Le Temple Jedi 2 (page 86)
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Padme111
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L’obscurité !
Lorsque l’on est plongée dans l’obscurité total, il nous faut un moment d’adaptation pour que nos pupilles se dilatent et nous permettent de voir des ombres, des formes ou mieux que tout de la lumière.
Plonger dans l’inconscience, quelqu’un ou quelque chose avait du me transporter dans un lieu encore inconnu. Au seuil de ma conscience, je voulais sortir de cette obscurité, mais les douleurs de mon corps devenaient trop insupportables et je sombrais de nouveau dans l’inconscience. Je passais d’un état à l’autre tout en perdent complètement la notion d’heure ou de jours. L’espace et le temps semblaient parfois ne faire qu’un, parfois il semblait complètement absent l’un et/ou l’autre.
La douleur, la luminosité, une voie, le froid, les champs de la nature, des ombres, des explosions, l’humidité, des cris, autant de sensations que mes 4 sens pouvaient percevoir. Seul les pompières refusèrent de s’ouvrir pour empêcher mon sens de la vue de me permettre de comprendre ce qui m’arrive. Pourtant, il m’arrivait de percevoir des mots, des bouts de phrases. J’étais certaine de ne pas être seule ! «…Bébé… » « Hien ? Qui ? Moi ? J’espère bien que non ! » «… la folie d’une Jedi…» « Je suis certaine que l’on parle de moi ! »
J’essaye peu à peu, malgré mes souffrances de mettre de l’ordre dans mes souvenirs. « pas si diffèrent » « C’est moi qui a dit cela ! » (Voir P 84) Je me focalise sur le moment où j’ai prononcés ses mots et enfin je trouve le début d’un souvenir. Au milieu des douleurs qui parcours ma jambe, mon épaule, mon dos, ma hanche, … Je ne pourrais pas dire quel plaie est celle qui me fait le plus souffrir.
« J’ai mal, si mal ! Je voudrai bouger mais aucun de mes muscles ne veulent m’obéir. J’ai froid. Je me sens si fatigué, si lasse »
Des moments vides (l’inconscience) m’envahissent de plus en plus. Focaliser mon esprit sur quelque chose, m’aidera p’être à oublié mes douleurs un instant. « Je me souviens d’une odeur de brûler et d’une chaleur intense. J’ai perçu le froid glacial du métal et de l’absence de Force. Des bruits d’explosions, de craquement puis le silence. Une toux ! J’ai eu une toux qui m’arrachait les poumons et … du sang. J’ai eu le goût du sang dans ma bouche. Une violente secousse, d’autres explosions, des cris, … une bataille? Et puis… Le noir, l’inconnu, le vide. »
J’avais si mal que j’aurai envie d’hurler mais aucun son ne pouvait sortir. Je voulais bouger, et quitter cette humidité pourtant elle était une source de soulagement.
J’arrive à percevoir une brise sur ma peau et cela calme une fraction de seconde mes douleurs. J’entends à nouveau cette voie, c’est la même, c’est celle d’un homme… « mon ennemie… Nabery » « Qui, moi ! Moi l’ennemi ? Mais de Qui ? » «… Chun Li…» Mister X !?? «similitude… la même fougue…» « Il me compare à quelqu’un, mais qui ? » «… joueuse» « Oui, je le suis. Mais j’aimerai vraiment arrêter ce jeu de souffrance !!! »[/b]
Une douleur plus aigue s’accompagne de violente secousse, comme si un bâtiment s’effondrait sur moi. « La Tarentule ? » «… mon beau Cap’Tain…» « Ah non ! Suis-je encore dans son vaisseau ? J’ai pourtant senti du vent, ou je deviens folle ? » «…vaincre ou périr?...» « vaincre ou périr !? vaincre ou périr !? Non, je ne veux pas périr !!!» « …doute. » « Doute ? Mais tu doutes de quoi!? Réponds !!! Arg »
Une douleur encore plus forte envahit mon corps entièrement. Je voudrai hurlée, je voudrais trouver une position qui puisse me permettre de dormir sans plus rien ressentir. Je m’accroche à la vie, à l’espoir que je puisse une jour ne plus avoir mal. Mais pour la dernière fois, j’entends encore la voie de Mister X.
«…chance…» « C’est ce dont j’ai le plus besoin en ce moment!» «… Bacta…»«Bacta…BACTA ! Oui, pitié, Mister X, donnez moi du BACTAAA»
J’avais envie de pleurer, de le supplier même pour une seule petite portion de Bacta, mais rien… Pas un seul soulagement que du contraire. «…vont se séparer… » « Hien ? Qui ? Qui vont se séparer? Pas Mirax et B7al ? » «…ils vous retrouveront …» « Ils? Qui ça? Les Jedi? C’est d’eux que vous parler Mister X? Ils sont là ? Pitié, appelez les pour moi ! » « Je ne peux plus rien pour vous. » « Je ne peux plus rien pour vous. » « Je ne peux plus rien pour vous. »
Cette phrase raisonne dans ma tête et paralyse mon esprit. Je pouvais presque deviner sa présence partir et me laisser seule ! Seule !!! Non, je ne voulais pas resté seule ! « Je ne peux plus rien pour vous. » «NOOOONN » Tous mes espoirs s’envolent et je sombre dans l’obscurité !
