Archives : Le Temple Jedi (page 70)
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obiwan931
10951 Crédits
Nous étiions arrivés sur Coruscant , il fallait faire vite , car sur Géonosis , nos compagnons ne pourraient tenir longtemps .
Une fois arrivé , Jedirevan voulait parler de la situation au sénat , étant donné qu' il était seul , je décida de l' accompagner .
Celui-ci monta dans une navette .
Moi:_Attends , je t' accompagne .
Lui:_Tu sais ce n' est pas parce que je suis padawan , que je dois etre avec quelqu ' un .
Moi:_Au contraire , j' ai jamais vu un padawan se débrouillé aussi bien .
Je monta dans la navette , celle -ci nous conduisit au sénat .
Une fois arrivé , nous nous dirigames vers la chambre du sénat .
Moi:_Attends deux minutes , il faut que j' aiile au petit coin !!!!
Lui:_Quoi , on a pas le temps .
Moi:_Deux minutes .
Une fois dans les toilettes , j' entendis un bruit .
JR:_C' est bon , on a pas que cela à faire , Obi , t' es ou ?
Moi:_Je suis là dans les toilettes .
Viens , il y a un gros problème .
JR:_Quoi , encore, mais tu vas .....
Celui -ci poussa la porte et fut ahuri et étonné .
JR:_Qu ' est ce que c' est .
Moi:_J' ai bien peur que c' est une bombe , quelqu' un veut faire sauter le sénat .
Je pense que celui qui veut faire cela , veut éviter qu ' on parle de la situation des Acamariens au sénat .
JR:_Dans combien de temps , cela explose ?
Moi:_Dans 25 minutes , mais si il y en à une , ici .....
JR:_Il y en à surement une dans le temple ......lundi 01 novembre 2004 - 19:01 Modification Admin Permalien
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Padme111
27263 Crédits
Résumé P65 à 70
P 65
Sur Coruscant,
Macematu se réveille Ange est à ses côtés.
Réunion du conseil Jedi décide au vu des éléments en leur possession (MISSION 5) d’envoyer des volontaires sur Géonosis afin de rejoindre Kaarde et d’évaluer la menace des Acamariens. Le politicien nommé Viktor serait-il Viktor Koher, un Jedi déchu ? (Pour rappelle voir Page 36, et Page 44 à 46.)
Ange est au petit soin pour Macematu.
Plo-koon est le 1er volontaire pour la mission 5
Pad111 leur rend visite à son petit frère et souhaite une bienvenue à Ange dans la Famille Nabery.
Résumé
Bakara se pavane dans la capitale car il a déchiffré le code. Puis, il rend visite à Macematu à l’infirmerie. Ange et Pad111 sont présents aussi. La préparation de la mission sur Géonosis commence. Plo-koon se tient près, Jedibothan, oiwan931, Bakara aussi
Le lendemain, Pad111 se prépare à partir pour rejoindre Kaarde (petit résumé de la situation). Jedirevan, padawan de Jedibothan vient de recevoir l’autorisation du Vaisseau Académie de faire cette mission avec son maître. Mais au moment de partir, Plo-koon apporte un message de Naboo à Pad111. C’est son ami Lou CHO qui le lui envoie, il a des renseignements très important à lui fournir. Pad111, veux partir de suite, mais Jedibothan lui demande de ne pas se précipitée.
Sorti de l’infirmerie, Macematu est sur le point de parti avec l’équipe pour Géonosis, mais apprend le départ imprévu de sa sœur.
P 66
Ange Solo s’apprête à partir, elle aussi pour Géonosis.
Jedirevan arrive au temple retrouve son maître qui lui dit qu’ils vont partir pour Naboo avec Pad111
Sur Naboo,
Le Bluestar, le Marteau du Jedi et le Ralroost2 atterrissent. Pad111 conduite le maître et son padawan à la maison de ses parents qui sont absent. Tous 2 changent leur tunique de Jedi pour un déguisement plus approprié. Puis ils vont au « Snack CHO ». Ils y rentrent séparément. Pad111 commande une boisson, mais Cho ne semble pas être présent. WA-7 lui dit que le patron du Snack ne sera là que dans 3H. Pad111 sort, les 2 autres Jedi en font autant. Pad111 leur dit qu’il faut passé par derrière.
Sur Coruscant,
Macematu va au centre des communications et récolte toutes les informations sur les Acamariens et sur Viktor Koher.
Sur Naboo,
Jedirevan est très content de pouvoir faire une mission avec son maître.
Arriver derrière le Snack, les 3 jedi entrent dans une petite pièce. Lou Cho les rejoint et explique qu’il a des informations sur Koher. Il est à la base des « puristes » et son groupe prend de l’ampleur. Mais en plus, il a payé des mercenaires pour tuer les Acamariens afin de jeter la confusion dans la République.
Lou demande d’avoir un contact dans le réseau d’espion Bothan à Jedibothan en échange il dira où chercher Viktor. Mais Jedibothan influence Cho avec la Force et arrive à un autre arrangement.
Sur Coruscant,
Ange Solo va rejoindre Macematu en salle de communication puis elle va se préparer et par pour Géonosis.
Sur Naboo,
Jedirevan demande quelques petites explications à Pad11 sur ce Koher pendant que JB discute encore avec Cho.
P67
Sur Naboo,
Lou leur dit que Koher est sur Toola et en échange Jedibothan lui fourni 3 informations (et ce sans la présence de Jedirevan et Pad111 qui lui explique tout ce qu’on sait sur ce Jedi Noir).
Les 3 jedi retourne à la maison de Pad111 et reprennent leurs tuniques de Jedi et enfin retourne à leurs vaisseaux. Mais Pad111 n’est pas contente ! Elle reproche à Jedibothan d’avoir utilisé la Force sur son ami ! Juste avant de décoller pour rejoindre l’équipe sur Géonosis, Pad111 envoie un message pour envoyer une équipe à la recherche de Viktor.
