Le Temple Jedi 2 (page 107)

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  Padme111

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  Le bouleversement dans la Force avait été si grand, si fort que j’étais resté assise dans le fauteuil du capitaine pendant une durée indéterminé.
  A travers l’écran, l’espace défilait devant moi mais le temps semblait être suspendu, figée. Je n’arrivais plus à faire face au présent, tout semble se mélanger, s’entre mêler au point d’exploser… Oui, j’avais eu vraiment l’impression d’avoir été soufflé par une terrible explosion.
  
  Au bout d’un moment que je ne pu mesurer, je me lève doucement me place en méditation, les mains derrière le dos avec les pieds parallèle mais à une certaine distance l’un de l’autre. Je ferme les yeux et laisse mes pensées analysées cet événement.
  
  « Quelle confusion ! La Force elle-même semble vouloir ce restructurer. Je n’arrive plus à percevoir qui que ce soit. Il n’y a plus que… » Je n’arrivais pas à mettre un nom sur ce que je ressentais. C’était à la fois familier et étranger. « Il n’y a plus que des fils !? Oui, cela ressemble à des fils de couleurs mais… Mais je ne vois pas, vois plus ce qu’il y a au bout. Quel sensation bizarre, comme si j’avais … une impression de déjà vu, mais où et qd ? » Je ne pouvais me souvenir de mon coma, mais au fond de moi-même je me demanda si ce n’était pas là. « Que soit, le plus important, c’est ce trouble dans la Force. » Je me concentre plus sur ce bouleversement jusqu’à ce que mon comlink vibre.
  Surprise, il me faut un moment pour réaliser que c’est une fréquence bothan. Un seul de cette espèce me vient à l’esprit : « Jedibothan ! Mais comment… ? Pourquoi … ? Arrête de te poser des questions et ouvre ton comlink ! »
  
  Moi – Pad, j’écoute !
  ? – Salut Nabery ! T’as ressenti le bouleversement, j’ai p’être un semblant d’explication, mais faut que tu me rejoignes.
  
  « Oui, c’est bien la voie de celui qui fut à la tête des Jedi il y a environ 5 ans. Mais alors pourquoi est-ce que je ne me sens pas à l’aise ? P’être parce qu’il m’a appeler Nabery ! »
  
  Moi – Ok, JB ! Donne moi tes coordonnées, j’arrive.
  
  Il m’envoie effectivement des coordonnées qui se situent en bordure extérieure.
  
  Moi – Laisse moi le temps de trouver un moyen de locomotion et j’arrive. Je suis avec Sacripant, mon petit animal de compagnie, tu t’en souviens ? Il sera heureux de te revoir.
  JB – Ah, C’est tout toi, ça ! Je te parle d’urgence et tu me parles de ton petit compagnon ! Bon, oui, ça me fera plaisir le revoir. Mais ne tarde pas de trop ! Et n’oublie pas d’utiliser le code que je t’ai envoyé avant d’arriver dans l’orbite de Melida/Daan.
  Moi – Oui, t’inquiète pas, c’est comme à notre dernier mission, pas problème !
  JB – Euh… Oui…je suppose.
  
  La communication terminer, j’étais certaine que cela était un piège à Jedi ! Soudainement, l’IA semble avoir retrouver sa communication verbale.
  
  IA – Analyse de la communication terminer. Probabilité que l’interlocuteur soit le maître Jedibothan est de 51%. Probabilité de la provenance de la communication est à 87% le secteur Anoth et 13% de Hoth.
  Moi – Voilà qui est intéressant. Surtout que nos ennuies ont commencée avec un épidémie qui était fabriqué sur Hoth. Ruby y avait un repère. Et d’elle, Mister X a repris les rennes pour ce faire supplanté par Malèfica.
  L’IA – Les adeptes du côté obscur auraient-ils l’habitude de « supplanter » les une les autres ?
  
  Cette machine m’étonne par son raisonnement. Sa curiosité, sa logique, tout cela me permis d’y voir plus clair.
  
  Moi – Oui et vu l’amplitude de se bouleversement… je pense que Malèfica vient se faire supplanter. La question est part qui ?
  L’IA – Donner insuffisante pour répondre.
  Moi – Oui, je le sais ça. Prépare moi un jet, je parts !
  L’IA – Veillez préciser ?
  Moi – Je te laisse veiller sur Jad’den et Obiwan14. Tu as ordre de les protéger ! Les gardées en vie est ta prime directive.
  L’IA – Ordre Enregistrer.
  Moi – Bien.
  
  Je descends jusqu’au jet et l’IA m’indique le chasseur qu’il a préparer. J’enregistre quelques messages que j’entre dans la base de donné de l’IA.
  
  Moi – Ses messages sont pour les personnes qui sont dans la liste que je t’ai donné. J’espère que l’Ordre Jedi trouvera un nouveau souffle.
  L’IA – Vu la provenance des informations, il est probable à 97% que vous allez tomber dans un piège.
  Moi - Mais un piège n’est qu’un piège tant que l’on ignore que c’est un piège !
  
  Pendant que l’IA se torturait les circuits avec ma phrase, je prends les commandes du chasseau et je décolle ! J’entre des coordonnées et fait un bond en hyperespace….
  
