Le Temple Jedi 2 (page 91)

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  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Plusieurs heures avaient passés. Je n'avais pas bien compris comment Doc avait fait pour se retrouver à l'ifirmerie (une histoire burlesque à la fin de laquelle il était tombé évanoui, et s'était luxé l'épaule en cognant le sol), ni ce que baragouinait ce Jedi pour qui une charmante infirmière avait tant d'attention (y a des veinards... quoique vu ce qui enveloppe sa jambe, sa situation doit être assez douloureuse). Mirax veillait Doc en plaisantant (Doc râlait) et divers malades ou blessés gémissaient dans leurs lits, chaises, ou couchettes improvisées à même le sol. L'infirmerie était débordée !
    Et moi, confient de par nature, je m'ammenai au milieu de cette troupe d'invalides et claironnai un joyeux (et quelques peu impertinent) :
    " Salut la compagnie ! S'il y a des membres du Conseil qui se sont perdus, ils sont priés de rejoindre le centre d'accueil !

    Les divers grognements m'apprirent que certains membres venaient à peine de sortir du coma, et qu'il fallait pas pousser.
    " Ceux qui ne peuvent particper, tant pis : faîtes-vous représenter, mais - par l'Espace ! - j'ai une annonce à faire au Conseil, et une Galaxie à sauver, pus d'vornskr ! La Paix dans le Monde, vous connaissez ? Puisque vous êtes momentanément dans l'incapacité de l'assurer, je vais m'en occuper, je pars d'ici trois heures : c'est le temps qu'il vous reste pour réunir le Conseil (certains membres sont déjà prêts)... et m'écouter. Passé ce délai, je me casserai sans tambours ni fanfares et vous vous retrouverez avec une flotte d'un bon millier de vaisseaux pirates à votre orbite ! Si vous avez des questions, rendez-vous au Conseil sans tarder. Terrik, terminé !

    Autant dire que les mines de ceux qui venaient de former le Conseil n'était pas particulièrement joyeuses. Je me placai au centre de la salle et rajustai ma cape. Je ne fis même pas attention de savoir qui était là et qui s'était (ou non) fait représenter. J'avais un message, et l'Ordre allait m'écouter, dussé-je lui vriller les tympans.

    - Mesdames et messieurs les Jedi, vous me voyez ici devant vous, sans ysalamaris pour me protéger de vos pouvirs, ni armes lourdes pour vous menacer.
    " Je vous apprécie, personnellement - ou du moins je vous considère correctement. J'ai épousé une Jedi, il y a longtemps, je porte encore son nom aujourd'hui et elle a changé à jamais ma façon de percevoir les choses. J'ai également donné à votre Ordre deux brillants Maîtres. Toutefois, en tant que Leader de la Guilde, je suis tenu à une certaine objectivité impersonnelle - je représente des milliards de crédits de capitaux, des millions d'employés, des dizaines de milliers de vaisseaux de toutes sortes, des milliers d'associés, des centaines de planètes.
    " Vous alliez perdre. Sans aide de notre part, deux destins s'offraient à vous : la destruction d'Ossus ou la victoire par le sang de la quasi-totalité d'entre vous. Combien de padawans seraient morts sous les turbolasers ? Vous, membres du Conseil, où siègeriez-vous, en considérant que vous eûssiez pu survivre, par chance ?
    " La Guilde vous a défendu contre ses propres intérêts, ce qui Lui a coûté la vie de 304 des siens (dernier chiffre, en comptant ceux qui sont décédés de leurs blessures). De plus, nous avons pu atténuer vos pertes en nous battant à votre place dans la jungle. Cet effort - louable, vous en conviendrez - a été rendu possible par une prime de 100.000 Dataris Républicains, faîte à un groupe pirate qui avait la charge de défendre votre espace.
    " Pour comble de notre bonté, je me suis arrangé pour qu'aucun guildeur, aucun pirate, n'ait connaissance de ce qu'il protégeait sur Ossus - exception faîte de ma garde personnelle. Votre repaire est donc toujours tenu secret aux peuples de la Galaxie.
    " Voyez-vous, si vous bénéficiez d'une paix relative sur Ossus, c'est grâce à nos bons soins : pour une somme conséquente, j'ai acheté aux pirates cette zone de l'espace. Ossus est une enclave, un territoire de chasse gardée entourée de zoes de libre piraterie. Pour garder le mystère, j'ai du acheter un vaste territoire pour vous englober, histoire de ne pas nourrir les soupçons. Officieusement, bien sure.
    A présent, nous aimerions être récompensés de nos actions. Je vous réclame la somme de 3 millions de Dataris, sans délais ! Dans le cas contraire, nous nous retirerons à grand bruit et avertirons la Galaxie de ce qui se passe ici ! Et Ossus redeviendra une zone de libre piraterie.

    Le boucan qui suivit fut indescriptoible : j'aurais donné un coup de pied au derrière d'un rancor assoupi que je n'aurais pas obtenu meilleur résultat. Un Jedi se leva et hurla plus fort que les autres :
    - Comment osez-vous, contrebandier !!
    (rire de ma part)
    - Mon bon Jedi, je vous ai réclamé 3 millions, mais je n'ai pas précisé sous quelle forme ! Je vous propose un contrat en bonne et dûe forme, pour une période de 100 ans. Acceptez de n'utiliser que nos transports et nos marchans pour vous fournir en matériel et en nourriture, utilisez nos services pour vos renseignements (en payant un prix préférentiel moitié moins important), et vou n'aurez jamais à être inquiêts pour votre sécurité.
    " Nous sommes peut-être des gredins et des filous, mais nous avons un Honneur, et une seule parole. Même les Hutts que nous avons vaincus, ce fut honnêtement.
    " Si vous nous prennez comme fournisseurs officiels, nous regagnerons les 3 millions par la publicité (en faible mesure) et - à longue échéance - par les transports. De plus, nous protégerons toujours des clients fidèles - aujourd'hui, nous ne nous sommes alliés à vous que sous une impulsion sentimentale, alors que nos intérêts étaient du côté de la Sith !