Sur Coruscant,
Obiwan931 et Macematu rejoignent Ange sur Géonosis.
Rappelle
Sur Géonosis,
Macematu, Obiwan931 et Ange essaye de retrouver Kaarde. Mais un appelle de Pad111 leur demande qu’une équipe parte pour Toola afin de trouver Koher. Ange décide d’y allée.
Macematu et Obiwan931 vont à la recherche de Kaarde en attendant l’équipe en provenance de Naboo.
Pad111, Jedibothan et Jedirevan arrivent sur la planète. Jedibothan et Pad111 on une brève discutions à propos de Lou, mais le moment n’est pas aux explications et ils rejoignent l’équipe déjà sur place. Macematu explique que Ange et parti pour Toola et il lui demande à pouvoir parti avec elle. Pad111 accepte. Macematu rejoint Ange.
Kaarde rejoint enfin toute l’équipe.
Solo est sur le point de partir quand Pad111 la contacte pour lui dire d’attendre Macematu qui partira avec elle.
Kaarde ressent qu’il y a de la tension entre Pad111 et JB. Kaarde explique ce qu’il a appris sur les Acamariens. Ils viennent d’une planète dans les régions inconnues, Acamar. Là-bas ils se trouvaient dans la partie de la population la plus basse hiérarchiquement, persécutés par les plus forts. Ils se sont violemment rebellés et se sont enfuis de la planète, désespérés et en colère. Leurs fonds viennent essentiellement de soutiens, comme celui des mercenaires, et de nombreux pillages. Maintenant ils veulent faire plier notre République en deux et prendre sur la galaxie ce rôle de dominants qu'ils n'avaient pas eu sur Acamar. Le tatoué, Dra’Busk était fou de rage a son arrivé de Tatooïne. Et l'est bien plus devenu quand les mercenaires lui ont appris qu'aucun Acamariens n'était revenu d'Obroa-Skai. Dra’Busk à jurer aux mercenaires qu'à l'avenir il exécuterait autant de leurs hommes que d'Acamariens mort pendant chaque opération si cela se reproduisait.
P68
Sur Géonosis,
L’équipe sur place arrive près de l’arène, il y a de la tension dans les rangs.
Pad111 décide de faire 2 groupes. L’un pour entamé des négociations avec les Acamariens. Pad111, Plo-koon et Kaarde s’en chargent.
L’autre équipe va s’occuper de couvrir la 1ère équipe, mais aussi pouvoir évaluer la menace de la présente base. Jedibothan, Jedirevan, obiwan931 et les quelques autres Jedi s’en occupe.
Macematu décolle avec son PTY-00, le prototype Phoenicien. Angel’s Fury est à son côté et ensemble ils partent en direction de Toola.
Pad111, Plo-koon et Kaarde se font arrêter par les Acamariens qui les mettent en cellule. Les Jedi attendent la visite de Dra’Busk.
Sur Toola,
Ange atterri la 1ere et Macematu fait de même.
Sur Géonosis,
Le groupe des Jedi libres se fait repérer et attaquer. Jedirevan est blessé à la jambe et Jedibothan l’aide à fuir pendant qu’Obiwan931 fait fasse à un Acamarien munie d’un Bratel qui est modifié, il possède un fouet laser. Les autres jedi se font pendrent. JB, JR et Obiwan931 arrivent devant 2 tunnels.
Jedirevan veut se sacrifier en se laissant prendre. Son maître n’est pas trop d’accord, mais fini par accepter. JB est Obiwan931 s’enfuit, et JR est fait prisonnier. Emmené dans la cellule de Pad111 et les autres, puis un garde vient et l’emmène en salle de torture.
Des gardes viennent pour emmenée Pad111 voir Dra’Busk. Mais elle accepte de les suivre qu’a condition d’arrêter les tortures de JR. Les gardes s’exécutent. Pad111 donne ordre télépathiquement à Kaarde de fuir dès que possible avec Plo-koon et JR, puis de rejoindre JB et obiwan931 afin de libérer les autres Jedi. Pad111 est emmenée devant Le tatouer.
Sur Toola,
Ange rejoint Macematu qui vient d’atterrir. Elle lui dit avoir repérer un complexe. Les 2 jedi partent pour ce complexe sur un fonceur.
Sur Géonosis,
Kaarde parvient à s’échapper avec Plo-koon et Jedirevan. Ils retrouvent 2 autres Jedi, Lamma Mastr et Bloli Meyst. Ensembles, ils récupèrent les sabres laser puis rejoigne Jedibothan et obiwan931. Après que Kaarde qui a le pouvoir de guérison très développé, a soigné JR. JB veux libérer Pad111, mais Kaarde s’y oppose car sa sœur lui avait dit qu’elle s’en sortirai seul.
P69
Kaarde et JB discutent, mais tombe d’accord pour que leur groupe se cache et attendent de voir si Pad111 à besoin de leur aide. Par contre, il envoie un volontaire, obiwan931, pour voir où en est Pad111 dans les négociations avec Dra’Busk.
Bakara arrive sur Géonosis et sans se faire connaître au groupe il rejoint obiwan931. Ils arrivent a ce faufiler jusqu'à la salle où le Tatoué et Pad111 « négocie ». Ils entendent une partie de leur conversation. Les Acamariens ont l’intention de s’attaquer au sénat afin de se faire entendre. Pad111 envoie un message télépathique à Bakara et obiwan931 leur donnant l’ordre de partir pour le sénat.
Obiwan931 hésite à laisser Pad111 prisonnière, mais Bakara le pousse à écouter les ordres. Ils entendent du bruit, vont voir et découvre une usine de Bratel. (Pad111 leur envoie un second message leur ordonnant de quitter la planète.*) Ils préviennent les autres jedi.
