. Je savais très bien qu'il nous faudrait l'appui d'un autre membre même si maître Kaarde acceptait la requête.
_Kaarde: Eh bien, tu mets quelques arguments en avant, mais cela reste risqué.
_Moi: Maître, ce ne serait pas notre première mission. Et Carth est plus expérimenté que moi. Et puis nos maîtres comptent parmi les meilleurs jedi de l'ordre.
Je tentais le tout pour le tout, cet argument pouvait jouer en ma faveure, ou au contraire aller contre moi. Maître Kaarde ne répondait toujours pas, je regardai mon maître qui avait un petit sourire aux lèvres. Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'était audacieux de ma part de m'appuyer sur les compétences de maître Padmée et maître Jad'den. Maîtres Jorus et Aynor semblaient intéressés par les arguments que Carth et moi mettions en avant, quand à maître PadaT, il semblait réfléchir à une décision. Je m'approchai de Maître Kaarde pour avoir sa réponse.mardi 15 janvier 2008 - 19:56 Modification Admin Permalien
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Kaarde
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Carth et Alek étaient vraiment obstinés. Moi-même je désirais de tout mon coeur secourir ma soeur, quoi qu'elle en dise, mais il restait un autre problème grave dont nous n'avions pas encore informé les deux padawans : les machinations visant à la discréditation des Jedi. Nos opposants avaient tenté plusieurs maneuvres afin de nous impliquer dans des incidents jetant l'opprobe sur l'Ordre et, pour cela, je ne tenais pas vraiment à laisser Carth et Alek n'en faire qu'à leur tête.
Toutefois, il y avait sans doute moyen de tirer parti de la situation...
Moi : - Bon, c'est entendu. Vous allez tenter de retrouver Pad, mais soyez extrémement prudents et, si vous la retrouvez, n'intervenez auprès d'elle que lorsqu'elle court un danger immédiat ou agit hors couverture.
Carth : - Merci, Maître Kaarde. Nous suivrons vos instructions à la lettre.
Moi : - Maître Jorus ira avec vous et vous assistera. Il a, tout comme moi, été en contact récent avec Pad et pourra vous guider ainsi que vous informer sur ce que nous savons.
J'échangeai un bref regard avec Jorus. Celui-ci comprit vite où je voulais en venir et ne fit aucun commentaire.
Alek : - Mais, Maître Kaarde, pourquoi ne pas venir vous-même ? Grâce au lien que vous partagez avec votre soeur les recherches seraient plus aisées.
Moi : - Je ne peux malheureusement me soustraire à mes obligations, surtout vis-à-vis du Sénat en ce moment. A ce propos, soyez très discret et ne vous faites pas remarquer. L'Holonet et le Sénat parlent déjà bien assez des Jedi.
Carth : - C'est ce qu'on avait cru comprendre.
Moi : - Allez-y, et que la Force soit avec vous.
Quelques instants plus tard Carth et Alek, guidés par Jorus, s'en allaient à la recherche de Pad. Il furent bientôt hors de vue.
Moi : - PadaT, suis-les et sois bien attentifs à ce qui les entoure. Si ceux qui ont juré la chute de l'Ordre Jedi tentent de les impliquer dans une quelconque machination tu seras à même de les identifier enfin. N'hésite à venir en aide à Jorus, Carth et Alek s'ils sont en difficulté.
PadaT : - Entendu. Je tâcherai d'être discret.
Moi : - Au cas où nous serions observés en ce moment, tu vas partir par un autre chemin qu'eux et les rejoindre ensuite. Jorus a deviné le plan, il s'arrangera donc pour que tu le localise et sera au courant de ta présence.
Aynor : - Attends, je croyais qu'il s'agissait pour eux de retrouver Pad !
Moi : - C'est toujours leur objectif principal et j'espère de tout coeur qu'ils réussiront, mais je craignais en leur accordant cette mission que nos adversaire n'en profite contre nous à nouveau.
