Le Temple Jedi 2 (page 95)
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Jorus-Beku-n
12506 Crédits
Bibone : Sinon on choisira nos cibles… Doc ? Tu es blessé ?
Doc : C'est pas grave....
Jorus : Ecoute Doc, soigne-toi pendant que je récupère ton chasseur. Ensuite, je regagne l’YT et je passe te reprendre
Bibone : Et je te couvre pendant la manœuvre
Doc : Ok, mais faites vite
Doc se mit à couvert tandis que Obi14 et moi nous courrions ver les chasseurs. Une fois dans l’Aîle-X, je suivis le chasseur de mon compagnon, tout senseur éteint, vers un immense rocher de la ceinture d’astéroïdes. Là étaient cachés les vaisseaux de transport. Je pris les commandes de l’YT et plongeai à nouveau vers Géonosis. Obi14 resta en vol circulaire autour de la zone de récupération. Doc repris aussitôt les commandes de son appareil et je pris moi-même la place du co-pilote. Quelques instants plus tard, nous étions à nouveau en orbite, pour une autre surprise
Jorus : Un croiseur interstellaire droit devant
Doc : Je l’ai, Bibone, tu le vois
Obi14 : Je te couvre dans tes 6H
Doc fit basculer l’YT dans la direction opposé : mais 4 autres destroyers nous coupaient la route. Ils couvraient 3 plans de l’orbite haute de la planète
Jorus : J’ai repéré des croiseurs d’interdiction qui couvrent les arrières des destroyers
Doc : On va être pris dans un feu croisé
Le moins que l’on puisse dire, c’est que nous étions repérés. Le commandant de la flotte était un fin stratège car notre retraite était coupée, sans qu’aucun chasseur ne soit intervenu. Le tir de barrage des croiseurs entamait nos boucliers
Jorus : Ils sont forts… Leur coup était bien préparé
Doc : Disons qu’ils se croient fort, regarde !
Doc effectua une chandelle, rebascula en vrille, inversant le plan de combat et se dirigea vers la nouvelle orbite haute, face aux chantiers navals : ils étaient au nombre de 5
Jorus : Bien joué, à proximité des chantiers, ils n’oseront plus tirer
Doc : Nous pourrions essayer de profiter de l’occasion pour infliger des dégâts importants…
Jorus : Je programme la visée laser !
Doc : Il y a peut-être mieux à faire
Il jeta un coup d’œil vers la coursive arrière, remplie d’explosifs !
Jorus : Je redoute un plan infernal qui germe dans ton esprit
Doc : Tu as deviné ! On esquive les défenses des chantiers, on atterrit dans l’un des hangars, on investit la place, on dépose les explosifs et on repart. L’explosion fera diversion et…
Jorus : Ben voyons ! On a aucune chance de s'en tirer ! N’en dit pas plus, mais c’est moi qui règle les minuteries des bombes… Ca augmentera les chances de…
Doc : La confiance règne ! Où est le guerrier imprévisible qui sommeille en toi ?
Jorus : Dépêche-toi avant que je change d'avis
Et les vaisseaux de Doc et Obi14 foncèrent en direction du chantier le plus prochejeudi 30 novembre 2006 - 10:08 Modification Admin Permalien
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obiwan14
4529 Crédits
------------------FlashBack----------
Enfin un peu d’animation, j’allais pouvoir faire un peu d’exercice et dégourdir mes jambes.
Les Sith s’étaient amusé à se partager leur proie si l’on peut nous appeler comme ça, chacun le sien. Ainsi la silhouette sombre se plaça juste en face de moi, et dégaina son sabre de couleur rouge. Je ne pouvais m’empêcher de lui faire une remarque :
Moi : Jolie couleur de sabre !
Que ne fut pas ma surprise lorsqu’une voix féminine raisonna :
La sith : Range ton ironie, Jedi, tu riras moins lorsque tu l’auras enfoncé dans ton cœur.
Moi : Humm je n’attends que ça !
Allumant mon sabre à ma ceinture, un halo de lumière verdâtre sorti de l’extrémité et se mit à crépiter dans le vent de Géonosis. Abaissant ma lame pour la faire toucher le sol, je fis tracer un demi-cercle en face de moi, et souris à mon adversaire.
Celle-ci en signe d’impatience, lâcha un grognement et fonça sur moi. Preuve que mon adversaire n’était pas une experte celle-ci se précipita vers moi lame en avant. D’un pas assuré, je mis mon corps en bascule et recula d’un pas, laissant mon adversaire passait devant moi. Le combat venait juste de commencer, et je venais tout juste de le provoquer. J’avais touché son orgueil en plein fouet.