  
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  Maître de Unduli et de Carth
  Les Jedi ont perdu tout sens de l'humour! Pas moi, MDR
  
  

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  Edoras

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  Le Sith sortit de sa transe. Un étrange et poignant sentiment de malaise l'entourait, lui serrant la gorge. A vrai dire, celà faisait deux jours que le climat ambiant s'était mué en une peur sourde et continue. Depuis que la griffe de sa maîtresse semblait l'avoir abandonné, et qu'une autre ombre avait commencé à s'insinuer dans son esprit.
  Le Sith était un clone Twi'lek Lethan. Il était assis au plafond, jambes croisées, s'entrainant à maîtriser sa circulation sanguine et sa capacité à voir à travers l'espace et les êtres. Un talent qui pouvait être utile.
  Les clones de la Grande Dame Sombre des Sith se ressemblaient tous -- du moins s'ils provenaient des mêmes gènes de départ -- mais leur capacité à maîtriser le Côté Obscur variait fortement.
  Dark Niji, comme ses frères sombres l'avaient surnommé, redescendit à un mètre du sol, se retourna et déplia les jambes. Il se sentait fièvreux, il avait du mal à respirer et ça l'inquiétait. A vrai dire, il avait même du mal à faire circuler le sang dans ses artères, c'était celà qui l'avait fait sortir de sa transe.
  Soudain, il sentit ses poumons se rigidifier, ses lèvres se glacer et ses mains se recroqueviller. Il lutta quelques secondes contre la mort, mais l'air qui était déjà passé dans son sang avait commencé son travail : sa peau commença à fondre sous la brûlure de l'acide. Six secondes plus tard, six secondes qui lui parurent autant d'heures d'agonie, il mourut.
  
  --------------------------
  
  Montant les dernières marches menant au pont supérieur, Konix se rendit compte qu'il chantait mentalement un air entraînant et vaguement héroique. Il se faisait un peu l'impression d'être devenu une sorte de star de l'HoloNet, sans qu'il ne saisisse vraiment pourquoi... il n'avait jamais beaucoup aimé les Holodrames.
  Il jeta un regard circulaire sur le pont et cracha un long trait de morve et de salive sur le Capitaine du Lame Obscure, qui le fixa de ses grands yeux injectés de sang, la bouche ouverte et crispée dans un hurlement muet.
  " Crétins... ces andouilles se croient d'une essence supérieure parce qu'une foldingue les a créé en distillant la Force dans une éprouvette, mais ils ne sont même pas capables de s'appercevoir qu'un aak particulièrement dangereux s'est glissé dans le troupeau de banthas pour les changer en une meute féroce...
  " Véritablement pitoyable. Je ne vois même pas où est le plaisir de vaincre ce genres d'adversaires. Quoi ? Il aura suffit d'un seul contingent d'une quarantaine de types désintoxiqués de leurs saloperies pour maîtriser ce vaisseau peuplé presque à moitié de terribles sorciers ? Pff... ça foudroie à qui mieux-mieux pour un oui ou pour un non, mais il suffit de leur faire respirer un poison artisanal un peu virulent, inodore, incolore et tout le toutim classique... pour les exterminer tous comme des vulgaires parasites nuisibles !
  " Bande de crétins...
  
  Un sergent, par radio : Sous-lieutenant, les salles des machines sont sous contrôle, monsieur.
  Un alien avien au plumage vert : Le reste de la flotte n'a pas bronché, monsieur, leurs capteurs ne sont même pas fixés sur nous.
  Aux commandes : Konix Xyphor ! : Très bien. Ces... choses sont plus stupides qu'un troupeau de nunas. Et j'm'y connais ! Navigateur, calculez-moi un saut vers... la position +1235 ; -2588 ; 20rad, à partir de la position qui se trouve... hmm... à 200 mètres avant, 50 mètres tribord et 45° supérieur de notre position actuelle. Salle des machines, préparez-vous à relancer la sauce à mon signal, puissance : 85%.
  " Second Navigateur, calculez à l'avance les deux sautes suivants : depuis la position finale du saut de votre collègue, nous sauterons 10 parsecs plus loins dans n'importe quelle direction disponible puis une deuxième fois, direction le système Duro.
  " Premier pilote, préparez-vous à mettre la barre vers la position avant que j'ai désignée au Premier Navigateur ; Second Pilote, aidez-le pour l'angle de montée.
  " A tout l'équipage : nous sommes tout juste assez nombreux pour manipuler ce rafiot, tenez-vous à proximité de vos postes, même dans l'Hyperespace. Si vous avez envie de rejoindre une planète en particulier, précisez-le à votre sergent, il me le remettra via son datapad. Toutefois, il sera certainement difficile de vous débarquer ailleurs que sur Duro, même si je crois possible d'engager de l'équipage sur place : les Duros ont un très longue tradition de spacionautes.
  " Attention salle des machines : GO ! Kiffa, dérive l'énergie libre vers les boucliers, néglige l'armement !
  
  Et c'est ainsi que le Lame Obscure se sépara du reste de la flotte, qui n'eut même pas le temps de le prendre en visée. Les mercenaires qui n'avaient pas su (ou n'avaient pas eu la chance d'être dans mon Unité) se libérer des drogues que leurs avaient administrées les Sith ne survécurent pas plus que leurs maîtres au poison terrifiant. C'est avec un équipage minuscule que le vaisseau fila dans l'Hyperespace vers une zone vierge de l'espace. Vierge ? Non : non loin de là s'étendait un immense champ d'astéroïdes suffisamment grand que pour cacher un destroyer (la densité était faible) et deux nainesblanches complétaient le spectacle. Si la flotte Sith voulait les chercher, elle devrait s'attarder. Et si le Commandant était assez fou pour ignorer le danger des radiations des étoiles naines, c'était son problème...
  Durant le premier Saut, je rebaptisai le destroyer.
  Il s'appellait désormais le "Lame de la Liberté".
  Quand à moi, seuls deux de mes hommes avaient refusé de reconnaître mon autorité. Je les avais vaincus et jetés dans l'Hyperespace. Après ça, je fus nommé Capitaine du destroyer.
  Après tout, je n'étais pas certain de vouloir le rester, alors, autant en profiter, non ?
  
  :jf:
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  Édoras Konix Terrik
  Leader de la Guilde
  Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !
  