    :jf:

    mercredi 22 novembre 2006 - 07:34 Modification Admin Permalien

  • Avatar Unduli

    Unduli

    2936 Crédits

    Pourtant dans ma chambre, tranquillement allonger sur mon lit, je ne pouvais sortir de mon esprit la vision que j’avais eu plus tôt dans la Journée de Maîtresse Pad allongé entre la vie et la mort dans son lit. Elle qui était si énergique et si motivé. C’est comme si Maître Tyria arrêtait de torturer ses Padawans, et les autre d’ailleurs, le monde tournerait à l’envers ! Même si c’est déjà le cas, puisque l’Ordre ne fait rien pour dégeler la situation du Maléfique et des combats entre la Tarentule et le Captain qui ne fais que d’augmenter les conflits et de …, Faudrait que j’en parle avec quelqu’un ! C’est décidé, ça sera avec le premier Padawan que je croise parce que les autres sont trop vieux savoir ce qu’il faut faire ou alors sont satisfait de leur train-train quotidien ! Apres de telles pensées négatives, j’avais réussi à oublier la peine que je ressentais pour Pad. Mais il revient vite a la charge.
    Malgré l’interdiction de se déplacer dans les couloir pour les Padawans, je décide d’enfreindre ces règles, comme me l’avait enseigner mon Maître. Discrètement, je me dirige vers l’infirmerie et rentre dans la chambre de Pad. Persuader que je peux la sauver grâce à mon nouveau pouvoir. Ainsi, je pose mes mains sur son corps paisible et je laisse la Force faire le travail. Une lumière bleuâtre entoure pad et moi-même. Mais cette fois le résultat obtenu fut toutefois complètement différent car au lieu de la soigner, j’entre en communication avec elle comme lorsque je suis en transe de vision.

    MOI : Pad ? …Où suis-je ?
    PAD : Tu n'aurais pas du venir. J'ai parlé à Doc, je me sais être dans le coma dans le monde des vivant. Mais pour moi, mon coma, c'est ce brouillard !
    MOI : Ce n'était pas mon intention mais je suis arriver là en vous soignant. … Vous semblez bizarre! … Quelque chose ne vas pas?
    PAD : Je suis désolée de t'avoir inquiéter. Je ne voulais pas t'entraîner avec moi, mais... Je sais que cela va te choquer pourtant sache que je ne crois plus en l'Ordre Jedi.
    MOI : Encore ! Mais l'Ordre c'est notre vie, notre raison de vivre! Il n'y a rien de tel pour aider les gens! C'est ce à quoi aspire tout être vivant !
    PAD : Oui padawan, je suis d'accord avec toi. Je le pense aussi. Mais…
    MOI : Mais quoi?
    PAD : Mais après tout ce qui se passe au sein de l'Ordre Jedi actuellement, je ne crois plus en tout les membres qui le forme.
    MOI : Ce n'est pas croire en une personne qui compte c'est croire en la Vie, en la Force !

    Elle sourit et se retient de rire.

    PAD : je ne peux te donner entièrement tord. Mais tout n'est pas blanc ou noir. Et j'avoue que j'ai beaucoup réfléchi aux paroles de B7AL. Il n'a pas entièrement tord lorsqu'il dit que l'Ordre Jedi n'est plus ce qu'il était.
    MOI : Bien sur mais comment le faire évoluer et le ramener dans le droit chemin si les personne qui pense ne sont plus là! Pour faire un univers il faut de tout des pheonixiens, des corréliens, des mirialans ...

    Elle reste silencieuse.

    PAD : Lumi, tu as encore tellement de chose à découvrir, repart. S'il te plait, rentre parmi les vivants et dis lui... Non, non, ne dit rien.
    MOI : Non je ne peux pas vous laisser dans cet état ! L'Ordre a besoin de vous, et j'ai besoin de vous !

    Elle reste encore un moment silencieuse afin de chercher ses mots pour ne pas me blesser.

    PAD : L’ancien honneur de l'Ordre était pur… Mais j'ai découvert à quel point il pouvait être bafoué même par les maîtres… Et l'Ordre actuel n'arrive pas à la cheville de la pureté de ... ce qu'il a été !
    MOI : n'essayer pas de vous convaincre d'une chose que vous savez fausse !
    PAD : Je... Je ne suis pas certaine qu'il a tord et toi?
    MOI : Mon avis importe peu! Vous êtes trop têtue pour en prendre compte !
    PAD : Je... Je ne voulais pas te choquer padawan. J'ai pris plaisir à te former, à te transmettre ce que je ressens dans la Force.
    MOI : Je tiens à la Vie, je tiens à l'Amour et j'espère que vous vivrez un jour ce que je vis aujourd'hui !

    J'essaye de sortir mais elle m'attrape le bras

    PAD : Que dis tu? L'amour? (elle me souris) Mais pourquoi ne m'as tu jamais parler de ce qui fait vibré ton coeur?