Moi : Et bien ? On manque de dextérité on dirait …
Comme une balle, ma réplique l’avait touché de plein fouet, la provoquer, augmentait déjà la haine qui sommeillait au fond d’elle, à peine le temps de souffler, que je vis sa lame projeter sur moi, esquivant du mieux que je pouvais plus par réflexe que par adresse, je ne pu éviter son talon et me retrouvait au sol un mètre plus loin. Ne me laissant à peine le temps de me relever, que telle un wampas sur sa proie, elle enfonça sa lame à l’endroit même où je me trouvais quelques instant plus tôt, profitant de ce moment de répits, j’envoyai mon sabre en visant ses jambes et à l’aide de mes bras, j’arque boute mon corps pour me retrouver à nouveau sur mes pieds. La sith avait dévié mon sabre et me savait donc sans la moindre arme. C’était mal me juger, utilisant la Force, j’envoyai une tempête de sable, pour le but de l’aveugler quelques instant. Durant le combat, j’avais pu remarquer le talent incontestable au combat de cette femme, mais un de ces gros points faibles était le peu de maitrise de ses sentiments… il m’était donc facile de m’insinuer dans son esprit et de le brouiller. Usant cet artifice, pendant que j’envoyais la mini tempête, je fis apparaitre un clone de moi à l’endroit où je me trouvais et me fis disparaitre aux yeux de celle-ci.
La sith : Et bien pauvre Jedi, on obliger de m’envoyer du sable pour me distancer, on n’échappe pas si facilement à Dark Blacor !
C’en était trop simple, elle avait filé droit sur mon piège, m’approchant silencieusement d’elle, je fis venir ma lame droit dans ma main et l’alluma droit devant sa gorge.
Moi : Et bien qui ta dis que j’allais filer. Lâche ton arme et je te laisserai en vie, fait le moindre geste et je n’hésiterais pas à te l’ôter. A toi de décider !
A mon grand étonnement, un rire démentiel apparu sur son visage. N’ayant à peine le temps de comprendre la raison, elle se déroba sous ma pression en m’envoyant des décharges électriques. Elle était plus maline que je ne le pensais. Elle avait utilisé la Force sur mon bras mécanique pour relâcher la pression. Cette fois, c’est moi qui l’avait sous estimé. Il était temps d’en finir. Même si l’utilisation de la Force par des fin obscur était interdits, je parais du mieux que je pouvais les foudres que m’envoyai la Chiss. Profitant d’un moment de vide, je fis appel à la Force et serra la gorge de mon adversaire et la souleva du sol :
Dark Blacor : Maiss……arggg…. Tu…
Ne lui laissant à peine le temps de terminer ses paroles, je l’envoyai en direction d’un tas de roche, celle-ci se retrouva écraser a la paroi puis s’écroula à genoux au sol. Faisant enfin appel à mon sabre, je tranchai net la paroi supérieure qui étouffa ces derniers cris. C’en était fini. Rattrapant mon sabre, je courus en direction de Jorus.
------------------Fin du FlashBack----------
Les croiseurs avaient calmé leur tirs… certes…mais ce n’était pas pour autant gagner, à proximité du chantier, des batteries de défenses avait fait apparitions ainsi que des missiles à concussions. Une partie de plaisirs, à présent, il fallait se servir au mieux de nos dons en pilotage et de la Force pour pouvoir passer dans des trous de gruyères qui se formaient entre les tirs des batteries.
Moi : Doc, Jorus ensemble on est une cible trop facile et trop grosse, il vaut mieux que l’on se sépare !
Jorus : Oui en effet, on se fera détruire en un rien de temps !
Doc : Ok frangin ! Rendez vous au hangar 956-78b, le premier qui arrive aura le droit de recevoir un moloko !
Moi : Ok paris tenu !
C’est sur ces dernières paroles, que je partis dans la direction opposé de l’YT. Mon vaisseau Sekotan, l’Inferno effectuais des merveilles, le pilotage par la pensée me permettait de réguler la puissance de mes moteurs ainsi que de dériver l’énergie vers la zone des boucliers nécessaires.
La zone d’atterrissage se trouvait à près de 3 km, sauf que pour y arriver il fallait passer un véritable champ de mines… Esquivant une multitude de tirs, je fis effectuais une vrille à mon vaisseau, pour me retrouver à longer la surface d’une grue de dimension astronomique, en face de moi se profiler le nez d’une batterie de tirs, accélérant ma progression, toujours suivi de près par des missiles, je passai à quelques centimètres de la batterie. Ma manœuvre avait marché l’arme de défense avait rencontré de plein fouet les missiles.
Après avoir passé plusieurs barrages de tirs et esquiver des missiles, le hangar fit enfin son apparition. Bien évidement gardé par deux batteries, sortant de mon appareil mes batteries de plasma, j’envoyai deux salves pour chaque batterie, faisant un tour au dessus, pour vérifier que la zone était en sécurité, je posais mon appareil. Sortant de celui-ci, quel ne fut pas ma rage, en voyant des traces sombres sur la carlingue de mon Inferno !!
Moi : Grrrrrrrr… je venais tout juste de le nettoyer !!
Doc : C’est les risques du métier frangin !
Jorus : En lot de consolation, on va t’offrir le moloko !
Doc avait atterrit à quelques pas de mon vaisseau, il était temps d’utiliser ces explosifs….et d’en finir !
Désolé pour la taille, mais j'allais poster mon flashback avant mais avec les évènements intervenus... encore désolé !jeudi 30 novembre 2006 - 17:22 Modification Admin Permalien
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Mirax_Terrik
7045 Crédits
J’avais quitté l’Infirmerie pour rejoindre les Jardins. Tous les blessés étaient tirés d’affaire… enfin leur pronostic vital n’était plus en jeu et j’avais préféré laisser les autres Guérisseurs s’occuper d’eux.