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P 85 Pour les mots : « Bébé… la folie d’une Jedi… pas si diffèrent »
P 85 Pour les mots : « mon ennemie… Nabery… Chun Li… similitude… la même fougue… joueuse… mon beau Cap’Tain… vaincre ou périr ?... doute »
P 86 Pour les mots : « chance… Bacta… vont se séparer… ils vous retrouveront… Je ne peux plus rien pour vous. »lundi 06 novembre 2006 - 21:26 Modification Admin Permalien
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Jorus-Beku-n
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Kaarde et moi nous étions enfermé dans la petite capsule de sauvetage qui s'éjecta du Tarentule en détresse. Mais le Maître Jedi n'était pas au mieux et je pris les commandes du petit vaisseau afin d'en diriger la trajectoire d'entrée dans l'atmosphère d'Ossus
Kaarde : Padmé… Je ne la ressens plus dans la Force
Jorus : Moi non plus, mais nous avons un autre problème, notre capsule échappe à l'attraction d'Ossus…
Mais Kaarde eut l'explication au travers de son hublot : nous étions pris par un rayon tracteur. Il ferma les yeux et se concentra
Kaarde : je sens une présence dans ce vaisseau, autant de haine que de compassion
Jorus : Ne ressens-tu pas plutôt de la confusion ?
Kaarde : Il n'y a pas de confusion ! Il y a un côté obscur de la Force que je connais bien…
Jorus : Je l'ai reconnus… Perversité… Confusion… Mensonge… Tel est le visage du Seigneur Baaaaaaal
En effet, le vaisseau de Baaaaaaal nous attirait vers son hangar principal. Nous fûmes accueillis par une escouade de clones qui nous escorta dans les quartiers du Maître Sith. Nous entrâmes dans la traditionnelle salle du trône qu'il avait toujours à sa disposition. Pour une fois, il se tenait debout, Mirax à ses côtés. Cette vision me vrilla l'estomac
B7al : Maître Naberry, bienvenue à bord
Jorus : Parce qu'on a eu le choix ?
Baaaaaaal se tourna vers moi, son visage déformé par la colère…
Ba7al : Misérable petit vermicelle de Jedi, je t'ignorerais si je ne ressentais pas en toi le mépris envers la personne qui est à mes côtés
Baaaaaaal tendit vers moi ses mains et des éclairs bleus en jaillirent dans ma direction. Je les interceptai avec mon sabre laser qui absorba l'énergie malveillante…
Jorus : Je vois que tu n'as aucun mal à t'accorder ce que tu m'as refusé par le passé…
B7al : Le spectre de Dark Kaïla causera ta perte ou forgera ta gloire… Je l'ai vu… Moi seul peux t'aider…
L'odeur d'ozone des éclairs emplissait l'atmosphère de la salle, Baaaaaaal ne relâchait pas la pression et ses éclairs bleus redoublaient de violence
Kaarde : CELA SUFFIT MAINTENANT !
Baaaaaaal stoppa ses éclairs de Force. Un sourire machiavélique illumina son visage à mon intention. Mais Kaarde allait user de diplomatie
Kaarde : Seigneur Baaaaaaal, puisque nous sommes vos invités, je suis votre obligé. Je ne pense pas que nous soyons là par hasard et il est temps de poursuivre une vieille conversation déjà entamée lors du dernier conseil Jedi !
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May the Force be with youCe message a été modifié par: Jorus-Beku-n le 06-11-2006 23:22lundi 06 novembre 2006 - 22:44 Modification Admin Permalien
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DocBeldom
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Pendant ce temps là, sur Corellia.
??? : Vous avez trahi ! Vous devez mourir !
Limace (vous savez, la larve du message précédant ^^) : Nooon !!! Pitié !
Une lame surgit, un bras est coupé, un rodien soulevé du sol et plaqué contre un mur.
Doc : On fait un jeu ? Je te parie que tu vas trahir aussi avant la fin. Tu dois connaitre celui qui m'a formé pour la torture, il s'appelle Baaaaaaal... Et il m'a appris des tours amusants... (en fait, les tours, c'est Edo qui les connait, mais il a une tendance à se montrer tellement discrêt là dessus que le nom du Sith de maman sera peut-être plus évocateur...)
Rodien : Baaaaaaal ? Pitié ! Je vous dirais ce que je sais !
Doc : Je vois que la réputation de mon maître le précède. Où ?
Rodien : Je ne sais pas.
Je tire peu à peu sur les membres de celui qui sert la Sith....
Rodien : Elle était sur Géonosis. Mais si son plan échouait, elle nous a dit qu'elle partirait d'abord sur Onderon. Ensuite, elle nous redonnerait des informations.
Doc : Combien viendront ici ?
Rodien : Je suis le seul. Elle croyait que vous seriez reparti.
Doc : Merci.