    Je ressens à travers la Force qu’elle éprouve ce sentiment.
    C’est alors que je reviens à la réalité.

    -------------------------------------
    Padawan de Pad111
    Le cristal est le cœur de la lame.
    Le cœur est le cristal du Jedi.
    Le Jedi est le cœur de la Force.
    La Force est la lame du cœur.
    Ils sont tous entrelacés

    Ce message a été modifié par: Unduli le 22-11-2006 19:40

    mercredi 22 novembre 2006 - 16:56 Modification Admin Permalien

  • Avatar Malefique

    Malefique

    101 Crédits

    Aux confins de l’espace, l’armada n’avait rien de négligeable. Le vaisseau amiral était entouré d’une flotte de protection respectable, l’ensemble rappelant les heures les plus sombres de la guerre. La structure même du vaisseau amiral était construite autour du Maître des lieux : une salle sombre dédiée à la puissance du côté obscur, véritable centre nerveux du vaisseau. Au centre de la pièce, un trône noir faisait face à une immense baie vitrée. Tous les moniteurs de la passerelle de commandement avaient été doublés et déportés dans cette salle. Le Grand Amiral de la Flotte Noire se tenait debout, face au trône tandis qu’un personnage en bure noir entrait à son tour dans la salle. Il arriva aux côtés de l’Amiral et s’agenouilla. Assis sur le trône se trouvait un Seigneur Sombre des Sith, ennemi juré de Baaaaaaal.

    Maléfique : Relevez-vous, jeune apprenti

    L'apprenti de la Bothan se leva. Durant de longues minutes, en silence, la maléfique observa la planète rouge autour de laquelle stationnait sa Flotte Noire

    Maléfique : Félicitations Amiral, votre manœuvre de diversion sur Ossus est un succès. Les Jedi sont sous pression. Le côté obscur de la Force va définitivement les aveugler. Mais plus important : Baaaaaaal est en train de sous estimer nos Forces

    Un sourire machiavélique illumina le visage de la Bothan. Un frisson de satisfaction ondula son pelage soyeux.

    Maléfique : Baaaaaaal n’a jamais appris de ses échecs et cela va faciliter notre tâche. Son départ récent en est la preuve
    Le Grand Amiral : Justement, que pensez-vous de nos renseignements au sujet des manœuvres réplicaines autour de Corellia ?
    Maléfique : Le plan se déroule sans accroc. Les Jedi et Baaaaaaal seront là où il faut et quand il faut. La déstabilisation du système corellien est prioritaire
    Le grand Amiral : Les forces du seigneur Baaaaaaal ne sont pas négligeables
    Maléfique : Il n’a jamais su utiliser sa colère. Les Jedi Noirs que nous lui avons envoyés ont troublé sont jugement. Il se croit fort et surtout, nous allons le conforter dans cet état d’esprit. Mettez le système corellien sous surveillance et prévenez-moi de tout mouvement
    Le grand Amiral : Bien Maître Maléfica

    L’Amiral s’éclipsa… La Bothan, qui se nommait donc Dark Maléfica, resta avec son apprenti… La tension montait et une fracture se fit dans la Force, un torrent de haine en émergea et se focalisa sur le Seigneur Sith… Le visage déformé par la haine et la colère, Maléfica brandit son poing vers le néant de la Galaxie

    Dark Maléfica : Quant à toi, Baaaaaaal de malheur, la galaxie sera le théâtre de ta déchéance et je te promets de connaître la véritable nature de la souffrance, la galaxie en sera le théâtre et les Jedi en seront les témoins !

    Maléfica fit approcher son apprenti

    Maléfica : Baaaaaaal doit souffrir comme jamais il ne l’a imaginé. Vous allez contacter le Soleil Noir et lancer un contrat sur Mirax Terrik. Ensuite revenez me voir, j'aurai d'autres instructions

    Immédiatement après avoir reçu ces ordres, l'apprenti de Maléfica quitta les quartiers de son Maître



    Ce message a été modifié par: Malefique le 22-11-2006 22:42

    mercredi 22 novembre 2006 - 19:57 Modification Admin Permalien

  • Avatar Padme111

    Padme111

    27263 Crédits

    L’arrivée soudaine de ma padawan m’avait profondément émue. Je l’avais perçu avant que notre conversation ne commence, je savais qu’elle reviendrai me parlée. Dès notre première rencontre, j’avais perçue cette force de caractère mais surtout les similitudes entre elle et moi. Têtue, comme moi ! Foie en ce qu’elle croit, en la Force et ses principes tout autant que moi ! Ne lâchant jamais ses amis, même lorsqu’il ne veulent pas être aider !
    Notre conversation démarre sur la même franchisse, aussi décidée l’une que l’autre de gagner son interlocuteur à sa cause…

    Moi – … Je sais que cela va te choquer pourtant sache que je ne crois plus en l'Ordre Jedi.
    Unduli – Encore !

    Je sens de l’agacement, mais c’est justifié. En Un seul mot, je découvre la peine, la douleur que mon départ sur Phoenix lui avait procuré.

    Unduli – Mais l'Ordre c'est notre vie, notre raison de vivre! Il n'y a rien de tel pour aider les gens! C'est ce à quoi aspire tout être vivant !

    J’entend mes propres paroles tel un écho dans sa voie. Le même ton, la même motivation que j’avais lors de mon entre au Temple Jedi. Que pouvais-je lui répondre. Elle a raison ! Pourtant, j’essaye encore de défendre mon point de vue actuelle.