J’étais seule et c’était tant mieux. Cette colère qui grondait en moi depuis toujours et qui menaçait de me submerger depuis la mort de Horn, avait défoncée mes dernières barrières mentales, et elle se déversait en moi comme un torrent furieux !
J’étais en rage ! En rage après cette République corrompue qui ne savait plus que répondre par la violence ! Après cette Galaxie qui avec tout ce que les Jedi avait déjà fait pour elle les rejetait comme des mal propres ! Furieuse contre tous ces Jedi qui me regardait avec haine parce que j’avais embrassé leur ennemi, furieuse du manque de réactivité du Conseil. Mais surtout furieuse après cette Bothane qui s’acharnait à me voler mon bonheur. Je la haïssais ! Je la tuerais de mes mains, je m’en fis le serment.
Cette colère me faisait du bien.
Quoique puisse dire Kaarde ou le Conseil, personne n’acceptera jamais mon amour pour LUI. Je ne serai plus jamais la bienvenue chez les Jedi. Mais de toute manière je ne souhaitais plus une chose pareille.
Dans un état second je me rendis aux hangars. Les gens s’écartaient sur mon passage tant la fureur qui émanait de moi était puissante. La passerelle du Terrik’s Fantasy s’abaissa a mon approche. Quelques minutes plus tard le vaisseau décollait sans que personne ne dise quoi que ce soit. Une fois en orbite d’Ossus la navette sauta en hyperespace en direction de Corellia. Et je quittais ce qui avait toujours été mon foyer sans me retourner, mais peut-être pas sans regret.
Des heures plus tard j’arrivais en lisière du système Corellien. Je laissais là mon précieux vaisseau et sautait dans mon aile X. Enfin après plusieurs heures j’arrivais en orbite de Corellia. Ignorant la bataille spatiale je fonçais vers un lieu précis que la Force m’indiquait. Baaaaaaal était présent dans le système et je lui fis savoir par télépathie de me rejoindre à l’endroit en question : l’astroport de Corellia.
Click, Selana et une personne inconnue se trouvaient encerclés de gardes et, mais cela ils l’ignorait encore, de Jedi Noir envoyé par cette ***Censuré*** de Bothane. Les Gardes avaient baissé leurs armes et étaient en train de se retirer laissant cinq types en bures noires s’approcher de mes enfants.
Je posais mon aile X sur un tarmac non loin de là. A peine le train d’atterrissage sorti je laissais les procédures à mon R2, et en un salto je sortis de mon cockpit.
Le sourire qui était en train de naître sur les visages de Click et Selana se figea lorsqu’ils virent leurs cinq ennemis se tourner vers moi et deux d’entre eux se faire expulser à plusieurs mètres de hauteur suite a la volée d’éclairs que je venais d’envoyer.
J’activais mon sabre, mais finit la forme III. J’attaquais à grand coup de Vaapad n’hésitant pas à trancher des membres voire des gorges, le Coté Obscur coulait librement en moi…
Une ombre vient soudain se placer à coté de moi. Mon Sith m’avait retrouvée. A ses cotés je me sentais invincible…
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Jabinette.
Matriarche de la famille la plus sectaire d'AW!Ce message a été modifié par: Mirax_Terrik le 30-11-2006 18:34jeudi 30 novembre 2006 - 18:07 Modification Admin Permalien
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clickman
4417 Crédits
S’il y a bien une chose qui pimente la vie d’un Jedi, c’est l’imprévu.
Nous avions bien senti un danger, mais il n’est pas venu de la ou nous l’attendions.
Constater que les gardes abandonnèrent fut déjà assez surprenant. Voir 5 hommes en bures noires se pointer ainsi nous obligea à nous préparer au pire. Surtout quand nous nous sommes rendu compte, malgré la bure, de l’origine d’un des membres de nos ennemis.
Voir à ce moment la une Aile-X bien connue arriver est un soulagement. Mirax, ma mère, avait répondu à notre appel. Selana et moi nous regardons et commençons à sourire de cette aide bienvenue.
Mais le bonheur est de courte durée. Quelque chose n’allait pas. Voir ma mère attaquer à coup d’éclair de Force. Voir ma mère s’adonner à sa colère. Qu’est devenue la douce et attentionnée Mirax Terrik qui m’a pris sous son aile il y a de ca bien longtemps ? Je voyais maintenant une furie.
Elle prit son arme, et se mit à attaquer 3 des sith envoyés par la Bothane, en laissant 2 de coté qui s’intéressait que trop à nous. Un d’eux s’intéressait particulièrement à Sakura. Il découvrit sa capuche. Nous nous en serions doutés ! Il est Vardien aussi.
Lui : Sakura… Traitresse…
Sakura : Parle pour toi, Taarhnasëmi "Taar" Leyendalëm
Taar : Tu as désobéi
Sakura : J’ai suivi mon intuition
Taar : Tu as suivi les ennemis de notre maître
Sakura : Elle n’est plus mon maître
Taar : Tu va payer pour ta trahison, gamine !