Je m'approche du rodien, et l'assome d'un coup de poing bien placé.
Doc : Emmenez le dans une cuve Bacta. Et soignez le. Des Jedi viendront le chercher.
Je sors de la salle, faisant un signe à Iella, qui m'avait repéré le rodien.
Iella : Alors ?
Doc : Pas d'infos très utiles. Mais il faut que je retourne sur Ossus le plus vite possible. Tu as un chasseur ?
Iella : Pourquoi faire ?
Doc : Récupérer mon cargo qui se trouve en orbite.
Iella : Je peux te trouver ca. Mais va falloir payer...
S'ensuivent quelques minutes d'âpres négociations...
Iella : Tu es bien le fils d'Edo !
Doc : Je triple la somme si vous stoppez, peu importe le moyen, mais je préfère en vie, ceux qui suivront le rodien. Il devrait y en avoir quelques uns. Marché conclu ?
Iella : Oui...
Nous filons à l'astroport, je monte dans un chasseur pour rejoindre mon YT en orbite.
Une dizaine de minutes plus tard, je suis dans l'hyperespace en direction d'Ossus.
Je récupère du matériel, puis je reconstruit mes sabres de manière plus perfomante. Une fois ceci fait, plongé dans la Force, je m'entraine, mes lames tournoyant dans un style fluide, mais mortellement efficace. Je ne suis plus le petit Jedi que Baaaaaaal avait vaincu... J'ai désormais quelques tours dans mon sac, et un degré de maitrise supérieur dans le combat au sabre en tout cas...(Et oui, je suis toujours une quiche en télépathie ^^)lundi 06 novembre 2006 - 23:24 Modification Admin Permalien
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Remeyodi
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Jacen> On f'est mort?
Rem> Non mais c’est une page qui se tourne dis-je en regardant les ruines fumantes de mon vaisseau le Remoutrider. Des souvenirs remontaient en moi, le baptême du vaisseau pour la course autour du noyau il y a de cela quelques années.
« Rem> Mes chers padawans. Nous sommes réunis en cette journée et en ce lieu dans ce vaisseau baptisé le RemOutrider pour gagner cette course ! Alors nous allons faire tout notre possible pour y arriver ! »
Pas de regrets, pas de peine à avoir ce vaisseau m’aura bien servi durant mes diverses missions jusqu’à la final aujourd’hui. Pas d’attachement à avoir pour des biens matériels je savais que j’allais avoir un autre vaisseau d’occasion que je pourrai bricoler ou essayer de bricoler pour enfin commencer à apprendre la mécanique !
Jacen> Où chest qu’on est ?
Rem> J’ai l’impression que tu as perdus une dent ou deux dents durant la chute.
Jacen> Chut de chut!dit-il dépité puis me regardant. Vous n’êtes pas non pluche en pleine forme regardez votre jambe.
Un bout de métal s’était planté dans mon mollet droit de plusieurs bons centimètres. La plaie ne saignait pas et je ne sentais aucune douleur. Le reste de mon corps n’avait que des brulures superficielles et quelques entailles tout comme Jacen qui avait une plaie au front.
Jacen> Faut le retirer sinon cha va ch’infecter. Bon moi je vais chercher mes dents pendant che temps.
J’inspirai profondément avant de retirer le bout de métal. La douleur et les saignements vinrent en même temps me submerger. Sans la Force j’aurai défailli et serait tombé inconscient mais elle m’aida à tenir le coup. Je me rappelai des conseils de Jacen sur la façon de guider la Force à travers nos cellules pour se soigner et en quelques minutes je pus réduire grandement les saignements. Un garrot et le tour était joué, je pouvais marcher en boitillant un peu.
Rem> Ne les perds pas dis-je.
Jacen> Cha ne risque pas ! dit-il en les plaçant dans une des poches internes de sa bure.
Rem> Le Temple est dans cette direction en pointant du doigt un point à l’horizon au Nord Ouest.
Jacen> Cha a l’air loin d’ichi. Je penche qu’en longeant cette rivière nous ne devrions pas nous perdre et être moins visible à d’éventuels attaques aériennes.
Rem> Je suis de ton avis Jachen !
Jacen> Très drôle ! Vous ne diriez pas chela si les rôles étaient iverchées.
Je scrutais le ciel et les nombreux points lumineux pour percevoir la présence de mon padawan. Il allait bien je le sentais concentré en pleine forme et en parfaite harmonie avec la Force. Il ira loin ce petit.
Nous avançâmes des heures durant puisant dans la Force pour soutenir notre corps dans cet effort prolongé. Malgré le garrot je perdais beaucoup de sang et Jacen le savait, il me parlait pour me soutenir en racontant des blagues et appuyant sur son zozotement temporaire et ce me permit de moins penser à la douleur.
Soudain une odeur de brûlé et une chaleur intense. Mais pourtant on était loin de tout combat et des ruines de mon vaisseau. Puis un froid glacial de métal et l’absence de Force m’envahit ma tête tournait. Des bruits d’explosions, de craquement puis le silence. Une toux ! J’ai eu une toux qui m’arrachait les poumons et … du sang. Je regardai mes mains sales et crasseuses mais pas de rouge sang. J’ai le goût du sang dans ma bouche alors que je le perds de ma jambe.