    Unduli – Ce n'est pas croire en une personne qui compte c'est croire en la Vie, en la Force!

    « Comment lutté ? Elle est moi, il y a de cela quelques années » Et pourtant, j’essaie encore de la convaincre de me laisser là.

    Moi – Je ne peux te donner entièrement tord. « Non, je ne peux vraiment pas » Mais tout n'est pas blanc ou noir. « Tout est devenu si gris pour moi » Et j'avoue que j'ai beaucoup réfléchi aux paroles de B7AL. « Elles m’ont profondément touché, elles crient de vérité » Il n'a pas entièrement tord lorsqu'il dit que l'Ordre Jedi n'est plus ce qu'il était.
    Unduli – Bien sur mais comment le faire évoluer et le ramener dans le droit chemin si les personnes qui pensent ne sont plus là! Pour faire un univers, il faut de tout des Pheonixien, des corrélien, des mirialan ....

    Elle argumente avec une telle détermination. Une détermination que je soupçonnais et qui voie enfin le jour. Tout le potentiel de Force semble se réveiller en elle ! Mon cœur s’emplit de fierté ! « Comme, je suis fière de toi, padawan. Tu deviendras une grande Jedi aussi déterminer et volontaire que je ne l’ai été. Si pas plus. Mais comment tu dires… »

    Moi – Lumi, tu as encore tellement de chose à découvrir, repart. S'il te plait, rentre parmi les vivants et dis lui... « Non, si je lui parles de Rem, elle me demandera de revenir pour lui » Non, non, ne dit rien. « Pourquoi, mais pourquoi parler de ce que je ressens pour lui me fait mal, me fait peur ? »
    Unduli – Non je ne peux pas vous laisser dans cet état ! L'Ordre a besoin de vous, et j'ai besoin de vous !
    « J’ai besoin de vous ! » Ses derniers mots raisonnent en moi. Et ravivent d’autres paroles, d’un autre de mes padawans. « Sans elle …Que deviendrais-je? »

    Revenant à l’instant présent, je cherche mes mots pour ne pas la blesser. Sans que je ne le réalise vraiment, ma réponse fut les propres mots du seigneur Sith, celle qui m’avait dites lors de notre conversation en privée (Voir P74 ). Je m’étonnais moi-même en les disant dit croire. Mais Luminara ne se laissa pas fasciné par des mots !


    Unduli – N’essayer pas de vous convaincre d'une chose que vous savez fausse !

    « Fausse ? Non, je … crois ce qu’il a dit. Je… »
    Moi – Je... Je ne suis pas certaine qu'il a tord et toi? « Je doute. Lumi, aurais-je été manipulé par Baaaaaaal ? M’aurait-il convaincu malgré moi ? »
    Unduli – Mon avis importe peu! Vous êtes trop têtue pour en prendre compte !

    Étant plongé dans mes doutes, sa réponse mit un moment avant que je la comprenne et que je réalise que je l’avais blessée. Tout ce que je ne voulais pas.

    Moi – Je... Je ne voulais pas te choquer padawan. J'ai pris plaisir à te former, à te transmettre ce que je ressens dans la Force.
    Unduli – Je tiens à la Vie, je tiens à l'Amour et j'espère que vous vivrez un jour ce que je vis aujourd'hui !

    « AMOUR ! » Ce mot fut un boulet de canon qui me bouleverse. Elle veut partir mais je lui attrape le bras.

    Moi – Que dis tu? L'amour? « Toi aussi ??? » Mais pourquoi ne m'as tu jamais parler de ce qui fait vibré ton coeur?

    Alors, sans même que je ne puisse y faire quelques choses, je m’ouvre à elle comme jamais je ne l’avais fait avec ma padawan. Seul Mirax avait été le témoin de mes sentiments profonds. Je lâche son bras et elle disparaît.
    Je me retourne et Po me regarde et me montre le gouffre à mes pieds.
    Po – Tu veux vraiment venir alors que je l’ai expédié loin de ce gouffre ?
    Je pris encore une minute seul avec mes pensées avant de faire mon choix.


    -------------------------------------
    « N'oublies pas qui tu es! Lèves-toi Jedi, il reste encore un combat. Et vous devez gagnez pour la liberté ! »
    Maître de Unduli et de Fabma

    Ce message a été modifié par: Padme111 le 22-11-2006 20:14

    mercredi 22 novembre 2006 - 20:13 Modification Admin Permalien

  • Avatar Jorus-Beku-n

    Jorus-Beku-n

    12506 Crédits

    J’avais programmé la sortie de l’hyper espace assez loin de Géonosis afin d’éviter d’éventuelles mauvaises rencontres. Une fois dans l’espace normal, le localisateur de bord programma l’Aîle-B dans la direction de la planète. Je coupai tous les senseurs pour me rendre le plus invisible possible puis enclenchai le leurre automatique. A partir de maintenant, je pilotai en visuel. Je n’eu pas à me poser plus de question car mon émetteur-récepteur de la fréquence Nema bipa. Le message venait de Coruscant : c’était Obitom qui me relayait un message de Clickman, provenant du fin fond de la galaxie. L’image holographique miniature de Clickman apparut :

    Click : « Nous arrivons vers Corellia, au moment ou le système annonce son indépendance. Nous ne pouvons pas rester inactifs, une partie de la population risque d’évacuer, avec tout ce que cela engendre. Avec Selana et notre nouvelle amie Sakura, nous nous rendons sur la planète. Envoyez de l’aide, cela risque de dégénérer. Clickman, terminé »