  

  Ce message a été modifié par: Edoras le 30-01-2007 17:58

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  DocBeldom

  5633 Crédits

  Le Cathar me saute dessus, mais j'esquive son coup, tout en tentant de lui en porter un. Une de ses lames pare, et nous nous retrouvons à un bout de la clairière chacun. Mon adversaire passe son temps en Forme VII. C'est un bonne forme, certe... Mais elle a ses inconvéniants... Comme il va pouvoir le constater tout de suite. Je m'approche d'un pas tranquille, faisant lentement tournoyer ma lame droite, l'autre restant pointe vers le sol. Au fur et à mesure que j'approche, je fais tournoyer ma lame de plus en plus vite. Dès que je suis à portée, mon adversaire pare, mais se retrouve coincé, car la puissance qu'a désormais mon arme, obtenue grâce à sa vitesse, l'oblige à mettre toute sa force pour parer ce coup. Mon autre main file comme l'eclair mais il est habile ! Il fait un léger mouvement, esquive mon coup de manche et fait bouger son double sabre pour me découper en deux par le milieu. Mon bras reviens, ma lame se tournant et je pare son coup. Nous sommes désormais dans une position assez bizarre : je force de ma main droite pour le faire ployer de ce coté là, tandis que lui force de l'autre coté... Dans le même but ! Soudain, je percois un danger... Un de mes sabres décolle de ma ceinture et découpe la branche qui arrivait dans mon dos. Et il continue avec les suivantes.
  Je souris, tandis que je sens le cathar blémir : il vient de comprendre qu'il a perdu la partie... Mon deuxième manche décolle, et d'un coup sec, assome mon valeureux adversaire, qui ne pouvait de toute façon pas bouger...
  
  Quelques temps plus tard, Belphor ouvre les yeux, tentant de comprendre ce qui lui est arrivé. Il se fige alors que les souvenirs de notre combat lui reviennent.
  Je suis assis face à lui, sur mon canapé, un sabre posé à coté de moi, un verre à la main. Il cherche son sabre des yeux, et finis par le trouver... Juste derrière le mien.
  
  Doc : Maintenant que tu as constaté que tu n'avais aucune chance de t'en sortir, es-tu prêt à parler ?
  Belphor : Jamais !
  Doc : Il ne faut jamais dire jamais... Ne sens-tu pas cette perturbation dans la Force ?
  
  Le Cathar se fige, tente d'effectuer quelque chose que je ne comprend pas et pousse soudain un hurlement qui me déchire les tympans. Je saute sur lui et l'assome.
  Je fais quelque pas en arrière et contemple le pauvre Sith. Il vient de confirmer mon hypothèse : Maleficia n'est plus. La question est pour moi de savoir qui l'a tué... Et surtout, ce que compte faire le Cathar que j'ai capturé !
  
  Pour me laisser le temps de réfléchir, je déplace le Cathar dans l'infirmerie, lui impose le sommeil et décolle en direction d'Ossus...
  

  mardi 30 janvier 2007 - 23:36 Modification Admin Permalien

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  Kaarde

  17496 Crédits Modo

  ;) Je pris les mains de Mirax entre les miennes et la fixait droit dans les yeux.
  
  Moi : - Mirax, souviens-toi, je suis Kaarde. Je vais essayer de t'aider mais il faut que tu m'ouvre ton esprit.
  
  Elle finit par prendre confiance et à se laisser faire. Ma télépathie n'est pas exceptionnelle mais quand même suffisante pour constater les dégâts que mon amie avait subis. Quelqu'un avait profité des faibles barrières mentales de Mirax pour semer le chaos dans son esprit. Bizarrement la force qui aurait dû maintenir un tout cohérent était absente et ce manque semait la confusion dans la mémoire de Mirax des cinq dernières années.
  
  Click : - Alors ?
  
  Moi : - Je suis inquiet, il semblerait Maléfica ait plié Mirax a sa volonté en torturant son esprit.
  
  Click : - Elle a essayé d'en faire son esclave ?
  
  Moi : - Elle n'a pas essayé, elle l'a carrément fait ! Seulement maintenant la puissance Sith qui écrasait la volonté de Mirax a mystérieusement disparue. Cela pourrait venir du décès de Maléfica, ce qui confirmerait ce que nous pensions sur ce bouleversement dans la Force. Mirax a retrouvé ses esprits mais les dégâts qu'elle a endurés ont chamboulé ses plus récents souvenirs.
  
  Tout en parlant avec Click je l'entraînais avec moi pour que Mirax n'entende pas.
  
  Click : - Que peut-on faire pour elle ?
  
  Moi : - Dans l'état où elle se trouve elle aurait davantage besoin de protection que de soins. N'importe quelle personne mal intentionnée pourrait très facilement la soumettre à sa volonté. Et, pour l'instant, il vaut mieux qu'elle ignore être passée du Côté Obscur... Click, à ce propos, la Maléfique a certainement voulu que Mirax retombe entre nos mains et permit sa fuite. C'est une chance parce qu'autrement tu te serais précipité vers une mort certaine qui n'aurait pu que nuire à ta mère.
  
  Click : - Je suis désolé, quand je l'ai sentie en détresse je n'ai pas attendu et je me suis contenté de t'avertir avant de foncer.
  
  Moi : - Les instructions étaient d'observer en attendant de l'aide. Il faut que tu maîtrise ta conduite. Moi aussi j'ai failli disparaître et provoquer la mort de Pad autrefois alors que je voulais lui venir en aide. Ces attachements, ces liens qui nous unissent, sont notre force mais aussi notre plus grande faiblesse. Maléfica s'en est servi contre toi.
  
  Click : - Que faut-il faire, maintenant que cette Sith est probablement morte ?
  
  Moi : - Je ne sais pas mais I've a baaad feel... euh, j'ai un mauvais pressentiment. Seuls les Jedi partis dans le secteur de Senex pourrait nous rapporter des nouvelles. En attendant il faut mettre le Temple en état d'alerte.
  