A l’annonce de ce nouvel élément, Jedibothan décide d’ordonner au groupe de repartir pour le Temple Jedi, prévenir Maître Starseb de ce qui ce passe sur cette planète. JB décide aussi de rester avec un volontaire, Kaarde ! Ensemble, ils veulent détruire l’usine. JR trop blesser pour piloter, laisse son vaisseau à côté du Ralroost2, il est reparti avec les autres Jedi.
Dans le vaisseau de Plo-koon, Jedirevan explique qu’il aurait voulu rester sur la planète à aider Jedibothan et Kaarde. Mais Plo-koon lui dit combien il est important de retourner sur Coruscant, il le convint de parler au sénat de toute cette histoire.
Sur Géonosis,
Pad111 discute avec Dra’Busk dans l’espoir de le dissuader d’attaquer le sénat. Mais Le tatoué lui montre son usine de Bratel. Pad111 sent la présence de Bakara et obiwan931, elle leur ordonne télépathiquement de partir.* Puis elle continue d’essayer de convaincre le chef des Acamariens d’aller au sénat entamer des négociations officielles. Mais, jusque là il refuse !
Jedibothan commence à déposer les explosifs dans l’usine des Bartels, pendant que Kaarde recherche sa sœur.
Sur Toola,
Ange et Macematu arrivent au bâtiment, Ange à une drôle d’impression. Ils rencontrent un homme qui les attendaient et les emmène voir un autre homme assit dans un fauteuil. C’est Viktor Koher !
Après une petite discussion Ange fonce sur Koher qui la repousse, Macematu engage le combat. Koher parvient à le faire tombé dans le fossé.
P70
Sur Coruscant,
Obiwan931 et Jedirevan vont au sénat afin de les prévenir de la situation sur Géonosis. Obiwan931 va aux toilettes et y découvre une bombe prête à sauter dans 25 minutes. Les 2 Jedi craignent qu’il y ait aussi une bombe au Temple Jedi.
Résumé
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Padme111, Soeur de Kaarde et de macematu
Maître Jedi Membre du Conseil
Très fière de Karona et Ikari Shinji, mes ex-padawans.
Très fière du padawan prometteur qu'est Remeyodi et du padawan Angel[Ce message a été modifié par: Padme111 le 02-11-2004 12:53]mardi 02 novembre 2004 - 08:18 Modification Admin Permalien
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jedirevan
6954 Crédits
moi
Ca ne sert à rien de détruire une petite partie d'un bâtiment alors que tu peux tous faire péter avec président, sénateurs et autres pérsonalités.
obimoi
Un garde étonné s'aprocha.
Gardemoi Garde
Nous nous précipitions vers la sortie ou nous espérions trouver un taxi pour aller au magasin aratech. Par chance, un taxi était libre. Son chauffeur avait des allure plutôt louche mais rien ne me permettais de penser qu'il était impliquer. Nous avançâmes vers le taxi mais un civil s'interposa.
Civilmoi civil obi civil< Et bien, je, euh...
moicivil
Nous sommes montés dans le taxi laissant dérniére nous ce magistrat vereux.
Chauffeurmoi obi Chauffeur< A, c'est bon, je connais!
moiobi
Nous sommes enfin arrivés à l'aratech, c'était un quartier pauvre perdu entre les immeubles de Coruscant, il paraissait sale et mal fréquenté.
moimardi 02 novembre 2004 - 09:48 Modification Admin Permalien
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AngeSolo
28876 Crédits
Le corps de Macematu disparaissant de ma vue, fut le coup de grâce… Pourquoi toutes les personnes a qui je tenais disparaissaient ou souffraient ?
Je me relevai et pris la direction de Koher… Sabre en main, la colère, la haine et la souffrance affluant en moi. J’étais déterminée à renvoyer cet homme dans l’utérus de sa mère (^^ Boule de Poils ? des souvenirs ?) avec l’aide la forme VII. Comme lorsque je quittais le Côté Clair, mes pieds commencèrent à quitter le sol, pour planer de quelques centimètres, les yeux changèrent et un noir jais dans lequel brûlait des flammes, remplaça mes yeux habituellement bleus.
Moi : Vous avez eu au moins raison sur un point Monsieur Koher, deux personnes mouront aujourd’hui et j’ai le regret de vous dire que vous serez le deuxième sur la liste…
Ma lame argenté étincela alors et je m’avançais vers lui, doucement. Un geste de la main, j’envoyais son sabre valser par la fenêtre. Il semblait très surprit.
Moi : C’est trop facile… J’espère au moins que vous mourrez comme un homme, la tête haute !
Non, je n’eus pas ce loisir que l’homme sauta par la même voie qu’avait pris son sabre. Appuyé de la Force, il courut aussi vite qu’il le pouvait. D’un sourire démoniaque, je le regardai partir et ajoutai mentalement « Tu peux toujours courir, je serai où te retrouver »… Je m’apprêtai alors à lui donner poursuite lui, et toutes les personnes qui avaient tuer ceux à qui je tenais, mais Mace apparut… Il était encore vivant ?
Moi : Laisse-moi passer, Mace… J’ai des choses à régler…
Mace : Je ne peux pas te laisser partir. Tu n’es plus toi-même…
J’éclatai d’un cri à glacer le sang. Mon regard noir dans lequel ondulaient des flammes évoquaient tout sauf mes sentiment réels. Je flottai tel un fantôme à quelques centimètres du sol.
Moi : Moi-même ? Mon pauvre chéri… On connaît toujours les gens moins bien qu’on se le plait à le croire…
Mace : Mais enfin, de quoi parles-tu ?