    Je compris encore un peu plus l’allusion du Conseil au sujet de la situation sur Corellia. A mon tour, j’enregistrai un premier message destiné à Kaarde et au Conseil Jedi

    Jorus : « Je viens de recevoir un important message d’Obitom : Clickman et Selana sont sur Corellia. La situation a évolué car le système annonce son indépendance. Il demande qu’on lui envoie une aide d’urgence. De mon côté, je viens d’arriver en vue de Géonosis, je vous contacte au terme des mes investigations »

    Une fois le message envoyé, je coupai toute communication, en espérant d’ailleurs que je n’avais pas été repéré. Géonosis approchait et je me dirigeai vers la ceinture d’astéroïde qui se trouvait dans le plan équatorial de la planète. Je n’avais encore rien repéré en orbite. Une fois dans la ceinture, je manoeuvrai avec prudence afin d’effectuer une révolution complète autour de la planète. Aucune activité n’était encore apparut. J’espérai que si ennemi il y avait quelque part, je n’avais pas été repéré non plus. Je continuai mon cheminement au travers de la ceinture quand tout à coup, une lointaine apparition me cloua dans mon siège ! J’approchai mon vaisseau le plus possible, restant à l’abri des centaines de rochers qui me dissimulaient

    Je ne m’était pas trompé : la découverte que je venais de faire remettait en cause la stabilité de la galaxie et de la République

    -------------------------------------
    May the Force be with you

    Ce message a été modifié par: Jorus-Beku-n le 23-11-2006 10:34

    jeudi 23 novembre 2006 - 10:31 Modification Admin Permalien

  • PSW
  • Avatar DocBeldom

    DocBeldom

    5633 Crédits

    Assis devant mon père, encore tremblant de fatigue et de douleur, je l'entend débiter son boniment de vendeur. Et le pire, c'est qu'il s'y prend bien !
    D'une voix faible, je tente de me faire entendre parmis les discutions un peu outragées...

    Doc : Je vou...

    Mais ma voix se perd dans le brouhaha...
    Doc : S'il vous plait...

    De nouveau, nul ne fait attention à moi... Je lève les yeux au ciel, et allume mes deux sabres qui viennent se planter devant moi avec un bruit sourd. Certains se sont tus, mais d'autres n'ont rien vu. Tyty me regarde, et soudain, elle hurle aux autres de se taire.

    Doc : Merci Tyty. Bien, tout d'abord, je souhaiterais que seuls les membres du Conseil soient présents. Car j'en aperçois certains qui n'ont vraiment rien à faire ici.

    Je désigne un groupe de padawan qui a réussi à entrer, ainsi que certains chevaliers... Ils me regardent, un peu dégoutés...Mais Kaarde appuie mon propos et sortent. C'est ensuite lui qui prend la parole dans le calme qui est revenu.
    Kaarde : Concernant ta proposition Edoras Konix Terrik, tu comprendras que nous devions y réflechir. Mais comme ca, je vois certains cas où nous ne pourront accepter. Utiliser vos transports en mission officiel serait très problématique.
    Tyria : Mais pour des missions discrète, pourquoi pas, mais nous auront évidement besoin d'une disponibilité immédiate pour chaque Jedi se trouvant n'importe où dans la Galaxie... Sinon, il parrait évidant que nous ne pourrons vous garantir une quelquonque exclusivité.
    Obiwan : Concernant les marchands, nous pouvons accepter ta proposition. Mais pour les renseignements... Nous avons les notres égalements. Donc c'est à discuter. Doc ?
    Doc : Nous pourrions accepter, mais il faut bien comprendre que nous utiliserons d'abords nos services, puis les votres pour un complément d'information...
    Edoras : Votre service de renseignement est très mauvais. Voici la liste de ses membres...

    Mon père m'envoie une datacarte. Je souris en lisant les noms que je vois.
    Doc : C'est la partie associée à la Guilde mon père. Le véritable réseau est sous mes ordres direct. Et je ne vois pas leurs noms sur ta liste.
    Edoras : Passons. Je suis prêt à vous laisser le choix quand à l'emploi de nos services de renseignement, mais ils sont sûrement plus devellopé que le votre.
    Kaarde : Nous n'avons aucun doute là dessus, et si nous nous accordons sur le fait que nous utiliserons d'abord nos services puis les votres si nous le jugeons necessaire.
    Edoras : Soit. Pour le reste ?
    Kaarde : Je reprend les propositions données : Utilisation de vos transports pour les missions sans pompe necessaire, à condition d'une disponibilité immédiate. Pour la nourriture, les besoins que ne peut pas fournir Ossus passeront par vous. Et pour le matériel... Soit.
    Obiwan : Ah, et comptabilisation des coûts. Une fois arrivé au 3 millions de Dataris, ou aux 100 ans, le contrat sera terminé, et nous en reviendrons à la situation précédente...
    Tyty : Tu as le choix Edoras Konix Terrik. Maintenant, nous allons te laisser... Doc !

    Une série de convulsions m'a pris par surprise, et je me mets à trembler. Quelques minutes plus tard, la crise est passée...
    Doc : Désolé... Des restes de mon "voyage". Je vais vous laisser, il me faut du repos... Pinou, réfléchis bien : nous sommes peut-être en position de faiblesse, mais nous ne sommes pas désarmés pour autant.