Sakura : Je suis plus âgé que toi !!
Sakura alluma son sabre et passa à l’attaque de l’autre Vardien.
Pendant ce temps, l’autre adversaire se montre à son tour. Un zabrak.
Moi : Tu sais que les tatouages rouge et noir ce n’est plus à la mode ??
Zabrak : Tait toi, insolent !
Moi : Pourquoi êtes vous la ?
Zabrak : Parce que notre maître nous a demandé de tous vous tuer !!
Moi : Toujours la même rengaine…. Vous n’avez rien d’autre ??
Zabrak : Mourrez, Jedi.
Et le zabrak alluma un sabre double et attaqua simultanément mon ange et moi-même…
PS du responsable du TJ : Cherche assistant pour TJ, candidature par mail AW merci !!!
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Wedge "Clickman" Destren Terrik
Membre du CJ, prof d'astro
Participez aux JDR Jedi, rejoignez-nous au TJ, dessinez le Temple (renseignez vous ici !)
PIOU PIOU !!Ce message a été modifié par: clickman le 30-11-2006 19:17jeudi 30 novembre 2006 - 19:11 Modification Admin Permalien
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Tyria
8000 Crédits
J'étais dans la salle de communication du Temple Jedi. Il était enfin temps. Je savais parfaitement ce que j’allais dire. Il y a longtemps que je pensais à ce moment. A la façon dont il allait se dérouler. Oh ! Combien tout cela allait être magnifique ! J’appuyais sur la console pour lancer l’enregistrement de mon message. Il ne serait diffusé quand dans une dizaine de minutes.
« Cher membre du Conseil. Je suis connue comme faisant partie des membres les plus impulsifs de notre cher Ordre Jedi. Ainsi, je pense - et ce certainement à juste titre - que vous allez mettre ceci sur le compte de cette impulsivité chronique. Ce n'est pas le cas. Je n'ai pas sombré dans une quelconque colère ou haine. Aucun sentiment n'intervient dans cette décision. Je n'ai pas non sombré dans un sombre délire de vouloir utiliser tous les moyens pour sauver la galaxie en la purgeant du mal. Je ne vous servirai pas non plus un discours sur la couardise de notre ordre...
Non... Ce n'est rien de tout cela. Je suis tournée simplement vers mes propres intérêts. Pour le moment, vous n'avez pas trop d'inquiétude à vous faire mes chers anciens confrères. Pour le moment... Car je puis vous assurer qu'un jour, nos intérêts entreront en conflit. Et que ce jour là sera un des plus intéressants que cette galaxie sera amenée à connaître.
…
Kaarde et vous autres, je vous annonce que je quitte l'Ordre Jedi.
…
J'agis de manière parfaitement réfléchie et calculée. J’imagine que personne n’aura la stupide intention de vouloir me retenir. Mais… Ce qu’il y a d’ennuyeux avec les Jedi, c’est qu’ils ont la mauvaise habitude de vouloir agir de manière stupide… Ainsi, je vous ai prévu quelque chose. Ne vous en offusquez pas, je vous en prie. Considérez cela comme étant simplement une petite garantie que je prends. Je suis sure que vous avez déjà compris, n’est ce pas ? Le Chu’unthor… J’aime décidément beaucoup ce vaisseau. Les padawans a son bord aussi, évidemment mais… Vos forces sont amoindries et vous ne vous battrez que difficilement sur un front de plus. Alors deux !
J’ai laissé se répandre à son bord une forme peu agressive de la Peste Noire qui a ravagé la galaxie il y a quelques siècles. Enfin… Peu agressive… Quand on sait que cette Peste est capable de tuer en une demi-heure à son naturel. Il ne reste pas plus que quelques heures aux Jedi se trouvant sur le vaisseau. D’ailleurs, je pense qu’à l’heure qu’il est, certains on déjà commencé à mourir. Triste situation…
...
A bientôt.»
Fin de l’enregistrement et début de tout ce qui allait en découler. Oui, l’instant était magnifique. Je souriais.
Je sortis de la salle de communication. Je croisais quelques Jedi qui s’étonnèrent que je ne sois pas encore partie pour Corellia. Je leur expliquais que j’avais retardé mon départ pour régler divers points importants. Lorsqu’ils voulurent en savoir plus et que la salle du Conseil vola en éclat avec ce que j’avais déposé dedans, mon sourire fut encore plus radieux. La journée était définitivement réussie. Et pendant que ces chers Jedi coururent dans direction, je me dirigeai tranquillement avec toute la simplicité du monde vers les docks. Au revoir, Ossus.jeudi 30 novembre 2006 - 20:31 Modification Admin Permalien
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Edoras
7665 Crédits
[i]Espace Bothan, Système Kothlis
Édo s’est endormi. Il repose à mes côtés, son souffle régulier tendant et détendant les draps. Je sens ses muscles saillants sous mes doigts, le contact de sa peau sur ma peau. Je profite de son sommeil pour le détailler tout à loisir ; ce nez mal fichu, cette longue cicatrice sur son front, et cette autre entaille sur sa joue, et toutes ces anciennes blessures, coupures brûlures parsemées sur son corps… Etrange qu’un être si abîmé puisse être tellement attirant. Sa peau faiblement pigmentée rayonne d’une clarté presque surréaliste, sous l’éclairage nocturne du vaisseau. Il grogne quelque chose et l’une de ses mains me cherche, tandis que l’autre se glisse sous son oreiller. Je m’empare de cette main aux longs doigts agiles et forts et la baise tendrement. Sa chaleur m’envahit quand je la presse contre ma joue.