  Click : - Que crains-tu ?
  
  Moi : - Maintenant que Mirax est ici il est hautement probable que Baaaaaaal veuille lui rendre visite.
  
  
  
  -------------------------------------
  Kaarde, maître de JoranCorv
  Frère d'Obitom0, Macematu et Padmé111
  FF Powaaa
  
  

  Ce message a été modifié par: Kaarde le 31-01-2007 00:00

  
  
  

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  mardi 30 janvier 2007 - 23:58 Modification Admin Permalien

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  Edoras

  7665 Crédits

  Les Duros qui formaient l'essentiel du nouvel équipage m'aidèrent à rentrer à la maison. Enfin... disons plutôt à ma station spatiale. J'hésitais encore pour la suite des opérations.
  J'étais riche (un navire comme celui-ci, combien pouvais-je en espérer ? plus d'argent que je n'en ai jamais gagné en un coup, ça c'est certain), incontesté mais recherché par des Sith en colère (et la colère, ça les connait).
  Alors, je me retournai vers la seule aide, le seul visage sourant sur qui je pouvais compter en ces heures sombres, alors que mon vieux Soleil Bleu était probablement détruit.
  
  Et Kiffa Stamina m'offrit son aide et ses conseils.
  Elle me parla de mon passé oublié, de mes employés de l'époque, des guerres terribles que j'avais menées victorieusement -- toujours victorieusement, même si j'y avais souvent laissé des plumes. Elle me parla de mes ennemis, ce qui achèva presque de me démoraliser.
  En gros, les Hutts voulaient ma mort, les Bothans me haïssaient cordialement (ils sont toujours cordiaux), les Chiss ne s'étaient pas laissés infiltrer, la Nouvelle République (qui semblait être redevenue une Allianec Galactique, même si elle n'était plus Rebelle) m'accusait de crimes divers, les Vestiges de l'Empire (ou ce qu'il en restait) m'avaient condamnés dix-sept fois de suite à la chaise électronique, deux fois à la pendaison et quatre fois au poteau... ajoutez-y que la Guilde devait certainement m'en vouloir (ce qui, si j'en croyais cette histoire de "Réprouvés", risquait foirt de m'être fatal), que le Soleil Noir (qui n'avait plus que la taille d'une entreprise commerciale stellaire) avait juré ma perte depuis le second Vigo ayant succédé à Xizor, que les Corelliens n'aimaient plus les Terrik, que les pirates étaient soit du côté de la Guilde, soit indépendants, mais qu'ils m'en voulaient tous autant et que j'avais réussi -- globalement -- à me faire rejeter par 99% de la population galactique.
  Dououreux.
  J'aurais mieux fais de pas demander. A part la vie de Seigneur Pirate solitaire, je n'avais plus énormément d'options.
  
  Alors que -- pour éviter de trop déprimer sur mes perspectives d'avenir plus que limitées -- je me reposais au chaud dans ma cabine, avec Kiffa dans mes bras, les capteurs s'énervèrent. Un vaisseau approchait. Il était grand, il était accompagné par une foule de petits copains et se dirigeait droit sur nous en ionisant à qui mieux mieux. Pire : ces enfoirés avaient dû réussir à infiltrer un espion, car le Lame de la Liberté restait sur place en émettant des étincelles.
  Me sentant trahi, j'hésitant fortement entre le poison et le blaster.
  Finalement, une crédature cyborg escortée par une armée impressionnante de droïdes de toute sorte, du droïde assassin à la souris, entra dans un couloir et me fit face. Une musique très rythmée retentit. Et de la fumée sortit du sol.
  (Sur l'air de Rocky)
  Tam Tam-tam-tam...
  
  Je l'attendais, armes aux poings. Mon armure reflétait l'éclairage artificiel du plafonnier et empêchait de laisser voir à mon adversaire que j'avais peur -- oui -- mais que j'avais également une rage si terrible que je l'emporterais avec moi dans la Nuit et le Silence Eternel.
  Le cyborg, revêtu d'une long manteau noir, s'avança vers moi et j'eu l'impression qu'il grandissait à chaque pas, obscurcissant les lumières.
  Il me toisa, respira bruyemment et rabattit sa capuche, dévoilant un visage humain vraiment curieux.
  Naga Shadow : Et quoi, gamin, on ne salue plus son grand-père ? Dis, j'ai traversé deux fois la galaxie dans tous les sens, alors tu m'offriras bien un verre, non ?
  " Rahlala... Xeniam a retrouvé ta trace et tes filles ont piègés ton destroyer au cas où. Dis, tu nous as manqué, gamin, qu'est-ce que tu foutais, t'as pas entendu nos messages ? Et c'est quoi cette idée d'envoyer le Soleil Bleu suivre les Jedi, c'est pour nous égarer ? T'es poursuivis par quelqu'un ? Tu me dois encore de l'argent et j'ai oublié ?
  
  :jf:
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  Édoras Konix Terrik
  Leader de la Guilde
  Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !
  
  

  Ce message a été modifié par: Edoras le 31-01-2007 07:42

  mercredi 31 janvier 2007 - 07:32 Modification Admin Permalien

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  Padme111

  27268 Crédits

  L’IA du Chu’Untor a reçu des instructions et les exécutent. Il transmet à Ossus, les messages suivants. Leur contenu est crypté et donc personnalisé. Seule les personnes concernée parviennent à lire les messages.
  