Jacen s’approche de moi et me dit d’une voix qui n’est pas la sienne et que je ne connais pas : « Je ne peux plus rien pour vous. » Mais ce n’est pas lui qui parle, ce en sont pas mes sensations, « Je ne peux plus rien pour vous. », ce ne sont pas mes souvenirs mais tout cela se mélange dans ma tête. Je sais que ce n’est pas moi et pourtant cela pourrait être moi mais cela est arrivé à quelqu’un d’autre, quelqu’un de très proche de moi avec qui j’ai un lien unique. « Je ne peux plus rien pour vous. ». Et cette personne est là toute proche mais sans ce lien je n’aurai jamais sut qu’elle était là devant mes yeux dans cette tombe de métal au bord de la rivière….
PS : La suite demain sinon ca fera un peu trop long.mardi 07 novembre 2006 - 15:15 Modification Admin Permalien
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Mirax_Terrik
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La situation était en train de sacrément tourner au vinaigre. Le regard de Jorus m’avait vraiment choquée… C’est un Jedi pour qui j’ai énormément d’estime, et voir tout ce mépris à mon encontre dans ses yeux me touchait.
Kaarde quant à lui, comme à son habitude arborait une expression neutre. Je ne savais trop que faire, ni quelle attitude adopter…. Et puis ! Quitte à déplaire à l’Ordre autant le faire jusqu’au bout !
Moi : Jorus ! Avant de lui rentrer dedans, tu aurais peut-être pu remarquer que la flotte de Baaaaaaal nous a apporté son aide !
Jorus : Mais comment peux-tu lui faire confiance ! C’est un Maître Sith ! Expert en duplicité ! Il a tué ton fils ! Mais quelle Jedi, quelle mère est-tu pour faire une chose pareille ?
Un long silence marqua sa remarque. Baaaaaaal voulu intervenir, je le retins en lui attrapant doucement le bras. Quand je repris la parole ma voix tremblait de colère.
Moi : Chevalier Jorus-Beku-N… Quoique-vous pensiez, je suis encore Maître Jedi, et j’ai encore un minimum de bon sens. Je sais parfaitement ce que je fais et ma vie et mes choix ne regardent que moi. Je crois finalement que vous récupérer n’était pas la meilleure des idées. Baaaaaaal j’aimerais que tu laisse mes frères Jedi repartir vers Ossus.
Baaaaaaal avait entre temps pris une communication et me fit signe que oui. Un groupe de clone se chargea d’emmener les Jedi vers les hangars. Mon ténébreux Sith quant à lui coupa son comlink.
Baaaaaaal : Bon, le grabuge est passé. Mais pourquoi ne m’as-tu pas laissé pulvériser cette vermine ?
Moi : Ca n’était pas la solution. Que vas-tu faire maintenant ?
Baaaaaaal : J’ai la confirmation que la Bothane n’était plus à bords du Tarentule au moment de sa destruction. Mais j’ai sa nouvelle destination. (Il me chuchota la destination à l’oreille). Viens-tu avec moi ?
Moi : Je ne peux pas tous de suite. Il faut que j’aille plaider ma cause devant le Conseil car si je pars maintenant je ne serai peut-être plus la bienvenue sur Ossus. Et je suis inquiéte pour ta fille. J’espère qu’il ne lui est rien arrivé.
Le Sith avait l’air déçu. Je l’embrassais.
Moi : Ne t’en fais pas mon Ange noir. Je te rejoindrais bientôt.
Un moment plus tard, une aile X jaillissait des hangars du destroyer filant vers Ossus. Je savais que l’allais sûrement au devant de gros ennuis… Il me manquait déjà. Qui plus est il aurait été plus facile de combattre la Bothane à ses coté plutôt que d’affronter le Conseil en furie.mercredi 08 novembre 2006 - 20:18 Modification Admin Permalien
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Remeyodi
14245 Crédits
Et cette personne est là toute proche mais sans ce lien je n’aurai jamais su qu’elle était là devant mes yeux dans cette tombe de métal au bord de la rivière….
Je m’approchai tout doucement de ce qui me donnait la chair de poule. Un Jedi n’a jamais d’état d’âme ni d’émotions, il sait rester parfaitement objectif et se détacher de tout ce qu’il affectionne en toute circonstance. C’était ce que j’entendais comme rumeurs avant d’en devenir un. Mais ce n’était pas vrai, un Jedi était avant tout un être humain avec un passé, des émotions, des amis, des qualités et des faiblesses.