Il sourit dans son sommeil, sans que je ne sache si c’est de m’avoir trouvée, moi, ou son blaster… Mais il sourit et se retourne vers moi. Je me glisse dans ses bras et coule les miens dans son dos, sur ses épaules musclées. Je serre doucement sa chair de mes ongles et fait mine de le mordre… cet Humain est à moi ! Je peux lui faire faire ce que je veux, il m’aime et me conforte de sa présence… et il va m’aider à me venger, dût-il en crever.
Je caresse du bout du doigt ses larges dents plates… dont quatre seulement sont pointues comme de vrais dents. Comment les Humains peuvent-ils parvenir à manger avec ça ? Un Humain… mais quel Humain ! Ne pouvant plus résister, je le réveille doucement. S’il doit mourir, autant l’aimer avant. Sinon, je l’épouserai pour le remercier.
Je posai l’Evangelion dans une clairière, évitant les racines et les eaux boueuses. Ce yacht répondait parfaitement et c’était un vrai plaisir de le piloter. J’éteignis la console et m’en allai rejoindre mon homme dans la cabine. Ne le trouvant pas immédiatement, j’enfilai mon armure – cette belle armure rouge qu’il m’avait offerte, dont les motifs en forme d’écailles évoquaient irrésistiblement le cuir des dragons Krayt. La gemme coruscanti qui brillait au milieu de la ligne de la poitrine ajoutait au charme de l’ensemble.
Je fixai une vibrolame à ma ceinture, y joignis un holster et pris un A-280 en bandoulière. Puis je sortis du vaisseau, m’enfonçant faiblement dans la fange humide. Édo se tenait debout sur la branche d’un énorme arbre des mangroves, dont les longues tiges pendantes exhalaient une odeur qui tenait à la fois du ryll moulu, de l’urine de bantha et de la corne brûlée. Il observait les environs, accroché à une liane.
- Le Thyfférien retrouve son environnement ?
Il se retourna et me sourit, pendu à sa liane d’une seule main.
- Cet endroit ressemble plus au marais de Naboo, mais oui. Je crois que nous allons bénéficier d’un bonus de terrain non négligeable… Tu t’es enduite de crème ? Même avec nos vaccins, ces moustiques peuvent être embêtants, chérie.
Chérie ? C’était la première fois qu’il me donnait ce genre de noms… je songeai qu’il risquait de mourir et mon cœur se serra. Tchin frémit et j’espérai qu’il ne le remarquât point.
- Alors, par où allons-nous commencer, chef ?
- Et bien…
Je n’attendis pas la suite : un énorme serpent glissât sur la branche du contrebandier que j'aimais. J'attrapai mon fusil-blaster et visai.
- Non, laisse, ce n'est pas la peine.
- Mais ce serpent !...
- Oui, ce serpent, et cette grosse araignée des marais, et ces lézards venimeux, et cet autre petit serpent au venin mortel pour un bantha... ils ne me menaçent pas, Kiffa chérie, je suis leur invité.
Il eut un doux sourir et prit le lézard dans sa main pour lui caresser le museau.
- Je suis un trop gros steack pour eux. C'est moi, au contraire, le prédateur.
" Viens, j'ai repéré des structures et de la fumée, on pourra louer une embarcation... ou l'emprunter sans le leur demander.
Il plongea ses yeux dans ceux du lézard et le tua en resserrant le poing. Puis il descnedit de sa branche et nous nous mîmes en route. Nous étions de sortie sur Kothlis, à la recherche de ce réseau d'informateurs qui utilisaient une araignée comme signe de reconnaissance...
Le soir, mon datapad crachota et nous apprîmes les dernières nouvelles en provenance de Corellia.
:jf:jeudi 30 novembre 2006 - 20:54 Modification Admin Permalien
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Jadden_Korr
5671 Crédits
décidement , la technologie et moi on est vraiment fait pour s'entendre . ca fait une journée que Doc m'a demandé son grappin et je viens de le finir . il ne manque plus que la phase de test .
BOOM !
Une explosion ? il se passe quelque chose ... je sort des mes appartement et me dirige vers la zone de trouble ... la salle du conseil n'est plus que ruine . Un attentat au sein même du Temple ! alors que je fouille les décombres à la recherche d'éventuels corps une transmission s'établit . le message de Tyria est diffusé .
Après en avoir pris connaissance j'avoue que j'ai du mal a me dire que ce qu'elle dit est vrai . le Chu'Untor ? les jedis ? La Peste Noire ? mais c'est quoi ce délire . c'est un cauchemar et je vais me réveiller c'est ca .
des jedis entrent a leur tour dans l'ancienne salle du conseil ... Ce sont des padawans .