    D'un geste de la main, je rammène à moi mes deux sabres qui se sont lentement enfoncés dans le sol pendant la discussion. Puis je me dirige vers l'infirmerie...
    -------------------------------------
    Terrik Powaaaa !!!!
    Kalin Coala !!!!
    Chevalier Ace "Doc" Beldom Terrik.

    Ce message a été modifié par: DocBeldom le 23-11-2006 13:00

    jeudi 23 novembre 2006 - 12:58 Modification Admin Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    J'aime, j'aime les crédits...
    Même si c'est une folie...

    Kiffa : Alors ?
    Édoras : Rappelle moi, Kiffa, quel était mon objectif ?
    La Twi'Lek : Arracher un contrat commercial aux Forceux, pour les convaincre d'utiliser nos services de transports marchands. Il nous fallait un contrat qui puisse tenir au moins 20 ans, ou nous rapporter rapidement (mais rien n'est jamais rapide avec les Jedi) un bénéfice net d'un million. Je crois... et tu avais fais ce pari avec Shadow, non ?
    Le contrebandier : Ouais ^^ Je crois que j'ai gagné mon poids en cotyg ! Heureusement, d'ailleurs : si j'avais du payer Naga, je me serais ruiné... ce sagouin aurait surement compté son exosquelette. Enfin... un contrat de 3 millions de Dataris : presque 1,5 millions de Crédits Guilde ! Et une durée d'un siècle galactique standard ! Et en plus, ces niais étaient presque d'accord pour utiliser nos services de renseignements et étaient convaincus que nous empêcherions leurs vaisseaux de passer s'ils n'utilisaient pas nos transporst ed troupes... mon meilleur contrat depuis la réunion des Pirates et les négociations avec le Kajidic !
    " Les Jedi ont même cru me mettre devant un choix difficile... tu parles !
    (Ma réponse à Tyty a été, évidemment : "Votre position me semble honnête, j'accepte de vous faire une concession : marché conclu, vous utilisirez d'abord vos SR, puis les nôtres et vous utilisirez nos transports pour les marchandises et les transports de troupes rapides, sans pompes." Belle réponse, hé ?)

    Pour fêter l'évènnement, nous décidâmes d'aller diner. Pariant sur la célérité quasi-inégalée de mon vaisseau (compte tenu de sa taille : c'est pas le Faucon), je me posai à Keren et conduisis ma Twi'Lek à Dee'ja Peak : les plus belles cascades naturelles de la Galaxie (même les gens de Theed sont d'accord là-dessus, c'est pas rien) et un resto sympa (mais banthament cher, même compte tenu de la vue sur les chutes). Ensuite, nous redécollâmes, rentrâmes l’Evangelion dans la soute du Soleil Bleu et tînmes conseil de guerre.

    Glark : Si Corellia tente de se soulever, et que la République, au lieu de la laisser faire, se comporte comme l’Empire en massacrant les insurgés, c’est peut-être le fait de l’ennemi.
    Gortipka : Tout à fait. Néanmoins, je pense pour ma part qu’on parle un peu trop de Corellia : on placerait une flèche illuminée dans l’espace avec le mot « ici, ennemi » clignotant, ce serait pareil.
    Albert : Tu crois que… que ce serait de la poudre aux yeux ? On essaye de nous manipuler ? Et si… Et si on faisait ça pour que, justement, nous pensions que c’est un piège ? Dans ce cas, nous nous garderions d’aller sur Corellia, et on se ferait avoir !
    Kiffa : Calme, Albert, calme. Il me semble que ça, ce serait trop tordu, même pour un Sith… pour une femme Sith, d’ailleurs… pour une Sith Bothanne, même, ce serait plutôt tordu. Non, je suis certaine que la menace sur Corellia est réelle, mais qu’on tente de nous manipuler en nous plaçant une planète devant les yeux pour nous cacher la Galaxie. Il me semble que des Jedi avaient parlés de Géonosis… une ancienne planète confédérée, qui garde rancune à la République et qui a été fortement matée par l’Empire. Effectivement, ce serait un repaire idéal de conspirateurs. Mais il s’agit d’une Bothanne… d’une Sith qui possède une flotte et une armée.
    Édoras : Même le plus puissant des Sith ne pourrait cacher une armée entière sur une planète de la République. Seuls les mondes du Noyau Profond et de la Bordure Extérieure… voire carrément des Régions Inconnues, pourraient abriter sa flotte. D’ailleurs, pourquoi une planète ? Quelques vaisseaux – voire une station spatiale – c’est amplement suffisant. Et le fait que ce soit une Bothanne nous permet simplement de penser qu’elle pourrait posséder un post quelconque dans l’espace Bothan. Et évidemment, elle pourrait bénéficier d’un réseau d’espionnage galactique plutôt… concurrentiel. A vrai dire, les Bothans sont les seuls concurrents sérieux à ce niveau – si nous étions cinquante ans plus tôt, il faudrait compter avec le Soleil Noir, mais même le pleutre qui commandait le groupe à l’époque était plus finaud que les brigands de seconde zone qui s’en occupe à présent : le temps de Xyzor est loin… à vrai dire, personne n’a jamais vraiment su lui ressembler à la Tête du mouvement depuis sa mort. Surtout qu’avec la manie d’assassiner le calife pour être à sa place, et les fonds qu’ils ont dilapidés dans leurs guerres intestines…
    Bref, je m’éloigne du sujet. Cap… sur l’espace Bothan. C’est le seul lieu où il n’y a personne. Nous enquêterons rapidement, nous déboucherons les oreilles puis repartirons pour les Régions Inconnues, à partir de Bothawui vers le Quadrant Sud-Est.