  
  Message au Conseil Jedi :
  « Chers membre du Conseil Jedi,
  Je regrette d’être parti précipitamment de ce que je sais être un piège. Mais un piège est un piège que si l’on ignore que c’est un piège. En effet, j’ai reçu un appel qui semble provenir de JB où il me demandait de le rejoindre d’urgence. Ce n’est pas dans les habitudes du Bothan d’appeler à l’aide et même s’il ne l’a pas fait, c’était tout comme. Bref, après avoir ressenti le bouleversement dans la Force, je ne doute pas que vous et moi sommes arrivés à la même conclusion : Maléfica est morte ! Ce qui signifie que nous sommes face à un nouvel ennemi, ou une. Répondre à cette appel, me semble une piste non négligeable. Les coordonnées que j’ai reçues et où je me rends sont Melida/Daan. Mais l’appel fut localisé dans le secteur d’Anoth, ce qui ma rappeler notre dernière visite sur Hoth. De plus, j’ai besoin de me prouver à moi-même ce que je vaux encore dans mon état physique.
  Soyez vigilants car l’Ordre Jedi a subit de lourde perte ses derniers temps. Il est p’être grand temps de collaborer plus les un avec les autres.
  J’ignore si j’aurais la possibilité de revenir, mais je mettrai tout en œuvre pour vous faire parvenir de l’aide dès que je le pourrai.
  Merci pour tous, Ainsi va la vie, ainsi va la Force !
  
  :jed: Maître Padmée Nabery»
  
  
  Message à mes frères :
  « Nous avons été séparés durant notre enfance. Nous nous sommes réunis dans la Force. Et maintenant, nous voilà à nouveau séparé par les aléas de la vie.
  
  Macematu : Je regrette que l’Ordre Jedi t’a un jour traité aussi durement ! Ce que j’aimerai te revoir à nouveau au Temple. Aujourd’hui, les Jedi qui ont sombrés, sont nombreux, mais peu en on souffert autant que toi. Où que tu sois, sache que dans mon cœur et quoi qu’en disent les membres du CJ, quoi qu’en pense les autres Jedi, tu es et resteras toujours un Jedi, toujours un Nabery !
  
  Obitom : Grâce à toi, j’ai peu apprendre à mieux connaître certain de tes amis. Quel dommage que tes obligations ne t’on pas permis de nous suivre sur Ossus. Mais je sais que de Coruscant tu restes une source d’information inépuisable. J’espère que ce message ne sera pas le dernier. Ton nouchisme intergalactique nous a permis de nous prendre moins au sérieux et de trouver dans l’humour une force morale ! J’espère pouvoir être encore capable d’anéantir des poupous »
  
  Kaarde : Compagnon d’arme et padawan d’un même maître ! Christensonny n’a jamais été un maître très exigeant et pourtant nous nous sommes forgés un caractère, nos sens se sont affûtés avec le temps et nous avons eu nos lots d’erreurs. Alors, je me demande si l’Ordre Jedi ne devrait pas penser à laisser plus de liberté mais encadrer plus les padawans. Voilà, je te laisse médité sur ce point. De la famille Nabery, tu es celui dont je suis la plus proche. J’espère pouvoir un jour revenir de ce « Piège à Jedi », mais j’ai besoin d’y aller. J’espère que tu pourras me comprendre. Tu es mon frère et je veux croire en toi, je te sais capable de remettre l’Ordre Jedi en selle !
  
  J’espère que dans l’avenir, nous pourrons à nouveau être réuni. Que la Force soit avec vous !
  
  :leia: Votre soeur
  
  Message à Remeyodi :
  « Je serai toujours avec toi !
  Ne mets jamais ta passion au-dessus de tes principes. Même si tu gagnes, tu perds ! Je me souviens t’avoir donné la migraine avec cette analyse. Pourtant, je te savais capable de relever le défit et c’est ce que tu as fait. C’est ce que tu as toujours fait. Tu t’es continuellement montré à la hauteur de mes espérances et même au-delà. Aujourd’hui encore, je te fais confiance, tu retrouveras ta connexion avec la Force. Ne te focalise pas sur l’absence de la Force, mais sur le but que tu recherches. Laisse couler, laisse le temps soigné tes plaies. Lorsque l’on recherche quelque chose trop profondément, nous finissons par ne plus voir ce que l’on a à la porter de la main. Je reviendrai Rem ! Je serai toujours dans tes souvenirs, dans tes pensées, dans la Force, dans ta vie… dans ton cœur. Je serai toujours là comme toi, tu l’es pour moi !
  
  :am: Pad ! »
  
  Message à mes padawans :
  « Comme j’aurai voulu que votre formation soit terminée avant que je ne parte aussi brutalement. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir afin de revenir pour vous voir devenir Chevalier.
  
  Unduli : Je suis fière des missions que tu as accomplit. Heureuse que tu as pu te joindre à quasi chaque membre du CJ pour une mission, continue. Enfin, tu as trouvé TA propre connexion à la Force, tu as trouvée ta voie, continue. Ne m’en veux pas trop de vouloir être seule dans cette mission, mais aujourd’hui, j’ai un défit à relever, j’en ai besoin. Ce n’est pas un coup de tête, ce n’est pas une nouvelle remise en question. Je dois juste retrouver mes propres limites afin de mieux me connaître. Mais aussi, et cela ne le dit à personne, j’espère déstabiliser notre nouvel ennemie en lui faisant croire que je suis plus faible qu’en réalité. Je me débrouillerai pour être présente à ton mariage ainsi que pour tes épreuves. Que la Force soit toujours avec toi ! A jamais ! Garde confiance en toi !
  
  Carth : Tu es encore si jeune part ton age mais aussi dans la Force, qu’il te sera p’être difficile à me comprendre. Excuses-moi de partir ainsi, mais c’est primordiale. Continue à apprendre de la Force, je reviendrai terminer ta formation ! Que la Force soit toujours avec toi ! A jamais !
  