J’avançai toujours lentement vers ces morceaux de métal, tout en sachant et en redoutant plus que tout ce que je savais être là, mais je ne voulais pas le voir. Pourtant malgré moi avec mes jambes blessées, mon corps meurtrit et mon esprit affaibli, je ne pouvais m’empêcher d’aller vers ce point, vers ce lieu ou je devais aller, vers mon destin comme ce jour où un maitre Jedi m’avait surpris en train de m’entrainer avec d’autres padawans en douce dans le Temple Jedi sur Coruscant…
Mes doigts effleuraient le métal. Je percevais son froid glacial et l’absence de Force. La douleur à ma jambe, mon sang qui partait, tout cela n’avait plus d’importance. La courbure de la nacelle ne me laissait voir qu’une forme sombre, un corps. Elle aurait put dériver un long moment suivant el cours d’eau mais un arbre bloquait une partie de la rivière moins profonde à cet endroit. Pourquoi ici et pourquoi maintenant je ne chercherai pas la réponse. Tout ce qui m’incombait en tant que Jedi c’était de suivre la voie de la Force.
Je sentais la présence de Jacen qui tentait tant bien que mal de comprendre ce qui se passait et de me soutenir par la Force.
Des bruits d’explosions au loin.
Une violente secousse, d’autres explosions, des cris, … une bataille?
Jacen> Che vais voir. Rechte ichi, je reviens vite.
Non tu ne me reviendras pas vite mon ami Jacen et quand tu reviendras je ne serai plus là. La prochaine fois que l’on se verra, si on se revoit je te dirais combien j’ai apprécié de faire cette mission avec toi et combien tu m’as aidé pour arriver jusqu’à maintenant pour accomplir la plus importante mission depuis que je suis devenu Jedi. Mais là nos chemins devaient se séparer pour toujours ou peut être temporairement. La Force m’indiquait ce que je devais faire et je me laissai totalement guider par elle, j’étais sa marionnette. Voulais t’elle ma mort, voulais t’elle autre chose de ma part, en tout cas elle voulait que je sois là maintenant pour faire cela.
Je débloquai la nacelle, j’envoyai l’arbre au loin et soulevais le bout de métal juste assez pour qu’il flotte de nouveau. Puis doucement je me glissai dans l’interstice pour me retrouver auprès d’elle voguant au gré de la rivière vers le Temple Jedi.
Rem> Pad, tu ne vas pas mourir maintenant, tu as plein d’autres aventures à vivre, de personnes à sauver, l’ordre Jedi ne sera plus jamais le même sans toi alors que sans moi il continuera. Nous avons un lien fort depuis notre rencontre et il continue à grandir. Ton corps physique est meurtri, le mien aussi mais ton esprit est toujours aussi fort. Tu désapprouverais ce que je fais faire et c’est justement pour cela que je vais le faire. Je te donne mon énergie, mon essence vitale, mon esprit, ma force et ma Force. Prends tout ce que tu as besoin et je t’interdis de refuser, c’est le seul moyen pour toi de vivre en attendant les soins même une transe curative Jedi ne te servirait à rien. Ce n’est ni à toi ni à moi de décider de mon sort, je suis aux mains de la Force et elle veut que tu vives !
Je déposai un tendre baiser sur ses lèvres inertes.
« Une larme coula sur ma joue sans que je le veuille. De sa main douce chaude et rassurante, Pad la sécha. Elle allait retirer sa main quand je la pris dans la mienne pour faire prolonger ce contact. Nous étions à ce moment si proche, c’était comme si la Force ou une autre énergie nous poussait à nous rapprocher. Nous nous regardions encore et encore, les yeux dans les yeux dans des secondes qui s’éternisaient pour notre plus grand plaisir. Un sentiment de peur et d’euphorie m’envahit et je savais qu’elle ressentait la même chose pourtant ce n’était pas une fin en soit mais le commencement d’autre chose. J’avais l’impression d’être au bord du gouffre et d’hésiter à plonger dedans car c’était l’inconnu qui nous y attendait. Mais de cette obscurité pouvait jaillir la lumière et je la voyais étincelante et plus brillante qu’aucune lumière que j’ai vus de ma vie, elle était annonciatrice de plein de calme, de sérénité et de bonheur.
Je n’avais besoin que de faire un pas pour plonger et voir si j’allais m’écraser ou alors voler de mes propres ailes et c’est alors que… » (Rappel du TJ P42 )
Je tombai inconscient, la Force m’appelait vers elle.
Il n’y a pas de mort, il n’y a que la Force.mercredi 08 novembre 2006 - 20:45 Modification Admin Permalien
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Jacen_Solo63
2289 Crédits
Je traversais forêts et sentiers, gravissant collines et roches à l'aide de la Force, pour finalement tomber sur une petite vallée. Un vaisseau de la taille d'un bon cargo à la carlingue amochée par les tirs de blasters était posée et des hommes en noir en sortaient.
On dirait qu'Edo se fait vieux. Il laisse passer les méchants à l'entrée maintenant...
Des tirs fusaient, des blessés hurlaient, les gradés ordonnaient...
Je tentai d'aperçevoir l'autre camp. Je coirs les avoir vus quelque part, ceux-là. Mais! Ce sont...
Des Ysanna!!!
Je foncai à l'encontre des soldats sombres, un jet d'énergie verte jallissant au milieu de la bataille. Incroyable comme mon cou me démange... on verra plus tard.