Pada 1 : " Maître que se passe t il ? "
Pada 2 : " C'est une atttaque ? "
Jad'den : " C'est un accident , mais ... retourner dans vos sections prevenez les chevaliers et maitres que vous croiserez de me contacter par Comlink . nous avons un petit probleme et je compte le résoudre mais seul j'aurais un peu de mal . "
Les padawans se retirent et je sors aussi précipitément . direction ma chambre puis le hangar ...
J'ai récupéré le prototype de bouclier oculteur sur lequel je travaille depuis mon assaut sur le Cap'tain en compagnie de Kaarde et de Baaaaaaal . je cours maintenant vers les hangars pour prendre mon transport et partir vers le Chu'untor . au passage j'envoie un message télépathique a Jacen .
Jad'den :" Chu'untor , probleme . Rejoins moi s'y . Prends . bacta et masque a gaz . urgence VITE ! "
Je monte la rampe quatre à quatre . Vast , mon chien Akk est déja a l'interieur ainsi que mon unité R2 . la séquence de décollage est amorcé et je quitte rapidement les hangars d'Ossus pour rejoindre l'espace ...
Rapidement la silhouette du Chu'Untor apparait sur les scanners puis en visuel .
Je n'ose pas établir le contact direct avec le Chu'Untor de peur de révéler ma précense a Tyria mais je ne la sens pas a bord . tant mieux ... J'ouvre la communication . Aucunes réponses ...
un hangar est ouvert , le Korr's Spirit y atteris et j'enfile au plus vite une combinaison présurrisé . par dessus mon bouclier . je mets un masque a gaz . enferme Vast dans la Soute ( je tiens a cet animal ) prend le matériel médical que j'avais a bord avec des nanites et ouvre le sas . je descend dans le Chu'Untor .... étrangement silencieux .
Resident Evil 5 : Chu'Untorjeudi 30 novembre 2006 - 23:17 Modification Admin Permalien
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Kaarde
17496 Crédits Modo
;) Le moment était venu de m'adresser à l'ensemble du Sénat Galactique pour la première fois. J'attendais dans une antichambre avec Reegi Ppork que le Chancelier Suprême m'annonce.
Reegi : - Maître. Bloli, Kroga et Unduli me signalent qu'ils sont en position près des trois sénateurs. Ils n'attendent plus que votre intervention.
Moi : - Merci, Reegi. Retournez au Bureau Local, vous nous serez plus utile là-bas.
Pendant que le Jedi rodien s'en allait j'entendis le Chancelier arriver au terme de l'affaire en cours et aborder le problème de Corellia. Il était temps que les sénateurs entende la voix des Jedi.
Chancelier : - ... de Corellia, j'ai l'honneur d'accueillir au sein de cette auguste assemblée Maître Kaarde Nabery, représentant du Conseil des Jedi.
Un grand murmure parcourut la vaste salle tandis que je rejoignais le Chancelier sur l'estrade centrale. Plusieurs d'entre eux n'avaient jamais apprécié les interventions de Pad au Sénat et ils avaient noté mon lien de parenté avec elle. Peut-être espéraient-ils avant ma venue que le nouveau représentant du Conseil soit plus du côté de la politique ? Ils risquaient d'être très déçus et de détester davantage la famille Nabery (notre pauvre mère ne me pardonnerait jamais).
Tout en prenant place sur l'estrade j'étendai mes perceptions vers les autres Jedi. Unduli, Bloli et Kroga étaient prêts. Bien.
Moi : - Chers représentants de l'assemblée du Sénat Galactique. Je viens, au nom des principes de l'Ordre Jedi et de ceux défendus par la République elle-même, vous encourager à renoncer aux violence envers Corellia.
Grand mouvement de protestation.
sénateur : - Abandonner Corellia ? Jamais ! Qui sont les Jedi pour nous dire quoi faire dans des affaires qui ne les regardent pas ?
Moi : - Les Jedi sont les serviteurs de la Paix et de la Vie sous toutes ses formes, ce qui rejoint bien les motivations "officielles" de cette assemblée.
sénateur2 : - Dans ce cas pourquoi n'avez-vous rien fait pour désamorcer la crise depuis le début ?
Moi : - En partie parce que le Sénat a voulu nous tenir éloignés de l'affaire. Mais ne croyez pas que les Jedi soient restés inactifs, nos enquêtes sur place nous ont attiré un bon lot d'ennuis qui nous ont occupés longtemps mais démontrent que la population est victime du mouvement indépendantiste. Voulez-vous en plus que les Corelliens deviennent des victimes de la République ?
sénateur3 : - Ils fallait arrêter ces indépendantistes tant que vous le pouviez ! C'est pour les mettre définitivement hors d'état de nuire que nous faisons intervenir la flotte.
Moi : - Et c'est justement ce qu'ils attendaient de vous !...
Le moment était venu de surveiller de près les réactions des sénateurs de Sacorria, Toprawa et Neimoidia.