Moi : L’Ange que tu connais n’existe que de surface. Mes émotions sont filtrées. Personne n’a accès à ce que je ressens. Une carapace s’est formée autour de mon passé dont presque qu’aucun Jedi n’a été aussi…hum…douloureux… J’ai tout simplement décidé d’user de mes faiblesse.
Mace : Ange, tu me fais peur…
Moi – en écartant les bras - : Souhaites-tu voir mon mode, mon chéri ?
NOTA : Je tiens à préciser que ce que je fais subir à Mace, quand j’ai parlé de la mission à Tyria, celle-ci m’a répliqué que j’étais une peau de vache (ou un truc du style) de lui montrer mon passé. Elle m’a dit que c’était de la triche si j’usais totalement de ça^^
J’ouvris totalement mon esprit à la Force, ce que j’ai dû faire une fois, pas plus. Des images, des impressions traversèrent l’esprit de Mace.
Les parents tués sous mes yeux,a lors que quelqu’un courait, moi dans ses bras et mon frère tenu par la main. Et l’explosion, emportant les corps dénudés de vie à jamais…
La mort de mon premier Maître… Des amis, des amants tombant la tête haute… Des mensonges, des trahisons et des blessures qui ne se cicatriseront jamais…
Mace était tombé à genoux, tenant sa tête entre ses mains, des larmes coulant sur ses joues. Cela faisait seulement quelques secondes…
Refermant mon esprit à l’état qui pour moi était normal, je l’observais…
Moi : Voici le monde dans lequel je vis et que je ne peux contrôler, seulement contenir…
Mace se releva en titubant légèrement.
Moi : Maintenant, laisse-moi passer… J’ai un rendrez-vous avec le passé… Des choses que je n’ai pas prises le temps de régler…
Mace : Ange, reviens… La vengeance n’effacera pas ta douleur, elle ne mène à rien… Le passé est passé et ce n’est pas en agissant stupidement que tu le modifieras !
Moi : Ecoute, je ne suis pas là pour écouter un discours. Je veux passer. Tu me laisses ou je devrais forcer le passage.
Une lueur étrange passa dans ses yeux.
Moi : Non, non, non… Mon amour est bien réel et je ne veux pas te faire du mal… Mais si tu en décides autrement,a lors, il en sera ainsi…mercredi 03 novembre 2004 - 12:00 Modification Admin Permalien
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Bakara
2656 Crédits
Moi : Voila Seb tu sais tout !
J’étais avec Seb en train de parler de la situation sur Géonosis. Il hocha la tête et me dis que je pouvais sortir de la salle du conseil. Je reçu un message télépathique
Obi : ALERTE A LA BOMBE ! TOUT LES JEDIS SONT PRIE DE FOUILLER LE TEMPLE !
Je me demandais ce qu’il avait encore inventé. Une alerte à la bombe au Temple ? C’est absurde ! Pourtant tout les jedis fouillèrent le temple et au bout de 10 minutes j’avais un autre message télépathique
Seb : Calmez vous il n’y a pas de bombe. Par contre, un jedi vient de nous prévenir qu’il y avait eu une vraie alerte à la bombe au sénat. Moi, Bakara et Obi allons au sénat régler ce problème.
Je vis Starseb accompagné de mon ex-maître marcher jusqu'à la sortie du temple. Je les suivis et nous prîmes un taxi. Nous arrivâmes au sénat peut après et Seb nous ordonnèrent d’essayer de désamorcer les bombes pendant qu’il préviendrais le sénat. Je me séparais d’Obi et cherchais les fameuses bombes. Je montais dans l’ascenseur et regardais si il n’y avait pas quelque chose de suspect. Un fil rouge dépassait de l’accoudoir. Je le fit léviter jusqu'à ma main. Peut après, je tenais un espèce de chronomètre avec deux fils : noir et rouge. La c’est la panique ! Je coupe le noir ou le rouge ? Après une grande réflexion, je décidais de sortir mon sabre et de couper les deux. Ca avait marché ! Je sortis de l’ascenseur et vit une foule de gens rentrer dedans. Je marchais tranquillement dans les couloirs quand Obi me bouscula.
Obi : Il reste une bombe que je n’ai pas réussis à désamorcer. Sinon j’en ai désamorcer deux je crois que y a plus rien
Moi : J’en ai désamorcer une. Mais je n’en ai pas trouvé d’autres.
Seb qui venait d’arriver : Il reste juste la bombe qu’Obi avait pas réussis à désamorcer. Il y avait un message sur le mur qui annonçait qu’il y avait quatre bombes
Obi : Il faut à tout pris vider la partie de l’immeuble ou il y a la bombe !
Seb : C’est fait ! Il ne reste que nous donc partons !
Seb partit vers l’ascenseur tandis qu’Obi931 dévalait les escaliers. Je courus vers l’ascenseur mais j’entendis un cri. Je me retournais et vis un vieil homme qui avait la jambe cassée. Je le pris sur mes épaules mais il était trop lourd pour que je coure avec lui. Je sautais donc par la fenêtre et chuta, chuta, chuta,…
Obi : Bak’ !
Je me réveillais tout doucement et je vis que j’était allongé dans un speeder qui étais posé sur une plateforme.
Obi : Remercies cette homme de t’avoir rattrapé avec son speeder alors que tu tombais. Si il n’avait pas été la tu serais mort
Moi : Et le sénat ?
Obi : Tout le monde a été sauvé ! Même le vieil homme que tu portais ! Je crois que lui te dois une fier chandelle.
Je vit l’homme toujours évanouis dans le speedermercredi 03 novembre 2004 - 15:53 Modification Admin Permalien
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Macematu
3309 Crédits
Ange : Voyez vous cela ?
Moi : Ne t’en fait pas, mes sentiments ne risques pas d’ interférer avec la mission.