Jadden : - Je vois, en effectuant leurs recherches ils risquent fort d'attirer nos ennemis au grand jour. Et c'est là qu'intervient PadaT. Mais mon padawan et son compagnon ne courent-ils pas un risque en ignorant ce plan ?
Moi : - C'est pour ça que j'ai tenu à ce qu'un Maître Jedi les accompagne. Je ne veux pas non plus qu'il leur arrive quoi que ce soit.
PadaT : - Bon j'y vais, il ne faudrait pas que je perde la trace de Jorus. Que la Force soit avec nous.
PadaT s'éloigna à son tour.
Aynor : - Et que fait-on, pendant ce temps ?
Moi : - On fait ce que tout le monde attend de nous. En tant que membres du Conseil des Jedi nous sommes sans doute les trois Jedi les plus surveillés de tout Coruscant. Nous allons donc nous montrer aux sénateurs et tenter veinement d'entraver le projet de mise sous tutelle de L'Ordre, puisque c'est notre mission officielle.
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Kaarde, maître de JoranCorv
Frère d'Obitom0, Macematu et Padmé111
FF PowaaaCe message a été modifié par: Kaarde le 07-10-2014 23:32mercredi 16 janvier 2008 - 17:13 Modification Admin Permalien
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Padme111
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Heure Galactique : 14 H 21
Moi – Ca fait deux services, ça.
Édo – Ta vie vaut-elle moins que ces services ?
Bien que privée de la Force, le sourire carnassier de mon interlocuteur me fait comprendre qu’il a toute sa lucidité légendaire et qu’il est prêt à me tuer si cela devient son intérêt. Il me fait signe de m’asseoir et je m’exécute.
Moi – Moleh’Ya !
Le visage de l’Ambassadeur Thyferrien ne laisse paraître qu’une légère grimace. Je me doute qu’il s’y attendait. Puis, une ombre le traverse, un ombre de lassitude.
Edo – Ne me dites pas qu’il a osé vous placez ce bijou explosif lui-même ?
Moi – J’ignore s’il a un plan avec le Chancelier Novasrunner. Pour l’instant, tout semble nous faire croire qu’ils sont adversaires. Mais le coup de théâtre qu’ils viennent de nous offrir, me laisse à penser qu’il y a quelque chose de plus… sournois la dedans.
Edo – Assez de préliminaire ! La mention de censure permettra au sénateur Poilu de réussir à mettre votre Ordre chéri sous la tutelle du sénat. En quoi cela me touche ?
Moi – J’ignore si cela te touche personnellement, mais cela veut dire que l’Ordre Jedi devra attendre le bon vouloir des politiciens qui mettrons 6 mois* à prendre une décision. Plus aucune mission Jedi ne pourra agit en heure et en temps voulu ! Et…
Edo – D’accord, d’accord, j’ai compris ! Mais vous n’avez pas répondu à ma question. Moleh’Ya s’est-il sailli les mains en vous plaçant cette technologie qui vous raccourci la vie ?
Moi – Non, Melah’Ki, une Bothane travaille pour lui. Mercenaire ? Chasseur de prime ? Tueuse à gage ? Je l’ignore. Je pense que tu es bien mieux placer que moi pour répondre à ces questions.
Edo tousse et il semble clair qu’il connaît la Bothan, ne fus que par réputation. Discrètement, il porte la main à sa bouche et je crus deviner qu’il crache du sang. Je poursuis mes explications comme si je n’avais pas remarqué que sa santé faiblie.
Moi – Il y a d’autres noms que j’aimerai porté à ton attention. Un garde du Sénat cherchait à faire des ennuies, à discréditer mes amis Jedi. En lui suivant, il m’a conduit droit vers Moleh’Ya qui discutait avec un autre sénateur. Il semblait de connivence pour je ne sais trop qu’elle transaction.
Edo – Et cela doit m’intéresser.