Déviant deux tirs, j'utilisais la Force pour désarmer trois des mécréants et m'interposai entre eux et les Ysanna.
Jacen: Navré, mais les videurs font mal leur travail en ce moment...
Ysanna: ???
Jacen: Nan, c'est de l'humour...
Laissant la Force m'investir complètement, mon bras renvoya deux tirs dans l'arme des expéditeurs. Ces DH-17, quelle camelotte...tiens, c'est encore en vente?
Des BlasTech 500 venaient aussi d'ouvrir le feu; J'essayai de créer un mur de diamant à l'aide du carbone présent dans les kilomètres alentours, spécialement autour des ennemis. Les impacts creusaient mon mur, mais un fusils blaster brûla, suivit d'un deuxième, puis d'un troisième...
Une boule de feu attira mon attention: une autre navette du même type que celle qui avait ammené ces indésirables allait aterrir en catastrophe. Ca va mal finir...
Faisant tournoyer mon sabre, je déviai tir sur tir, puis désarmai l'homme qui était habillé différement des autres. Probablement un officer...
Les soldats restants prirent la fuite devant la tournure des choses.
Me tournant vers les Ysanna, je demandais:
Jacen: Vous allez bien? Y a t'il d'autres encroits dangereux?
Ysanna: Merci, nous allons bien et nous pouvons nous occuper des blessés. Mais vous devriez aller au Temple, ça ne répond plus là-bas. Que se passe-t'il?
Jacen: J'ai pas très bien compris, mais en tout cas c'est une bataille pour Ossus!
Soudain, une présence disparaissait...
Rem... que lui est-il arrivé?
J'allais faire demi-tour quand un autre présence s'imposa à mon esprit, assez puissante pour que je puisse la localiser...
Jad'den...mercredi 08 novembre 2006 - 22:00 Modification Admin Permalien
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Jorus-Beku-n
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Les gardes clones nous menèrent donc à bord d’une petite navette. Elle devait nous déposer au Temple avant de regagner les soutes du navire de Baaaaaaal. Durant le transfert, Kaarde ne put rester silencieux…
Kaarde : Ne te méprend pas sur mes propos, mais il me semble que tu as du mal à contrôler tes sentiments en présence de Baaaaaaal
Jorus : Je ne le nie pas, mais je suis révolté par le fait que l’on sous-estime un seigneur noir des Sith
Kaarde : Tu dois te contrôler. J’avais une occasion en or de parler à Baaaaaaal et cela a tourné court Jorus : Si je comprends bien, tu me colles ça sur le dos !
La navette s’était enfin posée à proximité du Temple. Nous en descendîmes et le vaisseau repartit dans le ciel d’Ossus.
Jorus : Ne crois-tu pas plutôt que la présence d’un Maître Jedi auprès de Baaaaaaal est une raison encore plus fondamentale de l’échec de tes négociations ?
Kaarde : Où veux-tu en venir ?
Jorus : Le Conseil a du mal à assumer ses responsabilités. Vous ne vous affirmez pas lorsque que les anciens membres de ce même Conseil transgressent les règlent fondamentales de l’Ordre
Kaarde : Le Conseil est aussi le garant de la cohésion de l’Ordre. Il travaille dans la continuité mais doit aussi s’adapter aux réalités nouvelles. Les règles changent et évoluent : pour ne pas l’avoir compris, Yoda et les maîtres de l’Ancienne République ont contribués à l’affaiblissement de l’Ordre et à sa disparition
Jorus : Je te rejoins sur un point, les règles doivent évoluer. Hé bien, je vais te proposer une évolution. Pour ses prises de position, je vais déposer une demande d’exclusion de l’Ordre Jedi pour Mirax Terrik. Le Conseil devra enfin faire face à ses responsabilités et assumer ses actes.
Nous étions arrivé vers les jardins du Temple. Je laissai là un Kaarde toujours aussi impassible et je partis en direction de la salle de cours sur les légendes Jedi. Je me plongeai dans de vieux manuscrit traitant de l’évolution de l’Ordre, du Code Jedi, des exclusions… Les prochains jours risquaient d’être musclés, mais telle serait le prix pour la survie des JediCe message a été modifié par: Jorus-Beku-n le 09-11-2006 15:36jeudi 09 novembre 2006 - 15:07 Modification Admin Permalien
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DocBeldom
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Bip bip bip bip bip bip bip...
Doc : Qu'est-ce ? Ah oui, Ossus.
Je me lève, crie une commande et le bip se coupe. Le temps d'enfiler une bure et me voici dans mon cockpit à vérifier que je suis bien arrivé. Je sors de l'hyperespace, étouffant un juron : un croiseur m'arrive dessus. D'un geste, je fais basculer l'YT pour me dégager, évitant ainsi de m'exploser...
J'ouvre les canaux de communication, dès fois que j'obtienne des informations... Et c'est une voix que je voulais plus ou moins entendre qui sort de mes hauts-parleur.
Baaaaaaal : Croiseur à transport, répondez.
Doc : Salut le Sith.