Moi : - Une entité importante se trouve derrière ces indépendantistes et les commande, une organisation nommée la Tarentule et dirigée par un être qui se fait nommer la Maléfique. Elle ne se soucie guère de la cause Corellienne, son objectif étant de nuire à la République. Il est également probable que le Maître Sith Baaaaaaal, celui-là même qui a attaqué Coruscant il y a deux ans, soit impliqué.
De nouvelles protestations s'élevèrent mais plusieurs sénateurs, atteints par mes paroles, commençaient déjà à se poser des questions.
sénateur4 : - Pourquoi proférer de telles choses ? Dans quel camp êtes-vous ?
Moi : - A l'heure où je vous parle il est sûrement déjà trop tard mais je ne cherche qu'à sauvegarder la vie de millers d'innocents et à vous aider à tirer la flotte du piège dans lequel elle s'est jetée. Voilà.
J'en avais terminé et laissai à présent la place au Chancelier Suprême tout en me retirant. J'avais ouvert les yeux à beaucoup de sénateurs mais cela ne servirait à rien si nous ne neutralisions pas au plus vite ceux à la solde des Sith.
Je me hâtais de rejoindre Unduli et les autres, plus vite cette affaire serait terminée et mieux ce serait. Un très mauvais pressentiment était en train de m'assaillir.
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Kaarde, maître de JoranCorv
Frère d'Obitom0, Macematu et Padmé111
FF PowaaaCe message a été modifié par: Kaarde le 01-12-2006 10:58vendredi 01 décembre 2006 - 10:54 Modification Admin Permalien
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Edoras
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Le nez dans les feuilles, j'observais. Une heure à noter les allées et venues des gardiens (armés de blasters lourds T-21, modèles impériaux d'excellentes factures) autour de ce bâtiment métallique flambant neuf. Une heure à me peler le derche en bouffant des fruits locaux... si jamais je chope une diarrhé après ça, je saurai d'où elle vient ! Et si jamais elle se dépêche un peu et survient à l'improviste, avec cette armure... hum, je préfère ne pas y penser.
C'est marrant, les tours de gardes, c'est toujours de chouettes moments en perspective, riches en réflexions tout à fait édifiantes. Autrement dit, c'est ch... à vous faire regretter les mines de Kessel. Ambiance...
Ayant enfin noté le rytme des gardiens, je secoue Kiffa et nous avançons à pas de vornsks. Il y avait un laps de temps de 12 minutes entre cette équipe-ci et la suivante, ce qui nous laissait 12 minutes pour nous présenter à l'entrée, égorger le vigile, et investir le bâtiment.
Ma main gantée de métal serra une touffe de poil, immédiatement rougie de sang. Kiffa attrapa les pattes du garde et nous le portâmes jusque sous les frondaisons, en gardant ma main sur la plaie pour limiter les traces supplémentaires. Nous fouillâmes notre victime et retournâmes dans le bâtiment, équipés d'une datacarte et d'une carte ID.
Après deux escaliers, un machabbée supplémentaire et quelques ordinateurs piratés, un étrange sentiment m'envahit et je me collai contre le mur, dans l'embrasure d'une porte. Sans poser de questions inutiles, la jolie mercenaire m'imita. Je sortis un décicrédit de ma poche et m'en servis de miroir pour observer la salle suivante.
C'était une grande pièce ronde, encombrée d'ordinateurs, d'appareils bizarres et de cables électriques. Des barrières de protection entouraient un renfonçement dans lequel était logé le pied d'un énorme holoprojecteur. A vrai dire, tellement énorme que je n'en avais jamais vu de semblables, hormis dans ma villa de Naboo (dans mes rêves les moins fous) et au palais sénatorial de Coruscant. Vous saisissez la taille ? É-NOR-ME, je vous dis ! Deux mètres de hauteurs, au minimum... et c'était seulement le pied. Et là, au dessus du générateur d'holoprojection, à cinq mètres au dessus du sol, une sphère marbrée bleue, verte, grise et orange tournoyait lentement sur elle-même en lévitant. Corellia me toisait de haut, comme de juste pour une Corellienne.
Les deux types qui trafiquaient sur les bécanes furent vites changés en descentes de lits. Kiffa se pencha sur les consoles te se mit à pianoter. Moi, je m'approchai du terminal de l'holoprojecteur et entreprit de le faire causer de ses ancêtres. Ils n'étaient pas tous corelliens... Je découvris un lien ténu avec une certaine "Maléfique", mais ce nom n'apparut qu'une seule fois, et encore dans un dossier tellement protégé que j'eu du mal à empêcher l'ordinateur de s'enflammer. Il était question de pots de vins et de politique, principalement... l'achat d'un casino sur Coruscant... des échanges standards armes/épices entre des employés de cette société et des compagnies Corelliennes...
Celà me fit rire -- jaune.
Ces enf... utilisaient l'échelle d'échanges établie par la Guilde, contournaient et les taxes, et les primes de protections, utilisaient carrément certains de nos convois pour passer des marchandises en toute sécurité... c'était édifiant. Le fait qu'une note de bas de page refermait le dossier en signalant qu'une "action musclée de la Guilde" les avait obligés à "cesser les activités en cours pour une restructuration complète du réseau local" m'apaisait à peine.