J’hésite un moment. « Je ne devrais p’être pas le mettre sur cette piste. Mais… Qui mieux que Edo, pourrait m’appuyé politiquement pour démanteler le SEZ : mon but final ! »
Moi - Meeto Arso. Ô pardon, je dois dire le Sénateur Meeto du SEZ (lien supprimé car non accessible) = le Syndicat des Esclavagistes Zygériens. (Le regard de l’Ambassadeur fit place à celui du Guildeur !) Je me souvenais très bien que lorsque tu étais le chef suprême, la Guilde avait pris la résolution d’éradiquer l’esclavage de la République. Mais qu’en est-il aujourd’hui ?
Edo – Il y a esclave et esclavage !
Moi – Deux poids, deux mesure ?
Edo – Tu viens me voir pour me dire qu’on veut me tuer. Et là, maintenant tu me parles de quoi ? S’attaquer à l’Esclavage qui est officiellement légale par la République !? Pad, les Bothans t’ont fait plus que tu donnés un collier. Qu’elle épice as-tu mangé ?
Sur un ton froid et déterminer – Très bien, comme tu veux. Si tu ne veux pas t’occupé de Arso, moi oui !
Edo – Tu abuses de mon hospitalité ! Arso n’est qu’une pièce sur un échiquier ! Mais le SEZ, c’est toute une partie !
Ton tout aussi déterminer, mais à voie basse, m’adressant cela pour moi. – Un partie que j’ai l’intention de gagner ! (Je reprends un ton normal, m’adressant à Edo) Il y un dernier détaille qui… non, cela ne t’intéressera pas. [/col]
Edo, ton sec – Je suis fatigué de parler avec toi ! Crache ton dernier venin, j’ai d’autre chose plus important à finir !
Moi – Tout à l’heure en te cherchant, j’ai surpris la Bothane qui prenait contacte avec un diplomate dont j’ignore tout.
Edo agacer – Et alors ? Pourquoi tu m’en parles !!!
Moi – Parce que ce peuple est réputé pour l’esclavage. Il s’agit d’un diplomate Coynite.
Edo qui semblait exténuer et agacer se lève d’un bon ! J’ai un moment de surprise et de recule tellement ses yeux prône la colère ! J’avais sûrement dit quelque chose qui a réveiller une blessure morale, mais quoi ? Soudain, je réalise combien je suis vulnérable, sans laser, sans Force devant cet homme qui n’était plus que haine !
mercredi 16 janvier 2008 - 20:46 Modification Admin Permalien
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Jorus-Beku-n
12506 Crédits
Je laissai donc Kaarde et son équipe en arrière tandis qu’Alek et Carth m’accompagnaient… C’était la première fois que je faisais équipe avec les deux jeunes padawans et les circonstances actuelles tendaient la situation délicate. La difficulté ne résidait pas dans le fait de trouver Pad, mais dans l’état d’esprit ambiant à l’encontre des Jedi
Alek : Où allons-nous ?
Jorus : Nous ne quitterons pas l’enceinte du Sénat Galactique. Trouver Padmé n’est pas si difficile. Par contre je vous recommande prudence et discrétion… Soyez attentif à la Force et restez bien concentrés, nous n’avons pas que des amis ici
Je ne pris pas le chemin le plus direct qui devait nous mener hors du sénat. Nous croisions bon nombre de diplomates et de personnels administratifs en tout genre. On sentait une grande effervescence et tous les politiciens oeuvraient désormais à trouver un successeur à Novasrunner…
Carth : Que s’est-il passé avec mon Maître ?
Jorus : Je ne veux rien te cacher, jeune Carth, mais moi-même je n’ai vu Padmé que quelques instants. Je manque d’éléments objectifs pour donner un avis pertinent
Carth : Ai-je raison d’être inquiet, Maître ?
Jorus : Je pense qu’il n’y a pas de hasard à ta présence ici, en tout cas… Ton Maître sera heureuse de te voir
Nous arrivions près des bureaux vers la sortie du Sénat. Je lançai la Force et je perçus facilement… Mais au même moment, je fus alerté par mon sens du danger
Alek : Qu’est-ce qui ne va pas, maître ?