    :jf:

    jeudi 23 novembre 2006 - 18:06 Modification Admin Permalien

  • Avatar selana-certra

    selana-certra

    3050 Crédits

    La situation était de plus en plus tendue, des renforts de la garde corellienne continuaient à se déployer dans les rues de la citée et semblaient animés d’un seul et unique but, empêcher coûte que coûte les habitants de quitter les lieux et la planète par la même occasion.
    Assez étrange comme comportement lorsque l’on repensait a leurs soi-disant but, donner son indépendance a Corellia et l’extraire de ce fait a son rattachement au sein de la république et surtout qui plus est qu’il prétendait eux même que les êtres ne partageant pas ce but n’étaient plus les bienvenus sur la planète et devait de ce fait la quitter sans plus tarder.
    Alors pourquoi vouloir les empêcher de quitter ces lieux comme ils le souhaitaient selon leur dire, cela n’avait aucuns sens hormis amener le chaos et l’anarchie, chose pas très cohérente, le principe même d’une rébellion était d’être efficace et organisé et non bâclée comme cela semblait être le cas pour l’instant.

    Le jeune garçon nous attira dans une petite ruelle après une course effréné dans les rues de la citée, il semblait savoir où il nous emmenait mais quelque chose au fond de moi sonnait l’alerte et je n’étais apparemment pas la seule à le ressentir.
    Fermant la marche, Wedge semblait tout aussi méfiant, quelque chose ne collait pas dans tout cela, quelque chose nous avait échappé mais nous ne parvenions pas à savoir quoi avec exactitude.
    Mais peu importait a cet instant précis, il fallait leur venir en aide et plus vite ils seraient en sécurité mieux on s’en porterait.

    - garçon : C’est ici, au fond, il y a une entrée sur la gauche qui donne dans un immeuble, c’est celui-là qui se trouve juste a coté du hangar, madame.
    - moi : Tu en sur au moins ?
    - garçon : Euh, vi, vi, j’y ai déjà joué plein de fois, en passant par les sous-bassement du bâtiment, on tombe sur le hangar, faut me faire confiance madame.

    Je jetai un rapide coup d’œil a Wedge pour avoir son approbation, à sa tête, cela signifiait « on a rien à perdre ».

    - moi : Très bien, on te suit, guide-nous.

    Le petit bout s’engagea au trot dans l’impasse, il semblait vraiment sur de lui, il se dirigea droit vers le fond sur la gauche, je pus apercevoir une entrée comme il nous l’avait dit mais a peine étions nous a quelques mètres qu’une voix hurla derrière nous.

    - garde : STOP !!!!! PLUS UN GESTE, RESTEZ OU VOUS ETES OU NOUS OUVRONS LE FEU !!!

    Une petite escouade de six gardes venait de nous repérer et apparemment, ils étaient tout sauf décidé à nous laisser filer sans rien trouver à y redire.
    Ca tombait bien, ca faisait longtemps que Wedge et moi n’avions pas eu l’occasion de nous amuser à nous dérouillez les membres.

    - homme : Des gardes, on est foutus !
    - moi : On fait quoi d’après toi (sans prêter attention au père de famille) ?
    - Wedge : On les fait valser mais de manière assez sage mon ange.
    - moi : Tu prends ceux de gauche et moi, ceux de droits si tu veux bien.
    - Wedge : Ca me va !


    Bien déterminé à leur faire ravaler leurs menaces, nous nous mettions tout les deux en position de combat à main nue pour une fois.
    Wedge lança un petit sourire dans la direction du petit groupe insolent, le genre de sourire qui signifiait qu’une seule « venez, on vous attend ».
    Cela sembla les irriter au plus haut point.

    - garde : Nous allons te faire regretter ton insolence, non-humain !

    jeudi 23 novembre 2006 - 21:04 Modification Admin Permalien

  • Avatar clickman

    clickman

    4417 Crédits

    Garde : Nous allons te faire regretter ton insolence, non-humain !

    S’il y a une chose qui à tendance à m’énerver par moment, c’est bien ca. Sauf que je suis un Chevalier Jedi et m’énerver n’est pas une option…. Disponible. Mais si parfois cela me tenterai bien…

    A la place de m’énerver, j’allai utiliser autre chose qui ne me plaisait guère plus : Utiliser mes compétences de guérisseur pour… faire le contraire. J’allais utiliser ces compétences pour incapaciter les gardes… le temps de poser deux ou trois questions et de leur effacer la mémoire. Inutile d’empirer la situation en indiquant qu’une patrouille s’était fait…. Avoir.

    La scène suivante pris environ 1 secondes et 2 dixièmes, bien trop rapide pour que nos compagnons puissent comprendre ce qu’il se passait. Selana assomma sommairement les 3 gardes qu’elle avait sélectionné – je reconnaissais bien la son style inimitable de négociation musclée – quand à deux des miens, ils furent vite pris d’un sommeil profond. Seul un garde resta debout, totalement étonné. Celui qui m’avait lancé cette petite phrase, comme par hasard…

    Garde : Mais mais…
    Moi : Vous disiez ? Je vais vous faire regretter VOTRE insolence, humain !
    Garde : Mais…
    Moi : Dites-moi pourquoi ? Pourquoi vous faîtes cela ?
    Garde : Mais…

    J’attrape le garde par le col de sa veste, le plaque contre le mur et le soulève.