Ainsi, j'avais ma réponse à cette question : "Comment des armes peuvent-elles atterrir sur Corellia sans que la Guilde ne soit au courant, malgré le quasi-monopole constitué par nos 89% de parts de marchés ?"... "Cette fille de la Sith (comme disait Mirax) a poussé le vice jusqu'à faire transporter les armes de la révolution par mes hommes, à leur insu."
Amusant, cette technique avait été inventée par la Guilde, au temps de la Guerre Civile Galactique, pour passer des marchandises illégales dans les bastions de l'Empire. Elle avait de l'humour, cette Bothanne ! Utiliser le principal fournisseur pour parvenir à ses fins, c'est bath ! Ce réseau, sur Coruscant, ne s'intéressait pas à la Guilde : son but était seulement de nous parasiter pour préparer la révolution !
Au moins, j'étais rassuré.
N'empêche que dans ce cas, c'est bien les hommes de cette Maléfique qui ont voulu me zigouiller. Ca, j'aime moins.
Me tuer ou... m'intimider ?
Cap sur Corellia, il est temps d'évacuer la base !
:jf:vendredi 01 décembre 2006 - 17:02 Modification Admin Permalien
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padawanthrawn
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« Cher membre du Conseil. Je suis connue comme faisant partie des membres les plus impulsifs de notre cher Ordre Jedi. Ainsi, je pense - et ce certainement à juste titre - que vous allez mettre ceci sur le compte de cette impulsivité chronique. Ce n'est pas le cas. Je n'ai pas sombré dans une quelconque colère ou haine. Aucun sentiment n'intervient dans cette décision. Je n'ai pas non sombré dans un sombre délire de vouloir utiliser tous les moyens pour sauver la galaxie en la purgeant du mal. Je ne vous servirai pas non plus un discours sur la couardise de notre ordre...
Non... Ce n'est rien de tout cela. Je suis tournée simplement vers mes propres intérêts. Pour le moment, vous n'avez pas trop d'inquiétude à vous faire mes chers anciens confrères. Pour le moment... Car je puis vous assurer qu'un jour, nos intérêts entreront en conflit. Et que ce jour là sera un des plus intéressants que cette galaxie sera amenée à connaître.
…
Kaarde et vous autres, je vous annonce que je quitte l'Ordre Jedi.
…
J'agis de manière parfaitement réfléchie et calculée. J’imagine que personne n’aura la stupide intention de vouloir me retenir. Mais… Ce qu’il y a d’ennuyeux avec les Jedi, c’est qu’ils ont la mauvaise habitude de vouloir agir de manière stupide… Ainsi, je vous ai prévu quelque chose. Ne vous en offusquez pas, je vous en prie. Considérez cela comme étant simplement une petite garantie que je prends. Je suis sure que vous avez déjà compris, n’est ce pas ? Le Chu’unthor… J’aime décidément beaucoup ce vaisseau. Les padawans a son bord aussi, évidemment mais… Vos forces sont amoindries et vous ne vous battrez que difficilement sur un front de plus. Alors deux !
J’ai laissé se répandre à son bord une forme peu agressive de la Peste Noire qui a ravagé la galaxie il y a quelques siècles. Enfin… Peu agressive… Quand on sait que cette Peste est capable de tuer en une demi-heure à son naturel. Il ne reste pas plus que quelques heures aux Jedi se trouvant sur le vaisseau. D’ailleurs, je pense qu’à l’heure qu’il est, certains on déjà commencé à mourir. Triste situation…
...
A bientôt.»
Je suis épuisé. Après m'être occupé de Remeyodi et de Padme111, j'ai dû m'occuper de quelques Jedi blessés. Et voilà que ma mère Tyria quitte l'Ordre Jedi. D'abord mon père (tué par b7al), puis ma mère...
Je suis épuisé, je n'arrive pas à réfléchir. Pourquoi agissent-ils de cette manière ???
Je dois m'occuper de cette peste noire. Je suis épuisé mais Mirax étant partie, je reste le seul guérisseur expérimenté du Temple ; malgré mon état absolument déplorable.
Je passe dans la salle du Conseil Jedi, où j'y croise deux padawans. Tous les maîtres et les chevaliers ont déserté le Temple. J'ai l'impression de revivre les évènements précédant la destruction de l'Ordre Jedi.
Les padawans m'annoncent que le chevalier Jedi Jadden-Korr est déjà parti pour rejoindre le Chu'untor. Je fonce au Hangard et récupère une A-wing modifiée. Je rentre les données pour le saut hyperespace et me plonge dans une transe afin de récupérer le plus possible avant d'arriver sur le Chu'untor... Je ne sais pas ce qui m'attend mais il y a une vingtaine de padawans là-bas : je dois les sauver, c'est mon devoir de Jedi...
vendredi 01 décembre 2006 - 18:55 Modification Admin Permalien
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- Ghtroc 720 --- Ghtroc Industries conçut sont transport Modèle 720 comme une amélioration du transport léger 580 pour concurencer les exellents transports de la Corellian Engineering Corporation, qu'il n'égalera jamais malgré son succès commercial... et les pièces de conception relativement proches. (Vaisseaux - Transports)
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