Jorus : Continuons à marcher comme si de rien n’était…
Cachés derrière une colonne, je perçus une femelle Bothan et un Coynite. Immédiatement, je fis le rapprochement avec ce diplomate dont pad m’avait parlé. Deux gardes débouchèrent devant nous sans crier garde et nous percutèrent de plein fouet
Garde 1 : Nous n’avons rien fait !
Garde 2 : Laissez-nous !
Alek : Mais non…
Un attroupement se créa autour de nous et le diplomate Coynite s’approcha, accompagnée par la Bothan…
La Bothan : C’est un scandale, encore une agression des Jedi, je…
Cela suffisait ! J’avais horreur de cela mais la situation devenait trop dangereuse ! Je lançai la Force en direction du diplomate Coynite.
Le Coynite : J’ai tout vu, il s’agit d’un malencontreux accident
Je vis la Bothan s’étouffer de rage ! Alors qu’elle voulut répondre, elle fut stoppée dans son élan. Furtivement, je sentis l’aura de PadaT qui venait de modifier l’esprit de la Bothan… En tout cas, le Coynite devait être un personnage influent car tout le monde autour ne nous restait silencieux. Mais l’esprit du diplomate était fort et je raffermis mon emprise sur son esprit…
Le Coynite : Allons plutôt nous occuper de trouver un nouveau Chancelier. Mes hommages, Maîtres Jedi !
Tout ce petit monde partit sous les regards ahuris des deux gardes. Carth, Alek et moi-même nous ne demandâmes pas notre reste et tandis que je lançai une dernière fois la Force ver le Coynite, nous embarquâmes dans un petit speeder. Quelques minutes plus tard, nous étions sur les ruines de l’ancien Temple Jedi.
Carth : Et maintenant ?
Jorus : Nous attendons, c’est ici que Padmé nous a donné rendez-vous…vendredi 18 janvier 2008 - 13:56 Modification Admin Permalien
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Nausicaa
2200 Crédits
J’étais toujours dans le super star destroyer plus précisément dans mon vaisseau le « Hime » garé dans le hangar. Je devais dire que je m’ennuyais, passer des journées enfermées j’ai horreur de ça. Je me posais dans mon lit et allumais l’holonet en désespoir de cause, et là surprise : Edo avec ses sabres ! P***** il doit avoir de gros problèmes ! C’est sur Coruscant… Bon alors si je préviens Ange soit elle m’ordonne de rester ici ou elle me dit que je peux y aller, je penches plutôt pour la solution un, et puis ça prendrait du temps de la prévenir, tant pis j’y vais !
Je me précipite dans le cockpit, vérifie que tout est près pour un voyage vers Coruscant. Je fais ouvrir le hangar. Je sors et lance le vaisseau vers Coruscant, si Ange m’en veut tant pis, on verra ça à mon retour…la vie de mon père est bien plus importante qu’autre chose. J’ouvres la grande valise dans ma chambre, je dois avouer que je ne suis pas équipée pour le combat rapproché, je n’ai même pas d’armure mais quand on est cambrioleuse ça ne sert pas trop à la base. Tant pis je ne suis pas encore morte, je sors mon blaster, m’habilles avec les vêtements les plus résistants que j’ai, sort une panoplie de petit couteau qui s’attache sous mes habits et fixe le tout. Je ne modifie pas mon apparence de peur que mon père ne me reconnaisse pas, je me regardes et repenses à ce que j’étais avant la Guilde. J’étais frêle, incapable de me débrouiller seule et extrêmement fragile, comme j’ai changé enfin ce n’est pas mauvais comme changement.