Ange avait donc décider de m'affronter. La douleur qu'elle m'avait fait subir était intense, mais elle ne connaissait pas mon passé, plein de douleur et de tortures...tout cela était bien réel, mais je n'avait pas voulu la faire souffrir à cause de ses malheurs. Tout ce que je voulais c'était l'apaiser.
Les sentiments conflictuelle qu'elle ressentait pouvait la détruire...elle doutait, entre la vengeance et ses sentiments envers moi.
Moi : Je ne laisserais pas mes sentiments interagir avec cette mission, tu le sait
Ange: tu est trop sentimental pour faire abstraction de tes émotions, c'est de là que viens ta force mais aussi ta faiblesse
Moi : oui, mais je peut m'en passer, je maîtrise assez bien le sabre et le teras kasis pour t'empêcher quoi que ce soit
Ange: on dirait que tu te sent capable de m'arrêter
Moi : ce n'est pas parce que je me suis laisser vaincre par Koher que...
Ange: tu l'a fait exprès laisse moi rire ?
Moi : je lui ai glisser un émetteur sur son sabre, quand je l'ai frappé.
Ange: hum...technique sournoise ( un sourire se dessina sur son visage ) sa me plait...
Moi : je t'arrêterai, tu n'est pas celle que je connais
Ange: en effet, je suis démon solo !!
A ces mots, je dégaina aussi, la défiant du regard. L'assaut commença...Elle ne combattait plus de la même manière. Ses coups portaient plus, et elle visait directement les points vitaux. Le fait qu’elle lévite l’aidait par rapport à la vitesse, et l’immunisait face à toute attaque provenant du sol. Le combat s’annonçait rude, mais j’avais toute confiance depuis ce jours…
« Pad : Mace, ait fois en toi, tu a des capacités que tu n’exploite pas.
Moi : mais comment ça, je suis faible, je me laisse séduire par le côté obscure, c’est seulement quand il s’empare de moi que je suis plus puissant…
Pad : non, c’est ce qu’il veut te faire croire, le côté obscure ôte seulement la barrière qui est apposé a ta puissance, pour la modéré.
Moi : comment la retiré, je n’aurait plus besoin de ce coté de la Force
Pad : mais tu sait, Jacen_Horn ma dit que la Force était uni
Moi : oui, mais certaines de ses facettes sont obscure
Pad : Bats toi avec tes sentiments, utilise les
Moi : oui, mais j’aime me battre
Pad : je sais
Moi : est ce un problème ?
Pad : que si cela apporte du mal aux êtres qui te sont proche… »
Je comprenais enfin ce que signifiait ces mots. Ma sœur avait voulu parlé des émotions non pas comme arme mais comme défense, ce qui me protègerait des idées sombres…Mais en y repensant, l’éprit noir qui rode en moi, ne cesse de me parler…comment faire ?
« ??? : alors tu est encore en proie au doute ?
Moi : Non laisse moi, je doit arrêter Ange
??? : tu ne peut pas l’arrêter, ton amour pour elle entrave tout tes mouvements, tu ralenti tes coups des que tu vois son visage.
Moi : oui, mais je l’arrêterai en…
??? : douceur ? on arrête rien en douceur pense à cela. »
" on arrête rien en douceur ", dure à dire, mais c’est vrai. Il ne fallait pas que je me retienne, ce corps, celui d’ Ange n’étai plus qu’un adversaire que je devait neutraliser. Je sauta sur le coté pour éviter une fente. Je concentra toute la pression dans ma main droite et propulsa Ange contre le mur le plus proche. L’impact fit un trou de la taille d’ Ange dans le mur. Elle tomba face contre terre, elle avait perdu connaissance…ou même pire. Je rengaina mon sabre que je mit à ma ceinture. Je couru vers elle. Puis tout se passa en un éclair, elle se releva d’un coup, dressa son bras et abattis son sabre, je me baissa passa sur la gauche puis la droite puis encore la gauche pour esquivé ses coup. Je déplia mon bras qui alla dans son ventre, mais je ne senti aucunes matière…elle s’était déplacé extrêmement vite. Je ferma les yeux, tourna sur mon talon et abattis mon pied sur son épaule, je la senti..
Ange: arg
Je lui avait déboîté l’épaule droite, son sabre tomba par terre. Elle tomba à genou, je la regarda elle avait l’air d’être revenue à elle. Mais une fois encore elle se leva, m’attrapa par la gorge et me plaqua au mur. Elle s’approchait de moi, puis m’embrassa. Soudain une horrible douleur afflua en moi pendant le baiser..
Ange: je te donne un peu de moi
Moi : umpf
La douleur me fit me plier en deux, elle me donna un coup de pied puissant au niveau du thorax. Je tituba puis m’écroula.
Moi : ang……………..
Ange: peuh... mon côté sombre a triomphé, ne cherche pas tu ne m’aura pas…
Moi : toi non plus, tu ne m’aura pas deux fois avec la même technique.
Je concentra la pression autour d’elle pour qu’elle se trouve emprisonner, mais les reflex qui lui étaient alloués grâce au coté sombre me value une forte décharge d’éclairs blanc…
" on arrête rien en douceur "mercredi 03 novembre 2004 - 16:11 Modification Admin Permalien
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Padme111
27263 Crédits
Nous avons fini la visite de l’usine, elle est impressionnant vu le peu d’homme qui circule dans la base. J’étais certaine qu’il devait y avoir d’autres Acamariens dans cet univers. Dra’Busk ne m’avait jamais menacée directement, ni moi, ni l’Ordre Jedi. Pourtant, a plusieurs reprises il avait laisser entendre qu’il « nous » en voulait d’être responsable des pertes qu’il avait subit. Je ne pouvais que deviner qu’il avait du perte un ou plusieurs proches dans cet histoire.