  :jedi: Votre maître qui ne vous oublie pas ! »
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  PS: Ces messages sont valable que pour le Temple Jedi. Pas de panique, je ne quitte pas l'Ordre Jedi. J'ai juste besoin de m'amusé plus sur d'autres topics. Je viendrais occasionnellement poster ici.
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  Maître D'Unduli et de Carth
  Les Jedi ont perdu tout sens de l'humour! Pas moi, MDR
  
  

  Ce message a été modifié par: Padme111 le 01-02-2007 17:06

  mercredi 31 janvier 2007 - 09:51 Modification Admin Permalien

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  Tyria

  8000 Crédits

  J’étais sur la passerelle du vaisseau de la défunte Maléfica et j’observais l’équipage s’activer. Prendre le commandement du vaisseau n’avait pas été une difficulté. Il m’avait suffit de faire un exemple en tuant quelques inconscients qui avait eu l’amusante certitude qu’ils pourraient me vaincre. Il y avait encore certainement quelques imbéciles qui essaieraient de me tuer mais ils ne feraient que renforcer ma position. L’équipage me craignait. Ils me craignaient parce qu’ils ne comprenaient pas comment je tuais. Si seulement ils avaient la moindre idée… Cette pensée me fit sourire.
  
  Moi : Où en sommes-nous ?
  
  
  Le capitaine du vaisseau se tourna vers moi.
  
  Capitaine : La flotte nous as rejoint. Elle vient de sortir de l’hyperespace et prend position.
  
  Moi : Parfait. Dites leur que nous n’avons pas de temps à perdre. Dés qu’ils seront en position, nous partirons.
  
  Capitaine : Leur amiral demande… Hum… Si vous êtes vraiment celle qui l’a contacté.
  
  Moi : Envoyez-lui un message écrit ne comportant que Black Baccara. Cela devrait lui suffire.
  
  
  Le capitaine sembla hésiter un instant mais préféra ne pas poser sa question. Il se retourna pour donner les ordres.
  Les vaisseaux commencèrent à se déplacer pour se préparer à passer en hyperespace.
  
  Pour le moment, j’avais encore une avance non négligeable sur mes adversaires. Je savais qu’ils devaient se douter de mon identité. Mais mon ancien statut me conférait une présomption d’innocence. Tant qu’ils ne verraient pas mon visage. Tant qu’ils ne me verraient pas commettre de meurtres… Ils ne l’admettront pas.
  
  Mais de toute manière, rien ne me disait que celle que j’avais été était encore vivante. Et puis, qui s’en occupait ?

  mercredi 31 janvier 2007 - 15:47 Modification Admin Permalien

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  clickman

  4417 Crédits

  Kaarde retourne au Temple faire ce qui doit l’être, me laissant planté la avec mes questions, mes doutes, et mes erreurs.
  
  Je reste figé, me posant trop de question. Trop de doute.
  
  Comment ai-je pu faire une telle erreur….
  
  Une bonne minute passe avant que Mirax vienne à ma rencontre…
  
  Mirax : Wedge… Que se passe-t-il ?
  Moi : Rien… nous cherchons à comprendre ce qu’il s’est passé…
  Mirax : J’ai la vague impression que vous me cachez quelque chose…
  Moi : Non, non, nous n’oserions jamais…
  
  Je détestais mentir à ma mère. Je n’avais jamais su lui mentir…
  
  Mirax : Wedge….
  Moi : Retournons à l’infirmerie… Je dois te présenter celui que tu as sauvé tout à l’heure…
  Mirax : Celui que j’ai sauvé ?
  Moi : Souviens-toi, avant de quitter l’infirmerie…
  Mirax : Ah… comment s’appelle t’il ?
  Moi : Skylow Lerran… Tu n’as rien perdu de tes capacités dans la Force, voila qui est une bonne chose….
  Mirax : Pourquoi ? J’ai vraiment l’impression que vous me cacher la vérité… Raconte-moi comment j’en suis arrivé à me faire triturer le cerveau !
  Moi : Plus tard, maman, plus tard…
  
  Je sentais une pointe de colère provenant de ma mère… Je déteste lui mentir…
  
  Je me dirige vers l’infirmerie pour couper court à la conversation. Elle me suit avec une certaine distance, et nous entrons tout les deux dans l’infirmerie créé selon ses plans. Son infirmerie.
  
  Moi : Skylow, vous allez mieux ?
  Skylow : Que s’est-il passé ?
  Moi : Ca serait trop long à vous expliquer…
  
  Nouvelle pointe de colère provenant de ma mère
  
  Skylow : Voici donc celle que j’ai aidé à libérer !
  Moi : Oui. Skylow, ma mère, Mirax Terrik.
  
  Ma mère s’approche de Skylow… un contact semble s’établir entre eux…
  

  mercredi 31 janvier 2007 - 19:45 Modification Admin Permalien

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  Mirax_Terrik

  7045 Crédits

  Tout était encore embrouillé dans ma tête. Les souvenirs revenaient par à-coups. Au fur à mesure que je croisais des gens ou voyait des choses. Mon enfances, mes années de formation, mes premières missions… Tout cela se mélangeait en un flou douteux. Et par-dessus tout cette impression que Click me cachait des choses. Le regard grave de Kaarde posé sur moi. Ses chuchotements avec mon fils dans les jardins… Je sentais en moi monter un sentiment de frustration. J’aurais voulu que Jacen soit là. Mais une vague intuition faisait monter en moi un sentiment de peur à chaque fois que je tentais de demander les raisons de l’absence de mon époux et ancien Maître.
  
  Je mis tous mes doutes et mes interrogations de coté une fois face à ce Skylow… Nos regards se croisèrent. Le sien était froid, sa main se dirigea vers sa hanche cherchant une arme qui n’y était pas. Nul doute, ce type m’en voulait. Et je ne pouvais que le comprendre. Un des rares souvenirs net dans ma tête était l’image du sabre laser s’enfonçant dans son torse. La raison qui m’avait poussé à commettre un tel acte ? Je l’ignorais.
  