J’arrives enfin en vue de Coruscant, j’ai dormi un peu dans mon siège. Après avoir réglé tous les problèmes de l’identification et du reste, je descends de mon vaisseau, un sac avec moi et le reste de mon attirail. Je ne sais pas trop où mon père peut être, ça fait presque une journée que l’événement c’est passé, je me calme en me disant qu’il a sûrement du s’en sortir. Où peut-il être maintenant ? Je n’ai pas vraiment de pistes, je me décides à appeler sur son comlink et j’espère qu’il va me répondre. Pas de réponse il est sûrement occupé je lui laisse un message « Edo c’est Nausicaä ta fille je suis venue te dire bonjour et savoir comment tu vas, si tu as du temps rappelle-moi sinon je vais sûrement te retrouver, a très bientôt ! ». Selon mes dernières informations mon père est ambassadeur de Thyferra, il peut donc être au Sénat, je prends un speeder pour aller là, je n’ai pas de temps à perdre. J’arrives très peu de temps après, j’ai déjà vu le bâtiment du Sénat mais je le trouves toujours impressionnant. Comment retrouver mon père dans ce dédale ? Je prends mon comlink et appelle de nouveau par miracle je réussie à avoir mon père.
Nausi : Pa’ tu es où ?
Mon père : Nausicaä c’est toi ?
Nausi : Non c’est ta dernière maîtresse…pfff si tu sais même plus reconnaître ta fille où va cette galaxie… où es-tu ?
Edo : Dans un bureau de la Tour du Sénat.
Nausi : Ok…je te rejoints si ça te dérange pas. A tout de suite papa!
Je coupe mon comlink et rentre dans le dédale qui s’offre à moi. De nombreux couloirs défilent devant mes yeux, c’est la première fois que j’entre au Sénat mais j’ai déjà étudié des plans, heureusement qu’ils sont restés graver dans ma mémoire. J’arrives dans la Tour, là il n’y a plus que mon instinct pour me guider. Je regarde les portes, écoutent les voix, cherchant mon père, puis comme une douce mélodie je l’entends. Je cours, je me trouves devant une porte fermé. J’ai envie de l’ouvrir à la volée et de me jeter dans les bras de mon père. Je reprends le dessus sur mes émotions, frappe à la porte comme une fille bien éduquée et attends qu’on me dise d’entrer, canalisant ma joie.samedi 19 janvier 2008 - 20:07 Modification Admin Permalien
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Edoras
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~~ Région du Noyau, Coordonnées 0-0-0, Coruscant
Tour du Sénat Galactique, un bureau parmi d'autres
Heure Galactique : 14h23 - t° int : 19°C ~~
Padme : Parce que ce peuple est réputé pour l’esclavage. Il s’agit d’un diplomate Coynite.
Coyn ! Mon sang fit quelques tours et je serrai les poings. Bob Terrik, mon petit-fils, capturé par ces chiens. La guerre civile. Les Réprouvés. Le Massacre de Coyn. Bob que les Réprouvés me rendirent morceau par morceau...
Édo mode Konix ON : Taisez-vous ! Vous ne pouvez pas parler de ce que...
Mon comlink carillonna, arrêtant la pensée d'un mouvement qui aurait eu pour résultat d'enfoncer les vertèbres de la Jedi à travers sa matière céphalique, éliminant du même coup un témoin génant et la menace de destruction qu'il représentait. Je décrochai, rageur.
Une voix connue : Pa’ tu es où ?
Le mec plus ultra : Nausicaä c’est toi ?!
Une voix aimée : Non c’est ta dernière maîtresse…pfff si tu sais même plus reconnaître ta fille où va cette galaxie… où es-tu ?
Édoras : Dans un bureau de la Tour du Sénat et...
Nausi : Ok…je te rejoints si ça te dérange pas. A tout de suite papa!
Elle raccrocha et je restai, hébété, à regarder mon comlink. Apaisé, je me forçai à poursuivre.