Nous revenons au point de départ, dans cette grande salle. De nouveau, il ordonne qu’on le laisse seul avec moi. Mais au moment où la dernière garde sort, un autre Acamarien arrive en toute hâte.
?? – Dra’Busk ! Tar’Mac est parti ! Il n’a prévenu personne, Je viens seulement de m’apercevoir que son vaisseau n’est plus dans l’hangar.
Dra’Busk – Quoi ? Oh non ! Mar’Kou, je t’avais dit de le surveiller ! Il a pris les explosifs ?
Mar’Kou – Oui, et 4 hommes l’on suivi. Je suis désolé, mais il a raison, elle (il me désigna) te fait perte ton temps, et le commando qui l’accompagnait est déjà sûrement sur Coruscant. Ton plan est voué à l’échec !
Dra’Busk – Comment oses-tu ! Je sais ce que je fais ! Tar’Mac est un idiot, donner la mort n’est pas une solution, il faut mettre la République à genou, pas l’exterminer !
Mar’Kou – Que fait-on ? Chef !
Ce dernier, lui avait craché ces mots afin de marquer à quel point il était d’accord avec ce Tar’Mac. Dra’Busk le fixa, choquer de voir le désaccord. Peut-être que l’autorité de cet homme était en péril bien avant notre arriver sur Géonosis ?
Soudain, une sensation familière me parcourus. Je me plonge dans la Force afin d’analysé ce que je ressens. Kaarde ? Mais pourquoi, je le sentais si proche ? Il est resté ! Il est encore ici dans cette base, et viens de s’assurer que je suis toujours vivante ! En définitive, je n’ai pas beaucoup plus d’influence sur les Jedi que Dra’Busk sur ses hommes.
J’envoie un message télépathique à Kaarde : "Je vais bien frangin, je m’en sortirai seul ! N’intervient pas !"
Je laisse la Force rendre mes idées plus claire, il faut intervenir et au plus vite.
Dra’Busk d’un ton étrangement calme – Rassemble les troupes, et sonne l’évacuation.
Mar’Kou – Fuir !? Encore ? Non, mais qu’est-ce qui…
Dra’Busk – SUFFIT ! Tar’Mac nous a fait perdre les explosifs et maintenant nous ne pouvons plus reculer ! Le sénat est déjà au courant de nos plans, et l’attaque est de nouveau notre seul moyen de survie. T’es contant, j’espère ?
Mar’Kou – Tu compte toujours attaquer Coruscant ?
Dra’Busk – Nous n’avons plus le choix !
J’attend que Mar’Kou sorte. Dra’Busk fixe la porte qui vient de se refermer. Il reste silencieux, puis il baisse les yeux au sol. Ce rendait-il compte que j’étais en mesure de lui prendre, à l’aide de la Force, son arme de son étui. Cette idée ne m’effleura qu’un millième de seconde, il aurait pu me tuer depuis déjà bien longtemps, s’il ne l’a pas fait, pourquoi le tuerais-je ? Agir de la sorte n’était pas digne d’un Jedi ! Je préfère me concentrer sur le comment amener Dra’Busk a des négociations officiels. Comme s’il parlait à lui-même, il repris doucement.
Dra’Busk – Il était plein d’espoir, plein de vigueur… Il s’est sacrifié pour notre peuple. Il ne voulait que je les mène à la victoire… Et maintenant, et Tar’Mac vont tout détruire, tout ce pourquoi il est mort.
Moi – Qui est mort ?
Il se retourne sur moi, il y a beaucoup de peine au fond de ses yeux.
Dra’Busk - Ka’Rym, il est mort sur Obroa-Skai, tuer par vous, les Jedi ou par les mercenaires ! Peu importe !
Moi – Il y a eu des survivants, je ne sais pas si le dénommé Ka’Rym en faisait parti, mais notre équipe Jedi sur cette planète a fait des prisonniers.
Dra’Busk – Comment !? Non, vous me mentez, ils sont morts, ils sont tous mort !
Moi – Je ne vous mens pas, je vous en donne ma parole.
Dra’Busk – Vous inventez n’importe quoi pour que je vous accompagne sur votre capital ! De tout façon, c’est trop tard, vous allez nous suivre. Je n’ai plus d’autre choix que de mettre la République à genoux, mes hommes savent que c’est la seule solution qui nous reste. Je ne pourrai plus les arrêter.
Moi – Non, monsieur Dra’Busk, tout est encore possible, vous êtres leur chef, ils respecteront vos décisions sinon, monsieur Mar’Kou ne serait pas venu vous demandez quel ordre suivre.
Dra’Busk – Très bien, vous allez m’expliquer comment vous pensez résoudre ce problème, mais pas ici, on évacué et vous venez avec moi.
Il ouvre la porte, mais à la place du garde, c’est un drôle d’animal au poile hérisser qui lui fait face. Il recule de 4 pas, l’animal s’avance menacent. Il met sa ma sur son baster, l’animal bondit tout griffe dehors et avant que Dra’Busk ne dégaine, il est plaqué au sol, 4 pattes du Thernbee sur lui, dont 1 sur sa main, l’empêchant de toucher son armes.
Moi – Sacripant ! Ici !
Mon compagnon m’obéi, il se tient juste entre l’Acamarien et moi.
Moi – Veillez l’excuser, il m’a cru en danger. Il est très possessif. Je suis navré de ce contre temps, et donc, nous sommes près à vous suivre !
Dra’Busk se relève et n’en crois pas ses yeux, ni ses oreilles.
Dra’Busk – Vous êtes ma prisonnière !
Moi – Si vous voulez.
Dra’Busk – Je vais me débarrassé de votre bestiole !
Il veut sortir son arme, mais je la récupère avec la Force.
Moi – Non ! Plus de mort !
Dra’Busk interloquer – Vous pouviez le faire n’important quand ?