    Moi : On se dépêche, je n’ai pas toute la nuit.
    Garde : Ce sont les ordres du nouveau patron ! Celui qui a pris le destin du système en main et déclaré l’indépendance ! Il nous a soutenus qu’il avait derrière lui une puissante flotte capable de repousser la République avec facilité !
    Moi : Et bien voila ! Il suffisait d’insister un peu ! Merci de votre collaboration !
    Garde : Qu… Qu’allez-vous faire de moi ?
    Moi : Vous offrir une petite sieste !

    Un simple geste plus tard, voila notre « ami » garde endormi sagement près de ces amis. Ceux qu’a assommés mon ange dormaient tout aussi paisiblement, si ce n’est que leur réveille serait bien plus… douloureux.

    Nous déplaçons les gardes de sorte de faire croire qu’ils se sont endormis la ensemble. Ajoutons quelques bouteilles vidées de leur contenue d’un mauvais Whisky Corellien, trouvées dans les poubelles proches pour alimenter la rumeur d’une beuverie de groupe en service, et notre habillage est parfait. J’efface de leur mémoire les dernières minutes.

    Le père : Jedi hein ?
    Selana : On va éviter de l’ébruiter ! Nous sommes ici.. incognito
    La mère : Merci, merci
    Le garçon : Venez c’est par la !

    Le garçon nous montre le passage vers le sous-bassement. Je file en tête pour vérifier que la voie est libre et leur fait signe de me suivre. Nous nous retrouvons de l’autre coté.

    Le père : A partir de la, nous sommes passés, ca devrait aller. Merci beaucoup. Notre vaisseau est juste la.
    Moi : De rien. Filez vite avant qu’ils remarquent la supercherie !

    Les enfants suivirent et la mère passa en dernier. Nous regardons le groupe s’éloigner.

    Moi : Bon... *se frotte les mains* d’autres gardes à torturer ?

    jeudi 23 novembre 2006 - 22:43 Modification Admin Permalien

  • Avatar Jorus-Beku-n

    Jorus-Beku-n

    12506 Crédits

    La ceinture d’astéroïdes protégeait des structures gigantesques, à l’abri de toute arrivée venant de l’espace. Ces structures renfermaient des vaisseaux de toutes sortes, depuis de gigantesques destroyers Stellaires types Victoires IV jusqu’à de simples frégates d’escortes. Ainsi s’établissait une terrible vérité : ces chantiers navals, capables de construire ou modifier tout type de vaisseaux, appartenaient à un Seigneur Sombre des Sith. J’enregistrai immédiatement les images des superstructures et lentement, je naviguai dans la ceinture d’astéroïdes, à distance raisonnable des chantiers navals. Plus loin, toujours protégée par la ceinture, je découvris alors une flotte conséquente, certainement issue de ces chantiers…

    Ce qui était fantastique, c’est d’essayer de comprendre comment un Seigneur Sith pouvait avoir monté tout cela. Maîtriser le côté obscur est une chose, mais trouver les moyens financiers, mettre en place une telle organisation, au nez et à la barbe de la République, des Jedi et de Baaaaaaal, lui-même, cela n’augurait rien de bon.

    J’étais en pleine réflexion lorsqu’un avertissement sonna dans mon esprit. J’enclenchai immédiatement les senseurs pour m’apercevoir que le sens du danger propre aux Jedi avait un sens. Deux chasseurs venaient d’entrer dans la ceinture d’astéroïde, dans ma direction. Je fis immédiatement demi-tour. Je pilotai au maximum de la vitesse possible entre les roches quand mes senseurs dévoilèrent 2 autres chasseurs me bloquant la sortie du champ, côté opposé à la planète. Ma retraite étant coupée, je me dirigeai vers Géonosis et quelques instants plus tard je me trouvai dans l’espace libre entre la planète et les astéroïdes. Mais là, mauvaise surprise, 2 autres chasseurs m’attendaient, me prenant en tenailles avec mes 2, puis 4 poursuivants. Je fis un piqué inversé, ailerons en position d’attaque, mais hélas, l’Aîle-B était moins rapide que les chasseurs ennemis. Rapidement, mon vaisseau encaissa les premiers tirs. Les boucliers étaient résistants, mais à un contre 4, divers organes vitaux de l’Aîle-B furent touchés et je me rapprochai rapidement de l’orbite basse de Géonosis. Mon vaisseau était en perdition et je déclenchai le système de sauvetage : le cockpit de l’Aîle-B s’arracha de la structure de l’appareil et plongea vers la planète. Le cockpit, réduit à l’état de capsule de sauvetage, était équipé de rétrofusées capables de maîtriser un atterrissage d’urgence. Je pus diriger la capsule à proximité d’un ensemble de collines rocheuses, dont les découpes laissaient penser qu’elles pouvaient être habitées… Pas par des amis, j’en étais convaincu, mais je devais trouver un moyen de repartir de là, à tout prix. Une fois arrivé au sol, j’envoyais les images enregistrées au Conseil Jedi.

    Jorus : « Ces images sont celles de gigantesques chantiers navals à disposition du Seigneur Sith, ennemi de Baaaaaaal. De plus, une flotte complète est en attente. Ce Seigneur Sith est en mesure de déstabiliser politiquement et militairement n’importe quel point de la Galaxie. Je continue mes investigations sur Géonosis »

    J’envoyais une copie de mon message sur la fréquence Nema puis observai le décors qui m’entourait : Je devais agir, et vite !

    vendredi 24 novembre 2006 - 11:45 Modification Admin Permalien

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