Terrik : Il semblerait que la cadette de mes filles vous sauvasse la vie, très chère. Evitez de mentionner Coyn, à l'avenir... Je m'occuperai de surveiller cela : je vais demander à Aven-Flar, le Mandalorien, de me remettre en contact avec la Guilde. Quant à votre collier... je vais vous emmener dans un lieu adéquat, où on vous enlèvera cette merveille, avec les outils adaptés. Inutile d'essayer d'ouvrir une huitre calamarienne avec une clé, pas plus qu'avec un blaster.
C'est alors que ma fille chérie entra. Nausicaä Terrik-Solo, fille de deux Leaders de la Guilde. Lorsque je la vis, je me rendis soudain compte que ma fillette un peu peureuse et timorée, que la vue du sang rendait malade, s'était métamorphosée en esquisse de femme. Elle arborait un air de confiance en soi qui me plut et me fit prendre conscience des années écoulées.
Heureux, je la serrai dans mes bras.
:jf:
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Édoras Konix Terrik
Ex-Leader de la Guilde, retraité
Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !Ce message a été modifié par: Edoras le 20-01-2008 12:07dimanche 20 janvier 2008 - 12:06 Modification Admin Permalien
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alek
1103 Crédits
Nous étions de nouveau aux ruines, ce qui ne me mettait pas très à l'aise. Je m'étais porté volontaire pour cette mission dans le but d'aider Carth, mais je pensais toujours à ma petite colonie d'Anoat, ainsi quà mes parents.
_Jorus: Excuse-moi Alek, mais puis-je te poser une question?
_Moi: Bien sur maître, laquelle?
_Jorus: Qu'est-ce que c'est que le petit animal bleu qui t'accompagne? Je n'en ai jamais vu auparavant.
_Carth: Je dois avouer qu'il m'intrigue moi aussi.
_Moi: Et bien, il s'appelle Jad, j'ignore moi-même le nom de sa race. Mais il a une particularité interressante, que mon maître m'a fait remarquer. Essayez de le voir par la Force.
_Jorus: Incroyable, je ne le sens pas, je peux pourtant le voir par la Force.
_Moi: Et ce n'est pas tout, bien qu'il ne semble pas sencible à la Force, il semble assez sencible à ceux qui l'utilisent.
_Jorus: Vu sa particularité, il est plausible que ton petit compagnon soit un souvenir des Vongs.
_Moi: Cela expliquerait pas mal de choses effectivement.
Sur ce, personne ne répondit. C'était la première fois que je travaillais avec maître Jorus, et ni lui, ni moi ne savions comment réagir à l'autre. Carth, quand à lui semblait concentré sur la venue de son maître. Jad m'avait prévenu qu'un autre jedi avait agit lors de notre petite altercation de tout à l'heure. Je mourrais d'envie d'aller vérifier qui c'était, mais vu la réaction de maître Jorus, qui faisait semblant de rien, ce ne devait pas être un ennemis. Cette attende commençait à devenir longue. Et pour couronner le tout, je n'avais pas encore pu demander conseil à mon maître sur mon rêve.
Soudain, mon petit compagnon bleu me fit signe qu'il avait détecté quelque chose. Je me concentrai sur la Force, je sentis le jedi qui nous aidait dans l'ombre, mais également deux puissantes connexions à la Force qui le suivaient elles-même. Je rouvris les yeux en direction de maître Jorus qui s'était déjà levé.dimanche 20 janvier 2008 - 14:14 Modification Admin Permalien
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Padme111
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Edoras – Il semblerait que la cadette de mes filles vous sauvasse la vie, très chère. Evitez de mentionner Coyn, à l'avenir... Je m'occuperai de surveiller cela : je vais demander à Aven-Flar, le Mandalorien, de me remettre en contact avec la Guilde. Quant à votre collier... je vais vous emmener dans un lieu adéquat, où on vous enlèvera cette merveille, avec les outils adaptés. Inutile d'essayer d'ouvrir une huître calamarienne avec une clé, pas plus qu'avec un blaster.