Baaaaaaal : Ah. Beldom Terrik. Pourquoi cela ne m'étonne pas ?
Doc : Aucune idée. Mirax est avec vous ?
Baaaaaaal : Vous aussi vous lui en voulez ?
Doc : Au contraire, je serais plutôt de votre coté pour une fois. Enfin je prend ca pour un non.
Baaaaaaal : Elle est partie sur Ossus affronter vos pairs. Qui ne semblent pas apprécier notre relation, eux.
Doc : Ah ? Bon, je serais bien parti chercher cette bothane, mais je présume qu'il vaut mieux que je descende sur la planète alors. (in petto : Mais pourquoi je suis devenu membre du Conseil ?!)
Baaaaaaal : Je vais m'occuper de la bothane.
Doc : Bonne route. Et bonne chasse.
Je coupe la communication. Une seconde d'hésitation, car j'aurais peut-être pu dire au Sith où est partie notre ennemie commune, mais non. Il doit avoir ses sources, et si non, je préfère la trouver en premier, et il part avec de l'avance. Je pousse les moteurs de mon YT, me plongeant dans la Force pour repérer ma mère, qui semble partie au Temple. Au passage, je remarque les reste de 3 croiseurs et demis... "Tiens, c'était par là qu'elle les avait envoyé ? Bah au moins j'aurais servi à quelque chose."
La descente vers Ossus s'accelère et je remarque des débrits un peu partout, dont certains dans une matière que je ne connais pas. Je finis par me poser, et me dirige vers la Salle du Conseil.
Kaarde s'y trouve, et je le mets au courant de ce qui s'est passé sur Corellia, sans mentionner le fait que la Sith se trouve peut-être sur Onderon, ni que j'ai parlé à B7al. Lui m'explique la bataille qui s'est déroulé, finissant par l'information que Baaaaaaal est arrivé à la fin de la bataille et qu'il est partis chercher notre ennemie. Enfin il conclu par l'annonce qu'a faite Jorus, à savoir qu'il va demander l'exclusion de Mirax. Je le regarde en silence. Avant de prendre la parole.
Doc : C'est son droit. Mon avis pour ma part est déjà fait. Mais je l'écouterais, comme il se doit. Quand se présentera-t-il au Conseil ?
Kaarde : Je ne sais pas. Mais tu n'as pas d'objections ? Je suis étonné. Nous connaissons tous... L'impulsivité des Terrik.
Doc : Cela devait arriver un jour ou l'autre. Je voudrais parler avec quelques personnes. Si tu as besoin de moi, je reste ouvert à la Force.
Kaarde : Bien. Doc... Pas de menaces hein ?
Doc : Je me retiendrais, promis.
Je sors de la salle, sans laisser éclater ma colère mais en la controlant comme ma mère me l'a appris il y a longtemps de cela. Pourquoi maintenant ? Je me dirige vers Jorus, qui se trouve, comme je m'en doutais, dans sa salle de cours.
Une fois sur place, je m'arrête, me compose un visage et un esprit impassible, puis entre silencieusement. Jorus est plongé dans un vieux manuscrit.
Doc : Es-tu si peu sûr de toi et de la Force pour qu'ainsi dans des vieux textes tu doive te plonger mon ami ?
Jorus lève la tête, me regarde.
Jorus : Le Conseil est-il si peu sûr de lui et de la Force pour ne pas agir ?
Doc : Ne me parle pas d'action Chevalier. L'action n'est pas la discussion et la scission. Et il y a peu de Jedi aussi actifs que moi. Maintenant, tu as fait un choix, je voudrais juste que tu sois sûr que ce choix t'es dicté par la Force et non par tes sentiments et passions.
Jorus : Chevalier, je sens encore la Force et elle dit que le Conseil ne fait pas ce qu'il a à faire et ne prend pas ses responsabilités.
Doc : Soit. Alors accepterais-tu de me faire une faveur ?
Jorus : Laquelle ?
Doc : Ne soit pas trop long à compulser tes documents. Si vraiment la Force te guide, tu n'en as nul besoin.
Jorus : La patience n'est-elle pas une vertu Jedi ?
Doc : N'est-ce pas toi qui veux que le Conseil agisse avant qu'il ne soit trop tard ?
Jorus : J'en tiendrais compte.
Doc : C'est tout ce que je demande.
Je sors de la salle, et me dirige vers ma mère, dont je sens la présence. Je veux lui parler. Et en moi même je m'enerve de ce poste au Conseil qui m'impose tant de choses... Être un chevalier Jedi lambda et un peu desaxé a ses avantages. Mais pourquoi j'ai accepté ce poste ? Il ne faut pas que cette stupidité* prenne trop de temps ! Je veux retrouver cette Sith avant B7al !
* : Pour Doc, qui est un adepte de l'action directe ^^ (Oui oui, moi aussi je me demande ce que je fais au Conseil :D)
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Terrik Powaaaa !!!!
Kalin Coala !!!!
Chevalier Ace "Doc" Beldom Terrik.Ce message a été modifié par: DocBeldom le 09-11-2006 16:39jeudi 09 novembre 2006 - 16:36 Modification Admin Permalien
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Edoras
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Les rapports tournaient dans ma tête. Quelque chose... ce doit avoir de l'importance.