Moi – Oui, mais je n’avais aucune raison de le faire jusqu’à ce que vous menaciez, mon ami !
Dra’Busk – Votre ami !? C’est une bestiole ! Et maintenant, vous allez me forcer à vous suivre au sénat ?
Moi – Non, j’accepte votre proposition, je part avec vous. Vous avez raison, vous devez partir de Géonosis, avant que la République n’envoie ses troupes faire un carnage de votre peuple.
Je retourne l’arme, lui offrant la crosse. Sacripant reste en alerte, Dra’Busk avance, reprend son arme, la place dans son étuis.
Dra’Busk – Très bien, partons. Vous et votre animal vous allez venir dans mon vaisseau.
Moi – Volontiers.
Tout en quittant Géonosis, j’envoie un dernier message télépathique à Kaarde :
« Surtout, n’intervient pas, je les suit de mon plein grès, les négociations semblent être notre dernier espoir».mercredi 03 novembre 2004 - 16:23 Modification Admin Permalien
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obiwan931
10951 Crédits
Nous avions réussi à désarmorcer la bombe , j' étais avec Bakara sur la plate forme .
Bakara:_Au début , quand tu as dis , qu' il y avait une bombe , je t ' ais pas cru .
Moi:_Le sénat est sauvé , et toi aussi , c ' est l' essentiel .
Tu es sur , qu' il n' y avait pas de bombe au temple ?
Bakara:_Normalement , non .
Mais , tant que l' affaire n' est pas clos , nous serons pas en sécurité .
Je vais demander , au conseil , l' autorisation d' inspecter les grans lieux comme le musée galactique ou l' ancien palais impérial ......
Moi:_Seb , est allé au sénat et s ' entretient avec le chancelier .
Mais par prudence , le chancelier doit etre protégé , il peut se passer encore quelque chose comme un enlèvement ou un assassinat .
Je reçus un message de JR par colmink .
Moi:_Jedirevan à trouvé le coupable de cette attentat .
Bakara:_ Allons -y .
Une fois au lieu de rendez - vous , je retrouva JR et des agents de police , il avait capturé une personne , un acamarien .
Moi:_Intéressant , tu as fait du bon travail , questionne le et trouve son point faible .
Bakara:_Tu restes pas avec nous ?
Moi:_Je reviendrai , il faut que je conctacte le conseil .
On s' appelle .
Je conctacta le conseil afin l' autorisation de protéger le chancelier .mercredi 03 novembre 2004 - 18:42 Modification Admin Permalien
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Padme111
27263 Crédits
Le Hope, le YT-1300 rouge du tatoué, vole pour une destination qui m’est encore inconnu. Le pilote n’avait pas quitté son poste, et 4 gardes sont dans la pièce principale. Sacripant est sur mes genoux, je le caresse. Dra’Busk sur ma droite et Mar’Kou sur ma gauche, nous somme autour d’une table ronde, il m’est impossible de sortir de table sans en faire bouger un, il ne me fond aucune confiance. Pourtant, jusque ici, ils ne m’ont pas menacé. Le sujet de conversation est toujours le même, malheureusement chacun reste sur ses positions, les « négociations » tournent en rond !
Dra’Busk voulait trouvé une autre solution, il voulait évité d’autres mort. Son plan de départ, c’était de mettre la République dans un état de faiblesse afin qu’il leur accorde une planète où leurs peuples pourraient vivrent en paix. Par cette méthode, il espérait qu’une fois sur une nouvelle planète, la République aurait trop peur des Acamariens pour les ennuyer.
Par contre Mar’Kou rejoint les idées de Tar’Mac, c'est-à-dire, faire sauter le sénat, afin que la République soit trop occupé à se reconstruire que pour les arrêter dans leur quête de se monde nouveau. Pourtant, Mar’Kou n’a jamais parler de mutinerie, il respecte son chef, mais jusqu’à quel point ?
Une division s’opérait chez eux. Cela ne me plait pas et j’essaye de les convaincre de se faire entendre, sans menace, au sénat. Il est certain que je ne leur parle pas de mes craintes, car je suis certaine qu’une fois les intentions des Acamariens révéler au grand jour, la République se diviserait aussi sur les solutions, et je ne pouvais donc offrir aucune garantie. Et le pire, c’est que jusqu’ici l’Ordre Jedi a, le plus souvent, soutenu les décisions de la République. La tension est si grande dans tous les camps, qu’un mot, un geste pourrait tout faire basculer, même si j’arrive à convaincre Dra’Busk d’engager des pourparlers au sénat. Une étincelle dans un stock d’arme, voilà comment risquait de se passé l’entrevu. Mais avais-je une autre solution ?
Le Tatoué décide de faire une pause et invite son collège à vérifier que les autres vaisseaux qui suivent le Hope, reste bien en formation. Il avait peur qu’un d’entre eux ne changent de destination. Dra’Busk me propose un verre d’eau, que je ne refusa pas. Puis, il me confia le faible espoir qu’il avait de croire que Ka’Rym était encore en vie, et à ce que j’avais pu comprendre, il devait être très proche, et je soupçonne que ces 2 là avaient un lien de parenté. Il semble avoir de l’estime pour moi, et c’est réciproque. Pourtant, pendant la conversation, je m’assurai que mon second sabre laser était bien dans le collier de mon Thernbee. Et enfin, Mar’Kou revient.
Mar’Kou – Tous va comme on veut. On n’arrive à destination dans 5 minutes.
Dra’Busk – Très bien.
Moi – Puis-je savoir quelle est cette destination ?
Dra’Busk – Corellia. Mais le Hope, ne s’y pose que pour faire le plein.
Mar’Kou – Comment cela ? Rien que le Hope ??
Dra’Busk – C’est encore moi votre chef ! Oui ou non ?