Je ne dis pas un mot ! Je n’avais pas la moindre idée des « relations » qu’il a ou qu’il a eu avec le peuple Coyn, mais visiblement, leurs rencontres se sont très mal passés ! Je ne me souvenais pas d’avoir vue la Guilder aussi furieux, à moins que ce soit une affaire plus personnelle encore. « Aurions nous un ennemi en commun Edo ? Mieux vaut laisser les choses se calmer ! » Edo est une véritable armoire à glace et sa stature ne me permet pas de voir la jeune femme lorsqu’elle rentre. L’homme qui menaçait de me tuer un seconde avant, devient le plus doux des pères. Ils s’enlacent et je découvre un nouvelle facette du grand Konix : celle d’un père heureux et fière !
Edo – Content de te revoir !
Nausi – Moi aussi pa’ !
Ils s’observent un moment l’un l’autre.
Nausi – Toi, tu me caches quelque chose ! T’as un mine digne d’un Wampa.
Edo – Je t’expliquerai. Là, on n’est pas seule. J’ai un affaire sur le feu avec la donzelle derrière moi.
La jeune fille fait un pas sur le côté et me jette un regard interrogateur. Je me contente d’hochet la tête en guise de bonjour, je ne voulais pas les interrompes.
Nausi – Elle ? C’est une Jedi ! C’est à cause de la politique.
Edo – En quelque sorte. (Il se retourne vers moi) Nausicaa, je te présente Pad, une Jedi. Je te présente Nausicca.
Moi – Je suis enchanté de faire votre connaissance, Nausicaa.
Nausi – M’ouai, ravi aussi. (Elle se tourne vers son père) Est-ce que j’ai interrompu qu’elle que chose ?
Edo – Non ! J’ai tout le temps que tu veux à te consacrer. Elle va rejoindre Aven-Flar.
Il passe son bras autour de ses épaules et nous sortons. Il me fait signe de passé devant et une fois sorti, je retrouve le contacte avec la Force. Le visage de Nausicca ne me semblait pas inconnue. J’avais l’impression qu’elle aurait très bien pu être une des très jeunes padawans à une époque ou j’étais au conseil. Si oui, je n’avais du que la croiser dans un couloir du Temple. P’être que je l’aurais aperçue parler avec Obiwan14 ou simplement à son inscription.
Edoras me conduit à bord de son vaisseau et le dénommée Aven arrive. Il reçoit ses instructions à propos de mon collier en toute discrétion de sa fille. Sans un mot, sans un geste, elle savait rester poliment à l’écart. Même si son père n’avait nullement l’intention de lui cacher quoique se soit, elle sait attendre d’être en priver pour lui poser toutes les questions qui la tracassait. Je ne peux qu’admirer le lien solide qui existe entre eux. Nausicaa se contente de m’examiner de la tête au pied.
Puis, Aven me dit de le suivre d’un ton sec.
On est sur le point de monter à bord du navire et soudain, m’ouvrant à l’avenir, je perçois au loin une certitude. « On m’attend ! » Je me fige et lançant la Force dans les rues de Coruscant, je reconnu une présence que je n’avais plus senti depuis plus de 2 ans… celle de mon padawan humain !
Aven – Bien quoi ? Vous me suivez où vous restez avec la bombe ?
Moi – J’arrive ! Ce n’est rien. Rien qu’un pressentiment Jedi.
C’est au tour du Mandalorien de ce figer. Je compris qu’il cru que le pressentiment était vis-à-vis de lui. Je décide de le rassurer.
Moi – Mon padawan est sur la planète, il m’attend.
Il ne répondit rien et il rentre dans le vaisseau. Je le suis jusqu’à une pièce qui ressemble à un labo de technologie. Enfin, j’allais être débarrassé de cette bombe.
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Maître de Carth, Cal et Bakara
Les Pouvoirs de la Force font fureur!Ce message a été modifié par: Padme111 le 25-01-2008 11:08vendredi 25 janvier 2008 - 11:03 Modification Admin Permalien
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