Nous avions fouillé les restes de la Tarentule : ni Jedi, ni Sith, ni aucun objet intéressant, hormis des pièces électroniques et quelques blasters (pas très récents, en plus : les Sith seraient-ils radins ? Ou aussi conservateurs que les Jedi et leurs bures passées de mains en mains depuis 1000 générations ?).
Le Sith était donc soit trop lâche pour combattre avec ses troupes (ses esclaves ?), soit il avait un plan encore joliment conçu... mais la perte de ses croiseurs ne devait pas en faire partie.
Non, c'était quelque chose dans l'apparence et la constitution du vaisseau, quelque chose dans sa façon de torturer, quelque chose dans la tactique générale du Sith Bothan, pour cette bataille, quelque chose dans tout ce bordel... quelque chose relatif à quelque chose, que je ne savais pas connaître, mais que mon esprit devait avoir déduit. Comme à son habitude...
J'avais réuni mes vaisseaux, accepté que certains chasseurs repartent (les plus mal en point et les guildeurs ayant des contrats à finir avant péremption) et ordonné aux autres ed se disperser autour de la planète, pour stopper les éventuels vaisseaux attaquants. Moi, j'embarquai dans l'Evangelion, Kiffa le fit sortir du Soleil Bleu et nous nous dirigeâmes vers le sol.
Une femme... ce Sith pense comme une femelle. Encore une idée stupide ! Ca et m'être allié avec les Jedi sur un coup de tête, c'est pas mon jour ! Il fallait que je descende au Temple : en bas, ils auront besoin de médecines, de gens pour réparer, soigner, surveiller, de tueurs pour faire le sale boulot...
Ca tombait bien : deux tueurs compétents se posaient justement, et s'offraient à l'atmosphère sous leurs armures respectives.
J'entendis des cris, tout autour, des tirs de blaster, des bruits de pas.
Et puis, en surimpression, le vent dans les arbres, l'odeur de la pluie, des murmures de vies dans les fourrés. Et du sang. Et du feu. Et l'odeur mêlée de tibana et de chairs brûlées. L’odeur habituelle des combats, mais en léger, en délicat, tout en arômes différents, déposés sur le fond des odeurs de cette planète encore sauvage. Ca avait quelque chose d’à la fois triste et enivrant. Je décidai de ne tuer que ceux qui résisteraient. Justement, un groupe d’hommes passait par là. Aucun d’entre eux ne m’était familier et leurs équipements étaient trop semblables que pour être des guildeurs. Je m’annonçai, nous présentai, n’obtint aucune reddition et fonçai dans le tas en criant. Lorsque le dernier combattant fut tombé, j’aperçus le Temple. De petits nuages de poussières s’élevaient et retombaient régulièrement l’ennemi s’installe, des arbres bougeaient au loin une force avance et les animaux se faisaient invisibles… Je me mis à courir, talonné par Kiffa.
En sortant d’un sous-bois, l’épée à la main et le blaster dans l’autre, je tombai nez à nez avec un gros Wookiee. Il gémissait faiblement en essayant de nouer un bandage autour de son bras. Un Bith était couché à ses côtés, serrant un EE-3 et une vibrolame de ses mains aux longs doigts fins.
Moi : Je suis Édoras, Leader de la Guilde. Tu as besoin d’aide ? Ton bras a l’air mal en point…
Le Bith : Vous… Tu es Édoras Konix ? Mon pote se débrouillera, il s’est juste coincé le bras en me sauvant la mise. Mais on a deux copains, des jumeaux Chiss, qui sont toujours coincés au Temple. Ca chauffe pas mal, là-bas, chef ! L’ennemi nous empêche de rejoindre le Temple, et les Forceux essayent de sortir. Enfin, du côté où j’étais, ça se passait comme ça… t’aurais pas du bacta ?
Je lui offris une trousse de soins et me pointai sur le théatre des opérations. Etonnement, le Temple semblait être en notre possession. Je me félicitai un instant de ne pas avoir emporté d'armes lourdes (le genre habituel, quoi : grenades, déto, lance-roquettes, lance-flammes,...) : je m'en serais voulu d'abîmer la forêt.
J'hésitai entre les deux directions : le Temple ou les combats, à 100 mètres de là ? J'optai pour les combats et le secours de mes hommes. Mieux valait traiter avec le Conseil en vainqueur et en sauveur.
Je donnai brièvement des ordres et plaçai une balise pour désigner la zone du futur camp de refuge. Nous étions deux pour remplacer les blessés.
Visiblement, j'arrivais vers la fin des combats : quelques groupes isolés se battaient encore çà et là, mais nous sembliosn gagner.
Marre d'arriver quand tout est fini, ou presque !
:jf:
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Édoras Konix Terrik
Leader de la Guilde
Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !Ce message a été modifié par: Edoras le 10-11-2006 22:14jeudi 09 novembre 2006 - 16:51 Modification Admin Permalien
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