Mar’Kou resta bouche bée pendant quelques secondes, puis il balbutia.
Mar’Kou – Tu as pris une décision ?
Dra’Busk – Oui ! Tu contestes ?
Mar’Kou – Euh…Tu es notre chef depuis un sacré bout de temps, et je n’ai jamais eu à m’en peindre.
Dra’Busk – J’ai besoin de plus que cela Mar !
Mar’Kou – Bon ! Très bien, alors c’est oui ! Je te suis quel que soit ta decision.
Dra’Busk – Tu seras le seul à descendre. Tu ordonnes le plein, et prend le commandement de notre petite flotte, il faut apporter les fournitures nécessaires à la survie à notre vaisseau monde. Tu les protèges, et si tu n’as pas de mes nouvelles dans 1 semaine, tu prends le commandement définitivement ! Et tu me considères comme perdu !
Mar’Kou – Mais…
Dra’Busk – C’est un ORDRE ! Le dernier si cela tourne mal !
Mar’Kou – Très bien, je m’exécuterais.
Dra’Busk – Voilà Madame Padme, je vais vous emmenée sur Coruscant dès que possible. Et là, j’espère que vous tiendrez parole, que l’on aura droit à être entendu ! Sinon, mon peuple vous fera la guerre ! A vous, aux Jedi, à la République est nous finirons tous dans un bain de sang. Et ce sera de votre faute !
Moi – Je suis heureuse d’apprendre votre décision, Monsieur Dra’Busk, Merci !vendredi 05 novembre 2004 - 09:05 Modification Admin Permalien
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AngeSolo
28876 Crédits
Moi : Mon pauvre Macematu… Quand vas-tu comprendre que tu n’es qu’une source d’ennuis…
Une craquement sinistre se fit entendre et mon bras se remit correctement. Je tendis celui-ci vers mon sabre qui me revient. Mace était toujours sur le sol, où des éclairs blancs le parcouraient.
Moi : Je suis moi. Il va falloir t’habituer à ça ! Il n’y a pas à proprement parler du Clair ou Obscur… C’est toi « range » tes actes dans de telles boîtes… Qui te dit que ce que je fais est mal ?
Mace se releva péniblement et porta sa main à ceinture.
Moi : C’est ça que tu cherches ?
Son sabre reposait dans ma main gauche.
Mace : Tu as fini de faire des actes que tu regretteras un jour ? A vouloir te venger, tu deviens aussi pourrie que ceux que tu veux tuer. Tu veux que ceux qui sont morts et moi, nous soyons fiers de toi ? Oui, bravo, Ange, bravo !
Moi : Sarcastique, mon cher… Tu n’es à pas marre de te tromper tout le temps ? Ce n’est pas que je m’ennuie mais j’ai d’autres chats à fouetter…
Mace : Je ne te laisserai pas passer alors si tu te sens prête à assumer la responsabilité de tes actes, vas-y, tue-moi…
J’avais une idée derrière la tête sachant très bien que Mace ne se laisserait pas prendre si facilement ! Aussi discrètement que possible, je gardais dans ma bouche un liquide que je venais d’ingurgiter. Mes sentiments ne me permettraient jamais de le tuer. Je posai mes armes par terre pour lui donner l’illusion que je voulais me faire pardonner. J’allais à la rencontre de mon Joli Cœur, l’air vraiment désolé…
Moi : Mace, je suis désolée… Je…je n’ai pas voulu…Je…
Sans se méfier, il me prit dans ses bras et me berça.
Mace : Ce n’est pas de ta faute… Tu t’aies laisser emporter par ta haine et la souffrance. C’est fini, maintenant.
Les larmes me montèrent aux yeux.
Moi : J’aurais pu te tuer…
Mace : Tu ne l’as pas fait… Oublie, tout est pardonné…
Passant ses bars autour de ma taille, il m’embrassa. Le liquide fut donc avalé par l’homme que j’aimais. Un sourire mauvais passa sur mes lèvres. Mace toussa et sa vue sembla se brouiller.
Mace : Qu’est-ce que… ?
Moi : Trop naïf, mon chéri, trop naïf… (Je sortis la viole vide devant son nez.) Poison à effet rapides. Tu vas faire un gros dodo pendant plusieurs heures. Je ne pensais pas que cette babiole de contrebandière me servirait encore une fois redevenue Jedi… (Je l’embrassai une deuxième fois.) Bonne nuit… Et savoure ton échec !
Mace : Je t’ai fait confiance…
Moi : Tu vois ? Encore une erreur… Tu T’AIES fait confiance ! Oui, confiance à tes sentiments…
Mace : Parce que je t’aime ! (les larmes lui montèrent aux yeux.) Ne me fait pas ça, Ange… Si tu pars… Si tu venges… Une partie de moi sera à jamais perdue…
Ma main trembla et ma confiance diminua sous l’émotion. Sois forte, Solo !
Mace : Autant mourir de suite alors… Si mon rayon de soleil ne brillera plus jamais…
Il sombra dans les ténèbres.
Je me détournai alors. Rien de pourrait mieux représenter mon état d’esprit actuel que ça :
« Petite Solo est allongée dans les fèves,
Les cheveux dans le vent, elle évolue dans un rêve.
Même le monde qui s’effondre autour d’elle,
Ne l’atteint du tout, elle dit que la vie est belle.
Quand la vérité frappe alors à sa porte,
C’est son monde qui part en miettes et son escorte :
Le Prince Charmant, qui l’aimait avec passion,
Au seuil de la mort, la laisse sans explications.
Les plus belles fleurs commencent à se faner,
Son petit paradis aussi à s’envoler.
Petite Solo, va-t-elle donc se réveiller ?
Oui mais à regret ; elle ne veut plus respirer… »vendredi 05 novembre 2004 - 13:34 Modification Admin Permalien
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