  En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Lerran se leva brusquement en sautant sur ses affaires posées non loin de là. Il saisit son arme étrange avant de vaciller. J’avais aidé son corps à guérir mais il n’était pas encore au mieux de sa forme.
  
  Click : Non !...
  
  Quant à moi, dés que l’homme avait montré des signes de faiblesse je m’étais précipité vers lui. Je pris soin d’éloigner délicatement l’arme qu’il était sur le point de lâcher. Je fis à nouveau appel aux énergies curatives de la Force. Lerran pu bientôt à nouveau se tenir debout. Je l’aidais à regagner son lit à répulseurs. Il ne protesta pas.
  
  Lerran : Que me veux-tu ? Pourquoi venir me voir après ce qui s’est passé ?
  Moi : J’ignore les motifs pour lesquels je t’ai fait du mal. Je n’étais pas moi-même. Je veux racheter ma faute en te venant en aide. La Force me souffle que nous ne nous sommes pas rencontrés pas hasard.
  Lerran : Je me suis toujours débrouillé seul et je ne vois pas pourquoi j’aurais besoin d’aide maintenant. Je ne connais pas cette « Force » dont tu me parle et je n’en ai jamais eu l’utilité.
  Moi : Tu es amer… je peux ressentir toutes ces années de solitude qui pèsent sur tes épaules. Sans l’aide de la Force tu serais mort à l’heure qu’il est. Si tu le souhaite je peux t’initier à sa maîtrise. Elle est puissante en toi. Avec elle à tes cotés, tu ne seras plus jamais seul.
  Lerran : Que peux m’apporter TA "Force" que je n’ai pas déjà. J’ai toujours réussit à me débrouiller seul jusqu'à maintenant. Pourquoi cela changerais-t-il ?
  Moi : A force de solitude le cœur se durcit et l’on finit par se perdre soi-même. La Force est une lumière vive qui éclairerait ton chemin. Mais bien sur à l’heure du choix chacun est libre, tu peux reprendre ta quête solitaire dés maintenant.
  
  Je m’écartais en lui désignant la sortie.
  
  Lerran : Je ne vois pas pourquoi je ferais confiance à quelqu’un que je ne connaissais pas encore il y a quelques jours, que j’ai secourue et qui en remerciement m’a planté son sabre laser dans le torse.
  
  Il se releva, pris ses affaires et sorti de l’infirmerie. Je restais un moment silencieuse avant que Click ne prenne la parole.
  
  Click : Tu dois être fatiguée, tu veux que je te conduise à tes quartiers ?
  Moi : Oui… Oui je veux bien. Quand pourrais-je avoir une audition auprès du Conseil ?
  Click : Dés que… la salle sera remise en état.
  Moi : Que s’est-il passé ?
  Click : Un accident… Viens, suis-moi.
  
  Encore cette désagréable impression qu’il me cachait quelque-chose… Mais peut-être que je m’inquiétais pour rien. Peut-être Wedge ne voulait-il tout simplement pas me surcharger d’information d’un seul coup. Je choisis de respecter son silence. Nous arrivâmes devant ce qu’il indiqua comme mes quartiers. Je tapais instinctivement le code de déverrouillage.
  
  Je reconnus bien que le style de l’endroit m’était bien propre. Arrangé sobrement. Des affaires un peu éparses, dans un coin, un holo avec tous mes enfants, un autre avec Edo, Maggy, Doc et Obiwan, mais nulle part d’image de Jacen. N’y tenant plus je posais cette question qui me faisait si peur.
  
  Moi : Click… Ou est Jacen ? Ou est mon mari ?
  
  Le Zabrak me pris par la main et m’entraina doucement vers un fauteuil prés d’une fenêtre donnant sur les jardins. Sa réaction ne fit qu’augmenter ma panique… qu’allais-je encore découvrir ?
  
  Click : Je ne sais pas si je suis le mieux placé pour te dire tout ça… Jacen… est décédé il y a quelques mois… Vous vous étiez séparés peu avant. Il t’avait quitté. Il y a plus maman, je n’aurais pas le force de te le cacher plus longtemps… Quand le Temple Jedi de Coruscant a été détruit… Booster, s’est sacrifié pour permettre de fuir à un groupe de Padawan et moi-même.
  
  Je ne pus que regarder mon fils les yeux exorbités. C’est comme si l’on venait de m’arracher le cœur. J’aurais voulu hurler, mais j’en étais incapable. Click essaya de poser sa main sur mon épaule mais je me rétractais brusquement.
  
  Moi : Je… j’ai besoin d’être seule.
  
  Click sorti brusquement de la chambre, presque en courant. Son malaise était plus que perceptible dans la Force. Je fermais les yeux… Je réalisais que je tremblais… cette détresse que je ressentais rencontrais un écho au fond de moi… quelque-chose d’insaisissable. Surement ce que j’avais du ressentir la première fois que j’avais appris la disparition de ces deux êtres si cher à mon cœur…
  
  Un moment plus tard j’étais dans un coin reculé des jardins. Installé en tailleur je me plongeais profondément dans la Force, dans une transe méditative. Je me coupais du réel et de ses vérités terribles…
  
  -------------------------------------
  Jabinette.
  Matriarche de la famille la plus sectaire d'AW!
  
  
  

  Ce message a été modifié par: Mirax_Terrik le 31-01-2007 23:56

  mercredi 31 janvier 2007 - 23:51 Modification Admin Permalien

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  Edoras

  7665 Crédits

  Mézigue : BEN VOYONS ! Et mon c**, c'est du teflon ?*
  Le dénommé Naga : Mais... que... puisque je te dis qu'on te pardonne ! On veut que tu redevienne Leader, Ange est au bord de la crise de nerfs : avec tous ces préparatifs, elle a complètement oublié de signer pour un nouveau convoi de steack de nerfs, du coup, on est au bord de la crise, vu l'apétit des chasseurs de primes !
  Kiffa, la traîtresse : Konix ! Ecoute au moins ce qu'il a à dire. Je veux t'aider, crois-moi !
  Xyphor : M'aider en me vendant -- non, en me donnant -- à mes ennemis ? Merci bien... allez, cause, Shadow ! Explique moi pourquoi al Guilde veut tellement de moi et -- dans la foulée -- pourquoi je l'ai rejointe et pourquoi je le ferais à nouveau ?
  Le cyborg : Il y a bien longtemps, sur une planète lointaine, très lointaine... à Bestine, la capitale locale, il y avait une cantina. La patronne de cette Cantina veillait sur notre union, en nous donnant du fouet à l'occasion. En fait, depuis quelques années avant elle, l'Alliance des Contrebandiers, la Guilde des Chasseurs de Primes et les diverses sociétés et unions de bourlingueurs de l'espace s'étaient unis. On avait décidé qu'au lieu de se taper dessus, on ferait mieux de travailler ensemble, de se refiler des tuyaux, etc... Seulement, un jour, la Patronne a été assez riche que pour prendre sa retraite.
  On a eu un petit... problème. Bon, on a organisé l'intendance, tout ça, mais les pouvoirs locaux en profitaient pour nous harceler. Finalement, c'est le meilleur de nos chasseurs de primes qui a reprit la main. Il s'appellait Scarabi et c'était ton oncle, mon fils, le frère de ton père et le meilleur boucher du coin, question massacre de stormtroopers. On a construit une base, sur Myrkr, pour se mettre à l'abri quelques temps. Et toi, qui était des nôtres depuis peu, tu as offert ton agence de transport pour renflouer le pot commun. Quand Scarabi en a eu sa claque, il m'a passé les rennes, puis je les ai refilées à mon petit-fils : toi. T'as pigé le pourquoi ? Et si c'est la cause de ta signature, c'est simple : les taux de la Guilde étaient super intéressants pour déduire des trucs aux impôts.
  Konix : Là, je veux bien te croire. Donc... donc... euh... qu'est-ce que je suis censé faire, là ? Ca m'apporterait quoi, vos bêtises ?
  La Twi'Lek : Du pouvoir, du pognon, des repas gratuits au QG, une suite superbe avec un lit génial et autant de gardes du corps que nécessaire. Ah... et le droit de trafiquer les fournitures, aussi. Et celui de faire assassiner le premier dont la tête te revient pas. Autre chose ?
  Konix : Ouais : j'y peaumerais ma liberté. Ciao !
  Je fis exploser la bombe à fumée et fut sortit de la pièce en deux bonds. Je sentais Naga qui me suivait... je tirai au jugé par dessus mon épaule, grimpai à bord de l'Evangelion, poussai les gaz et sautai. Trois sauts successifs. Direction : Coruscant. Ou "comment se cacher dans une foule de plusieurs trillards d'habitants".
  Une idée m'habitait : est-ce que j'ai envie de récupérer le contenu de cette #%£µ$€@ de puce, ou pas ?
  ------------------------------------
  Le tripôt était particulièrement enfumé, ce soir. En professionnel, j'imputai immédiatement cette fumée à une baisse des ventes du carsunul et des bâtons de la mort au profit des dérivés du ryll.
  L'enseigne, à l'entrée, était neuve et pas une lettre ne manquait, signe que la "Limace Dorée" bénéficiait d'une protection spéciale ou qu'il n'y avait pas eu de bagarres depuis plusieurs années, ce qui auraité été étonnant. Je me joignis à une partie de Sabacc, décrochai le pot puis quittai la partie : mieux valait ménager mes gains avant de me faire plumer. Je repêrai bientôt l'un des assistants du Prof : un Chagrien dont une corne était amuptée de la largeur d'une main.
  - Salut E'thl. Ca fait une paye...
  - Hmm ? Ta tête n'me reviens pas, mais si tu payes à boire...
  - J'offre le pot. Cortyg ?
  - Polanis.
  Il se passa un moment avant que nous ne soyions servis. Un moment de silence relatif, passé à se jauger du coin de l'oeil et à surveiller le match de Galactic Ball de l'autre, passé en direct sur des écrans hologrammiques. Après la première gorgée, les choses commencèrent à changer.
  - Alors, tu veux quoi ?
  - Tu ne me l'as pas demandé, mais je vais te baîller mon blaze : Konix. Konix le Torpilleur...
  - Hmm ?! Et mer** écoute, je sais rien, je dirai rien, parole !
  - Je ne suis pas là pour te mijoter, relax. J'ai besoin des services du Prof.
  - Pat ? Il est mort depuis une trentaine d'années. C'est moi qui ai reprit la boutique. Tu veux ?
  - Ma puce. Ele est tombée en rade. Probablement un choc électrique... tu saurais la réparer ?
  - Réparer ça ? Avec quels plans ? Ton boss nous a menacé et il a détruit toutes les données, mec !
  - Ennuyeux... surtout pour toi...
  - Euh... je dois pouvoir em souvenir, mais...
  - C'est pas un piège. Souviens-toi et remet mon cerveau en état. Rendez-vous demain, ici. T'as pas intérêt à bouger ne fut-ce qu'un poil de travers... n'oublie pas que j'étais le meileur "docteur" du service, vu ? Je me ferai protéger par des types règlos.
  " A demain. Tu recevras 2000 crédits.
  
  :jf:
  -------------------------------------
  * => :cli: j'ai pas pu résister...
  -------------------------------------
  Édoras Konix Terrik
  Leader de la Guilde
  Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !
  
  

  Ce message a été modifié par: Edoras le 02-02-2007 07:29

  jeudi 01 février 2007 - 07:18 Modification Admin Permalien

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